Re: Dragon Ball: Alternative World
Publié: Ven Oct 02, 2015 0:01
Bonsoir à tous. Comme prévu, avec deux minutes de retard^^, voici le premier chapitre de la deuxième partie de ma fan fiction. J'espère que cet arc, sur les androïdes, vous plaira.
Chapitre 1 : Une nouvelle menace
plusieurs années passèrent. Durant ce laps de temps, L'équipe de Bulma avait réussi à récupérer les capsules des saiyans pour les étudier et les transformer en un gigantesque vaisseau spatial. Le but : aller sur la planète Namek pour trouver les Dragon Balls et faire le vœux de resusciter Piccolo, et de ce fait le Tout-Puissant et par ricocher, faire réapparaitre les Dragon Balls de la Terre. Ce qu'ils firent... tout en étant surpris que le Shenron de Namek ait le pouvoir de réaliser trois souhaits au lieu d'un. Ils mirent à profit cette faculté pour faire revenir à la vie Son Goku, Son Gohan, Ten Shin Han et Chaozu.
Ceux-ci furent heureux de retrouver leurs amis et Chichi, morte d'inquiétude, exprima sa joie de revoir son fils chéri, tout comme son mari.
Les entrainements reprirent tranquillement :
« Plus vite, encore plus vite » dit la saiyanne à l'encontre de son apprentie, la jeune Héra. Celle-ci essayait de frapper son professeur qui évitait avec agilité les coups. Les deux combattantes étaient dans les airs.
Un coup de poing arrêté et la guerrière saiyanne donna un coup de tête à son adversaire qui chancela. N'étant pas assez rapide, elle se prit un coup de genou dans le ventre et une manchette à la nuque. Elle tomba par terre, KO.... Sayana la regarda. Elle était fier d'elle, mais il lui manquait encore de la puissance et de la vitesse. Son endurance, bien que bonne, n'était pas encore suffisante pour tenir un vrai combat, qui pouvait durer des heures...
Elle se posa doucement, prit la fille dans ses bras et se dirigea à pied vers la cabane. Là, elle la déposa sur le lit et prépara une tisane et de quoi soulager les blessures.
'Tu t'es bien battue aujourd'hui. Repose-toi. Demain sera un autre jour d'entrainement'
La Saiyanne prit des vêtements de rechange et des affaires de toilettes, sorti de la cabane et se dirigea vers la cascade non loin de là. C'était une source naturelle où la température de l'eau pouvait avoisiner les 20-25°C. Par temps de soleil extrême, ça pouvait monter à 30-35°C. Elle se déshabilla, déroula de sa taille sa queue de singe qu'elle avait quand même gardé et se mit sous l'eau. Le contact du liquide sur sa peau la fit soupirer de bonheur et de plaisir. Elle se remémora toutes ces années passées sur Terre...
Durant son repos à l'hôpital, elle avait pu guerrir grâce aux Senzus récoltés par Maitre Karine. Sous les conseils de Krillin et Yamcha, elles s'étaient installées dans l'ancienne maison du grand-père de Goku. De plus, cela leur permettait de mieux se concentrer pendant l'entrainement et d'apprécier la Nature de la Terre.
Par la suite, elles avaient fait connaissance avec Son Goku et les autres terriens, ainsi que de Piccolo et du Tout-Puissant. Sayana connaissait les Namek, et elle avait été ravie de leurs données des informations sur eux à Piccolo et au dieu de la Terre. Quant à Son Goku, elle su toute son histoire et elle fut très surprise de ses méthodes de combat, d'enseignement, ainsi que ses capacités d'analyses. Ce n'était pas du tout Saiyan, et pourtant cela dépassait bel et bien les méthodes enseignées par cette race maintenant éteinte à jamais...
Elle et la fille reçurent ses enseignements, ce qui leurs furent bénéfiques et cela inspira la Saiyanne à créer ses propres méthodes d'enseignements, ou même d'améliorer celles déjà existentes.
Ensuite, il avait fallu trouve un travail et inscrire Zangya à l'école. Au début cela avait difficile, et au final, Sayana avait préféré s'entrainer. Les différents tournois gagnés lui permirent d'acheter des provisions, de nouvelles tenus et permettre à la petite de suivre une éducation scolaire. Zangya avait bien grandit, elle était une charmante adolescente inscrite au lycée comme son ami Son Gohan, qui essayait, malgré la pression de sa mère, de suivre l'entrainement de son père...Père qu'il avait adorer le connaître, passant l'éternité avec lui dans l'au-delà, avant leur résurrection.
Zangya se réveilla. Elle ressentait les bienfaits des soins que sa sauveuse lui prodigua. Sauveuse devenue mère à ses yeux, elle qui avait tout perdu ce jour-là... Elle avait pu, selon les propos de Sayana, faire son deuil, celui de la perte de ses proches, et aussi de tous les membres de sa race, avant d'être entrainée. Devenue l'unique survivante d'Héra, elle avait senti qu'une mission devait être réalisée : celle d'être la représente, l'héritière et la mémoire de cette magnifique race. Toutes ces âmes avaient trouvé le repos, mais leur influence était grande sur la dernière d'Héra. Elle mettrait un point d'honneur à respecter cela.
