Le fruit de ses tourments

Yo.
Avant toute chose, je tiens à préciser que cette fanfiction est une fic secondaire ( on pourrait éventuellement la comparer à Le diable et l'ange de Rebel, et encore je suis pas sur ).
Les chapitres d'ici n'auront aucunes dates précises de sortie, il pourra y avoir 2 chapitres en une semaine comme aucun en six mois, tout dépend de mon état d'esprit et de si je ne galère pas à écrire La révolte, qui me pose beaucoup de problèmes en ce moment.
Enfin, je pense que je ne vais pas m'étaler sur le sujet, et non je ne referai pas les même erreurs qu'à l'époque de Le cube et de Recrutement d'une équipe d'élite.
Je pense que cette introduction est déjà suffisamment longue et que t'façon vous avez compris et on s'en fout.
Bref, je vous laisse deviner ( il y a quelques indices ) sur qui portera l'intrigue ( d'ailleurs, cette histoire aurait pu être intégrée à celle de La révolte, donc normal qu'il y aie des similitudes, mais pour des raisons de scénario, cette histoire est indépendante et détachée de mon autre fic ).
Cette fanfiction ne comportera qu'une trentaine de chapitres maximum.
Bonne lecture.
La main de l'autre sur son cou, écrasant sa gorge, il savait qu'il allait mourir.
Son bras droit était cassé, et son plexus perforé. Du sang recouvrait le sol, et entourait ses jambes, elles aussi brisées à l'intérieur. Un des os, un des morceaux en tout cas, paraissait ressortir un peu, mais avec sa peau blanche on ne savait pas réellement.
Enfin bref, il est condamné, et il l'a déjà accepté. La mort, il la cotoyait tous les jours, la voyait chaque matin, et la faisait subir le soir. Difficile de faire autrement dans l'armée de Freezer, même pour un soldat de seconde zone comme lui.
Quoiqu'il en soit, il n'allait pas tenter de survivre ou essayer de temporiser pour gagner trente secondes d'existence. Non, ce serait inutile, et vain.
Il va plutôt essayer de se venger de celui qui va le tuer. Ce maudit primate.
Alors il tend la main jusqu'à sa hanche et tente de sortir une sorte de communicateur camouflé sous sa ceinture, un gadget d'espion. Il doit réussir à prévenir les autres de là où il est et révéler au grand jour l'identité de cet enfoiré qui l'a assassiné.
Il le fixe, il ne doit faire aucun bruit et doucement il déplace sa main vers sa ceinture. Mais ce serait trop visible. Alors il parle à son agresseur de sa voix étouffée:
-Pourquoi tu...m'as tué ?...Je ne t'ai...pourtant rien fait...
Lui, il se tenait le visage avec sa main gauche, et il regardait sa victime avec un air satisfait, de par son oeil heureux, vicieux, diabolique qui éclairait l'obscurité que produisait sa paume camouflant le reste de sa face souriante mais malsaine. On aurait dit un animal heureux d'avoir enfin abattue sa proie et prêt à déguster le fruit de sa chasse.
Il soupira alors et répondit à celui qu'il allait achever, en relevant sa tête et en reprenant une posture plus humaine, moins bestiale qu'avant, une voix presque silencieuse, mais qui portait énormément:
-Tu aurais révélé mon identité à tout le monde, connard.
Le surnommé s'y attendait, mais justement, il avait une parade. Si sa vie n'était rien, celle de cet homme valait qu'il se sacrifie pour mettre au grand jour ses maléfiques intentions. Ainsi, il sera récompensé, post mortem, par des honneurs, peut-être même une cérémonie funéraire publique. C'est ce qui était arrivé au dernier membre du commando Ginue avant qu'il ne soit remplacé, alors qu'il n'avait rien accompli de bien grand.
