Dragon Ball Bad Future : Kakarot [ En pause ]

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Dragon Ball Bad Future : Kakarot [ En pause ]

Messagepar Black_Sennin le Sam Juin 02, 2018 18:30

Cette histoire se passe quand Kakarot ne se cogne pas à la tête, il tue son grand père et eradique l'espèce humaine, la planète Vegeta n'est pas détruite,

Voilà, bonne lecture

Arc ( 1 à...) Terriens

Chapitre 1: Twist of Fate

Kakarot se réveillait. Au début, il ne pouvait pas se souvenir où il était. Il savait seulement qu'il faisait froid là où il était blotti. Quand ses yeux ronds s'ouvrirent, il vit à sa droite les niveaux  gris de l'espace étoilé et l'intérieur métallique de sa gousse, tandis qu'à sa gauche, ces mêmes images étaient teintées d'orange.
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Où il avait été et ce qu'il avait accompli au cours des huit premières années de sa courte vie, il commença lentement à revenir à lui alors que la voix féminine de la programmation de son vaisseau remplissait ses oreilles pour la deuxième fois. "Réveille-toi, Kakarot."
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Kakarot enleva l'écouteur qui entourait son oreille gauche pour faire de la place pour son poing opposé qui frottait dans ses yeux larmoyants.

"Bienvenue chez Planet Vegeta Félicitations pour votre retour de votre première mission."

Kakarot remplaça le scouteur avant de lécher ses lèvres sèches, "donc c'est Planet Vegeta, hein?"

"Oui, Kakarot, c'est ta planète natale."

"Ouais, tu l'as déjà dit." Kakarot leva les yeux au ciel en croisant les bras sur l'armure plaquée de métal qui s'étirait sur sa petite poitrine. "Accueil."

Avec un soupir mélancolique, Kakarot détourna les yeux curieux de la minuscule fenêtre incurvée de sa nacelle. Ce que Kakarot se souvenait le plus de sa planète, c'était de la quitter il y a des années. Ses souvenirs de la Terre verte et bleue étaient beaucoup plus vifs, bien qu'il sache que cette planète n'était pas  sa maison.
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Alors que l'approche de Kakarot approchait, l'atmosphère tourbillonnante et rouge de Vegeta se répandit pour engloutir la vue de sa fenêtre. Après avoir regardé avec respect la planète rouge, il cligna des yeux lorsque son vaisseau commença à vibrer.

"Entre dans l'atmosphère de Végéta, Kakarot,"Kakarot fronça les sourcils alors que les symboles commençaient à clignoter sur son écran, se reflétant et fendant la vue par la fenêtre, "Le roi Vegeta appelle à votre présence."

"Le roi Végéta ?"

Kakarot fronça le nez alors que les symboles de son détecteur éclairaient les détails de ses ordres et d'autres directions en émettant un bip dans son oreille gauche. Il se demanda ce qu'il se passerait s'il rejetait le cours tracé et s'enfuyait à la place où il voulait au moment où il atterrissait. Il voulait se battre contre quelqu'un. Il voulait manger quelque chose. Il avait été coincé en stase dans cette nacelle à l'étroit pendant des mois. La dernière chose qu'il voulait faire à l'arrivée était de rencontrer le roi. Quoi qu'il en soit, ça ne pouvait pas être bon.

"Préparez-vous à atterrir."

Serrant les dents, Kakarot ferma les yeux. L'approche était vertigineuse, car plus il s'approchait de la terre, plus il sentait qu'il allait plus vite et plus son pod spatial vibrait. Fermant les yeux était une tentative moche de réduire le barattage dans son estomac.

Il y eut une secousse quand son vaisseau fit un impact, s'enfonçant dans l'aire d'atterrissage souple avant de rebondir au sol. Le sifflement du sas retentit à l'instant où son vaisseau s'arrêta, pendant que Kakarot ouvrait les yeux pour voir la lumière pénétrer dans son hayon.

Kakarot tapota son scouteur pour confirmer et mettre fin au bip sonore. Dehors, l'air était épais d'humidité. Quand Kakarot étendit ses petites jambes et sortit de sa nacelle, il tourna le talon sur le vaste tarmac gris avec des intentions complètement différentes que de se diriger vers le palais droit devant lui.

"Kakarot," une voix bourrue appelée derrière lui. "Où pensez-vous  allez?"

Avec un harrumph, Kakarot jeta un coup d'œil oblique au vaste bâtiment royal tout le long du pas de tir et s'arrêta. "Je viens juste d'arriver."

"Vous avez été convoqué au roi Vegeta, troisième classe.

Grinçant des dents, Kakarot se tourna vers la voix rocailleuse qui lui adressait un si mauvais trait. Il se tordit le cou pour voir le visage de l'homme de grande taille dans une armure d'élite qui le regardait avec une barbichette, un scout à lentilles pourpres et une tête chauve.

"J'ai dit de bouger!" Le gardien a crié. "Après avoir bâclé votre première mission, vous n'allez pas laisser le roi attendre votre peau paresseuse."

"J'ai terminé ma mission."

La lèvre rayée de la moustache de l'homme plus grand tirait d'un côté alors qu'il souriait. "Vous en avez manqué quelques-uns, gamin, et il vous a fallu près d'une décennie pour en finir avec un tas de puni-"

"Ils n'étaient pas tous chétifs."

Les yeux du plus grand homme s'élargirent quand Kakarot rétrécit le sien. Il était peut-être un gamin, et il était peut-être en troisième classe, mais il n'allait pas laisser ce type lui parler de son niveau de puissance ou de sa mission sur Terre.

L'homme étudia Kakarot avant de tapoter son scouter. "King Vegeta, Nappa ici, j'ai le gamin de Bardock, il est en route maintenant."

Battant son poing contre son cœur, Kakarot envoya un sourire à l'élite. "Merci, Nappa ."

Quand il se tourna vers le bâtiment architecturalement impressionnant qui courait le long du tarmac, Kakarot fronça les sourcils au son des pas qui le suivaient. Encore plus ennuyeux que d'être escorté à travers le tarmac par un garde d'élite, ou d'être appelé à voir le roi au moment où il revenait de sa mission, était la pensée d'être considéré comme un échec. Il savait qu'il n'y avait pas d'autre âme vivante sur cette planète avant de l'avoir quittée. Il n'y avait rien de ramassé par son animateur, aucun signe de vie sur Terre quand il l'avait quitté il y a des mois. Cela devait être une erreur.

Avec un soupir, Kakarot adressa les lourds pas derrière lui. "Vas-tu me suivre tout le long?"

"C'est comme ça," dit Nappa avant de s'avancer et d'atteindre un bouton sur la courbe du mur bleu royal.

Kakarot se tourna vers le sifflement d'un dégagement du sas tandis que la porte de la main de Nappa s'ouvrait. Kakarot faisait maintenant face à une longue salle intérieure avec un tapis rouge et des murs plus bleu foncé. Poursuivant ses lèvres, Kakarot serra les poings et se dirigea vers le couloir. Il expliquait au roi qu'il n'avait pas échoué.

À son rythme pressé, avec les pas de Nappa qui le suivaient, Kakarot atteignit une porte avec un emblème royal en un rien de temps. Il n'attendit pas les instructions de Nappa, mais il tendit la main vers le bouton à côté, comme Nappa l'avait fait. La porte s'ouvrit pour lui exposer deux hommes qui attendaient à l'intérieur.

Kakarot reconnut le roi immédiatement, non seulement à cause de sa position assise au centre de la pièce et du fait qu'il portait une cape et une armure à crête royale, mais aussi parce que Kakarot reconnaissait le visage sévère. C'était une image qui avait été envoyée à son bateau pendant ses voyages afin qu'il sache à qui se prosterner quand il rejoindra son peuple sur Vegeta.

Kakarot reconnut également l'autre homme, qui ressemblait à une version adulte de lui-même avec une cicatrice sur la joue
et un bandeau rouge autour de sa tête. Cet autre homme n'était pas un élite, mais il n'avait pas besoin d'introduction. Kakarot se souvenait de son père, Bardock.

"Kakarot," sourit le roi, "asseyez-vous."

Les yeux de Kakarot se portèrent sur son père, dont le regard était fixé sur lui. "Non, merci, je préfère rester debout."

"Kakarot," siffla Bardock.

Le roi haussa les épaules. «Tu t'adaptes, sais-tu pourquoi je t'ai appelé ici, mon garçon?

Kakarot jeta un coup d'œil à Nappa qui se tenait par-dessus son épaule à l'entrée, puis à son père qui se tenait debout près du roi. Derrière son père et le roi, un écran panoramique accroché au mur de la salle confinée, avec des images satellites d'une autre planète. A en juger par les masses d'eau, Kakarot aurait pu jurer que c'était la Terre sur cet écran.Il y avait un groupe de points rouges dans un segment de l'image, chacun indiquant des niveaux de puissance faibles à modérés - indiquant la vie .

"Tu m'as appelé ici parce que," Kakarot prit une profonde inspiration et le laissa sortir, " quelqu'un a fait une erreur."

"Oui." Le roi Vegeta acquiesça. "Toi."

"Non."

"Oui," grogna Nappa.

Kakarot jeta un regard noir au garde avant de tourner la tête vers le roi. "J'ai suivi vos ordres."

"Il y avait des survivants." Le roi se tourna vers l'écran au-dessus de sa tête, agitant une main gantée de blanc juste avant que l'amas de taches rouges sur l'écran coloré disparaisse, le faisant sursauter. "Nappa, qu'est-il arrivé aux survivants?"

"Euh ... je ne sais pas, Sire."

"Je te le dis ," grogna Kakarot, "il n'y avait pas de survivants."

Le roi Végéta exhiba ses dents alors que Nappa murmurait dans son détecteur, demandant à quelqu'un de rafraîchir l'image. L'écran devint noir avant que la carte holographique ne réapparaisse, exactement comme il y a quelques secondes - sans aucun signe de vie. La planète était stérile. Comme Kakarot se souvenait de l'avoir laissé.

Kakarot sourit et croisa les bras. 

"Non," grommela le roi en plissant les yeux pensivement, "il y avait de la vie sur cette planète."

"Roi Végéta," dit Nappa avec son doigt toujours enfoncé dans son détecteur, "je viens de recevoir la nouvelle d'un vaisseau non enregistré qui part de la planète Terre."

"Ah," sourit le roi, "voilà où ils sont allés, tes survivants semblent s'éloigner, Kakarot, peut-être que je devrais te renvoyer pour finir le travail."

Kakarot se mordit la lèvre si fort qu'il pouvait goûter du sang sur sa langue, mais il parvint à maintenir son calme alors qu'il regardait le roi et son sourire jubilatoire. Il pouvait dire, en élargissant les yeux de Bardock et en secouant subtilement sa tête, que ce n'était pas le moment de s'en prendre au roi. Mais Kakarot ne pouvait pas s'en empêcher.

"Je suis juste retourné ici, j'ai déjà passé huit ans sur cette boule de boue," dit Kakarot en serrant les dents. "Demandez à quelqu'un d'autre de prendre soin d'eux si vous vous en souciez tellement, quelqu'un qui est déjà dans ce quadrant!"

Le roi Vegeta passa sa main sur son menton barbu. "Savez-vous comment ces survivants vous ont échappé?"

"Même s'il y avait des survivants, est-ce important?" Kakarot a découvert ses dents. "La planète est morte, la Planet Trade peut la vendre."

"Je suppose que tu as raison." Le roi jeta un regard noir sur Bardock, qui se tendit alors que le roi se retournait vers Kakarot. «Mais que ce soit une leçon pour toi, mon garçon, ne reviens jamais d'une mission en laissant derrière toi des survivants, tu restes le temps qu'il faut pour finir ta purge.

"La purge était -"

- Et si tu commets à nouveau cette erreur, insista le roi, quelqu'un va payer pour ça, que ce soit toi ou quelqu'un d'autre.

Alors que le roi donnait un regard pointu à Bardock, le froncement de sourcils de Kakarot s'approfondit. Il n'a pas apprécié recevoir des menaces du roi, particulièrement pas au moment où il est arrivé à la maison. Il n'a vraiment pas apprécié d'être accusé de faire une telle erreur. Il n'a pas laissé de survivants sur Terre.

Avec un clin d'œil concis au roi et sa mâchoire et ses poings serrés, Kakarot se retourna et quitta la pièce. De nouveau, il pouvait entendre Nappa sur ses talons avant que le sas ne se referme. Il n'avait même pas salué son père après l'avoir vu pour la première fois depuis qu'il était bébé, et ici il devait tolérer 
davantage la   présence de Nappa . Le roi gardait son père plus longtemps, c'était probablement une tactique de peur. Eh bien, Kakarot n'avait pas peur. Il savait qu'il verrait finalement son père à la maison.

"Peut-être que si tu as de la chance, gamin," gloussa Nappa, brisant les pensées de Kakarot, "un jour, tu trouveras ces Terriens et tu auras la chance de te racheter."

"Chance?." Kakarot se moqua. "S'il y a vraiment des Terriens là-bas, ce sont eux qui ont de la chance."

Kakarot craignait l'erreur jusqu'à des difficultés techniques, bien qu'il sache que le roi ne le ferait pas, et que Nappa non plus. Ils ne se souciaient pas d'une poignée d'humains perdus dans l'univers de toute façon. Pourtant, ils croyaient que Kakarot n'avait pas réussi à accomplir cette mission, juste à cause d'une poignée de blips sur un écran et un navire rebelle. Ils sautaient à cette conclusion parce qu'il était un enfant. Ou parce qu'il n'était pas un élite. D'une façon ou d'une autre, ils le sous-estimaient.
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Kakarot aurait de futures purges pour montrer à quel genre de combattant il appartenait, quel genre de Saiyan il était, pour montrer au roi et aux élites collées qu'il n'était pas du genre à être sous-estimé. Et si jamais il ne s'avérer qu'il y avait un groupe de survivants chanceux là - bas dans l' espace, ils feraient mieux d' espérer qu'ils ne se croisent jamais avec lui.

Dix ans après...

Les rafales d'oxygène, assurément silencieuses, qui propulsaient leur vaisseau dans l'espace au fur et à mesure qu'ils changeaient de cap, étaient inouïes à cause des acclamations rauques des célébrations qui se déroulaient à l'intérieur. Mis à part le message d' espoir manuscrit et décoloré que Chi-Chi griffonna depuis longtemps à côté de l'emblème CC rouge à sa surface, l'extérieur du navire était rond et indiscriminé, comme beaucoup d'autres. Un bip continua sur la console du navire devant le petit groupe de Terriens assis devant lui.

Le son apporta un sourire au visage de Chi-Chi alors qu'elle se jetait dans le siège rembourré vide à côté de Yamcha. Tout en écoutant les acclamations de ses amis qui se répercutaient sur les murs arrondis du pont principal du navire, Chi-Chi fixa son regard sur la petite grappe de points qui brillait sur une planète verte située dans la galaxie holographique étalée sur l'écran.

"Ça y est!" Bulma éclata de rire alors qu'elle s'approchait derrière Yamcha et drapait ses bras autour de ses épaules larges et blindées. "Nous les avons finalement trouvés!"