Grâce à Sayana, elle avait pu réaliser son rêve : voler, lancer des boules blanches, se battre, être une combattante, une guerrière. Les nombreuses années d'entrainement lui avaient permise de se sculpter un corps svelte, musclé et jugé tape-à-l'oeil parmis les garçons de sa classe. Etant en pleine croissance, son corps faisait déjà des envieuses, comme si elle était déjà « femme », alors qu'elle en était encore loin. Il lui rester le lycée et l'université et d'ici-là, son corps serait plus renforcé au niveau de la taille et de la corpulence.
Zangya se leva, avec quelques douleurs. Elles étaient nécessaire à l'amélioration de l'endurance, les vrais combats pouvant occasionner de sérieuses blessures, si on n'y était pas rapidement habitué à l'entrainement, on ne résisterait pas longtemps sur le champs de bataille.
La jeune collégienne remit quelques vêtements, ses chaussures et sortit de la cabane. En se concentrant, elle détecta l'énergie de Sayana, qui se situait vers la cascade. La jeune fille ne doutait un seul instant que sa mère adoptive se douchait. Elle aussi avait besoin de prendre un bain. Elle ressentait quand même le besoin d'intimité. C'était fini l'époque où elle partageait avec sa sauveuse le bain.
Bien qu'elle ait eu l'habitude de la voir nue, et qu'elle ne ressentait pas de la gêne à ce sujet en étant elle-même nue, Zangya se sentait le besoin de se détacher de Sayana. Etait-ce le début de l'indépendance, où une recherche d'identité non liée à ses origines ? Elle n'en savait rien. Elle quitta la demeure et vola en direction de la cascade.
Sayana sentit l'énergie de sa protégée. Elle s'avança vers ses affaires et leva la tête. Zangya était dans les airs, en train de la regarder. Elle y vit un sourire et dans ses yeux, autre chose qu'elle ne saurait expliquer...
Zangya souriait. Elle était contente, en y repensant, que cette guerrière venue de nulle part ait prit soin de la prendre avec elle et de la protéger, de l'aimer. Elle lui serait éternellement reconnaissante.
Alors que sa sauveuse, affaires en main, la regarder, la jeune collégienne ressentit quelque chose de bizarre... En observant son corps, une étrange chaleur se manifesta, ainsi qu'un début de rougeur.... Quelque chose qu'elle ne saurait expliquer.
Indiquant de son regard qu'elle désirait être seule, la Saiyanne lui laissa la place et quitta les lieux. La dernière membre d'Héra se mit nue et plongea dans l'eau, afin de calmer et refroidir cette chaleur apparente et enlever cette rougeur de ses joues...
Chez la famille de Son Goku, le père et le fils s'entrainaient. Son Gohan avait lui aussi pu apprendre la technique du Kaioken dans l'au-delà, mais son jeune âge l'empêchait de maintenir cet état trop longtemps, à cause de son corps vivant. Le père aussi avait eu cette difficulté, mais il avait pu surmonter cette étape. Malheureusement, le retour de baton était sévère, le corps éprouvant le contre-coup de la transformation. Cependant, plus ils prolongaient cet état, plus le corps s'habituait au contre-coup, et plus longtemps ils pouvaient le maintenir.
-C'est bien fiston, continue, ne t'arrête pas, conseilla le père, alors que le fils donnaient des coups de poings et de pieds en étant en Kaioken.
Son Gohan recula et lança sa technique énergétique fétiche, le Masenko, à forte puissance. Goku bloqua l'attaque en croisant ses bras. Dès que la fumée s'estompa, il vit son fils s'éssoufler, en sueur, l'Aura de Kaio ne l'entourant plus.
-On va faire une pose. Tu as bien travaillé tes attaques et ta vitesse. Ton endurance a beaucaup augmenté, mais ce n'est pas encore suffisant. Toutefois, c'est un bon début, commenta t-il tout en souriant, ce qui rempli de joie le fils, fier que son père l'encourage et y voit ses progrès.
La mère arriva pour leur annoncer que le repas était prêt. Ils prirent une douche avant de passer à table.
Au sein d'un laboratoire secret, un viel homme, portant une tenue blanche, aborant une barbe blanche et une tête à moitié entourée de cheveux de même couleur, actionna une commande se trouvant sur un sarcophage. L'appareil s'ouvrit et un être en sorti. Sa tenue était simple : jean avec chaussures marrons, un tee-shirt noir avec des manches blanches rayées de noir, le tout completé par une veste bleue sans manche. La personne avait les yeux bleux, des cheveux blonds, longs et légèrement ondulés, un magnifique visage, féminin, mais dont le regard était dénuée d'expression, froid. La tenue aborait le symbole du Ruban Rouge.
Le viel homme activa un autre sarcophage, et cette fois-ci ce fut un garçon aux cheveux noirs coupés court au carré, avec les mêmes yeux bleux que la fille, portant une tenue similaire à la sienne excepté un foular rouge attaché à son cou. Les deux individus, adolescents se regardèrent rapidement et reportèrent leur regard sur le viel homme.
-Bonjour, docteur Géro, dirent-ils ensemble d'une même voix.
