xela26 a écrit:Du coup, je suis vraiment curieux de savoir à quoi ressembre ce Cell boosté aux cellules de Broly au lieur de kakarroto. il doit être plus mastoc que le Cell qu'on connait non?
En fait c'est elementaire mon cher Xela
voici le nouveau chapitre. Je vous vois déja traiter Goten de fils indigne lol
Chapitre 39 :
L’enlèvement.
Le petit Paragus pleurait, Maron avait beau tout faire pour le calmer rien n’y faisait. Seul son frère ainé savait trouver les mots justes pour faire cesser ces hurlements.
- Ne t’inquiète pas, Goten ne va pas tarder… et papa aussi sera là…
La jeune mère était épuisée. S’occuper de deux jumeaux en bas âge n’était pas une mince affaire. Le bébé aux cheveux noirs avait un tempérament capricieux et même assez bagarreur, cela venait sans doute de ses origines saiya-jiin. Bizarrement, l’autre enfant était l’exact opposé. Il ne criait jamais sauf lorsque son jumeau voulait se battre avec lui. Le bébé blond dormait déjà en suçant son pouce. La femme de Son Goku lui caressa la tignasse avant de reporter son attention sur le capricieux.
- Des fois je me demande comment était Goku à ton âge, dit-elle avec amusement.
Le bébé se calma un peu et lança un sourire à sa mère qui le lui rendit. Malgré tout l’épuisement que lui apportaient ses enfants, elle n’aurait échangé sa place pour rien au monde.
Soudain un éclair traversa ses yeux. Un ki qu’elle aurait aimé effacer de sa mémoire, se faisait sentir. Non ce n’était pas possible, Freeza ne pouvait pas être ressuscité. Elle sentit également la présence de son mari et chose surprenante, celle de Kami-Sama. Ça n’avait aucun sens, selon les dires de Kuririn qui l’attendait dans le salon, l’ancien dieu de la Terre n’existait plus en tant qu’individu. « Je dois manquer de sommeil », se dit-elle.
C’est alors qu’on frappa à la porte, Maron se paralysa. On frappa à nouveau… Kuririn entra dans la chambre, le jeune Panjuh avec lui.
- Tu les as senti toi aussi ?
La jeune femme répondit par un signe de tête.
- Ne bouge pas je vais ouvrir.
Au moment où il ouvrit la porte, le nouveau Kamé Sennin sursauta. Devant lui se dressait un homme à la peau grise portant une armure verte et noire, ainsi qu’un casque qui se terminait en deux crêtes. Une fois le choc passé, il s’avança vers le visiteur.
- Vous vous êtes perdu, monsieur ?
- Je ne pense pas, répondit le nouveau venu, je suis bien chez Son Goku ?
- Il n’est pas là, je peux savoir ce que vous lui voulez ? demanda le maître des tortues d’un air méfiant.
- Bien sûr, je voulais lui lancer un défi. Mais ce n’est pas grave je vais l’attendre ici.
Ceci dit l’homme passa devant le moine et, le plus naturellement du monde, s’assit dans le canapé.
- Tu peux entrer C-16, lança-t-il vers la porte d’entrée.
Un véritable géant apparut alors dans le champ de vision de Kuririn et passa lui, devant sans lui accorder le moindre regard.
Depuis la chambre des enfants Maron, son fils dans ses bras, avait observé la scène. Avec la porte entrouverte, ces types n’avaient qu’à tourner la tête pour la voir. En revanche ce n’était pas le cas du fils de Nam.
- Va t’en, chuchota-t-elle à ce dernier en montrant la fenêtre du doigt.
S’étant assurée de la sécurité du jeune hindou, la jeune femme posa le bébé dans son berceau et fit irruption dans la pièce.
- Je peux savoir ce que vous voulez à mon mari ?
- Je viens de le dire, je souhaite lui lancer un défi, répondit l’homme qui était en train de boire dans sa propre tasse de thé.
- Ne vous moquez pas de moi, votre ami ne dégage aucun ki, c’est un cyborg et vous je ne sais pas qui vous êtes mais je sais au moins une chose, vous n’êtes pas un humain.
Son interlocuteur sourit.
- Son Goku peut se vanter d’avoir une épouse intelligente. C’est parfait, cela va faciliter les choses.
Il se leva alors et s’avança vers la femme.
- Peu importe qui je suis, je veux Son Goku. J’ai été créé pour ça, de même que mon ami ici présent et je suis prêt à tout pour l’avoir.
En temps normal l’ancienne disciple du scorpion aurait battu en retraite face à un ki aussi monstrueux et aussi étrange mais, ayant des enfants à protéger, elle se mit en position de combat.