Yamcha lui sourit. "Ils existent vraiment."

«Qu'est-ce que je vous ai dit à tous? Si quelqu'un allait les trouver, ce serait moi.

Le sourire de Chi-Chi s'élargit alors qu'elle levait les yeux pour rencontrer le regard attentif de Bulma. Bulma pourrait partager cette réussite plus étroitement avec Chi-Chi que quiconque, parce que Chi-Chi était celle qui avait toujours la foi qu'ils trouveraient quelque chose, même à des moments où les choses semblaient désespérées. Peut-être que c'était parce qu'elle était naïve; Peut-être était-ce parce qu'elle et Oolong étaient les seuls vrais enfants quand ils ont quitté la Terre, et Oolong était cynique par nature. Son père, Yamcha et Puar, étaient également optimistes, mais d'autres facteurs leur donnaient des doutes. Des facteurs comme les monstres qui envahissent les planètes lointaines, comme une fois envahi la Terre.

"Ooh!" Mme Brief crissa du port du pont principal. "Cela appelle à une célébration!"

Chi-Chi se leva de son siège. "Je vais vous aider à mettre quelque chose ensemble, Mme Brief."

La femme âgée pivota sur ses talons avec un sourire aux yeux loufoques sur son joli visage alors qu'elle menait vers la cuisine. Chi-Chi supposait que Mme Brief et le Dr Brief étaient tous les deux assez optimistes, mais comme l'ami Tortue de Maître Roshi, ils n'étaient pas d'une grande aide dans leur quête de ces orbes magiques qui sauvaient leur vie sur Terre. Les parents de Bulma n'étaient pas non plus très conscients de la morosité de leur réalité, aussi l'optimisme devait-il leur être plus facile.

Après avoir donné un dernier coup d'œil appréciateur à Bulma, Chi-Chi laissa ses yeux passer devant l'écran bien visible et à travers tous les autres visages avant de se tourner pour suivre Mme Brief. Elle pouvait entendre la conversation reprendre quand elle quittait le pont principal, avec des tons de jubilation et de soulagement caractérisant les voix de tout le monde.

C'était certainement une cause de célébration. Pendant trop longtemps, leur petit groupe avait été le seul Earthlings restant, les seuls à avoir la chance d'échapper à ce monstre. Mais avec cette nouvelle information, là où auparavant il n'y avait que de l'espace vide et un vaisseau spatial bien entassés à appeler à la maison, il y avait maintenant un peu d'espoir pour quelque chose de mieux.

Il ne fallut qu'un instant à Chi-Chi pour traverser la petite salle menant à la cuisine. Entouré par la conception pratique du Dr Brief de lumières vives au plafond et de murs en métal argenté bordés d'entrées de cabine en métal contrôlées par des boutons à ses côtés, Chi-Chi savait que ce n'était pas l'environnement le plus scénique. Mais c'était la maison de Chi-Chi qu'elle partageait avec son père et ses amis, qui étaient vraiment plus proches d'elle qu'elle ne l'aurait jamais imaginé.

Quand elle atteignit la petite cuisine, Chi-Chi trouva Mme Brief avec sa tête enfouie dans le seul meuble supérieur situé à côté du réfrigérateur. Mme Brief fit une pause au son des pas de Chi-Chi, enroulant ses doigts autour de la porte de l'armoire métallique avant de jeter la tête par-derrière.

Chi-Chi croisa les bras sur le plastron d'armure sombre qu'elle souhaitait être un matériau plus doux et féminin, comme la robe de jour rose pastel que Mme Brief portait. Malheureusement, Chi-Chi et Yamcha étaient ceux qui sortaient le plus souvent du navire, ceux qui pouvaient se battre assez bien pour se faire passer pour des soldats de Planet Trade et entrer dans les deux uniformes qu'ils avaient réussi à voler sans regarder hors de propos. parmi d'autres soldats. Par conséquent, elle est toujours restée habillée pour jouer ce rôle. On ne savait pas quand une urgence se produirait ou une confrontation de flux vidéo se produirait pour interroger leur navire non enregistré. L'uniforme était une nécessité constante, même si cela l'écœurait de porter le même style que ces meurtriers de masse.

"Alors, Mme Brief." Chi-Chi soupira et passa une main dans les mèches qui lui tombaient dans les yeux. "Que faisons-nous?"

"Oh, Chi-Chi," Mme Brief a appuyé une main sur sa joue, "pouvez-vous vérifier ce que nous avons dans la réserve de stock?"
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Levant les sourcils, Chi-Chi se mit sur le côté, où une porte automatique de la cuisine mena au garde-manger. Quand elle appuya son pouce contre le panneau de la porte, la porte se glissa pour révéler un mur de ténèbres. Le premier pas de Chi-Chi fit écho dans le petit compartiment, indiquant avant même d'allumer le plafonnier que l'alimentation était basse. Alors que la luminosité inondait la pièce et que Chi-Chi détachait ses doigts de la corde métallique pendante, ses yeux fouillaient les réserves pour tout ce qui pouvait être utilisé dans un repas de fête.

Sur le sol au loin, Chi-Chi aperçut un sac de komugi, quelque chose qu'ils avaient depuis longtemps découvert comme un substitut passable de la farine de la Terre. Se frottant le menton, Chi-Chi plissa les yeux et essaya de décider ce qu'elle pouvait faire avec ce qui lui était disponible. Elle pensa peut-être qu'elle trouverait des ingrédients pour faire un gâteau, ce qui était l'un des passe-temps préférés de Mme Brief, mais rien d'autre ici ne semblait utile. Avec un froncement de sourcils aigre, elle se détourna de l'approvisionnement en stock pour voir Mme Brief avec ses mains sur ses hanches au milieu de la cuisine.

"Pas de chance?"

"Non." Chi-Chi força un sourire, comme Mme Brief le faisait déjà. "Je suppose que nous allons célébrer le dîner standard."

"C'est d'accord!" Mme Brief se retourna pour atteindre le cabinet inférieur, claquant et cliquetant des casseroles et des poêles.

Chi-Chi tendit la main vers la porte du réfrigérateur, partageant son expression déçue avec le contenu du réfrigérateur quand l'air frais frappa son visage. Ils cuisineraient encore une fois et mangeraient une autre nuit de soupe rationnée avec de la viande séchée et gamie.

"Puis-je aider?"

La voix chaude et profonde de la salle apporta un sourire au visage de Chi-Chi, même à la lumière de la découverte décevante. "Papa."

"Je ferai la cuisine ce soir," dit son père, "si vous cherchez une pause, mesdames."

"Oh." Mme Brief eut un petit rire. "N'êtes-vous pas mignon, Gyumaoh King."

Atteignant le morceau de viande froide près de son visage, Chi-Chi durcit son regard et arracha la viande du frigo. "Je pense que nous l'avons couvert, nous pouvons gérer cela."

Une lourde main atterrit sur l'épaule de Chi-Chi avant que la porte ne se referme. "Chi-Chi, tu devrais faire une pause ... Je pense que Bulma a besoin de te voir de toute façon."

"Bulma?" Chi-Chi cligna des yeux lorsque son père lui arracha le morceau de viande froid et lourd de ses doigts.

"Ouais," dit son père en étendant la viande dans une paume massive tout en frottant l'autre sur le dos de son cou épais, "ils parlent d'où nous nous dirigeons ensuite."

"Oh."

Alors que Chi-Chi masquait son expression, les yeux de son père détournèrent son regard. "Je vais prendre soin du dîner."

Fronçant les sourcils, Chi-Chi se pressa contre la porte du réfrigérateur tandis que son père la dépassait, ses larges épaules se glissant à peine dans l'étroite allée entre le comptoir et le réfrigérateur où Chi-Chi se tenait là. Son hésitation à lui dire d'aller voir Bulma, en lui faisant savoir que c'était à propos de leur direction, avait déjà déçu Chi-Chi. Après cette grande découverte, il n'y aurait pas eu de doute qu'ils se dirigeaient vers Namek. Mais ce n'était pas le cas. Quelque chose n'allait pas.

Alors que Mme Brief commençait à bavarder avec son père, Chi-Chi plissa les yeux et se glissa hors de la porte de la cuisine sans même jeter un coup d'œil derrière elle. Elle était maintenant déterminée à découvrir le plan de Bulma, et exactement pourquoi ce plan n'impliquait pas de se diriger directement vers Namek et de trouver ces Dragon Balls.

Ses bottes à pointe dorée pointaient haut et fort alors qu'elle traversait le couloir dans le grand espace ouvert du pont principal. A la même table qu'elle avait quittée plus tôt, Maître Roshi était maintenant en train d'expliquer quelque chose à Turtle et Puar avec ce regard sérieux sur son visage que Chi-Chi connaissait trop bien. L'homme pouvait être un pervers à la fois, mais il était aussi un sage maître des arts martiaux qui se rapprochait de la victoire contre ce singe géant que n'importe qui d'autre sur Terre. Chi-Chi savait quand il était temps de le prendre au sérieux.

Elle ralentit son rythme tandis qu'elle observait ces trois, si profondément investis dans les murmures silencieux de Maître Roshi qu'ils semblaient ignorer la présence de Chi-Chi. Ils semblaient aussi ignorer la présence de Bulma et de Yamcha, bien qu'ils agissaient probablement de cette façon pour donner à ces deux-là un sentiment d'intimité. Il n'y avait pas beaucoup d'intimité sur le bateau. Le regard de Chi-Chi, fixé sur Bulma, s'adoucit tandis que ses pieds s'arrêtaient. C'était rare de voir Bulma, qui était habituellement pleine de concentration et de détermination, souriant si facilement. Mais cela arrivait en présence de Yamcha,  elle l'entoura de ses bras. Chi-Chi aimait attraper ces moments fugaces. Elle se demandait souvent comment elle se sentait. Pas avec Yamcha; il était comme un grand frère autant que Bulma était comme une grande sœur, et du point de vue de Chi-Chi, il était absolument amoureux de Bulma. Mais elle aurait aimé pouvoir savoir ce que cela faisait avec quelqu'un.

Les yeux de Chi-Chi s'élargirent lorsque les yeux noirs de Yamcha se tournèrent vers son regard vigilant. Il était juste à un souffle de baiser sur le cou de Bulma quand ses joues virèrent au rose et il libéra lentement Bulma de son étreinte. Chi-Chi se détourna, sa queue de cheval noire battant son dos avec la soudaineté de son action. Elle avait honte de les regarder maintenant, mais il semblait que Yamcha avait honte. Il n'avait rien à avoir honte. Au moins, il connaîtrait l'amour avant sa mort, peut-être même aurait-il un jour des enfants avec Bulma. Chi-Chi n'aurait rien de tout cela si ce souhait ne s'était pas produit. Les seuls autres hommes vivants, mis à part des extraterrestres humanoïdes qui se différenciaient toujours assez pour rendre Chi-Chi mal à l'aise, comme ces Saiyans avec leurs queues et leurs transformations, étaient son père, le Dr Brief et Maître Roshi rien de tout ça. Bien que face à une existence complètement vide d'une famille à elle, le dernier recours n'était pas pire d'une alternative.
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Chi-Chi dut avaler ces sentiments et les repousser avant de serrer les poings et de s'approcher des autres. Elle n'avait pas le temps de s'inquiéter de l'amour ou de la luxure alors que sa survie était constamment en jeu. N'importe lequel d'entre eux pourrait être tué s'ils ne faisaient pas attention là-bas, avec les soldats de Planet Trade qui sévissent partout dans l'univers. Elle avait un travail à faire maintenant.

Alors que Chi-Chi s'arrêtait aux côtés de Bulma et de Yamcha, Bulma balaya ses courts cheveux bleus de ses yeux et émit un sourire sympathique et douloureux à Chi-Chi. Il y avait une vraie sympathie que Bulma véhiculait, bien que la racine de cette sympathie était ce qui faisait souffrir Chi-Chi. Bulma était la confidente de Chi-Chi, son amie la plus proche, et la seule autre fille à devenir une femme sur ce navire. Elle savait, mieux que personne, la déception ressentie par Chi-Chi, qu'elle travaillait si fort à cacher. Bien qu'elle soit restée forte, il était impossible de cacher ses sentiments à Bulma, qui pouvait la lire comme un livre ouvert.

"Chi-Chi," dit Bulma.

"Ah." Maître Roshi haletait. "J'espère que cela ne vous dérangera pas, Chi-Chi, mais nous avons des projets à discuter, semble-t-il."

Chi-Chi croisa les bras et se renfrogna. "Alors je suis venue, et maintenant?"

À l'hostilité de Chi-Chi, la lèvre inférieure de Maître Roshi frémit. "Je-ce n'est pas de ma faute cette fois."

"Non." Bulma se leva et lissa les rides de sa robe longueur genou. "Ce n'est pas sa faute, Chi-Chi, je suppose que tu pourrais dire que c'est à moi."

"Oh," dit Yamcha, "ne dis pas ça, Bulma."
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"Le vaisseau ne va pas arriver à Namek," avoua Bulma. "J'ai peut-être sous-estimé la quantité de carburant dont nous aurions besoin."

"Ensuite, nous aurons plus de carburant", a insisté Chi-Chi.
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Chi-Chi ne manqua pas le regard inquiet que Bulma échangeait avec les autres avant de se tourner vers elle. "Nous pouvons le faire mais-"

"Tu sais ce qu'il faut pour avoir plus de provisions, Chi-Chi," interrompit maître Roshi d'un coup de barbe.

Puar vola du côté de Yamcha, balayant sa queue sur la large table blanche. "Mais nous devons atterrir quelque part! Nous sommes assez bas sur la nourriture, comme elle est."

"En parlant de ça," dit Turtle avec un sourire, "qu'est-ce que c'est que ce repas de fête et-"

"Bien." Chi-Chi se hérissa au rappel du dîner avant de détourner obstinément les yeux du regard amical de Turtle vers le sévère froncement de sourcils de Yamcha. "Nous ferons une dernière manche."

Avec un hochement de tête, Yamcha accepta. Ils avaient besoin de plus que du carburant, et cette course était inévitable. Ils avaient leurs uniformes et leurs armes fabriquées sur mesure. Ils savaient se défendre si les choses devenaient désordonnées dans les rôles qu'ils avaient à jouer, après avoir passé d'innombrables fois auparavant. Chi-Chi espérait que cette dernière fois aurait été la dernière,

Avec une profonde respiration, Chi-Chi rencontra le regard de Bulma. "Quel est le travail?" Cette fois-ci, un autre échange méfiant avait la lèvre de Chi-Chi en un air menaçant. "Bulma?"

"Nous avons intercepté un contrat." Bulma plissa les yeux. "Sur un Saiyan, nommé Brolly."

Chi-Chi a rechigné. "Un contrat? Êtes-vous fou?"

Levant les mains, Yamcha se précipita pour parler. "Nous ne l'avons pas pris officiellement, Chi-Chi."

"Nous avons juste entendu la transmission," a dit Maître Roshi, "mais nous avons assez d'informations pour savoir ce que nous allons faire."