Dénoncer et faire découvrir qui ce monstre était, ça lui vaudrait au moins ça, d'après lui. Enfin, c'est ce qu'on apprenais dans l'armée:
-Tu sais...si tu veux..je peux ne rien dire...si tu me laisses en vie. Je pourrais même être...ton espion personnel...Qu'en dis-tu ?
Non, bien sur que non.
Il le savait, il était mort. Le temps que l'autre assassin remette son déguisement et sorte, discrétement, pour voler une capsule de soins et l'y placer, ses blessures lui auraient déjà été fatales.
S'il parlait, c'était pour gagner de précieuses secondes et faire détourner le regard à ce psychopathe, qui avait relevé le menton en sa direction.
Plus que quelques millimètres et il attrapait la machine. Plus qu'une dizaine...Plus que sept...Plus que cinq...
Un ricanement stoppa les mouvements furtifs de l'espion ensanglanté.
Puis un mouvement vertical extrêmement rapide stoppa définitivement ces mouvements.
Tranchant instantanément le bras incriminé, le barbare animal venait d'utiliser sa puissante main gauche de façon à empêcher l'homme mort d'appeler quelqu'un:
-Ne me dis pas que tu as un seul instant pensé à pouvoir me berner ? Tu es si pitoyable.
A cet instant, c'est un visage béat et totalement étonné, à en juger par la forme absurde des traits de son visage qui dut supporter, en plus d'une douleur incommensurable, la supériorité flagrante des réflexes de son assassin:
-Comment as-tu...su ?
-Pour un espion, tu n'es pas discret. Tu ne vaux rien, alors meurt.
La main droite, qui écrasait le cou avec vigueur et qui l'empêchait progressivement de respirer, appuya plus fort. Doucement, elle commenca à former un poing. Les bruits aiguës et les soupirs douloureux qui sortaient de la bouche de l'alien blanc cessaient au même rythme que le déplacement de ses iris dans ses yeux vers le haut.
Puis enfin, sa langue décida de rejoindre la lumière, et le saiyen deserra le poing. L'espion partit vers l'obscurité, et son crâne, non supporté par son cou, s'il restait ce qu'on appelle un cou, tomba lourdement sur ses genoux.
Cet homme était tombé au hasard sur sa chambre, et il a fouillé au mauvais moment. Dommage qu'il soit rentré plus tôt aujourd'hui. Enfin, de toute façon, il avait découvert sa réelle identité en trouvant des dossiers sous son lit. Quelle chance, cela-dit, que lui soit arrivé à temps. Sinon, plusieurs années de dur labeur auraient été réduites à néant.
Que faire maintenant...? Il avait un cadavre à nettoyer, et il ne pouvait pas sortir sans être vu avec le corps, en pièces d'ailleurs, d'un autre soldat de l'armée. Il allait donc devoir faire avec les moyens du bord.
Il déplaça les morceaux de chair en plein milieu de la pièce et pria pour que le sol tienne: Il décocha alors un kikoha orangé en direction du corps et celui-ci se désintégra entièrement, ne laissant qu'une fumée s'élever et remplir la pièce de l'odeur caractéristique.
Il nettoya ensuite le sang comme il pouvait, et détruisit la poubelle dans laquelle il avait jeté les éponges rouges d'hémoglobines.
Pour finir, il sortit de la salle et alla se laver dans la douche commune de la base spatiale. Après être revenu, il nettoya chaque endroit où l'espion était passé ou avait pu passer dans l'endroit. Les preuves effacées, il alla se coucher, en espérant que demain soit un meilleur jour.
Un jour constitué de tueries, de meurtres, de conquêtes, d'explosions mortelles et de pleurs de civils brisés à jamais par la mort de leurs proches, assassinés devant leurs yeux.
Oui, l'homme à queue de singe souriait. Il contempla alors une dernière fois son armure grise sur son bureau, cette armure qui le caractérise, et ferme enfin les yeux.
Il s'endort, puis se met à rêver.
Ouai c'était un tout petit prologue je sais.
Merci d'avoir lu, prochain chapitre qui arrivera dans.....Oh bah je sais pas en fait...