- Je vois qu’il est inutile de discuter. Je vais donc faire ce que j’avais prévu de faire.
- Eh toi là, interpella le moine chauve, je sais pas qui tu es mais tu vas me faire le plaisir de sortir d’ici.
L’homme à l’armure verte soupira.
- C-16, tu veux bien t’occuper de ce casse-pied ?
- Non, je ne tuerai que Son Goku et personne d’autre.
« Qu’il est pénible » pensa l’intrus avant de se retourner vers la femme blonde.
Cette dernière se lança en brandissant le poing. Mais avant qu’elle n’ait pu atteindre sa cible, celle-ci avait disparu. Instinctivement, Maron se retourna et contempla alors le pire des spectacles, celui qu’elle n’aurait jamais pensé revivre un jour, celui de ses cauchemars. Devant elle, ce monstre tenait les deux jumeaux la tête en bas, suspendus par leurs queues.
- Maintenant vous allez gentiment écouter ce que je vais vous dire…
………………..
Hazel venait de chasser un nouveau groupe de braconnier. Depuis qu’il avait accepté ce travail de gardien d’une réserve naturelle, il comprenait mieux l’interêt qu’avaient son beau-frère et sa soeur à s’assurer de la survie des espèces en voie d’extinction. Certaines d’entre elles étaient magnifiques et les voir disparaitre serait un beau gâchis. Alors qu’il ouvrait la porte de sa maison, ravis de pouvoir se coucher après une longue journée de labeur, le frère de Maron s’arrêta net. Quelque chose n’allait pas. Kuririn était en train de se battre, ce n’était pas vraiment étonnant étant donné qu’il avait pour tache de prodiguer l’enseignement de la tortue. Ce qui inquiétait vraiment l’ancien élève du scorpion c’était plutôt contre qui il se battait. Freeza ? Goku ? Kami-Sama ? Ça n’avait aucun sens, il devait savoir ce qui se tramait. Refermant la porte de sa maison, il s’envola aussitôt.
………………
Mr Popo regardait attentivement le sablier de la salle des esprits et du temps. S’il restait environ 22h à Son Goku, ce n’était pas le cas de son fils. Il ne fallait pas qu’il tarde à sortir, sous peine d’y être enfermé à jamais. Il tourna alors la poignée et ouvrit la porte. Il ne fallut pas longtemps au génie pour trouver les saiya-jiins. Le père et le fils étaient occupés à manger comme des ogres. Bizarrement le jeune Goten était toujours en super saiya-jiin mais il n’y avait chez lui aucun signe de colère. C’était comme si cette transformation était devenu permanente.
Prenant bien garde à ne pas quitter le sas, la gravité en dehors étant trop forte pour lui, le serviteur du tout puissant appela les occupants de la salle et les invita à sortir.
Quelle ne fut pas la surprise de Goku en sortant de la salle quand il vit l’ancien mentor de son fils, adossé contre un mur.
- Tu ne comptes quand même pas utiliser cette salle ? demanda-t-il d’un ton menaçant.
- Et pourquoi je ne pourrais pas ?
- Je te rappelle que tu es juste « toléré » sur cette planète, et seulement parce que tu as sauvé la vie de mon fils. Ça n’aurait tenu qu’à moi j’aurais déjà demandé à Bulma de te construire un vaisseau.
Le guerrier aux cheveux longs ne se laissa pas déstabiliser.
- En tant normal j’aurais compris ta réaction mais là il ne s’agit pas que de moi, je vais bientôt avoir un enfant et je n’ai pas envie qu’il se fasse tuer par une de ces boites de conserve. De plus, je ne vois pas de quoi tu t’inquiètes, même si j’atteins le niveau d’un super saiya-jiin, ce qui m’étonnerait, je ne ferai toujours pas le poids contre toi.
- Peut-être, mais le fait est que tu n’en es pas digne. Depuis quand un génocidaire aurait le droit d’utiliser une salle divine ?
- Et toi, depuis quand tu es le gardien du palais de Kami-Sama ? répondit une voix familière.
A la surprise de tout le monde la fille de Gyumao apparut à l’angle du couloir.
Raditzu se précipita vers sa femme et lui mit la main sur le ventre.
- Je t’ai dit de ne pas voler jusqu’à l’accouchement.
L’ancienne disciple de la tortue ne lui prêta aucune attention. Elle s’avança vers Goku.
- Tu le traites de génocidaire mais c’est précisément ce que tu aurais été si ton père ne t’avait pas interverti avec le frère de Raditzu.
- Tu dis n’importe quoi, mon père m’a dit que le roi m’aurait fait assassiner.