"Donc nous ne sommes pas obligés." Bulma croisa les bras et émit ce sourire rusé que Chi-Chi détestait. "Personne ne saura que nous sommes à sa poursuite tant que nous n'aurons pas collecté cette énorme charge utile qui nous permettra d'acheter facilement tout ce dont nous avons besoin."

Chi-Chi massa le talon de sa main sur son front qui commençait à palpiter. "Vous êtes tous face à un problème énorme."

"Brolly?" Yamcha devina.

"Oui!" Chi-Chi a piétiné son pied. "Nous ne pouvons pas tuer un Saiyan!"

"Oh oui nous pouvons." Les yeux de Bulma se plissèrent tout en s'allumant d'excitation. "Nous devons juste le déjouer au lieu d'utiliser la force brute."

"Bulma."

"Chi-Chi," contra Bulma. "Imagine enfin pouvoir donner à un de ces abrutis ce qu'ils méritent."

Le regard de Chi-Chi s'adoucit. Bulma avait un point. Un Saiyan avait ruiné leurs vies et les avait chassés de leur maison. Il faisait probablement de même sur d'autres planètes ces dernières années. Et les Saiyans qui n'ont jamais mis les pieds sur Terre, ils étaient en train de détruire d'autres planètes et de ruiner d'autres races, comme toutes les autres races assoiffées de sang du Planet Trade avec des appareils de communication blindés pour faire leur travail. Si Chi-Chi pouvait donner à un seul Saiyan un avant-goût du sort qu'ils avaient subi, elle était tout à fait d'accord. Elle souhaitait seulement que ce Saiyan soit le même qui avait purgé la Terre, même si les chances de le revoir étaient très minces.

Avec un hochement de tête ferme, Chi-Chi donna son consentement. Cependant, cela signifiait qu'ils voyageraient sans aucun doute en territoire Saiyan, peut-être même en atterrissant sur la planète Vegeta si ce Brolly pouvait être trouvé à la maison, aussi rare que c'était pour des Saiyans. Chi-Chi et Yamcha pouvaient tous deux se faire passer pour des vils, avec leurs cheveux noirs et leurs yeux noirs et à quel point ils ressemblaient à des humains.

Elle le ferait, mais elle n'allait pas aimer ça. Pas avant que tous les Saiyans soient morts, et que plus  d'humains pourront  être ramenés à la vie.Cette histoire se passe quand Kakarot ne se cogne pas à la tête, il tue son grand père et eradique l'espèce humaine, la planète Vegeta n'est pas détruite,

Voilà, bonne lecture

Arc ( 1 à...) Terriens

Chapitre 1: Twist of Fate

Kakarot se réveillait. Au début, il ne pouvait pas se souvenir où il était. Il savait seulement qu'il faisait froid là où il était blotti. Quand ses yeux ronds s'ouvrirent, il vit à sa droite les niveaux  gris de l'espace étoilé et l'intérieur métallique de sa gousse, tandis qu'à sa gauche, ces mêmes images étaient teintées d'orange.
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Où il avait été et ce qu'il avait accompli au cours des huit premières années de sa courte vie, il commença lentement à revenir à lui alors que la voix féminine de la programmation de son vaisseau remplissait ses oreilles pour la deuxième fois. "Réveille-toi, Kakarot."
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Kakarot enleva l'écouteur qui entourait son oreille gauche pour faire de la place pour son poing opposé qui frottait dans ses yeux larmoyants.

"Bienvenue chez Planet Vegeta Félicitations pour votre retour de votre première mission."

Kakarot remplaça le scouteur avant de lécher ses lèvres sèches, "donc c'est Planet Vegeta, hein?"

"Oui, Kakarot, c'est ta planète natale."

"Ouais, tu l'as déjà dit." Kakarot leva les yeux au ciel en croisant les bras sur l'armure plaquée de métal qui s'étirait sur sa petite poitrine. "Accueil."

Avec un soupir mélancolique, Kakarot détourna les yeux curieux de la minuscule fenêtre incurvée de sa nacelle. Ce que Kakarot se souvenait le plus de sa planète, c'était de la quitter il y a des années. Ses souvenirs de la Terre verte et bleue étaient beaucoup plus vifs, bien qu'il sache que cette planète n'était pas  sa maison.
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Alors que l'approche de Kakarot approchait, l'atmosphère tourbillonnante et rouge de Vegeta se répandit pour engloutir la vue de sa fenêtre. Après avoir regardé avec respect la planète rouge, il cligna des yeux lorsque son vaisseau commença à vibrer.

"Entre dans l'atmosphère de Végéta, Kakarot,"Kakarot fronça les sourcils alors que les symboles commençaient à clignoter sur son écran, se reflétant et fendant la vue par la fenêtre, "Le roi Vegeta appelle à votre présence."

"Le roi Végéta ?"

Kakarot fronça le nez alors que les symboles de son détecteur éclairaient les détails de ses ordres et d'autres directions en émettant un bip dans son oreille gauche. Il se demanda ce qu'il se passerait s'il rejetait le cours tracé et s'enfuyait à la place où il voulait au moment où il atterrissait. Il voulait se battre contre quelqu'un. Il voulait manger quelque chose. Il avait été coincé en stase dans cette nacelle à l'étroit pendant des mois. La dernière chose qu'il voulait faire à l'arrivée était de rencontrer le roi. Quoi qu'il en soit, ça ne pouvait pas être bon.

"Préparez-vous à atterrir."

Serrant les dents, Kakarot ferma les yeux. L'approche était vertigineuse, car plus il s'approchait de la terre, plus il sentait qu'il allait plus vite et plus son pod spatial vibrait. Fermant les yeux était une tentative moche de réduire le barattage dans son estomac.

Il y eut une secousse quand son vaisseau fit un impact, s'enfonçant dans l'aire d'atterrissage souple avant de rebondir au sol. Le sifflement du sas retentit à l'instant où son vaisseau s'arrêta, pendant que Kakarot ouvrait les yeux pour voir la lumière pénétrer dans son hayon.

Kakarot tapota son scouteur pour confirmer et mettre fin au bip sonore. Dehors, l'air était épais d'humidité. Quand Kakarot étendit ses petites jambes et sortit de sa nacelle, il tourna le talon sur le vaste tarmac gris avec des intentions complètement différentes que de se diriger vers le palais droit devant lui.

"Kakarot," une voix bourrue appelée derrière lui. "Où pensez-vous  allez?"

Avec un harrumph, Kakarot jeta un coup d'œil oblique au vaste bâtiment royal tout le long du pas de tir et s'arrêta. "Je viens juste d'arriver."

"Vous avez été convoqué au roi Vegeta, troisième classe.

Grinçant des dents, Kakarot se tourna vers la voix rocailleuse qui lui adressait un si mauvais trait. Il se tordit le cou pour voir le visage de l'homme de grande taille dans une armure d'élite qui le regardait avec une barbichette, un scout à lentilles pourpres et une tête chauve.

"J'ai dit de bouger!" Le gardien a crié. "Après avoir bâclé votre première mission, vous n'allez pas laisser le roi attendre votre peau paresseuse."

"J'ai terminé ma mission."

La lèvre rayée de la moustache de l'homme plus grand tirait d'un côté alors qu'il souriait. "Vous en avez manqué quelques-uns, gamin, et il vous a fallu près d'une décennie pour en finir avec un tas de puni-"

"Ils n'étaient pas tous chétifs."

Les yeux du plus grand homme s'élargirent quand Kakarot rétrécit le sien. Il était peut-être un gamin, et il était peut-être en troisième classe, mais il n'allait pas laisser ce type lui parler de son niveau de puissance ou de sa mission sur Terre.

L'homme étudia Kakarot avant de tapoter son scouter. "King Vegeta, Nappa ici, j'ai le gamin de Bardock, il est en route maintenant."

Battant son poing contre son cœur, Kakarot envoya un sourire à l'élite. "Merci, Nappa ."

Quand il se tourna vers le bâtiment architecturalement impressionnant qui courait le long du tarmac, Kakarot fronça les sourcils au son des pas qui le suivaient. Encore plus ennuyeux que d'être escorté à travers le tarmac par un garde d'élite, ou d'être appelé à voir le roi au moment où il revenait de sa mission, était la pensée d'être considéré comme un échec. Il savait qu'il n'y avait pas d'autre âme vivante sur cette planète avant de l'avoir quittée. Il n'y avait rien de ramassé par son animateur, aucun signe de vie sur Terre quand il l'avait quitté il y a des mois. Cela devait être une erreur.

Avec un soupir, Kakarot adressa les lourds pas derrière lui. "Vas-tu me suivre tout le long?"

"C'est comme ça," dit Nappa avant de s'avancer et d'atteindre un bouton sur la courbe du mur bleu royal.

Kakarot se tourna vers le sifflement d'un dégagement du sas tandis que la porte de la main de Nappa s'ouvrait. Kakarot faisait maintenant face à une longue salle intérieure avec un tapis rouge et des murs plus bleu foncé. Poursuivant ses lèvres, Kakarot serra les poings et se dirigea vers le couloir. Il expliquait au roi qu'il n'avait pas échoué.

À son rythme pressé, avec les pas de Nappa qui le suivaient, Kakarot atteignit une porte avec un emblème royal en un rien de temps. Il n'attendit pas les instructions de Nappa, mais il tendit la main vers le bouton à côté, comme Nappa l'avait fait. La porte s'ouvrit pour lui exposer deux hommes qui attendaient à l'intérieur.

Kakarot reconnut le roi immédiatement, non seulement à cause de sa position assise au centre de la pièce et du fait qu'il portait une cape et une armure à crête royale, mais aussi parce que Kakarot reconnaissait le visage sévère. C'était une image qui avait été envoyée à son bateau pendant ses voyages afin qu'il sache à qui se prosterner quand il rejoindra son peuple sur Vegeta.

Kakarot reconnut également l'autre homme, qui ressemblait à une version adulte de lui-même avec une cicatrice sur la joue
et un bandeau rouge autour de sa tête. Cet autre homme n'était pas un élite, mais il n'avait pas besoin d'introduction. Kakarot se souvenait de son père, Bardock.

"Kakarot," sourit le roi, "asseyez-vous."

Les yeux de Kakarot se portèrent sur son père, dont le regard était fixé sur lui. "Non, merci, je préfère rester debout."

"Kakarot," siffla Bardock.

Le roi haussa les épaules. «Tu t'adaptes, sais-tu pourquoi je t'ai appelé ici, mon garçon?

Kakarot jeta un coup d'œil à Nappa qui se tenait par-dessus son épaule à l'entrée, puis à son père qui se tenait debout près du roi. Derrière son père et le roi, un écran panoramique accroché au mur de la salle confinée, avec des images satellites d'une autre planète. A en juger par les masses d'eau, Kakarot aurait pu jurer que c'était la Terre sur cet écran.Il y avait un groupe de points rouges dans un segment de l'image, chacun indiquant des niveaux de puissance faibles à modérés - indiquant la vie .

"Tu m'as appelé ici parce que," Kakarot prit une profonde inspiration et le laissa sortir, " quelqu'un a fait une erreur."

"Oui." Le roi Vegeta acquiesça. "Toi."

"Non."

"Oui," grogna Nappa.

Kakarot jeta un regard noir au garde avant de tourner la tête vers le roi. "J'ai suivi vos ordres."

"Il y avait des survivants." Le roi se tourna vers l'écran au-dessus de sa tête, agitant une main gantée de blanc juste avant que l'amas de taches rouges sur l'écran coloré disparaisse, le faisant sursauter. "Nappa, qu'est-il arrivé aux survivants?"

"Euh ... je ne sais pas, Sire."

"Je te le dis ," grogna Kakarot, "il n'y avait pas de survivants."

Le roi Végéta exhiba ses dents alors que Nappa murmurait dans son détecteur, demandant à quelqu'un de rafraîchir l'image. L'écran devint noir avant que la carte holographique ne réapparaisse, exactement comme il y a quelques secondes - sans aucun signe de vie. La planète était stérile. Comme Kakarot se souvenait de l'avoir laissé.

Kakarot sourit et croisa les bras. 

"Non," grommela le roi en plissant les yeux pensivement, "il y avait de la vie sur cette planète."

"Roi Végéta," dit Nappa avec son doigt toujours enfoncé dans son détecteur, "je viens de recevoir la nouvelle d'un vaisseau non enregistré qui part de la planète Terre."

"Ah," sourit le roi, "voilà où ils sont allés, tes survivants semblent s'éloigner, Kakarot, peut-être que je devrais te renvoyer pour finir le travail."

Kakarot se mordit la lèvre si fort qu'il pouvait goûter du sang sur sa langue, mais il parvint à maintenir son calme alors qu'il regardait le roi et son sourire jubilatoire. Il pouvait dire, en élargissant les yeux de Bardock et en secouant subtilement sa tête, que ce n'était pas le moment de s'en prendre au roi. Mais Kakarot ne pouvait pas s'en empêcher.

"Je suis juste retourné ici, j'ai déjà passé huit ans sur cette boule de boue," dit Kakarot en serrant les dents. "Demandez à quelqu'un d'autre de prendre soin d'eux si vous vous en souciez tellement, quelqu'un qui est déjà dans ce quadrant!"

Le roi Vegeta passa sa main sur son menton barbu. "Savez-vous comment ces survivants vous ont échappé?"

"Même s'il y avait des survivants, est-ce important?" Kakarot a découvert ses dents. "La planète est morte, la Planet Trade peut la vendre."

"Je suppose que tu as raison." Le roi jeta un regard noir sur Bardock, qui se tendit alors que le roi se retournait vers Kakarot. «Mais que ce soit une leçon pour toi, mon garçon, ne reviens jamais d'une mission en laissant derrière toi des survivants, tu restes le temps qu'il faut pour finir ta purge.

"La purge était -"

- Et si tu commets à nouveau cette erreur, insista le roi, quelqu'un va payer pour ça, que ce soit toi ou quelqu'un d'autre.

Alors que le roi donnait un regard pointu à Bardock, le froncement de sourcils de Kakarot s'approfondit. Il n'a pas apprécié recevoir des menaces du roi, particulièrement pas au moment où il est arrivé à la maison. Il n'a vraiment pas apprécié d'être accusé de faire une telle erreur. Il n'a pas laissé de survivants sur Terre.

Avec un clin d'œil concis au roi et sa mâchoire et ses poings serrés, Kakarot se retourna et quitta la pièce. De nouveau, il pouvait entendre Nappa sur ses talons avant que le sas ne se referme. Il n'avait même pas salué son père après l'avoir vu pour la première fois depuis qu'il était bébé, et ici il devait tolérer 
davantage la   présence de Nappa . Le roi gardait son père plus longtemps, c'était probablement une tactique de peur. Eh bien, Kakarot n'avait pas peur. Il savait qu'il verrait finalement son père à la maison.

"Peut-être que si tu as de la chance, gamin," gloussa Nappa, brisant les pensées de Kakarot, "un jour, tu trouveras ces Terriens et tu auras la chance de te racheter."