-C17 et C18, vous-êtes uniques vous savez ? Les seuls à disposer de l'énergie infinie. Grâce à cela, personne ne peut vous battre. Cependant, j'ai un compte à régler avec cet individu qui a détruit l'armée du Ruban Rouge il y a si longtemps.
Les deux individus ne répondirent pas. C18 regarda rapidement le docteur et remarqua qu'il tenait dans sa main droite un boitier. Elle regarda rapidement C17 et lui fit un signe rapide des yeux. Celui-ci remarqua également le boitier. Les deux sourires.
-Apparemment, cet adversaire ne sera pas à la hauteur.
-Ne le sous-estimez pas. Cet homme n'était encore qu'un gosse quand il a réduit l'armée en bouillit!
Maintenant, il doit être très puissant. J'ai analysé les donners reccueillis par mon robot espion durant son combat contre un certain Radditz, un extra-terrestre qui était d'une puissance redoutable.
Grâce à un allié à la peau verte, je ne connais pas sa race, ils ont réussis à le battre. Puis quelques années plus tard est apparu deux autres individus encore plus puissant que Radditz. Le gars à la peau verte ainsi que ses amis terriens ont réussi à tenir face à eux, même si niveau puissance, ils ne faisaient pas le poids. Ensuite est apparue une femme d'une grande puissance, capable de mettre une raclée à ces individus. Puis après plus rien. Mon robot-espion en a conclu que par un mystérieux phénomène, l'un des deux individus a été détruit par une attaque énergétique d'une extrême puissance. Les terriens et la mystérieuse femme n'y étaient pour rien.
-Allons docteur, vous avez dit vous même que personne ne peut nous battre, fit remarquer le garçon.
-Je sais, mais cette attaque énergétique, j'en suis sur, provient d'une technique inconnue d'une puissance telle que vous seriez anéantis, détruits en milles morceaux.
À l'entente du mot morceaux, les deux individus abordèrent un léger froncement de sourcils. Le docteur Géro vit cette expression, et sourit malicieusement.
-Quoi que vous pensiez, vous êtes et serez à jamais des cyborgs, moité-humain, moitié-machine! Grâce à cela, j'ai pu vous sauvez de votre misérable existence, et même si le prix en a été extrême, j'en suis quand même fier.
Les deux cyborgs abordèrent une expression d'extrême froideur. Ils essayèrent de contenir une sensation de rage qui bouillonait en eux.
-Héhé, je le vois à votre regad de tueur, vous voulez m'avoir. Mais vous voyez ce que j'ai en main, c'est une télécommande de désactivation. Vous en avez fait les frais une première fois. A la moindre incartade, bip, de nouveau désactivé, comme un simple ordinateur !
Les deux individus ne répondirent pas. Ils reprirent leur attitude habituelle, c'est à dire le regard doux et un sourire aux lèvres.
-Nous comprenons docteur. Vous êtes notre créateur, nous ne pouvons nous rebeller contre vous, selon la loi des machines.
-Oui, mais comme vous m'aviez désobéi la première fois, j'ai du vous désactiver et faire un reset. Votre obeissance ne pouvait dépendre que de l'augmentation de votre puissance, et donc de la perte plus conséquente de votre humanité. Voilà pourquoi j'ai crée la toute dernière technologie constituée de l'énergie infinie, l'unique et plus puissante qui ait jamais existé, grâce à la technologie des capsules spatiales extra-terrestres découvertes il y a quelques années. Aucune autre ne pourra égaler celle pour laquelle vous êtes constituée et qui parsème chaque centimètre cube de votre peau, de vos organes. Vous êtes une fusion absolue de vous et de cette technologie.
Les cyborgs hochèrent la tête.
-Quels sont les ordres, docteur ?
'Bien, ils semblent plus soumis. Tant mieux, je vais pouvoir enfin avoir ma vengeance'
-Vous avez ordre de tuer le responsable de l'éradictation de l'armée du Ruban Rouge, Son Goku. Je vous aie inclus toutes les données le concernant, lui et ses amis. Par contre, pour la femme mystérieuse, je n'ai rien pu en tirer sur elle.
Le docteur se retourna et se dirigea vers ses ordinateurs. Les deux cyborgs se concertèrent du regard. Ils se rapprochèrent de leur créateur et analysèrent l'environnement. Ils y avaient pleins d'ordinateurs ainsi que d'autres capsules. L'une d'entre elle intrigua la jeune cyborg. La capsule affichait en grand le numéro 16.
-Tiens, N°16, un ancien modèle, commenta C18.
Le docteur se retourna vivement.
-Ne touche pas à ce sarcophage. C16 était un cyborg totalement mécanique. Ce fut un échec. Même s'il était de type énergie infinie, sa puissance était largement inférieure à la votre. Il n'arrêtait pas d'avoir des problèmes de fonctionnement.
Le garçon avait vu d'autres sarcophages abordant d'autres numéros : 13, 14, 15.
-J'ai l'impression que ces cyborgs sont aussi de type mécanique. Apparemment, ils ont tous comme point faible d'être totalement mécanique. Donc, seul ceux ayant une partie organique sont dignes d'être fonctionnels.... 'et soumis'
-Tu comprends vite C17. Maintenant, plus de commentaires, plus de questions. Partez tuer Son Goku, c'est un ordre.
-Très bien docteur nous y allons, affirma la jeune adolescente.