- Ne me fais pas rire, je suis au moins deux fois plus forte que le prince des saiya-jiins et pourtant je suis loin du niveau que t’avais à dix ans. Alors ne va pas me faire croire que le roi de ta planète aurait réussi à te faire quoi que ce soit.
- Elle a raison, ajouta le compagnon de Chi-chi, je t’ai vu le jour de ta naissance.
Il était excité comme jamais, il venait d’être grand-frère. Alors qu’il venait de terminer le briefing de sa première mission, son père était venu le chercher. Il n’avait pas beaucoup de temps mais il était content de pouvoir voir Kakkarotto avant le départ. Le père et le fils arrivèrent enfin à la nurserie. Devant eux, se tenaient une dizaine de berceaux. Il ne fallut pas longtemps au jeune Raditzu pour trouvé le nouveau membre de sa famille, l’un des bébés avait en effet la même chevelure que son père. Ce dernier porta la main à son monocle avant d’afficher une mine dégoutée.
- Sa force de combat n’est que de deux unités, encore un échec.
« Encore un échec » se répéta intérieurement le jeune garçon. Ça lui faisait mal d’entendre ça, il préféra ne pas répondre.
Soudain le saiya-jiin adulte entendit un signal d’alarme émanant de son détecteur. Il le ralluma avant de tourner la tête vers le berceau voisin de celui de son deuxième fils. C’est alors qu’il sursauta
- Celui-là est à dix mille unités !
L’enfant regarda à son tour l’autre bébé, certes il était plus grand que son frère mais il n’avait rien de différent d’un nouveau-né saiya-jiin.
- T’as dû casser ton détecteur papa.
Raditzu devait avoir raison, personne hormis le jeune prince n’avait atteint ce niveau et encore ce dernier n’était plus un bébé depuis longtemps. Après tout il ne s’agissait pas de son fils mais de celui du général Paragus, Et il était peu probable que le descendant de ce pistonné faiblard ait, à la naissance, un niveau supérieur à l’élite. De toute façon ce n’était pas son problème.
- Je pars en mission fils, toi aussi tu devrais finir de te préparer.
- Ne t’inquiète pas papa, Tullece m’a dit qu’il viendrait me chercher quand tout serait prêt.
Le jeune mercenaire regarda son père partir, ignorant que c’était la dernière fois qu’il le verrait. Il reporta ensuite son attention vers son jeune frère. - Alors comme ça mon père était un pistonné ? Fit Goku d’un air menaçant.
- C’est pas le problème, répliqua Chi-chi, ce que mon homme veut dire c’est que de toute façon le roi n’aurait pas pu te tuer.
- De toute façon tu aurais été tué par l’explosion de notre planète, ajouta le guerrier aux cheveux longs.
- Pas forcément, intervint Son Goten, t’avais pas dit qu’il y a mille ans, l’ancien saiya-jiin légendaire avait du être poussé dans votre étoile ? Il pouvait donc survivre dans l’espace.
- Oui sûrement… du moins un certain temps, mais il était en pleine transformation. A l’état normal on ne peut pas survivre dans sans air. D’ailleurs, à part Freeza je ne connais personne qui en serait capable.
- Que je puisse survivre dans l’espace ou non c’est pas le problème, Raditzu tu n’entreras pas là dedans.
Ceci dit, le saiya-jiin se posta devant l’entrée de la salle extra-dimensionnelle
- Goku, qu’est ce qui te prend ?
En fait il se le demandait lui même. Bien sûr il devait beaucoup à ancien mentor de Goten. Sa vie notamment, de même que celle de son fils. Mais il avait également poussé ce dernier à commettre de nombreux massacres. Il l’avait aussi arraché à ses parents et pour ça, il ne pouvait supporter sa présence. Quand à l’idée qu’il devienne l’un des plus puissants de l’univers, ce n’était même pas la peine d’y penser.
- Je sais ce que tu lui reproches papa, mais il ne m’a pas forcé à détruire ces monstres par sadisme, pour lui c’était juste normal, il m’a en fait élevé comme toi tu l’aurais été si tu avait vécu sur ta planète.
Le père baissa les yeux vers son fils. C’était décidément le monde à l’envers. Bien sur son fils avait raison, et il le savait mais c’était plus fort que lui. S’il se montrait plus tolérant que sa femme quand au fait que leur fils continu à fréquenter Raditzu, il ne le haïssait pas moins. Et le fait qu’il se tienne tranquille ces quatre dernières années ne changeait rien. Cependant il ne lui appartenait pas de décider qui aurait accès à la salle des esprits et du temps. Il se tourna alors vers les deux nameks qui s’étaient tus jusqu’ici.