"Chance?." Kakarot se moqua. "S'il y a vraiment des Terriens là-bas, ce sont eux qui ont de la chance."

Kakarot craignait l'erreur jusqu'à des difficultés techniques, bien qu'il sache que le roi ne le ferait pas, et que Nappa non plus. Ils ne se souciaient pas d'une poignée d'humains perdus dans l'univers de toute façon. Pourtant, ils croyaient que Kakarot n'avait pas réussi à accomplir cette mission, juste à cause d'une poignée de blips sur un écran et un navire rebelle. Ils sautaient à cette conclusion parce qu'il était un enfant. Ou parce qu'il n'était pas un élite. D'une façon ou d'une autre, ils le sous-estimaient.
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Kakarot aurait de futures purges pour montrer à quel genre de combattant il appartenait, quel genre de Saiyan il était, pour montrer au roi et aux élites collées qu'il n'était pas du genre à être sous-estimé. Et si jamais il ne s'avérer qu'il y avait un groupe de survivants chanceux là - bas dans l' espace, ils feraient mieux d' espérer qu'ils ne se croisent jamais avec lui.

Dix ans après...

Les rafales d'oxygène, assurément silencieuses, qui propulsaient leur vaisseau dans l'espace au fur et à mesure qu'ils changeaient de cap, étaient inouïes à cause des acclamations rauques des célébrations qui se déroulaient à l'intérieur. Mis à part le message d' espoir manuscrit et décoloré que Chi-Chi griffonna depuis longtemps à côté de l'emblème CC rouge à sa surface, l'extérieur du navire était rond et indiscriminé, comme beaucoup d'autres. Un bip continua sur la console du navire devant le petit groupe de Terriens assis devant lui.

Le son apporta un sourire au visage de Chi-Chi alors qu'elle se jetait dans le siège rembourré vide à côté de Yamcha. Tout en écoutant les acclamations de ses amis qui se répercutaient sur les murs arrondis du pont principal du navire, Chi-Chi fixa son regard sur la petite grappe de points qui brillait sur une planète verte située dans la galaxie holographique étalée sur l'écran.

"Ça y est!" Bulma éclata de rire alors qu'elle s'approchait derrière Yamcha et drapait ses bras autour de ses épaules larges et blindées. "Nous les avons finalement trouvés!"

Yamcha lui sourit. "Ils existent vraiment."

«Qu'est-ce que je vous ai dit à tous? Si quelqu'un allait les trouver, ce serait moi.

Le sourire de Chi-Chi s'élargit alors qu'elle levait les yeux pour rencontrer le regard attentif de Bulma. Bulma pourrait partager cette réussite plus étroitement avec Chi-Chi que quiconque, parce que Chi-Chi était celle qui avait toujours la foi qu'ils trouveraient quelque chose, même à des moments où les choses semblaient désespérées. Peut-être que c'était parce qu'elle était naïve; Peut-être était-ce parce qu'elle et Oolong étaient les seuls vrais enfants quand ils ont quitté la Terre, et Oolong était cynique par nature. Son père, Yamcha et Puar, étaient également optimistes, mais d'autres facteurs leur donnaient des doutes. Des facteurs comme les monstres qui envahissent les planètes lointaines, comme une fois envahi la Terre.

"Ooh!" Mme Brief crissa du port du pont principal. "Cela appelle à une célébration!"

Chi-Chi se leva de son siège. "Je vais vous aider à mettre quelque chose ensemble, Mme Brief."

La femme âgée pivota sur ses talons avec un sourire aux yeux loufoques sur son joli visage alors qu'elle menait vers la cuisine. Chi-Chi supposait que Mme Brief et le Dr Brief étaient tous les deux assez optimistes, mais comme l'ami Tortue de Maître Roshi, ils n'étaient pas d'une grande aide dans leur quête de ces orbes magiques qui sauvaient leur vie sur Terre. Les parents de Bulma n'étaient pas non plus très conscients de la morosité de leur réalité, aussi l'optimisme devait-il leur être plus facile.

Après avoir donné un dernier coup d'œil appréciateur à Bulma, Chi-Chi laissa ses yeux passer devant l'écran bien visible et à travers tous les autres visages avant de se tourner pour suivre Mme Brief. Elle pouvait entendre la conversation reprendre quand elle quittait le pont principal, avec des tons de jubilation et de soulagement caractérisant les voix de tout le monde.

C'était certainement une cause de célébration. Pendant trop longtemps, leur petit groupe avait été le seul Earthlings restant, les seuls à avoir la chance d'échapper à ce monstre. Mais avec cette nouvelle information, là où auparavant il n'y avait que de l'espace vide et un vaisseau spatial bien entassés à appeler à la maison, il y avait maintenant un peu d'espoir pour quelque chose de mieux.

Il ne fallut qu'un instant à Chi-Chi pour traverser la petite salle menant à la cuisine. Entouré par la conception pratique du Dr Brief de lumières vives au plafond et de murs en métal argenté bordés d'entrées de cabine en métal contrôlées par des boutons à ses côtés, Chi-Chi savait que ce n'était pas l'environnement le plus scénique. Mais c'était la maison de Chi-Chi qu'elle partageait avec son père et ses amis, qui étaient vraiment plus proches d'elle qu'elle ne l'aurait jamais imaginé.

Quand elle atteignit la petite cuisine, Chi-Chi trouva Mme Brief avec sa tête enfouie dans le seul meuble supérieur situé à côté du réfrigérateur. Mme Brief fit une pause au son des pas de Chi-Chi, enroulant ses doigts autour de la porte de l'armoire métallique avant de jeter la tête par-derrière.

Chi-Chi croisa les bras sur le plastron d'armure sombre qu'elle souhaitait être un matériau plus doux et féminin, comme la robe de jour rose pastel que Mme Brief portait. Malheureusement, Chi-Chi et Yamcha étaient ceux qui sortaient le plus souvent du navire, ceux qui pouvaient se battre assez bien pour se faire passer pour des soldats de Planet Trade et entrer dans les deux uniformes qu'ils avaient réussi à voler sans regarder hors de propos. parmi d'autres soldats. Par conséquent, elle est toujours restée habillée pour jouer ce rôle. On ne savait pas quand une urgence se produirait ou une confrontation de flux vidéo se produirait pour interroger leur navire non enregistré. L'uniforme était une nécessité constante, même si cela l'écœurait de porter le même style que ces meurtriers de masse.

"Alors, Mme Brief." Chi-Chi soupira et passa une main dans les mèches qui lui tombaient dans les yeux. "Que faisons-nous?"

"Oh, Chi-Chi," Mme Brief a appuyé une main sur sa joue, "pouvez-vous vérifier ce que nous avons dans la réserve de stock?"
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Levant les sourcils, Chi-Chi se mit sur le côté, où une porte automatique de la cuisine mena au garde-manger. Quand elle appuya son pouce contre le panneau de la porte, la porte se glissa pour révéler un mur de ténèbres. Le premier pas de Chi-Chi fit écho dans le petit compartiment, indiquant avant même d'allumer le plafonnier que l'alimentation était basse. Alors que la luminosité inondait la pièce et que Chi-Chi détachait ses doigts de la corde métallique pendante, ses yeux fouillaient les réserves pour tout ce qui pouvait être utilisé dans un repas de fête.

Sur le sol au loin, Chi-Chi aperçut un sac de komugi, quelque chose qu'ils avaient depuis longtemps découvert comme un substitut passable de la farine de la Terre. Se frottant le menton, Chi-Chi plissa les yeux et essaya de décider ce qu'elle pouvait faire avec ce qui lui était disponible. Elle pensa peut-être qu'elle trouverait des ingrédients pour faire un gâteau, ce qui était l'un des passe-temps préférés de Mme Brief, mais rien d'autre ici ne semblait utile. Avec un froncement de sourcils aigre, elle se détourna de l'approvisionnement en stock pour voir Mme Brief avec ses mains sur ses hanches au milieu de la cuisine.

"Pas de chance?"

"Non." Chi-Chi força un sourire, comme Mme Brief le faisait déjà. "Je suppose que nous allons célébrer le dîner standard."

"C'est d'accord!" Mme Brief se retourna pour atteindre le cabinet inférieur, claquant et cliquetant des casseroles et des poêles.

Chi-Chi tendit la main vers la porte du réfrigérateur, partageant son expression déçue avec le contenu du réfrigérateur quand l'air frais frappa son visage. Ils cuisineraient encore une fois et mangeraient une autre nuit de soupe rationnée avec de la viande séchée et gamie.

"Puis-je aider?"

La voix chaude et profonde de la salle apporta un sourire au visage de Chi-Chi, même à la lumière de la découverte décevante. "Papa."

"Je ferai la cuisine ce soir," dit son père, "si vous cherchez une pause, mesdames."

"Oh." Mme Brief eut un petit rire. "N'êtes-vous pas mignon, Gyumaoh King."

Atteignant le morceau de viande froide près de son visage, Chi-Chi durcit son regard et arracha la viande du frigo. "Je pense que nous l'avons couvert, nous pouvons gérer cela."

Une lourde main atterrit sur l'épaule de Chi-Chi avant que la porte ne se referme. "Chi-Chi, tu devrais faire une pause ... Je pense que Bulma a besoin de te voir de toute façon."

"Bulma?" Chi-Chi cligna des yeux lorsque son père lui arracha le morceau de viande froid et lourd de ses doigts.

"Ouais," dit son père en étendant la viande dans une paume massive tout en frottant l'autre sur le dos de son cou épais, "ils parlent d'où nous nous dirigeons ensuite."

"Oh."

Alors que Chi-Chi masquait son expression, les yeux de son père détournèrent son regard. "Je vais prendre soin du dîner."

Fronçant les sourcils, Chi-Chi se pressa contre la porte du réfrigérateur tandis que son père la dépassait, ses larges épaules se glissant à peine dans l'étroite allée entre le comptoir et le réfrigérateur où Chi-Chi se tenait là. Son hésitation à lui dire d'aller voir Bulma, en lui faisant savoir que c'était à propos de leur direction, avait déjà déçu Chi-Chi. Après cette grande découverte, il n'y aurait pas eu de doute qu'ils se dirigeaient vers Namek. Mais ce n'était pas le cas. Quelque chose n'allait pas.

Alors que Mme Brief commençait à bavarder avec son père, Chi-Chi plissa les yeux et se glissa hors de la porte de la cuisine sans même jeter un coup d'œil derrière elle. Elle était maintenant déterminée à découvrir le plan de Bulma, et exactement pourquoi ce plan n'impliquait pas de se diriger directement vers Namek et de trouver ces Dragon Balls.

Ses bottes à pointe dorée pointaient haut et fort alors qu'elle traversait le couloir dans le grand espace ouvert du pont principal. A la même table qu'elle avait quittée plus tôt, Maître Roshi était maintenant en train d'expliquer quelque chose à Turtle et Puar avec ce regard sérieux sur son visage que Chi-Chi connaissait trop bien. L'homme pouvait être un pervers à la fois, mais il était aussi un sage maître des arts martiaux qui se rapprochait de la victoire contre ce singe géant que n'importe qui d'autre sur Terre. Chi-Chi savait quand il était temps de le prendre au sérieux.

Elle ralentit son rythme tandis qu'elle observait ces trois, si profondément investis dans les murmures silencieux de Maître Roshi qu'ils semblaient ignorer la présence de Chi-Chi. Ils semblaient aussi ignorer la présence de Bulma et de Yamcha, bien qu'ils agissaient probablement de cette façon pour donner à ces deux-là un sentiment d'intimité. Il n'y avait pas beaucoup d'intimité sur le bateau. Le regard de Chi-Chi, fixé sur Bulma, s'adoucit tandis que ses pieds s'arrêtaient. C'était rare de voir Bulma, qui était habituellement pleine de concentration et de détermination, souriant si facilement. Mais cela arrivait en présence de Yamcha,  elle l'entoura de ses bras. Chi-Chi aimait attraper ces moments fugaces. Elle se demandait souvent comment elle se sentait. Pas avec Yamcha; il était comme un grand frère autant que Bulma était comme une grande sœur, et du point de vue de Chi-Chi, il était absolument amoureux de Bulma. Mais elle aurait aimé pouvoir savoir ce que cela faisait avec quelqu'un.

Les yeux de Chi-Chi s'élargirent lorsque les yeux noirs de Yamcha se tournèrent vers son regard vigilant. Il était juste à un souffle de baiser sur le cou de Bulma quand ses joues virèrent au rose et il libéra lentement Bulma de son étreinte. Chi-Chi se détourna, sa queue de cheval noire battant son dos avec la soudaineté de son action. Elle avait honte de les regarder maintenant, mais il semblait que Yamcha avait honte. Il n'avait rien à avoir honte. Au moins, il connaîtrait l'amour avant sa mort, peut-être même aurait-il un jour des enfants avec Bulma. Chi-Chi n'aurait rien de tout cela si ce souhait ne s'était pas produit. Les seuls autres hommes vivants, mis à part des extraterrestres humanoïdes qui se différenciaient toujours assez pour rendre Chi-Chi mal à l'aise, comme ces Saiyans avec leurs queues et leurs transformations, étaient son père, le Dr Brief et Maître Roshi rien de tout ça. Bien que face à une existence complètement vide d'une famille à elle, le dernier recours n'était pas pire d'une alternative.
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Chi-Chi dut avaler ces sentiments et les repousser avant de serrer les poings et de s'approcher des autres. Elle n'avait pas le temps de s'inquiéter de l'amour ou de la luxure alors que sa survie était constamment en jeu. N'importe lequel d'entre eux pourrait être tué s'ils ne faisaient pas attention là-bas, avec les soldats de Planet Trade qui sévissent partout dans l'univers. Elle avait un travail à faire maintenant.

Alors que Chi-Chi s'arrêtait aux côtés de Bulma et de Yamcha, Bulma balaya ses courts cheveux bleus de ses yeux et émit un sourire sympathique et douloureux à Chi-Chi. Il y avait une vraie sympathie que Bulma véhiculait, bien que la racine de cette sympathie était ce qui faisait souffrir Chi-Chi. Bulma était la confidente de Chi-Chi, son amie la plus proche, et la seule autre fille à devenir une femme sur ce navire. Elle savait, mieux que personne, la déception ressentie par Chi-Chi, qu'elle travaillait si fort à cacher. Bien qu'elle soit restée forte, il était impossible de cacher ses sentiments à Bulma, qui pouvait la lire comme un livre ouvert.

"Chi-Chi," dit Bulma.

"Ah." Maître Roshi haletait. "J'espère que cela ne vous dérangera pas, Chi-Chi, mais nous avons des projets à discuter, semble-t-il."

Chi-Chi croisa les bras et se renfrogna. "Alors je suis venue, et maintenant?"

À l'hostilité de Chi-Chi, la lèvre inférieure de Maître Roshi frémit. "Je-ce n'est pas de ma faute cette fois."

"Non." Bulma se leva et lissa les rides de sa robe longueur genou. "Ce n'est pas sa faute, Chi-Chi, je suppose que tu pourrais dire que c'est à moi."