Le garçon suivit sa sœur et avant d'être arrivée à la sortie, il s'arrêta.
-Au fait, j'ai oublié quelque chose.
-Quoi donc ? Demanda le docteur, la télécommande toujours dans sa main.
Le garçon se retourna vivement et lança un fin rayon d'énergie qui tranpersa le bras droit du docteur au niveau du coude. Celui-ci, qui n'avait pas vu l'attaque, sentit une douleur fulgurante le parcourir et il hurla.
Avant même qu'il ne récupère de son autre main la télécomande, le cyborg 17 se déplaça avec une telle vélocité que le vieil homme ne vit que du feu.
Il eu à peine le temps de se retourner que C17, télécommande en main, lui répondit :
-Ceci. Merci cher docteur !
-Enfoiré, tu crois sincèrement que tu peux te défaire de moi ? Tu oublies que tu parles à ton maitre ! Cria le veillard.
-Ta geule viellard ! Tu n'as été, tu n'es, et tu ne seras jamais notre maitre ! Affirma avec force l'adolescent qui enleva la main du docteur accrochée à l'appareil et le détruisit d'une simple pression manuelle.
-Sale morveux ! Si tu crois qu'en détruisant la télécomande, toi et ta soeur vous serez libre, vous vous fourez le doigt dans l'oeil !
-Je ne vois pas qu'est-ce qui pourrait nous menacer maintenant ! Tu n'as plus de télécomande !
-J'en reconstruirai une autre ! Cria t'il.
-Trop tard ! Tu seras mort bien avant ! Menaça le cyborg en pointant du doigt le vieillard.
-Attention minus ! A ta place, je ne prendrais pas ce risque !
-Héhé, prouve moi le contraire !
-Avec joie ! Tu me tues, vous mourrez sur le champs, emportant le laboratoire et la planète tout entière, avec vous !
C18 se retourna vivement et regarda son frère. Celui-ci regardait intensément le docteur Géro.
-Tu blufs, c'est sur ! Tu n'as pas la puissance nécessaire pour nous détruire !
-Tu crois ça, argh ?! Dit-il, ressentant la douleur de la blessure !
Le docteur se dirigea avec difficulté vers sa table d'appareils et prit une grande feuille qu'il déplia et le montra aux deux cyborgs.
-Après votre première désobeissance, j'ai du vous désactiver. En repartant de zéro afin de vous améliorer, j'ai fait en sorte d'acquérir une assurance-vie. C'est ceci, dit-il en bloquant de son menton la grande feuille et en montrant de son unique main un dessin representant un petit appareil se trouvant dans la poitrine d'un homme dessiné. Puis, il expliqua : ce petit appareil est une bombe que j'ai reliée à la technologie dont vous êtes constitués. A l'intérieur de mon corps se trouve un dispositif d'activation qui ne s'enclanche qu'en cas de mort, quelque soit la cause. Si je crève, le dispositif s'active et le signal émis atteint directement la bombe qui se trouve dans vos corps. Celle-ci enclenche le processus de charge en une nanoseconde, récupérant l'énergie infinie et l'associant avec les composants nécessaire à l'explosion. Après cette nanoseconde, boom, plus de cyborg. La puissance peut atteindre des sommets et peut donc détruire la Terre, selon mes calculs.
C17 grimaça. Il regarda sa sœur et vit de la détresse dans ses yeux. Il reporta son attention sur le créateur. Si ce qu'il disait était vrai, alors ils mourraient dans la seconde qui suivrait son attaque. Avec colère, C17 due se résigner à porter le coup fatal. Il baissa son bras.
-Bien, que cette information vous serve de rappel si jamais vous serez amener à me désobéir une troisième fois. Maintenant, partez, tuez Son Goku.
Avec dépit, les deux cyborgs quittèrent le laboratoire du docteur et s'envolèrent. Quand ils furent assez loin, ils se posèrent et hurlèrent de toutes leurs forces ! Hurlement de colère, de rage, de haine envers leur créateur, de frustration, de désespoir, d'impuissance envers eux-même, incapable de pouvoir se retirer eux-même la bombe qui menaçait leur existence. Une bombe à retardement, pouvant sauter à tout moment. Ils ressentirent, malgré leur état de cyborg, de la peur ! Celle de mourir explosé en milles morceaux ! Le seul qu'ils avaient de survivre, était de suivre les ordres du docteur Géro.
Après de longues minutes ou ils évacuèrent leurs ressentis aux travers de cris, de coups de poings et de pieds par terre, ainsi que d'attaques énergétiques, ils quittèrent rapidement les lieux.
Du haut du Palais, Kami-Sama, le dieu de la Terre, les vit.
-Un nouvelle menace arrive !
Piccolo, en position du lotus, lévitant dans les airs, yeux fermés, ressentit la détresse du dieu de la Terre. Il quitta sa méditation et vint auprès du dieu.
-Qui sont ces nouveaux ennemis ?
-Je n'en sais rien, mais ils se dirigent vers la maison de Son Goku !
-Quoi ?! Cria le Namek.
En pleins vols, dès qu'ils passaient au dessus d'une maison, d'un village, d'une ville, les cyborgs lançaient des attaques énergétiques, dans le but d'évacuer de ce qu'ils restaient de sentiments négatifs, n'ayant pas réussi à tout sortir lors de leur court arrêt.