Avant toute chose, je tiens à préciser que cette fanfiction est une fic secondaire ( on pourrait éventuellement la comparer à Le diable et l'ange de Rebel, et encore je suis pas sur ).
Les chapitres d'ici n'auront aucunes dates précises de sortie, il pourra y avoir 2 chapitres en une semaine comme aucun en six mois, tout dépend de mon état d'esprit et de si je ne galère pas à écrire La révolte, qui me pose beaucoup de problèmes en ce moment.
Enfin, je pense que je ne vais pas m'étaler sur le sujet, et non je ne referai pas les même erreurs qu'à l'époque de Le cube et de Recrutement d'une équipe d'élite.
Je pense que cette introduction est déjà suffisamment longue et que t'façon vous avez compris et on s'en fout.
Bref, je vous laisse deviner ( il y a quelques indices ) sur qui portera l'intrigue ( d'ailleurs, cette histoire aurait pu être intégrée à celle de La révolte, donc normal qu'il y aie des similitudes, mais pour des raisons de scénario, cette histoire est indépendante et détachée de mon autre fic ).
Cette fanfiction ne comportera qu'une trentaine de chapitres maximum.
Bonne lecture.
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Prologue
La main de l'autre sur son cou, écrasant sa gorge, il savait qu'il allait mourir.
Son bras droit était cassé, et son plexus perforé. Du sang recouvrait le sol, et entourait ses jambes, elles aussi brisées à l'intérieur. Un des os, un des morceaux en tout cas, paraissait ressortir un peu, mais avec sa peau blanche on ne savait pas réellement.
Enfin bref, il est condamné, et il l'a déjà accepté. La mort, il la cotoyait tous les jours, la voyait chaque matin, et la faisait subir le soir. Difficile de faire autrement dans l'armée de Freezer, même pour un soldat de seconde zone comme lui.
Quoiqu'il en soit, il n'allait pas tenter de survivre ou essayer de temporiser pour gagner trente secondes d'existence. Non, ce serait inutile, et vain.
Il va plutôt essayer de se venger de celui qui va le tuer. Ce maudit primate.
Alors il tend la main jusqu'à sa hanche et tente de sortir une sorte de communicateur camouflé sous sa ceinture, un gadget d'espion. Il doit réussir à prévenir les autres de là où il est et révéler au grand jour l'identité de cet enfoiré qui l'a assassiné.
Il le fixe, il ne doit faire aucun bruit et doucement il déplace sa main vers sa ceinture. Mais ce serait trop visible. Alors il parle à son agresseur de sa voix étouffée:
-Pourquoi tu...m'as tué ?...Je ne t'ai...pourtant rien fait...
Lui, il se tenait le visage avec sa main gauche, et il regardait sa victime avec un air satisfait, de par son oeil heureux, vicieux, diabolique qui éclairait l'obscurité que produisait sa paume camouflant le reste de sa face souriante mais malsaine. On aurait dit un animal heureux d'avoir enfin abattue sa proie et prêt à déguster le fruit de sa chasse.
Il soupira alors et répondit à celui qu'il allait achever, en relevant sa tête et en reprenant une posture plus humaine, moins bestiale qu'avant, une voix presque silencieuse, mais qui portait énormément:
-Tu aurais révélé mon identité à tout le monde, connard.
Le surnommé s'y attendait, mais justement, il avait une parade. Si sa vie n'était rien, celle de cet homme valait qu'il se sacrifie pour mettre au grand jour ses maléfiques intentions. Ainsi, il sera récompensé, post mortem, par des honneurs, peut-être même une cérémonie funéraire publique. C'est ce qui était arrivé au dernier membre du commando Ginue avant qu'il ne soit remplacé, alors qu'il n'avait rien accompli de bien grand.
Dénoncer et faire découvrir qui ce monstre était, ça lui vaudrait au moins ça, d'après lui. Enfin, c'est ce qu'on apprenais dans l'armée:
-Tu sais...si tu veux..je peux ne rien dire...si tu me laisses en vie. Je pourrais même être...ton espion personnel...Qu'en dis-tu ?