"Oh," dit Yamcha, "ne dis pas ça, Bulma."
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"Le vaisseau ne va pas arriver à Namek," avoua Bulma. "J'ai peut-être sous-estimé la quantité de carburant dont nous aurions besoin."

"Ensuite, nous aurons plus de carburant", a insisté Chi-Chi.
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Chi-Chi ne manqua pas le regard inquiet que Bulma échangeait avec les autres avant de se tourner vers elle. "Nous pouvons le faire mais-"

"Tu sais ce qu'il faut pour avoir plus de provisions, Chi-Chi," interrompit maître Roshi d'un coup de barbe.

Puar vola du côté de Yamcha, balayant sa queue sur la large table blanche. "Mais nous devons atterrir quelque part! Nous sommes assez bas sur la nourriture, comme elle est."

"En parlant de ça," dit Turtle avec un sourire, "qu'est-ce que c'est que ce repas de fête et-"

"Bien." Chi-Chi se hérissa au rappel du dîner avant de détourner obstinément les yeux du regard amical de Turtle vers le sévère froncement de sourcils de Yamcha. "Nous ferons une dernière manche."

Avec un hochement de tête, Yamcha accepta. Ils avaient besoin de plus que du carburant, et cette course était inévitable. Ils avaient leurs uniformes et leurs armes fabriquées sur mesure. Ils savaient se défendre si les choses devenaient désordonnées dans les rôles qu'ils avaient à jouer, après avoir passé d'innombrables fois auparavant. Chi-Chi espérait que cette dernière fois aurait été la dernière,

Avec une profonde respiration, Chi-Chi rencontra le regard de Bulma. "Quel est le travail?" Cette fois-ci, un autre échange méfiant avait la lèvre de Chi-Chi en un air menaçant. "Bulma?"

"Nous avons intercepté un contrat." Bulma plissa les yeux. "Sur un Saiyan, nommé Brolly."

Chi-Chi a rechigné. "Un contrat? Êtes-vous fou?"

Levant les mains, Yamcha se précipita pour parler. "Nous ne l'avons pas pris officiellement, Chi-Chi."

"Nous avons juste entendu la transmission," a dit Maître Roshi, "mais nous avons assez d'informations pour savoir ce que nous allons faire."

"Donc nous ne sommes pas obligés." Bulma croisa les bras et émit ce sourire rusé que Chi-Chi détestait. "Personne ne saura que nous sommes à sa poursuite tant que nous n'aurons pas collecté cette énorme charge utile qui nous permettra d'acheter facilement tout ce dont nous avons besoin."

Chi-Chi massa le talon de sa main sur son front qui commençait à palpiter. "Vous êtes tous face à un problème énorme."

"Brolly?" Yamcha devina.

"Oui!" Chi-Chi a piétiné son pied. "Nous ne pouvons pas tuer un Saiyan!"

"Oh oui nous pouvons." Les yeux de Bulma se plissèrent tout en s'allumant d'excitation. "Nous devons juste le déjouer au lieu d'utiliser la force brute."

"Bulma."

"Chi-Chi," contra Bulma. "Imagine enfin pouvoir donner à un de ces abrutis ce qu'ils méritent."

Le regard de Chi-Chi s'adoucit. Bulma avait un point. Un Saiyan avait ruiné leurs vies et les avait chassés de leur maison. Il faisait probablement de même sur d'autres planètes ces dernières années. Et les Saiyans qui n'ont jamais mis les pieds sur Terre, ils étaient en train de détruire d'autres planètes et de ruiner d'autres races, comme toutes les autres races assoiffées de sang du Planet Trade avec des appareils de communication blindés pour faire leur travail. Si Chi-Chi pouvait donner à un seul Saiyan un avant-goût du sort qu'ils avaient subi, elle était tout à fait d'accord. Elle souhaitait seulement que ce Saiyan soit le même qui avait purgé la Terre, même si les chances de le revoir étaient très minces.

Avec un hochement de tête ferme, Chi-Chi donna son consentement. Cependant, cela signifiait qu'ils voyageraient sans aucun doute en territoire Saiyan, peut-être même en atterrissant sur la planète Vegeta si ce Brolly pouvait être trouvé à la maison, aussi rare que c'était pour des Saiyans. Chi-Chi et Yamcha pouvaient tous deux se faire passer pour des vils, avec leurs cheveux noirs et leurs yeux noirs et à quel point ils ressemblaient à des humains.

Elle le ferait, mais elle n'allait pas aimer ça. Pas avant que tous les Saiyans soient morts, et que plus  d'humains pourront  être ramenés à la vie.

Prochain chapitre le 6 juin à 19h
Dernière édition par Black_Sennin le Jeu Juin 14, 2018 22:17, édité 2 fois.
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Black_Sennin le Dim Juin 03, 2018 9:43

Je sortirai mes chapitre tous les mercredi entre 19h et 20H comme j'ai entraînement ce jour la
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Black_Sennin le Mer Juin 06, 2018 10:54

Chapitre 2: Convergence

Le travail de Chi-Chi était simple. Elle l'avait fait une centaine de fois. Tout ce qu'elle avait à faire était de se promener au bar, de poser quelques questions aux soldats, et si elle avait de la chance, elle quitterait cette planète avec des infos sur ce Brolly qu'ils essayaient de trouver. Chi-Chi repoussa ses épaules, se sentant mal à l'aise dans son armure fléchissante alors qu'elle suivait Yamcha à travers les portes. Le bar n'avait pas l'air si mal. C'était mieux que ce qu'ils avaient été dans les nuits passées. Au moins, ce point d'accès à la prise de force était un établissement régulièrement nettoyé et surveillé. Les plus éloignés des sentiers battus étaient toujours plus insalubres.

"Tu sais quoi faire, Chi-Chi?"

Jetant un regard oblique à son compagnon dont les yeux scrutaient la pièce bondée, Chi-Chi souffla. "Bien sur que oui."

"Rappelles toi-"

"Nous nous rencontrerons à l'extérieur de nos chambres, partons le matin."

Yamcha pencha la tête, levant les sourcils. "Es-tu sûr que tu vas bien-"

Chi-Chi sourit. «Ça ira, Yamcha, tu es sûr que çava aller?

"Ha, ha," dit Yamcha sans humour. "Très drôle, Princesse , je peux gérer quelques soldat moi-même."

"Qui a dit que quelqu'un allait se battre?"

"Euh!" Les yeux écarquillés, Yamcha grimaça du regard renfrogné de Chi-Chi. "Ce n'est généralement pas le plan, mais vous savez comment les choses se passent."

Chi-Chi secoua la tête. Cela semblait toujours être le cas avec ces hommes musclés. Yamcha n'était pas aussi mauvaise que les autres espèces d'hommes qu'elle avait rencontrées dans le passé, les junkies d'adrénaline travaillant par choix pour le commerce de la Planète. Ils étaient tous des idiots.

Le regard de Yamcha se durcit alors que ses lèvres s'étiraient en un sourire. "Je trouverai quelque chose, d'accord."

Chi-Chi retourna le sourire. "Nous verrons qui trouvera quelque chose en premier."

Avec un clin d'œil au mur du fond, où une partie de ki-dart était jouée et où de l'argent était jeté frivole sur les tables, Yamcha se dirigea de la sorte avec un sourire sur son visage.

Le sourire de Chi-Chi tomba dans une ligne dure de détermination alors qu'elle posait les yeux sur un tabouret vide droit devant elle, à côté d'un petit soldat ressemblant à un crapaud qui se balançait sur son siège. Chi-Chi essaya de contenir la grimace qu'elle ressentait à sa vue, mais elle reconnut l'emblème sur son uniforme. Il n'était pas juste un soldat de l'empire . Il faisaient partie du commando Ginyu. Si elle devait choisir un homme ici qui saurait où trouver Brolly, sa meilleure chance était cette ivresse à quatre yeux.

Elle se lécha les lèvres avec une anticipation nerveuse alors qu'elle se dirigeait vers le bar, incapable d'ignorer plusieurs paires d'yeux sur elle. Elle était l'une des seules femmes de l'établissement, mais elle portait l'armure qui suggérait qu'elle n'était pas du genre à être défiée. Malheureusement, il y avait une table pleine d'hommes chahuteurs dans le coin sombre qui avaient l'air Saiyan. Les hommes saiyan étaient également susceptibles de connaître leur compatriote Saiyan. Ils étaient aussi les espèces que Chi-Chi détestait plus que tout autre dans l'univers. S'ils étaient Saiyans, elle voulait les éviter à tout prix. Avec prudence, Chi-Chi se glissa dans le siège vide du bar, attrapant l'œil du membre du Commando  Ginyu assis à côté d'elle.

C'était juste une autre nuit pour célébrer une purge réussie. Les camarades de Kakarot étaient occupés à boire, à manger et à rire de la façon dont les espèces faibles de cette dernière planète avaient l'air de mourir. Kakarot appréciait la nourriture et la boisson, mais c'était là que sa jouissance s'arrêtait. Il a échoué à trouver l'humour dans la façon dont les faibles sont morts. Il n'a jamais trouvé d'amusement à tuer des gens plus faibles. C'était les autres purges que Kakarot appréciait, comme celle qu'il y a quelques mois, où les indigènes étaient assez forts pour leur donner un bon combat. Ce soir, il était obsédé par la nourriture et la boisson, parce que sinon il s'ennuierait. Les autres seraient aggravés en entendant des plaintes de lui - pas que choisir un combat avec l'un d'eux pour l'amour n'était pas une option qu'il considérait sérieusement. Tout en réfléchissant à la pensée, Kakarot atteignit le fond de son assiette. Ses yeux se levèrent de la porcelaine recouverte de miettes pour scanner son environnement.

L'atmosphère sombre du bar était calme, semi-bondée et propre. Kakarot détestait les bars comme celui-ci. Il espérait que lors de leur prochaine purge, ils seraient affectés plus loin dans la périphérie. Il n'aimait pas seulement la façon dont les bars de Frieza Planet étaient entretenus, mais le patronage constant des soldats d'élite de Frieza le gênait et l'agaçait. Ses yeux ont dardé à Guldo à la pensée. Kakarot ne pouvait pas supporter ce type.

Les sourcils de Kakarot se froncèrent tandis qu'il se penchait en avant, remarquant que Guldo parlait à une femme. C'était inhabituel. Mais ce qui était vraiment surprenant, c'était que la femme avait l'air d'un Saiyan, avec ses cheveux noirs et son uniforme à jupe semblable à l'armure de poitrine que Kakarot portait par-dessus son sous-vêtement noir. Soit quelque chose n'allait pas avec cette femme, soit elle cherchait à obtenir quelque chose d'important de Guldo. Kakarot espérait que c'était le dernier, et si c'était le cas, il allait découvrir ce qui était si important. Enfin, il y avait quelque chose d'intéressant dans le bar.

"Hé, Kakarot, tu aimes cette jolie petite chose?"

Kakarot ne prit pas la peine de lui arracher les yeux pour s'adresser à son camarade. "Peut être."

"Et je pensais que Kakarot ne s'intéressait pas aux femmes."

Alors que les autres riaient de rire avec son camarade, Kakarot lança un sourire en coin à son membre moqueur de l'équipe. "Qu'est-ce que ça vous vaut de découvrir?"

 Arnsip, le plus grand et le plus ancien du groupe, cligna des yeux d'abord, puis éclata de rire. «Tu penses que tu peux convaincre cette femme de partir avec des gens comme toi, la troisième classe? Elle parle à Guldo, loin de ta ligue.

Kakarot grogna, mais fut interrompu par un second camarade qui entra, "J'aimerais voir ça Kakarot, je viens d'être affecté à Crep ce mois-ci."

Les yeux de Kakarot s'élargirent. "Crep, pas juste!"

«Si tu la fais sortir volontairement de ce bar avec toi, je t'échangerai, peu importe ce que tu as, mais si tu perds, dit le Saiyan en jetant un doigt en l'air, partager vos rations avec moi. "

"Mes rations?"

"Viande incluse", ajouta le Saiyan avec un petit rire.

Les dents serrées de Kakarot se détendirent rapidement en un large sourire. Bien que l'idée inimaginable de partager ses rations était inconfortable, Kakarot savait qu'il pouvait le faire. Et l'idée de défier des guerriers comme les Crepians avait déjà son sang qui remuait. Il n'échouerait pas. Tout ce qu'il avait à faire était de convaincre cette fille de sortir du bar avec lui. Il devrait d'abord se débarrasser de Guldo, mais ce ne serait pas un problème. Le gars n'avait aucune tolérance pour parler à des Saiyans comme lui, et devait être assez saoul pour qu'il puisse être soufflé par une brise.

Avec un signe de tête affirmatif à ses camarades, Kakarot se leva de son siège, fixant les yeux sur la femme avec Guldo. Guldo parlait et agitant la main en l'air tandis que la femme hocha patiemment la tête. Elle était jeune - probablement autour de l'âge de Kakarot. Sa peau pâle avait l'air douce, presque comme si elle n'avait pas passé suffisamment de temps au combat pour quelqu'un de son âge. Quand Kakarot était à mi-chemin du bar, la regardant se caler sur son siège, il se figea. Elle n'avait pas de queue. Puis il haussa les épaules et continua son approche.Lui non plus. Elle l'a probablement perdu au combat, tout comme lui.

Quand le son de la voix nasale de Guldo frappa ses oreilles, Kakarot sourit. "Hey."

Guldo se retourna, renfrogné. "Qui es-tu?"

Agacé que Guldo ne l'ait pas reconnue après toutes les fois où l'équipe de Kakarot avait été forcée de se retirer pour l'intervention de la Force Ginyu, Kakarot fixait l'élite. "Personne."

"Non," articula Guldo, glissant de son tabouret de bar. Je t'ai déjà vu quelque part, je ne te connais pas?

Kakarot tourna son regard sur la jeune femme qui les regardait curieusement. "Est-ce que tu réalises à qui tu parles?"

"Guldo," répondit la fille en croisant fermement les bras. "De la Force Ginyu."

Guldo renifla. "Est-ce que tu réalises à qui tu parles maintenant, Boy?"

Kakarot fronça les sourcils devant la déclaration stupide de Guldo, puis leva un sourcil vers la fille. Cette femme était vraiment audacieuse, d'être directement confrontée à un membre de la Ginyu Force. Le capitaine Ginyu entraîna ses hommes à mépriser les Saïyens. Guldo venait de faire des insultes à l'équipe de Kakarot plus tôt dans la soirée. A en juger par la façon dont il les regardait tous les deux, Guldo semblait penser que la fille était avec Kakarot, alors c'était incroyable qu'elle ait eu cette conversation avec le petit mutant.

"Bien." Kakarot se tourna vers la femme avec un sourire, la saisissant par le bras. "Il est temps pour nous d'y aller."

"Où? " »elle a crié dans l'outrage, frappant la main de Kakarot. "Je ne vais nul part!"

Serrant les dents, Kakarot secoua sa main blessée. Puis il sourit à la femme fougueuse. "Non, c'est ton copain du Commando Ginyu."