A suivre....
Chapitre 1 : Une nouvelle menace
plusieurs années passèrent. Durant ce laps de temps, L'équipe de Bulma avait réussi à récupérer les capsules des saiyans pour les étudier et les transformer en un gigantesque vaisseau spatial. Le but : aller sur la planète Namek pour trouver les Dragon Balls et faire le vœux de resusciter Piccolo, et de ce fait le Tout-Puissant et par ricocher, faire réapparaitre les Dragon Balls de la Terre. Ce qu'ils firent... tout en étant surpris que le Shenron de Namek ait le pouvoir de réaliser trois souhaits au lieu d'un. Ils mirent à profit cette faculté pour faire revenir à la vie Son Goku, Son Gohan, Ten Shin Han et Chaozu.
Ceux-ci furent heureux de retrouver leurs amis et Chichi, morte d'inquiétude, exprima sa joie de revoir son fils chéri, tout comme son mari.
Les entrainements reprirent tranquillement :
« Plus vite, encore plus vite » dit la saiyanne à l'encontre de son apprentie, la jeune Héra. Celle-ci essayait de frapper son professeur qui évitait avec agilité les coups. Les deux combattantes étaient dans les airs.
Un coup de poing arrêté et la guerrière saiyanne donna un coup de tête à son adversaire qui chancela. N'étant pas assez rapide, elle se prit un coup de genou dans le ventre et une manchette à la nuque. Elle tomba par terre, KO.... Sayana la regarda. Elle était fier d'elle, mais il lui manquait encore de la puissance et de la vitesse. Son endurance, bien que bonne, n'était pas encore suffisante pour tenir un vrai combat, qui pouvait durer des heures...
Elle se posa doucement, prit la fille dans ses bras et se dirigea à pied vers la cabane. Là, elle la déposa sur le lit et prépara une tisane et de quoi soulager les blessures.
'Tu t'es bien battue aujourd'hui. Repose-toi. Demain sera un autre jour d'entrainement'
La Saiyanne prit des vêtements de rechange et des affaires de toilettes, sorti de la cabane et se dirigea vers la cascade non loin de là. C'était une source naturelle où la température de l'eau pouvait avoisiner les 20-25°C. Par temps de soleil extrême, ça pouvait monter à 30-35°C. Elle se déshabilla, déroula de sa taille sa queue de singe qu'elle avait quand même gardé et se mit sous l'eau. Le contact du liquide sur sa peau la fit soupirer de bonheur et de plaisir. Elle se remémora toutes ces années passées sur Terre...
Durant son repos à l'hôpital, elle avait pu guerrir grâce aux Senzus récoltés par Maitre Karine. Sous les conseils de Krillin et Yamcha, elles s'étaient installées dans l'ancienne maison du grand-père de Goku. De plus, cela leur permettait de mieux se concentrer pendant l'entrainement et d'apprécier la Nature de la Terre.
Par la suite, elles avaient fait connaissance avec Son Goku et les autres terriens, ainsi que de Piccolo et du Tout-Puissant. Sayana connaissait les Namek, et elle avait été ravie de leurs données des informations sur eux à Piccolo et au dieu de la Terre. Quant à Son Goku, elle su toute son histoire et elle fut très surprise de ses méthodes de combat, d'enseignement, ainsi que ses capacités d'analyses. Ce n'était pas du tout Saiyan, et pourtant cela dépassait bel et bien les méthodes enseignées par cette race maintenant éteinte à jamais...
Elle et la fille reçurent ses enseignements, ce qui leurs furent bénéfiques et cela inspira la Saiyanne à créer ses propres méthodes d'enseignements, ou même d'améliorer celles déjà existentes.
Ensuite, il avait fallu trouve un travail et inscrire Zangya à l'école. Au début cela avait difficile, et au final, Sayana avait préféré s'entrainer. Les différents tournois gagnés lui permirent d'acheter des provisions, de nouvelles tenus et permettre à la petite de suivre une éducation scolaire. Zangya avait bien grandit, elle était une charmante adolescente inscrite au lycée comme son ami Son Gohan, qui essayait, malgré la pression de sa mère, de suivre l'entrainement de son père...Père qu'il avait adorer le connaître, passant l'éternité avec lui dans l'au-delà, avant leur résurrection.
Zangya se réveilla. Elle ressentait les bienfaits des soins que sa sauveuse lui prodigua. Sauveuse devenue mère à ses yeux, elle qui avait tout perdu ce jour-là... Elle avait pu, selon les propos de Sayana, faire son deuil, celui de la perte de ses proches, et aussi de tous les membres de sa race, avant d'être entrainée. Devenue l'unique survivante d'Héra, elle avait senti qu'une mission devait être réalisée : celle d'être la représente, l'héritière et la mémoire de cette magnifique race. Toutes ces âmes avaient trouvé le repos, mais leur influence était grande sur la dernière d'Héra. Elle mettrait un point d'honneur à respecter cela.