Non, bien sur que non.
Il le savait, il était mort. Le temps que l'autre assassin remette son déguisement et sorte, discrétement, pour voler une capsule de soins et l'y placer, ses blessures lui auraient déjà été fatales.
S'il parlait, c'était pour gagner de précieuses secondes et faire détourner le regard à ce psychopathe, qui avait relevé le menton en sa direction.
Plus que quelques millimètres et il attrapait la machine. Plus qu'une dizaine...Plus que sept...Plus que cinq...
Un ricanement stoppa les mouvements furtifs de l'espion ensanglanté.
Puis un mouvement vertical extrêmement rapide stoppa définitivement ces mouvements.
Tranchant instantanément le bras incriminé, le barbare animal venait d'utiliser sa puissante main gauche de façon à empêcher l'homme mort d'appeler quelqu'un:
-Ne me dis pas que tu as un seul instant pensé à pouvoir me berner ? Tu es si pitoyable.
A cet instant, c'est un visage béat et totalement étonné, à en juger par la forme absurde des traits de son visage qui dut supporter, en plus d'une douleur incommensurable, la supériorité flagrante des réflexes de son assassin:
-Comment as-tu...su ?
-Pour un espion, tu n'es pas discret. Tu ne vaux rien, alors meurt.
La main droite, qui écrasait le cou avec vigueur et qui l'empêchait progressivement de respirer, appuya plus fort. Doucement, elle commenca à former un poing. Les bruits aiguës et les soupirs douloureux qui sortaient de la bouche de l'alien blanc cessaient au même rythme que le déplacement de ses iris dans ses yeux vers le haut.
Puis enfin, sa langue décida de rejoindre la lumière, et le saiyen deserra le poing. L'espion partit vers l'obscurité, et son crâne, non supporté par son cou, s'il restait ce qu'on appelle un cou, tomba lourdement sur ses genoux.
Cet homme était tombé au hasard sur sa chambre, et il a fouillé au mauvais moment. Dommage qu'il soit rentré plus tôt aujourd'hui. Enfin, de toute façon, il avait découvert sa réelle identité en trouvant des dossiers sous son lit. Quelle chance, cela-dit, que lui soit arrivé à temps. Sinon, plusieurs années de dur labeur auraient été réduites à néant.
Que faire maintenant...? Il avait un cadavre à nettoyer, et il ne pouvait pas sortir sans être vu avec le corps, en pièces d'ailleurs, d'un autre soldat de l'armée. Il allait donc devoir faire avec les moyens du bord.
Il déplaça les morceaux de chair en plein milieu de la pièce et pria pour que le sol tienne: Il décocha alors un kikoha orangé en direction du corps et celui-ci se désintégra entièrement, ne laissant qu'une fumée s'élever et remplir la pièce de l'odeur caractéristique.
Il nettoya ensuite le sang comme il pouvait, et détruisit la poubelle dans laquelle il avait jeté les éponges rouges d'hémoglobines.
Pour finir, il sortit de la salle et alla se laver dans la douche commune de la base spatiale. Après être revenu, il nettoya chaque endroit où l'espion était passé ou avait pu passer dans l'endroit. Les preuves effacées, il alla se coucher, en espérant que demain soit un meilleur jour.
Un jour constitué de tueries, de meurtres, de conquêtes, d'explosions mortelles et de pleurs de civils brisés à jamais par la mort de leurs proches, assassinés devant leurs yeux.
Oui, l'homme à queue de singe souriait. Il contempla alors une dernière fois son armure grise sur son bureau, cette armure qui le caractérise, et ferme enfin les yeux.
Il s'endort, puis se met à rêver.
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Ouai c'était un tout petit prologue je sais.
Merci d'avoir lu, prochain chapitre qui arrivera dans.....Oh bah je sais pas en fait...