Alors que la jeune fille haletait à la vue de Guldo agitant une main avec un petit rire mystérieux avant de s'éloigner et de grogner avec irritation, Kakarot sourit. Maintenant qu'il avait Guldo à l'écart, il avait la femme pour lui. Mais à en juger par le froncement de sourcils et le rétrécissement déterminé de ses sourcils, elle n'était pas prête à le laisser tranquille. Elle ne réalisait pas à quel point il l'aidait ici.

"Hey!" Kakarot passa un bras sur sa poitrine alors qu'elle se précipitait sur Guldo.

"Guldo, je n'ai pas fini avec toi!"

Kakarot ricana dans le dos de Guldo, espérant que le mutant ne se retournerait pas. Cette fille se révélait être plus de problèmes . Elle allait lui poser des problèmes avec le Commando  Ginyu s'il ne faisait pas attention. "Hey, vas-tu arrêter ?"

Elle grogna, tirant sur Kakarot un regard noir. "J'avais besoin de lui poser des questions sur quelqu'un."

Kakarot a ri. "Guldo, il ne vous dira rien." Alors que la jeune fille levait le menton et écartait sa main, Kakarot s'élança derrière elle. "Pourquoi ne m'essaies-tu pas?"

Elle s'arrêta, clignant des yeux. "Toi?"

A la vue de ses jolis cils flottant sur ses larges yeux noirs, Kakarot sourit. Essayez-moi, vous passez du temps avec moi et je ferai de mon mieux pour répondre à vos questions, c'est une meilleure façon de passer votre nuit que de vous faire tuer par un membre de la Ginyu Force.

"Tué?"

"Ouais." Kakarot passa quelques bouchées de la table voisine alors qu'il la conduisait à la porte, tandis que la jeune fille regardait derrière lui vers des voix rauques, fronçant les sourcils. "N'oublie pas, les Ginyus ne parlent pas aux gens à moins qu'ils aient d'autres projets, même pas les plus faibles d'entre eux."

"Euh." Les yeux de la jeune fille s'élançèrent vers quelque chose à l'autre bout du bar, avant qu'elle ne les rétrécisse à Kakarot. "Tu répondras tout ce que je veux savoir sur ce type?"

"Oui."

"Toi ... comment t'appelles-tu?"

"Et si on oubliait les noms ce soir?"

"Huh?"

"Gardons cela simple." Kakarot sourit et glissa son bras sur les épaules sveltes mais fermes de la jeune fille, se sentant triomphante sous la forme d'une jolie nuance de rose sur ses joues. «J'ai plus de purges à faire bientôt, je ne veux pas m'inquiéter de me souvenir de nouveaux noms quand je suis libre, tu peux t'amuser un peu, n'est-ce pas?

"Hum." Elle hésita, jetant un dernier coup d'œil par-dessus son épaule, où les camarades de Kakarot les regardaient avec crainte, avant que Kakarot ouvre la porte pour les exposer à l'atmosphère chaude et humide de l'atmosphère de la planète. "C'est très important que je le trouve bientôt, j'ai besoin d'informations ce soir."

"Bien-sûr." Kakarot resserra son étreinte soyeuse, notant un arôme floral unique qui flottait sur les cheveux de la jeune fille près de son nez alors qu'ils baissaient le chemin extérieur éclairé. C'était dommage qu'il était temps pour eux de se séparer. "Mais tu peux oublier ça maintenant."

"Wh-quoi?"

Quand la porte claqua derrière eux, Kakarot rit triomphalement. «Trop facile, merci, ma fille.

Après que Kakarot eut tourné la tête et s'éloigna, un grondement indigné retentit derrière lui. "Hey, où penses-tu allé?"

"Je n'ai pas encore décidé." Kakarot haussa les épaules alors qu'il continuait à marcher. "Je vais probablement arrêter pour une autre bouchée quelque part avant de l'appeler une nuit."

Des bruits de pas bruyants s'abattirent derrière lui. "Qu'en est-il de mes questions?"

«Essaie de demander à quelqu'un qui s'en soucie la prochaine fois,

"Non!" Kakarot fut tourbillonné par la force d'une petite main le saisissant par l'épaule de son armure. "Tu me dois des réponses, espèce de crétin, surtout après avoir chassé mon seul plomb!" D'ailleurs, "ajouta-t-elle doucement avec un froncement de sourcils," et ... je pensais ... tu ne voulais pas ... "

«Tout ce que je voulais, c'était prouver que je pouvais te sortir de là avec moi, ce n'était pas difficile.

"Attends, tu as couru mon unique avance pour gagner un pari ?" Elle leva un poing fermé, découvrant ses jolies dents. « Vous allez m'aider à trouver ce gars là, »

"Bien bien." Kakarot agita une main et soupira. "Mais si je vais parler avec une jolie fille d'un gars au hasard qui n'est pas moi , nous allons d'abord nous amuser."

"A-amusé ? Avec vous?"

"Ouais, vous savez ce qu'est l'amusement, non?"

"Bien sûr que je le sais!

"Mais quoi?"

"Je ne te connais même pas."

Kakarot leva un sourcil. "Tu veux aussi mon numéro et mon grade de scouteur, est-ce que tu es si particulier avec tous les hommes à qui tu parles?"

Elle se dégagea de l'emprise de Kakarot, plantant ses mains sur ses hanches. "Il n'y a rien de particulier à ne pas vouloir passer la soirée avec un parfait inconnu!"

Kakarot sourit à la réponse énergique de la jeune fille avant d'arrêter ses divagations continuelles pour regarder derrière elle, où il aperçut la vue attrayante d'une nourriture et d'un salon de jeu animés en plein air. Il y avait de la musique légère avec les odeurs tentantes de rôtir, viandes assaisonnées transportant dans le vent soufflant de sa direction. Il était trop heureux de la scène prometteuse dans le lointain pour être dissuadé par le visage renfrogné féroce sur son visage.

"Ooh!" Kakarot saisit la fille par son petit poignet. "Là-bas, allez!"

Traînant la fille derrière lui, Kakarot courut vers l'endroit avec des pancartes vantant la meilleure nourriture de la planète, le meilleur divertissement et la meilleure musique. La musique était tout instrumentale, originaire de la planète et unique d'une manière que Kakarot ne pouvait pas vraiment apprécier, mais le divertissement semblait prometteur, et par les odeurs savoureuses, il pouvait déjà dire que ça allait être génial. Quand il planta ses talons dans la terre, s'arrêtant brusquement, il fut soudainement frappé à l'arrière de la tête.

"Qu'est ce que tu crois faire?"

"Ow," gémit Kakarot en se frottant la tête et en lançant un regard incrédule à la jeune fille. "Vous amener ici ."

"Eh bien, je peux marcher tout seul, tu sais."

Alors qu'elle soufflait et marchait en avant, Kakarot gloussa dans son dos. "Je peux voir ça, qu'est-ce que tu veux faire en premier?"

Elle se tourna, clignant des yeux, alors qu'elle appuyait un doigt sur sa lèvre inférieure souple. "Tout ce que je veux vraiment, c'est te poser des questions."

«Ce type que tu cherches doit être vraiment important, avec des odeurs comme ça dans les airs, comment peux-tu même penser à tes stupides questions?

"Stupide?" Elle fronça les sourcils avant que Kakarot ne la dépasse, suivant les odeurs de viande juteuse qui arrosait sa bouche. "Comment pouvez- vous penser à la nourriture? Vous n'avez pas mangé?"

Léchant ses lèvres, Kakarot ignora sa question bizarre et se dirigea vers les tables remplies de dîneurs décontractés. Il était en train de doubler les étagères d'une brochette de viande carbonisée fumant à côté d'une grille ouverte où un indigène cornu à la peau brune, en tablier bleu, renversait des morceaux de viande crus au-dessus d'une flamme nue. Kakarot tendit la main vers une brochette, plissant les yeux pour avertir le cuisinier qui le réprimanda presque, avant de se tourner vers la jeune fille. Ses yeux étaient fixés sur lui, ou plus précisément sur ses lèvres fraîchement mouillées. Il sourit en pinçant la brochette chaude entre ses doigts, l'élevant à son regard. "Vous en voulez?"

"M-moi?" Elle secoua furieusement la tête. "N-non, merci."

Alors que son regard se détournait vers le sol, Kakarot haussa les épaules. Il enfonça le contenu de la brochette dans sa gorge avec un bourdonnement satisfait, ne se souciant pas de la chaleur torride contre sa langue ou de la taille massive des morceaux qui se pressaient contre sa gorge. Le goût était trop étonnant pour n'importe quel malaise à la matière. Son estomac le remerciait avant même que la viande ne descende.

"Et vous ..." elle s'interrompit, ses yeux se déplaçant vers ses fesses et se rétrécissant alors qu'elle se faufilait sur le côté.

Kakarot se sourit à lui-même, amusé par la femme qui le surveillait si ouvertement, même s'il n'était pas rare que les femmes saïyennes soient en avant. Il espérait qu'elle ne se souciait pas de la queue manquante, mais voyant que la sienne l'était aussi, elle n'avait aucune place pour juger. Il ne savait pas qu'elle était intéressée par ça ce soir, mais ce n'était pas une mauvaise idée. Le temps entre les purges pourrait être ennuyeux pour les équipages masculins, surtout quand les autres extraterrestres rencontrés ressemblaient plus à des insectes qu'à des personnes. Se heurter à une femme comme elle était une occasion rare qu'il ne devrait pas perdre.

Alors que Kakarot attrapait une autre brochette, il tourna son regard vers la femme pour voir ses jolis yeux noirs fixés sur son visage. Elle était vraiment une Saiyan attrayant avec une beauté unique, tellement plus douce et plus fine que n'importe quelle femme qu'il avait jamais vue. D'un claquement de doigts, Kakarot appela l'attention d'un garçon de passage. Le jeune extraterrestre en uniforme s'arrêta à ses côtés, jetant un coup d'œil oblique lorsque Kakarot sourit.

"Un verre pour moi et mon ami ici." Kakarot a indiqué une table blanche vide avec une inclinaison de sa tête. "La chose la plus forte que vous avez."

"Euh ..."

L'objection de la femme fut coupée court alors que le serveur s'éloignait, hochant la tête, tandis que Kakarot se précipitait sur la chaise avec des brochettes pleines et fumantes à la main. Il attendit avec impatience, fixant la chaise pour qu'elle s'assoie, avant de lui arracher une autre bouchée de viande juteuse. Alors que les huiles chaudes coulaient sur son menton, Kakarot mâcha son contentement, souriant avec des joues rebondies quand la jeune fille s'assit finalement en face de lui.

«Je ne bois pas,» elle a dit docilement.

"Ohm?" Kakarot avala sa nourriture. "Pourquoi pas?"

"Je ne sais pas." Elle se frotta le cou avant de fixer son regard sur Kakarot. "Je n'ai jamais bue, je suppose."

"Oh." Kakarot sourit. "Tu aimeras."

"Comment le sais-tu?" Elle a levé un sourcil. "As-tu essayé-"

"Voici!" La table s'effondra alors que deux boissons étaient jetées sur la table, jetant un liquide violet bouillonnant sur la jante avant que le serveur ne lâche les poignées des mugs et leur sourit. "Ce sera tout?"

La fille sourit avec insouciance à leur serveur. "Peut-être quelques serviettes."

"Eh bien," Kakarot passa ses doigts dans la poignée gluante pour lever son verre. "Ici, c'est amusant."

Avec une grimace, la fille a soulevé son verre par le bout de ses doigts. "Pour des réponses ."

De la mousse chatouilla sa lèvre supérieure alors que Kakarot arrosait la première rasade copieuse de la bière extra-terrestre. Il ne savait pas ce qu'on leur avait servi, mais depuis ses premières années de purge sur les planètes avec de la nourriture beaucoup moins attrayante que celle de la Terre, il avait appris qu'il valait mieux ne pas demander. Quelque soit ce liquide mauve et bouillonnant, avec quelque chose de solide et de vague flottant dans le fond, c'était puissant. Il sentit la brûlure qui coulait dans sa gorge, le chatouillant de l'intérieur et remplissant son cœur de chaleur, avant de laisser un arrière-goût étrange dans sa bouche. A en juger par le ricanement de dégoût de la jeune fille en tirant la tasse de ses lèvres, elle n'était pas non plus très impressionnée par la saveur. Mais elle cherchait des réponses, et si Kakarot allait entendre des questions ennuyeuses maintenant, ils feraient mieux de boire au moins.

"Maintenant, ce que j'ai besoin de savoir ..."

Kakarot pressa le verre vers elle avant de pouvoir le poser sur la table. "Finis ta boisson, alors je répondrai."

Elle fronça les sourcils, semblant prête à appuyer, mais Kakarot croisa nonchalamment ses bras, secouant lentement la tête en signe de refus. Elle pouvait lui poser un million de questions, mais il pouvait rester ici toute la nuit sans répondre à une seule. Et il n'y avait aucun moyen qu'elle puisse le faire ... bien qu'il devenait de plus en plus curieux au sujet de son insistance sans fin à ce sujet.

Alors que Kakarot la regardait céder, inclinant finalement la tête pour laver la moitié de sa boisson dans sa longue gorge crémeuse, il se posait des questions sur l'étranger que cette fille voulait tellement connaître. Peut-être que ce n'était pas un étranger du tout; peut-être que c'était quelqu'un qu'elle connaissait. Peut-être que c'était quelqu'un qu'elle cherchait par vengeance, ou quelqu'un qui lui devait. Peut-être que si elle cherchait un combat, Kakarot pourrait suivre.

La fille frappa la tasse à moitié vidée sur la table, laissant échapper un soupir alors qu'elle essuyait le dos de sa main contre ses lèvres couvertes de mousse. Kakarot ne manqua pas la lueur qu'elle lui envoya avant de presser la tasse sur ses lèvres. Elle était clairement impatiente d'aller à ses questions, et agacée par son insistance de plaisir et de détente d'abord. Avec un sourire, Kakarot prit lui-même une autre gorgée du liquide dégoûtant, se félicitant du fait qu'il avait gagné cette petite bataille, et revigoré par la sensation vertigineuse provoquée par la boisson étrangère qui irradiait à travers son corps.

Avec son verre maintenant vide, la jeune fille appuya ses coudes sur la table, se pencha en avant alors que ses yeux se plissaient. "Je cherche un Saiyan."

Kakarot sourit et remua les sourcils. "Ooh".

Elle fronça les sourcils, secoua la tête et continua. Il s'appelle Brolly, avez-vous entendu parler de lui?

Kakarot la fixa impassiblement alors que ce nom était inscrit dans son esprit. Cela chatouillait sa mémoire jusqu'à ce qu'il se souvienne où et depuis combien de temps il l'avait entendu. Il n'avait aucune idée de ce que cette fille pouvait vouloir avec ce maniaque. C'était bizarre pour un Saiyan de demander à un autre Saiyan où se trouvait un autre Saiyan, comme s'ils n'avaient jamais entendu parler l'un de l'autre. Kakarot passa une main dans ses cheveux, la passant à plusieurs reprises sur le dos de sa tête pendant que ses pointes indisciplinées bougeaient sous son contact, avant de donner à la fille un haussement douteux.