- Ses intentions sont pures, déclara le plus frêle des deux, je n’ai aucune raison de lui interdire d’y entrer.
- J’irai avec lui, on s’entraine toujours mieux à deux que seul, ajouta son frère.
- Tu n’as pas épuisé tout ton temps Cargot ? demanda Goku.
- C’était vrai lorsque j’étais encore Cargot, aujourd’hui ce n’est plus le cas puisque je partage mon être avec l’ancien dieu de cette planète.
Le saiya-jiin millénaire barrait encore la porte, il reporta son regard sur son fils puis soupira avant de s’écarter, et de passer la main dans les cheveux de son fils.
- Allez viens, on a laissé ta mère seule assez longtemps.
En arrivant sur la terrasse du palais divin, ils eurent une mauvaise surprise. Devant eux se tenait Kuririn, ou plutôt ce qui restait de lui. Couvert de contusion, il était soutenu par le fils de Nam. Ce dernier avait une expression de terreur sur le visage.
………………..
- QUAND VAS-TU FAIRE TAIRE CE MORVEUX ?!
Maron avait tout tenté mais rien y faisait, le petit Paragus n’arrêtait pas de hurler. Retenue dans une grotte, la femme de Goku ne savait même pas où elle était précisément. Elle devinait juste être dans une région se situant près des pôles, vu la température ambiante. Ce monstre pouvait la tuer à tout moment où pire, prendre la vie de ses enfants. Non ça elle ne pourrait pas le supporter. Le dénommé Cell s’approcha, l’air menaçant.
- Ecoute bien ma belle, si j’entends encore ne serait-ce qu’un cri de ce mioche, je le tue. Je me suis bien fait comprendre ?
La femme blonde soutint le regard de son ravisseur et vit qu’il ne plaisantait pas.
- Laisse, je vais m’en occuper.
Le colosse roux apparut derrière Cell.
- Donne-le moi, fit-il à la mère d’une voix calme.
Cette dernière eut un mouvement de recul.
- Je te jure que je ne lui ferai aucun mal. Je ne prendrai jamais d’autre vie que celle de Son Goku.
En croisant le regard du géant, Maron y vit de la sincérité et de la bienveillance.
Cependant elle ne voulut pas lui donner Paragus. Mais l’enfant continuait ses hurlements et Cell risquait de mettre sa menace à exécution. Après quelques instants d’hésitation elle confia à contrecoeur le bébé.
L’androïde lui murmura des mots tout en le berçant et à la surprise des autres personnes présentes, l’enfant s’endormit. C-16 le rendit donc à sa mère avant de les recouvrir d’une fourrure, il fit ensuite de même à l’autre bébé qui dormait déjà dans son berceau.
« Je comprends mieux pourquoi C-17 disait que c’était un échec » pensa l’être suprême avant de quitter la pièce.
………………………
A la Capsule Corporation, le champion du Tenkaishi Budokai attendait le père de Bulma avec impatience. Des prises de sang avaient été faites sur Ashita, et l’arrivée des résultats étaient imminente. Sa femme était très faible et il ne pouvait s’empêcher de penser que ses jours lui étaient comptés. Une porte s’ouvrit et le docteur Brief entra.
- Maâku-San, je vous avoue que les nouvelles ne sont pas bonne… votre femme souffre d’une forme très rare et très agressive de cancer.
Le visage du lutteur se décomposa
- Pour être tout à fait honnête avec vous, c’est une chance que vous ayez pensé à venir. Elle n’en avait plus que pour quelques semaines tout au plus.
Le gaillard releva la tête.
- Alors on peut la sauver ? Demanda-t-il plein d’espoir.
- L’opération sera difficile et même si elle s’en sort le traitement sera éprouvant.
………………………….
Cell et C-16 attendaient. Le ki de leur proie était à nouveau détectable. Ils auraient pu partir tout de suite à sa recherche mais le clone s’y était opposé. Il trouvait bien plus drôle de voir la réaction de Goku quand il verrait sa femme et ses enfants à sa merci.
- Autant te le dire tout de suite C-16 tu n’as aucune chance contre Son Goku. En revanche tu pourrais battre n’importe lequel de ses amis, les mains attachées dans le dos.
- Peu m’importe, répondit l’androïde, j’ai été créé pour tuer Son Goku et personne d’autre.
« Celui-là quand il a une idée… » pensa la dernière création de Géro.
Il tourna ensuite la tête sur sa droite. Une minuscule créature flottait dans une petite cuve.
- Tu vois cette chose ?
C-16 tourna la tête.