Grâce à Sayana, elle avait pu réaliser son rêve : voler, lancer des boules blanches, se battre, être une combattante, une guerrière. Les nombreuses années d'entrainement lui avaient permise de se sculpter un corps svelte, musclé et jugé tape-à-l'oeil parmis les garçons de sa classe. Etant en pleine croissance, son corps faisait déjà des envieuses, comme si elle était déjà « femme », alors qu'elle en était encore loin. Il lui rester le lycée et l'université et d'ici-là, son corps serait plus renforcé au niveau de la taille et de la corpulence.
Zangya se leva, avec quelques douleurs. Elles étaient nécessaire à l'amélioration de l'endurance, les vrais combats pouvant occasionner de sérieuses blessures, si on n'y était pas rapidement habitué à l'entrainement, on ne résisterait pas longtemps sur le champs de bataille.
La jeune collégienne remit quelques vêtements, ses chaussures et sortit de la cabane. En se concentrant, elle détecta l'énergie de Sayana, qui se situait vers la cascade. La jeune fille ne doutait un seul instant que sa mère adoptive se douchait. Elle aussi avait besoin de prendre un bain. Elle ressentait quand même le besoin d'intimité. C'était fini l'époque où elle partageait avec sa sauveuse le bain.
Bien qu'elle ait eu l'habitude de la voir nue, et qu'elle ne ressentait pas de la gêne à ce sujet en étant elle-même nue, Zangya se sentait le besoin de se détacher de Sayana. Etait-ce le début de l'indépendance, où une recherche d'identité non liée à ses origines ? Elle n'en savait rien. Elle quitta la demeure et vola en direction de la cascade.
Sayana sentit l'énergie de sa protégée. Elle s'avança vers ses affaires et leva la tête. Zangya était dans les airs, en train de la regarder. Elle y vit un sourire et dans ses yeux, autre chose qu'elle ne saurait expliquer...
Zangya souriait. Elle était contente, en y repensant, que cette guerrière venue de nulle part ait prit soin de la prendre avec elle et de la protéger, de l'aimer. Elle lui serait éternellement reconnaissante.
Alors que sa sauveuse, affaires en main, la regarder, la jeune collégienne ressentit quelque chose de bizarre... En observant son corps, une étrange chaleur se manifesta, ainsi qu'un début de rougeur.... Quelque chose qu'elle ne saurait expliquer.
Indiquant de son regard qu'elle désirait être seule, la Saiyanne lui laissa la place et quitta les lieux. La dernière membre d'Héra se mit nue et plongea dans l'eau, afin de calmer et refroidir cette chaleur apparente et enlever cette rougeur de ses joues...
Chez la famille de Son Goku, le père et le fils s'entrainaient. Son Gohan avait lui aussi pu apprendre la technique du Kaioken dans l'au-delà, mais son jeune âge l'empêchait de maintenir cet état trop longtemps, à cause de son corps vivant. Le père aussi avait eu cette difficulté, mais il avait pu surmonter cette étape. Malheureusement, le retour de baton était sévère, le corps éprouvant le contre-coup de la transformation. Cependant, plus ils prolongaient cet état, plus le corps s'habituait au contre-coup, et plus longtemps ils pouvaient le maintenir.
-C'est bien fiston, continue, ne t'arrête pas, conseilla le père, alors que le fils donnaient des coups de poings et de pieds en étant en Kaioken.
Son Gohan recula et lança sa technique énergétique fétiche, le Masenko, à forte puissance. Goku bloqua l'attaque en croisant ses bras. Dès que la fumée s'estompa, il vit son fils s'éssoufler, en sueur, l'Aura de Kaio ne l'entourant plus.
-On va faire une pose. Tu as bien travaillé tes attaques et ta vitesse. Ton endurance a beaucaup augmenté, mais ce n'est pas encore suffisant. Toutefois, c'est un bon début, commenta t-il tout en souriant, ce qui rempli de joie le fils, fier que son père l'encourage et y voit ses progrès.
La mère arriva pour leur annoncer que le repas était prêt. Ils prirent une douche avant de passer à table.
Au sein d'un laboratoire secret, un viel homme, portant une tenue blanche, aborant une barbe blanche et une tête à moitié entourée de cheveux de même couleur, actionna une commande se trouvant sur un sarcophage. L'appareil s'ouvrit et un être en sorti. Sa tenue était simple : jean avec chaussures marrons, un tee-shirt noir avec des manches blanches rayées de noir, le tout completé par une veste bleue sans manche. La personne avait les yeux bleux, des cheveux blonds, longs et légèrement ondulés, un magnifique visage, féminin, mais dont le regard était dénuée d'expression, froid. La tenue aborait le symbole du Ruban Rouge.
Le viel homme activa un autre sarcophage, et cette fois-ci ce fut un garçon aux cheveux noirs coupés court au carré, avec les mêmes yeux bleux que la fille, portant une tenue similaire à la sienne excepté un foular rouge attaché à son cou. Les deux individus, adolescents se regardèrent rapidement et reportèrent leur regard sur le viel homme.
-Bonjour, docteur Géro, dirent-ils ensemble d'une même voix.
-C17 et C18, vous-êtes uniques vous savez ? Les seuls à disposer de l'énergie infinie. Grâce à cela, personne ne peut vous battre. Cependant, j'ai un compte à régler avec cet individu qui a détruit l'armée du Ruban Rouge il y a si longtemps.