"Peut-être est-il important?"

Elle sourit, l'air vif, alors même que ses yeux se détendaient sous les effets adoucissants de la boisson. "Pour certaines personnes."

"Comme toi?"

"Peut être."

"Peut-être ce soir," dit Kakarot, en tendant la main pour frotter ses doigts sur les doigts mous de la main de la fille, "tu devrais juste l'oublier."

"Oh?" Elle rit avec dédain et rétracta sa main sur ses genoux. "Pourquoi?"

"Parce que qui s'en soucie?" Kakarot craché. " Je suis là maintenant, je pensais qu'on s'amusait."

« Je m'en soucie, je suis si proche de quelque chose que j'ai attendu si longtemps ...» se moqua-t-elle. "Un soldat  comme vous ne comprendrait pas."

"Tu as raison." Décidément, Kakarot se leva, frappant la table avant de la contourner pour la presser contre elle. "Je m'en fous, mais je veux de la satisfaction ce soir - avec toi, tu ne le veux pas?"

Elle haussa un sourcil, son visage devenant rose quand elle tourna la tête pour regarder directement l'aine de Kakarot. « Ii -il? Je ne ... Je ne peux pas ... »

Kakarot sourit, amusé par la façon dont cette fille était presque hyperventilante, comme si personne ne lui avait jamais proposé auparavant. La musique étrange qui flottait dans l'atmosphère était comme un léger bourdonnement dans le fond de son esprit, combiné avec la chaleur de l'atmosphère et les goûts persistants dans sa bouche de la nourriture et de la boisson. Kakarot aurait été détendue si ce n'était le désir ardent qu'il ressentait quand la peau chaude et douce de son épaule était pressée contre son corps chauffé confiné derrière une armure rigide et dure. Il échangerait un million de réponses à ses questions pour la plus petite indulgence en la touchant, la goûtant, la sentant .

Mais il savait que c'était un mensonge. Il ne pourrait pas en rester là, pas avec les sensations accablantes qu'il ressentait en ce moment. Il ne s'était jamais senti comme ça avant, pas avec qui que ce soit. Peut-être que le simple contact avec elle a provoqué cette électricité, comme un million de coups de ki, à l'intérieur de lui. Ou peut-être que c'était la boisson qui lui faisait ça. Les boissons exotiques avaient été connues pour avoir des effets étranges sur les Saiyans. Mais il se fichait de la cause. Il savait seulement ce qu'il ressentait et ce qu'il voulait.

Se penchant à son oreille, il murmura: «Tu ne veux pas?

Elle frissonna si violemment qu'il sentit ses cheveux danser sur sa joue. Kakarot sentit ses lèvres se répandre en un sourire satisfait. Elle le voulait. Elle le voulait. Mais il pouvait déjà la voir recommencer avec ses questions.

En se levant de sa chaise pour lui faire face, il leva la main. "Je pourrais en savoir plus sur ce Brolly si je peux parler à quelques amis le matin." Reste la nuit avec moi. "

La respiration de la jeune fille ralentit quand ses yeux se posèrent sur lui, vibrants d'excitation et de peur à la fois. Elle ouvrit la bouche puis hésita, provoquant le froncement de Kakarot. Il n'avait jamais fait une offre comme ça. Il ne pouvait imaginer qui que ce soit qui le refuserait, et n'avait donc aucune idée de la façon de réagir pendant la fraction de seconde qu'il pensait avoir. Mais alors elle fit un sourire hésitant, et le sourire réciproque de Kakarot ne servit qu'à élargir le sien en retour.

"Sa peut attendre jusqu'au matin, j'ai besoin de faire quelque chose pour moi une fois."

Avec un sourire rusé sur son visage, Kakarot passa son bras sur ses épaules. 

Elle eut un petit rire, son admonestation ne pesant pas, elle frappa sa poitrine. "Es-tu toujours aussi grossier?"

"Bien sûr!"

Quand Kakarot regarda la jeune fille, admirant sa clavicule délicate et la peau lisse de sa poitrine haletante, la vue d'un coup d'œil de clivage dans les ombres sous son armure provoqua une boule dans sa gorge. Elle était tendue sous son emprise, bien que ses respirations exhalées et leur lourd silence pendant la marche laissent entendre qu'elle était tout aussi excitée de ce qu'ils allaient faire qu'elle était nerveuse. Kakarot n'allait pas l'admettre, mais c'était peut-être la chose la plus impétueuse qu'il ait jamais faite, et cela disait beaucoup pour lui. Pourtant, il le savait sans aucun doute, il voulait cela. C'était une chance qu'il n'allait pas laisser passer, et peu importe si la fille connaissait son nom, ou s'il connaissait la sienne, ou elle cherchait peut-être son amant perdu quelque part dans l'espace avec sa quête de Brolly, Kakarot allait se souvenir ceci comme l'une de ses meilleures décisions.

Il avait l'impression d'avoir un lien avec cette fille anonyme, et malgré la nature désinvolte de leurs circonstances et sa promesse vide de réponses le matin, c'était quelque chose de plus profond pour lui qu'une aventure. À en juger par la façon dont les dents perlées de la jeune fille rongeaient sa lèvre inférieure rose foncé alors que ses cils bougeaient rapidement avec un regard sauvage qui passait devant le mur brun des portes alors qu'ils marchaient vers sa chambre d'hôtel, elle ne prenait pas ça non plus.

Avec une forte expiration à la porte, Kakarot lui barra le bras devant lui, pressant sa paume contre les chiffres familiers dans l'éclairage au-dessus de l'entrée de sa chambre. Alors qu'il scannait son empreinte digitale sur le panneau d'accès et entendit le bip lui accordant l'accès, Kakarot se pencha en avant, profitant de l'occasion pour englober ses lèvres avec les siennes pour la première fois. Sa respiration s'accéléra au moment où il sentit sa bouche douce et chaude contre ses lèvres, haletant un dernier soupir avant de repousser avec ferveur une langue humide intrusive. Elle avait un goût de mélange de la boisson qu'ils avaient partagée et de la plus délicieuse, de la douceur soyeuse dont il avait toujours joui. Sa main se posa sur sa joue alors qu'elle se penchait en arrière, pressant la porte ouverte avec son corps alors qu'elle les reculait dans la pièce, le tirant avec elle.

Prochain chapitre le 9 juin à 12h25
Notez qu' il peut y avoir un peu de retard donc si je ne publie pas à 12h25 je le ferai avant 1H00 du matin

J'ai fini mon chapitre plus tôt donc ducoup je me suis dit pourquoi pas le mettre maintenant en ligne
Dernière édition par Black_Sennin le Dim Juin 10, 2018 12:45, édité 1 fois.
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Black_Sennin le Dim Juin 10, 2018 12:40

Chapitre 3: Repoussé

Quand Chi-Chi se réveilla le lendemain matin, la lumière puissante qui brillait de l'extérieur à travers la fenêtre de l'hôtel reflétait le martèlement dans sa tête. Elle a expiré et a frotté ses mains sur son visage, essayant sans succès d'éloigner la douleur.

Quand elle a bougé pour s'asseoir, un coup de palpitant similaire entre ses jambes a voyagé le long de son intérieur des cuisses. Les yeux de Chi-Chi s'ouvrirent et son visage rougit alors que des souvenirs inappropriés se précipitaient au premier plan de son esprit. Elle entendit la respiration douce à côté d'elle. Ressenti le poids déplaçant le matelas quand elle n'avait pas bougé. Sentait l'odeur persistante du sexe dans l'air. Tout a frappé à la fois.

Chi-Chi lança un coup d'œil oblique à son compagnon de lit en train de dormir, ne sachant pas si elle pouvait se permettre de paniquer ou de rester calme. Ils étaient tous les deux des adultes consentants. Il n'y avait pas de liens avec ce qu'elle avait fait avec ce soldat sans nom.

Ses yeux ont peigné son corps nu. Il était face à elle, les muscles tonique de son dos fléchissant et relaxant pendant qu'il respirait. Ses cheveux noirs et sauvages couvraient presque chaque centimètre de son oreiller blanc. Chi-Chi se mordit la lèvre inférieure en se redressant, levant une main sur sa forme endormie et hésitant. Elle ne voulait pas le réveiller, mais elle était tentée de sentir à nouveau sa peau contre la sienne. Ses yeux descendirent, avidement absorbés par ce qu'elle hésitait à toucher. Et puis elle l'a vu.

Ce n'était qu'une petite cicatrice. Mais c'était l' emplacement de la cicatrice et ce que cela signifiait qui faisait couler son sang chaud instantanément. Il avait une queue. Ou au moins il en avait une à un moment donné. Il était un Saiyan.

Chi-Chi se déchaîna du lit, se déplaçant d'abord rapidement à cause de sa répulsion, mais lentement quand elle le vit remuer. Elle ne ferait pas de bruit. Elle n'oserait pas le réveiller. Elle devait sortir de là, loin de ce bâtard meurtrier.

Des larmes de traîtrise brûlèrent à l'arrière de ses yeux tandis qu'elle rassemblait ses vêtements dans l'atmosphère calme et fade de la pièce. Elle était fâchée de son manque de franchise, mais encore plus d'elle-même pour n'avoir pas remarqué avec qui elle se mettait au lit. Il n'y avait pas de niveau d'ivresse qui pourrait être utilisé comme une excuse pour cela. Était-elle si désespérée de la gratification physique qu'elle était prête à ignorer le type d'écume pour laquelle elle écartait ses jambes? Parce qu'elle aurait dû savoir. Ne pas savoir qui ou quoi il était n'avait pas d'importance. Tous les Saiyans étaient des monstres.

Elle avait donné sa virginité à un monstre.

Combattant un sanglot, Chi-Chi finit de s'habiller et se dirigea vers la porte. Elle grinça quand le tour du manche envoya un grand bruit dans la pièce sombre. Lorsque le Saiyan ne fit que rouler dans son lit et continua de dormir, Chi-Chi poussa un soupir de soulagement. Elle a glissé hors de la porte, l'intention de retourner à son navire. En plus de cette réalisation dévastatrice de la plus grande erreur qu'elle ait jamais faite dans sa jeune vie, rejoindre Yamcha et les autres signifiait que Chi-Chi serait inévitablement forcée de dire où elle avait passé toute la nuit, et quelles informations elle avait trouvées. Eh bien, elle avait échoué sur les deux points. Elle savait maintenant que le Saiyan n'allait jamais répondre à ses questions, même s'il savait quelque chose à propos de ce Broly.

Chi-Chi trouva Yamcha à l'extérieur du même bar d'où ils s'étaient séparés la nuit précédente, attachant un sac de toile brune et le jetant par-dessus son épaule large. Il leva les yeux vers elle, ses yeux s'écarquillant.

"Chi-Chi!" Elle n'a pas bronché à la netteté attendue dans sa voix. "Où as-tu été toute la nuit?"

Elle a rencontré ses yeux alors qu'elle marchait à un rythme rapide pour le rencontrer. Puis elle a continué sans un mot.

"Chi-Chi!"

"Dépêche-toi, Yamcha," dit Chi-Chi, se précipitant sur le trottoir et dans le grand champ. "Je veux quitter cette planète."

Ses pas de course suivis. "Est-ce que tu a trouvé quelque chose?"

Chi-Chi se mordit la langue, refusant de rencontrer le regard de Yamcha alors qu'il se glissait à côté d'elle. "Non."

"Qu'est-ce qu'il y a avec toi ce matin?" Demanda Yamcha avant de tressaillir. "Avez-vous été cr-"

"Est-ce vous avez trouvé quelque chose?"

"Non, b-bien peut-être, je pense, Chi-Chi, vous-"

Alors que le toucher doux de Yamcha lui couvrait l'épaule, Chi-Chi haussa les épaules. "Bon, parlons-en au bateau, Bulma sera énervée si nous discutons de nos informations sans l'inclure."

Sans donner une chance à Yamcha de dire un autre mot, Chi-Chi se mit à courir. Son cœur se penchait sur le besoin urgent de s'éloigner le plus vite possible de la planète, avant qu'il ne se réveille et ne vienne la chercher. Et la discussion avec Yamcha faisait déjà grimper ses émotions. Il n'y avait pas moyen de contourner le fait qu'elle cachait quelque chose la nuit précédente. Les questions de Bulma seraient encore pires. Et cette fille pourrait être implacable.

Quand Chi-Chi atteignit leur navire amarré dans un champ ouvert, elle s'élança à travers l'écoutille qui s'ouvrait pour elle en guise de bienvenue. Elle espérait éviter de tomber sur qui que ce soit, même si elle savait que sa présence avait déjà été annoncée. Juste quelques minutes. Si elle avait juste quelques minutes pour faire le tri dans ses sentiments, elle pourrait les affronter tous.

"Chi-Chi!"

Elle se figea derrière la voix de son père, si joviale, chaleureuse et accueillante. Chi-Chi n'avait pas le cœur pour le secouer, et elle ne pouvait pas non plus, étant exposée dans un couloir ouvert avec rien à cacher derrière. Forçant un sourire, elle pivota lentement pour rencontrer son regard.

"Je suis tellement contente que tu l'aies rendue indemne," dit son père en se précipitant vers l'avant et en la plongeant dans ses bras massifs.

Endurant un câlin qui aurait dû être réconfortant mais qui ne fit qu'alimenter sa culpabilité, Chi-Chi fronça les sourcils dans la poitrine étouffante de son père. Qu'elle soit revenue indemne était une question d'opinion. Quand il la lâcha, elle reprit son sourire, espérant éviter de piquer le soupçon de son père.

"Eh bien," dit-il, regardant vers la lueur rougeâtre de la lumière du jour qui brillait à travers la trappe ouverte, "où est Yamcha?"

"Il est juste derrière moi", dit Chi-Chi, trouvant son ouverture pour s'échapper. "Pourquoi n'attendez-vous pas ici pour le rencontrer? Il a une charge pour laquelle il pourrait avoir besoin d'aide."

"Oh, bien, le Dr Brief dit que nous avons encore besoin de médicaments."

Chi-Chi grimaça. Si elle se sentait mal avant, elle se sentait absolument affreuse maintenant. Elle avait complètement oublié les provisions. Ils étaient toujours censés retourner au navire avec des marchandises. C'était une bonne chose qu'ils avaient chargée de nourriture sur la dernière planète. C'était une bonne chose qu'ils aient Yamcha. Le vide de Chi-Chi n'allait que susciter davantage de suspicion de la part de ses coéquipiers.

Quand son père se dirigea vers la porte, Chi-Chi fit une rapide promenade dans le couloir. Elle se précipita à travers la première porte qu'elle pouvait trouver, qui menait à un placard de rangement. Elle aurait eu quelques minutes pour trier le désordre dans sa tête tout seul dans le noir. Quand elle serait confrontée aux autres, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle allait leur dire. Une chose dont elle était certaine, cependant, était que son expérience très privée et personnelle avec le Saiyan était l'affaire de personne d'autre sur ce navire mais elle.