- Eh bien c’est moi. Dans vingt ans il deviendra ce que j’étais avant d’absorber C-17 et C-18. Seulement vois-tu, ces derniers n’existent plus. Je trouve ça cruel qu’il ne puisse jamais devenir parfait.
Le grand cyborg fronça les sourcils.
- Autant qu’il n’ait jamais conscience de son malheur, déclara le clone avant de le tendre la main vers la cuve.
…………………..
Après avoir été soigné par Dendé, et que Hazel les ait rejoint le maître des tortues avait raconté ce qui s’était passé au mont Paozu. L’enlèvement de Maron et des garçons mais également l’origine de leur ravisseur.
En apprenant la mort de ceux qui l’avaient sauvé quatre ans auparavant,Son Goten enragea. Mais le plus inquiétant était que, non content d’avoir la puissance de Goku, ce Cell avait également le pouvoir de régénération des nameks ainsi que la capacité de Freeza à survivre dans l’espace.
L’époux de Maron avait l’impression que son monde s’écroulait. Pourquoi n’avait-il pas emmené sa femme et les jumeaux avec lui au palais divin ? Encore une fois, par son impulsivité il prenait les mauvaises décisions et c’était les autres qui en payaient le prix. Sauf que cette fois-ci, il avait trouvé un adversaire de taille. Longtemps il avait rêvé de pouvoir se battre à 100 % de ses capacités mais jamais il n’aurait échangé sa famille pour ça. Alors qu’il s’était agenouillé, la tête entre ses mains son fils s’approcha de lui, s’accroupit et, à la stupéfaction générale, le gifla. Pris par surprise, Son Goku tomba à la renverse.
- T’AS FINI DE TE LAMENTER ? lui cria le jeune Goten sur un ton de défi.
Kuririn s’approcha de l’adolescent dans l’espoir de le calmer mais le frère de Maron le retint.
- Tu es le super saiya-jiin de la légende, et pourtant tu n’as rien d’un guerrier. Il aurait mieux valu que ton père ne t’échange jamais avec le frère de Raditzu. Tu as peut-être sauvé cette planète plusieurs fois mais dès qu’un de tes proches est en danger tu fais n’importe quoi. Ça a d’abord été avec moi, puis maintenant c’est avec maman, Gohan et Paragus.
Son Goku se redressa péniblement.
- Alors maintenant écoute moi bien, tu te débrouilles comme tu veux pour battre ce Cell mais dis-toi bien une chose. Si maman ou un des jumeaux meurent, Dragon Balls ou pas tu ne me reverras jamais !
- Et moi aussi je vais t’expliquer quelque chose, ajouta l’ancien disciple de Sasori Sennin, si ma soeur devait perdre la vie dans cette histoire je m’assurerai qu’elle n’ait plus jamais envie de te revoir quand elle ressuscitera. Tu portes malheur Goku, les Saiya-jiins c’était à cause de toi s’ils ont débarqué, si t’avais pas eu ta maladie, tu aurais détruit la Terre et maintenant les cyborgs enlèvent ma soeur. J’en ai vraiment marre que malgré ta puissance tu ne fasses qu’enchainer les bourdes. T’es trop sûr de toi et tu fais n’importe quoi. Alors maintenant, tu vas aller rejoindre ce Cell et surtout tu vas me prouver que j’ai eu raison de laisser Maron devenir ta femme !
L’époux de Maron regarda son fils et son beau-frère dans les yeux et vit qu’ils ne plaisantaient pas. Son Goten lui en voulait pour de nombreuses raisons et le pire c’était qu’elle étaient toutes justifiées. Quand à Hazel, il lui avait confié sa soeur, il en était responsable et ne s’était pas montré à la hauteur.
- Vous avez raison tous les deux, je vais y aller, déclara-t-il avant de se diriger vers le bord de la terrasse.
- Attend Goku, fit Kuririn, s’il ne m’a pas menti, tu n’auras aucune chance.
Son meilleur ami lui sourit
- Si le docteur Géro m’a pris les cellules avant ma mort, j’ai encore une chance, je n’ai pas chômé au paradis.
Le saiya-jiin sauta alors de la plateforme, suivit par Kamé Sennin et par Hazel. Ce dernier tourna la tête vers son neveu et lui fit signe de rester au palais. Alors qu'il volait à ses cotés, Kuririn se demandait où Goku voulait en venir. Comment avait-il pu progresser d’avantage maintenant qu’il contrôlait parfaitement sa puissance qui n’avait aucune limite ? Peut-être qu’en fait, c’était autre chose que la puissance… Il espérait juste que cette fois ça serve à quelque chose.
Fin du chapitre