Les deux individus ne répondirent pas. C18 regarda rapidement le docteur et remarqua qu'il tenait dans sa main droite un boitier. Elle regarda rapidement C17 et lui fit un signe rapide des yeux. Celui-ci remarqua également le boitier. Les deux sourires.
-Apparemment, cet adversaire ne sera pas à la hauteur.
-Ne le sous-estimez pas. Cet homme n'était encore qu'un gosse quand il a réduit l'armée en bouillit!
Maintenant, il doit être très puissant. J'ai analysé les donners reccueillis par mon robot espion durant son combat contre un certain Radditz, un extra-terrestre qui était d'une puissance redoutable.
Grâce à un allié à la peau verte, je ne connais pas sa race, ils ont réussis à le battre. Puis quelques années plus tard est apparu deux autres individus encore plus puissant que Radditz. Le gars à la peau verte ainsi que ses amis terriens ont réussi à tenir face à eux, même si niveau puissance, ils ne faisaient pas le poids. Ensuite est apparue une femme d'une grande puissance, capable de mettre une raclée à ces individus. Puis après plus rien. Mon robot-espion en a conclu que par un mystérieux phénomène, l'un des deux individus a été détruit par une attaque énergétique d'une extrême puissance. Les terriens et la mystérieuse femme n'y étaient pour rien.
-Allons docteur, vous avez dit vous même que personne ne peut nous battre, fit remarquer le garçon.
-Je sais, mais cette attaque énergétique, j'en suis sur, provient d'une technique inconnue d'une puissance telle que vous seriez anéantis, détruits en milles morceaux.
À l'entente du mot morceaux, les deux individus abordèrent un léger froncement de sourcils. Le docteur Géro vit cette expression, et sourit malicieusement.
-Quoi que vous pensiez, vous êtes et serez à jamais des cyborgs, moité-humain, moitié-machine! Grâce à cela, j'ai pu vous sauvez de votre misérable existence, et même si le prix en a été extrême, j'en suis quand même fier.
Les deux cyborgs abordèrent une expression d'extrême froideur. Ils essayèrent de contenir une sensation de rage qui bouillonait en eux.
-Héhé, je le vois à votre regad de tueur, vous voulez m'avoir. Mais vous voyez ce que j'ai en main, c'est une télécommande de désactivation. Vous en avez fait les frais une première fois. A la moindre incartade, bip, de nouveau désactivé, comme un simple ordinateur !
Les deux individus ne répondirent pas. Ils reprirent leur attitude habituelle, c'est à dire le regard doux et un sourire aux lèvres.
-Nous comprenons docteur. Vous êtes notre créateur, nous ne pouvons nous rebeller contre vous, selon la loi des machines.
-Oui, mais comme vous m'aviez désobéi la première fois, j'ai du vous désactiver et faire un reset. Votre obeissance ne pouvait dépendre que de l'augmentation de votre puissance, et donc de la perte plus conséquente de votre humanité. Voilà pourquoi j'ai crée la toute dernière technologie constituée de l'énergie infinie, l'unique et plus puissante qui ait jamais existé, grâce à la technologie des capsules spatiales extra-terrestres découvertes il y a quelques années. Aucune autre ne pourra égaler celle pour laquelle vous êtes constituée et qui parsème chaque centimètre cube de votre peau, de vos organes. Vous êtes une fusion absolue de vous et de cette technologie.
Les cyborgs hochèrent la tête.
-Quels sont les ordres, docteur ?
'Bien, ils semblent plus soumis. Tant mieux, je vais pouvoir enfin avoir ma vengeance'
-Vous avez ordre de tuer le responsable de l'éradictation de l'armée du Ruban Rouge, Son Goku. Je vous aie inclus toutes les données le concernant, lui et ses amis. Par contre, pour la femme mystérieuse, je n'ai rien pu en tirer sur elle.
Le docteur se retourna et se dirigea vers ses ordinateurs. Les deux cyborgs se concertèrent du regard. Ils se rapprochèrent de leur créateur et analysèrent l'environnement. Ils y avaient pleins d'ordinateurs ainsi que d'autres capsules. L'une d'entre elle intrigua la jeune cyborg. La capsule affichait en grand le numéro 16.
-Tiens, N°16, un ancien modèle, commenta C18.
Le docteur se retourna vivement.
-Ne touche pas à ce sarcophage. C16 était un cyborg totalement mécanique. Ce fut un échec. Même s'il était de type énergie infinie, sa puissance était largement inférieure à la votre. Il n'arrêtait pas d'avoir des problèmes de fonctionnement.
Le garçon avait vu d'autres sarcophages abordant d'autres numéros : 13, 14, 15.
-J'ai l'impression que ces cyborgs sont aussi de type mécanique. Apparemment, ils ont tous comme point faible d'être totalement mécanique. Donc, seul ceux ayant une partie organique sont dignes d'être fonctionnels.... 'et soumis'
-Tu comprends vite C17. Maintenant, plus de commentaires, plus de questions. Partez tuer Son Goku, c'est un ordre.
-Très bien docteur nous y allons, affirma la jeune adolescente.
Le garçon suivit sa sœur et avant d'être arrivée à la sortie, il s'arrêta.
-Au fait, j'ai oublié quelque chose.
-Quoi donc ? Demanda le docteur, la télécommande toujours dans sa main.
Le garçon se retourna vivement et lança un fin rayon d'énergie qui tranpersa le bras droit du docteur au niveau du coude. Celui-ci, qui n'avait pas vu l'attaque, sentit une douleur fulgurante le parcourir et il hurla.
Avant même qu'il ne récupère de son autre main la télécomande, le cyborg 17 se déplaça avec une telle vélocité que le vieil homme ne vit que du feu.
Il eu à peine le temps de se retourner que C17, télécommande en main, lui répondit :
-Ceci. Merci cher docteur !
-Enfoiré, tu crois sincèrement que tu peux te défaire de moi ? Tu oublies que tu parles à ton maitre ! Cria le veillard.
-Ta geule viellard ! Tu n'as été, tu n'es, et tu ne seras jamais notre maitre ! Affirma avec force l'adolescent qui enleva la main du docteur accrochée à l'appareil et le détruisit d'une simple pression manuelle.
-Sale morveux ! Si tu crois qu'en détruisant la télécomande, toi et ta soeur vous serez libre, vous vous fourez le doigt dans l'oeil !
-Je ne vois pas qu'est-ce qui pourrait nous menacer maintenant ! Tu n'as plus de télécomande !
-J'en reconstruirai une autre ! Cria t'il.
-Trop tard ! Tu seras mort bien avant ! Menaça le cyborg en pointant du doigt le vieillard.
-Attention minus ! A ta place, je ne prendrais pas ce risque !
-Héhé, prouve moi le contraire !
-Avec joie ! Tu me tues, vous mourrez sur le champs, emportant le laboratoire et la planète tout entière, avec vous !
C18 se retourna vivement et regarda son frère. Celui-ci regardait intensément le docteur Géro.
-Tu blufs, c'est sur ! Tu n'as pas la puissance nécessaire pour nous détruire !
-Tu crois ça, argh ?! Dit-il, ressentant la douleur de la blessure !
Le docteur se dirigea avec difficulté vers sa table d'appareils et prit une grande feuille qu'il déplia et le montra aux deux cyborgs.
-Après votre première désobeissance, j'ai du vous désactiver. En repartant de zéro afin de vous améliorer, j'ai fait en sorte d'acquérir une assurance-vie. C'est ceci, dit-il en bloquant de son menton la grande feuille et en montrant de son unique main un dessin representant un petit appareil se trouvant dans la poitrine d'un homme dessiné. Puis, il expliqua : ce petit appareil est une bombe que j'ai reliée à la technologie dont vous êtes constitués. A l'intérieur de mon corps se trouve un dispositif d'activation qui ne s'enclanche qu'en cas de mort, quelque soit la cause. Si je crève, le dispositif s'active et le signal émis atteint directement la bombe qui se trouve dans vos corps. Celle-ci enclenche le processus de charge en une nanoseconde, récupérant l'énergie infinie et l'associant avec les composants nécessaire à l'explosion. Après cette nanoseconde, boom, plus de cyborg. La puissance peut atteindre des sommets et peut donc détruire la Terre, selon mes calculs.
C17 grimaça. Il regarda sa sœur et vit de la détresse dans ses yeux. Il reporta son attention sur le créateur. Si ce qu'il disait était vrai, alors ils mourraient dans la seconde qui suivrait son attaque. Avec colère, C17 due se résigner à porter le coup fatal. Il baissa son bras.
-Bien, que cette information vous serve de rappel si jamais vous serez amener à me désobéir une troisième fois. Maintenant, partez, tuez Son Goku.
Avec dépit, les deux cyborgs quittèrent le laboratoire du docteur et s'envolèrent. Quand ils furent assez loin, ils se posèrent et hurlèrent de toutes leurs forces ! Hurlement de colère, de rage, de haine envers leur créateur, de frustration, de désespoir, d'impuissance envers eux-même, incapable de pouvoir se retirer eux-même la bombe qui menaçait leur existence. Une bombe à retardement, pouvant sauter à tout moment. Ils ressentirent, malgré leur état de cyborg, de la peur ! Celle de mourir explosé en milles morceaux ! Le seul qu'ils avaient de survivre, était de suivre les ordres du docteur Géro.
Après de longues minutes ou ils évacuèrent leurs ressentis aux travers de cris, de coups de poings et de pieds par terre, ainsi que d'attaques énergétiques, ils quittèrent rapidement les lieux.
Du haut du Palais, Kami-Sama, le dieu de la Terre, les vit.
-Un nouvelle menace arrive !
Piccolo, en position du lotus, lévitant dans les airs, yeux fermés, ressentit la détresse du dieu de la Terre. Il quitta sa méditation et vint auprès du dieu.
-Qui sont ces nouveaux ennemis ?
-Je n'en sais rien, mais ils se dirigent vers la maison de Son Goku !
-Quoi ?! Cria le Namek.
En pleins vols, dès qu'ils passaient au dessus d'une maison, d'un village, d'une ville, les cyborgs lançaient des attaques énergétiques, dans le but d'évacuer de ce qu'ils restaient de sentiments négatifs, n'ayant pas réussi à tout sortir lors de leur court arrêt.
A suivre....