Des pas passèrent de l'autre côté de la porte, accompagnés de la voix mélodieuse de Yamcha: «Je sais qu'elle est arrivée ici avant moi, elle ne peut pas être loin.

Avec un gémissement las, quand ses pas ont disparu, Chi-Chi est sorti du placard, dans la lumière brillante de la salle vide. Il était temps de faire face à la musique - si un chœur de questions sans fin et les cris perçants de Bulma pouvaient ressembler à quelque chose de vaguement musical.

Après une marche solennelle et tranquille à travers la salle, Chi-Chi a convergé vers les voix venant du noyau du navire. Le sac de Yamcha était posé sur une table, où le Dr Brief examinait son contenu. Le dos de Yamcha se tourna vers lui tandis que Puar volait sur son épaule blindée. Maître Roshi, Oolong et Ox King étaient déjà occupés avec leurs questions, demandant à Yamcha ses dernières escapades planétaires. Bulma était aux commandes, préparant le vaisseau pour le décollage, ce dont Chi-Chi était très reconnaissant. En ce moment, se lancer dans l'espace était sa première priorité, suivie de près par la préservation de sa dignité.

"La voici," dit Maître Roshi, le premier à poser les yeux sur Chi-Chi.

Chi-Chi croisa les bras, essayant de se couvrir, comme si les autres pouvaient voir sa honte. Comme si les yeux lubriques de Maître Roshi pouvaient voir un jeu-par-play à travers les lentilles sombres de ses lunettes des choses scandaleuses qu'elle avait faites avec un Saiyan dans cette pièce sombre la nuit précédente. Elle savait que c'était ridicule, mais son visage brûlait à la pensée même.

"Chi-Chi!" Bulma a claqué ses mains sur la console de contrôle et a tiré sur ses pieds. Elle a eu de la chance de ne pas avoir brisé leur vaisseau. «Tu as eu Yamcha inquiet, tu sais combien d'appels j'ai reçus de lui ce matin en me disant que tu ne m'avais pas rapporté hier soir et qu'il ne savait toujours pas où tu étais?

Chi-Chi inclina Yamcha d'un regard réprobateur et resserra ses bras. Il a rompu leur accord exprimé de ne jamais impliquer Bulma. Ce qui s'est passé dans l'exercice de leurs fonctions avec les soldats de l'Empire était de rester entre eux. Bien que Chi-Chi se rendit compte que Yamcha devait être très inquiète pour qu'elle franchisse cette ligne, elle ne put s'empêcher de se sentir fâchée contre lui pour cette trahison.

Yamcha grimaça et tourna les yeux vers Bulma. "Hé, Babe, c'est de l'eau sous le pont maintenant, Chi-Chi est ici-"

"Et où était- elle?" Demanda Bulma, avant de retourner son regard sur Chi-Chi. "Yamh a ramené des analgésiques et de l'information, c'est plus que ce que tu as ramené, et retourner les mains vides n'est pas comme toi, Chi-Chi."

Chi-Chi haleta, fixant des yeux pleins d'espoir sur Yamcha. "Vous avez des informations sur Brolly?"

"Oui je-"

"Il a probablement des allées et venues," interrompit Oolong avec un air renfrogné. "Mais sachant de qui il a tiré ..."

" Oolong précise ," murmura Maître Roshi.

"Il est aussi probable que nous soyons dans un piège qui nous attend comme ce Saiyan psychotique que nous poursuivons." Oolong croisa les bras et souffla. "Comme une bande de fous suicidaires."

"Oh, s'il te plaît , Oolong!" Cria Bulma en agitant une main dédaigneuse en l'air avant de poser ses mains sur ses hanches. "Un piège, qui prendrait la peine de nous piéger ? La majorité de cet univers ne sait même pas que nous existons!"

Maître Roshi se frotta le menton, posant un regard solennel sur la table laquée blanche à laquelle il était assis. "Ce qu'ils savent, c'est quenous avons deux belles jeunes femmes, un bateau et des combattants valides", ajouta-t-il avec un regard pointu sur Yamcha.

"Comme tous les autres vaisseaux voyageant ici," grommela Chi-Chi.

"Pas vraiment, Chi-Chi Non," dit Bulma. "Les femmes comme nous sont précieuses, nous devons surveiller notre dos, sachant le genre de saccades qui existent," ajouta-t-elle en lançant un regard noir à Maître Roshi avant qu'il ne puisse l'interrompre. "Je fais confiance aux informations de Yamcha, j'ai déjà défini les coordonnées de Tukee."

"Tukee?" La tortue demanda, sa voix profonde attirant les yeux de Chi-Chi vers l'espace sous la table.

"C'est là que vous avez dit Brolly", a déclaré Bulma. "D'accord, Yamcha?"

Yamcha acquiesça. «Planète Tukee, j'ai dit a un soldat ivre hier soir, avant de passer mon kit médical.


"Intéressant", songea le Dr Brief, en faisant un clin d'œil à l'écran panoramique se transformant en la galaxie de ladite destination. "C'est un peu loin du territoire de Saiyan."

"Bien," chuchota Chi-Chi en se laissant tomber sur la chaise aux côtés de Bulma. "Plus on s'éloigne du territoire de Saiyan, mieux c'est."

Chi-Chi n'allait pas attendre une confirmation ou une planification supplémentaire. Ses doigts se mirent au travail, frappant à la hâte les boutons multicolores et allumés sur le panneau de contrôle. Destination Tukee, environ quatre jours de voyage. Trappes scellée. Hyper-drive activé. Quand Chi-Chi plissa les yeux sur l'écran au-dessus d'elle, les moteurs rugirent à la vie.

"Oui," dit le Dr Brief au sujet du bourdonnement croissant du moteur, "mais pourquoi est-il si loin?"

"Papa!" Bulma a pleuré de frustration.

Le navire propulsé en avant, propulsé par ses propulseurs. Chi-Chi agrippa les bras métalliques de sa chaise. Ceux qui étaient encore debout ont trébuché. Bulma fut presque renversée jusqu'à ce qu'elle saisisse le dossier de la chaise de Maître Roshi.

Le rire suggestif du vieil homme et l'élan nauséabond du navire n'ont pas empêché Bulma de gronder son père. «Brolly est un homme recherché ... Rester parmi les autres Saiyans serait stupide, et pas n'importe qui d'accuser les Saiyans d'être intelligents.

"Pouvons-nous y penser une minute?" Oolong a demandé.

Alors que l'atmosphère brillante et brumeuse de la planète disparaissait des fenêtres et au-dessus d'elles pour être remplacée par la noirceur de l'espace, Chi-Chi lança un regard provocant à Oolong. Elle savait qu'il devait essayer de se débarrasser de ce travail à un moment donné, mais elle ne s'y attendait pas si tôt. Il n'y avait rien de dangereux à voyager à Planet Tukee. Si Oolong se rendait compte à quel point il était dangereux de rester là où il était, il aurait donné l'allumage plus rapidement que Chi-Chi.

"Je veux dire," ajouta Oolong docilement. "Nous ne voulons pas que le Saiyan nous voie venir, n'est-ce pas?"

Ses yeux scrutèrent la foule des coéquipiers qui lui rendaient son regard, mais Chi-Chi se rendit compte qu'elle et Bulma ne se contentaient pas de froncer les sourcils elles fulminaient. Et pour une bonne raison. Ils avaient attendu assez longtemps cette opportunité. La lâcheté d'Oolong n'allait pas empêcher la restauration de la race humaine.

Bulma croisa les bras. "Brolly ne nous attend pas et Tukee est une planète très peuplée, il ne nous verra pas venir."

Chi-Chi fronça les sourcils, mordant sa lèvre inférieure. Cette mission commençait à paraître dangereuse, et pas seulement pour son équipage. Elle n'avait pas considéré la complication de trouver leur prime dans une zone peuplée. Le seul moyen pour que cela fonctionne sans provoquer d'effusion de sang était que les Saiyan restent absolument inconscients de leur présence. Ce qui était presque impossible quand presque chaque Saiyan et alien meurtrier portait des scouts de nos jours.

"Toutefois." Le père de Chi-Chi a soulevé son poids massif dans une chaise vide à côté de Maître Roshi et a serré ses mains ensemble. "Nous devons être prudents."

"Oui," dit maître Roshi, hochant la tête. "Absolument."

"Nous ne pouvons pas simplement affronter un Saiyan autour de toutes ces personnes innocentes", a ajouté Chi-Chi. "Cela pourrait devenir très moche."

"Ne t'inquiète pas," dit Bulma. "J'ai le plan parfait pour l'extraire de cette planète vers une planète récemment purgée et devrait être assez désolée pour nos objectifs."

"Je suppose que je ne vous parle pas de filles," gémit Oolong. Il tourna un regard pénétrant sur le chat qui planait au-dessus de l'épaule de Yamcha. «Eh bien , qu'en penses- tu , Puar?

Puar regarda solennellement Oolong avant de tourner les yeux vers Yamcha. "Yamcha?"

"Nous devons être absolument sûrs que personne d'autre ne se blesse," décida Yamcha, tirant un sourire amical à Chi-Chi avant de s'adresser à Bulma. "Si nous pouvons l'attirer au large de Tukee, je suis dedans."

"Alors c'est réglé," dit Bulma en se ressaisissant aux commandes. "Je vais commencer à chercher des cibles de purge à proximité."

Chi-Chi cligna des yeux. "Des missions de l'empire ? Vous pouvez les suivre?"

"Chi-Chi," dit Bulma, le menton levé alors que ses doigts glissaient sur l'arc-en-ciel vacillant des touches. "Je peux tout faire, tant que je reste en dehors des problèmes." Elle fit une pause dans les mouvements de ses doigts pour lancer un sourire coquin sur Yamcha avant de lever le front vers Chi-Chi. "En parlant d' ennuis ."

Chi-Chi tendu. Sous le regard scrutateur de Bulma, la chaleur commença à monter sur le visage de Chi-Chi. Avec tout le remue-ménage de partir à la recherche de Brolly, elle avait espéré que les questions sur son sort du jour au lendemain seraient abandonnées. Avec Bulma, elle aurait dû savoir mieux.

Bulma fredonna une note de surprise alors qu'elle observait le visage de Chi-Chi plus attentivement que Chi-Chi n'aurait aimé. "Tu sembles gêné, Chi-Chi, maintenant je suis vraiment curieux, qu'est-ce qui t'es arrivé la nuit dernière?"

"Je-" Chi-Chi lança à Bulma un rapide coup d'œil avant de déglutir et de tourner les yeux sur le champ planétaire projeté au-dessus. "Je ne sais pas de quoi tu parles, ne devons-nous pas nous inquiéter des extraterrestres qui ont emporté ce contrat sur Brolly avant nous? Vous savez, puisque nous ne l' avions pas officiellement ."

"Oh," dit Yamcha. "C'est un bon poi-"

"Pas maintenant, Yamcha," cassa Bulma. "Chi-Chi, ne change pas de sujet, où es-tu allé après le bar la nuit dernière?"

Les joues de Chi-Chi devenaient chaudes. Elle appuya ses mains sur la console métallique et se leva. Elle pouvait sentir les yeux de Bulma et de Yamcha sur elle maintenant, et sans doute aussi sur ceux de Puar, mais elle refusa de les regarder. "Ce n'est pas important, ce qui est important, c'est que Yamcha ait trouvé l'information dont nous avions besoin, et-"

"Pas important ?" Bulma fulmina, tirant sur ses pieds. "Depuis quand est-ce que tout ce que tu fais sur une planète extraterrestre n'est pas important?" le visage de Chi-Chi devint plus chaud en raison de son embarras mêlé d'une pointe de fureur croissante. "Vous ne tolérez que de vous habiller comme un soldat de l'Empire du froid pour le bien de nos missions, et maintenant vous êtes ..."

Un Yamcha aux yeux écarquillés plaça ses mains sur les épaules tendues de sa petite amie. "Bulma."

Bulma le secoua. "- Me raconter tout ce qui t'a empêché de faire des progrès la nuit dernière n'a pas d'importance, qu'est-ce que tu caches, Chi-Chi?"

"En fait, Bulma ," gronda Chi-Chi, "je ne tolère que de m'habiller de cette façon pour notre mission, mais je fais ma part et la seule fois où je bousille, je n'ai pas besoin d' être interrogé! "

Bulma croisa les bras et se calma, ses narines brûlant. "Tu caches quelque chose."

"Peut-être," rétorqua Chi-Chi en fourrant ses longs cheveux sur son épaule. "Mais ce n'est pas vos affaire."

"Chi-Chi," dit Yamcha, ses yeux grandissant avec inquiétude, "es-tu sûr que tu vas bien?"

La poitrine de Chi-Chi se souleva alors qu'un grondement grondait dans sa gorge, ce qui ne fit qu'alarmer Yamcha et les autres. Le reste du navire était silencieux. À ce moment-là, ils écoutaient tous cela. Chi-Chi grinça des dents et secoua la tête. Elle savait qu'ils demandaient par souci pour elle, mais elle ne pouvait plus supporter de questions. Parce que la vérité était, elle n'allait pas bien. Elle avait honte et était furieuse contre elle-même pour ce qu'elle avait fait avec ce Saiyan. Pour ce qu'elle lui avait laissé faire. Pour ne pas l'avoir tué quand il s'était rendu vulnérable. Et pire encore, quoique la moindre pensée de lui la remplît de rage, elle la faisait aussi frissonner. Les pensées de son contact ses caresses puissantes mais douces alors que ses mains parcouraient son corps ne la laisseraient pas tranquille.

"Chi-Chi?" dit son père.

Chi-Chi a crié. Alors que tout le monde mettait en garde contre sa fureur, elle agita ses bras sauvagement dans les airs. «Je vais bien, ce n'est pas tes affaire ce que je faisais!

"Chi-Chi!" Yamcha haleta.

"Merci d'avoir fait du bon boulot, Yamcha, mais je suis fatigué, je pense que je vais aller dans ma chambre pour être," Chi-Chi lança un regard d'avertissement à tout le monde dans la pièce, " seul ".

Elle a pivoté sur place et a pris d'assaut le couloir, faisant tellement de bruit dans le processus qu'elle ne pouvait pas être sûr qu'elle n'a pas été suivie. Au moment où sa porte est apparue et elle a ralenti pour le rencontrer, elle pouvait entendre des pas derrière elle. Un seul ensemble. Serrant les dents, elle refusa de regarder en arrière alors qu'elle tendait la main vers le panneau de contrôle et regardait la porte s'ouvrir devant elle.

"Chi-Chi!" C'était Bulma.

Chi-Chi secoua la tête avec ferveur et entra dans la pièce. Quand elle se tourna pour atteindre le pavé de contrôle intérieur sur le mur, Bulma était dans le couloir, la fixant avec de grands yeux inquiets. Chi-Chi frappa le bouton, se scella de Bulma, seule dans sa chambre.

"Chi-Chi," la voix de Bulma était à peine audible à travers la porte épaisse. "S'il te plaît parle-moi, tu peux me le dire , n'est-ce pas?"

"Toi et Yamcha devriez parler de ce qu'il faut faire si nous rencontrons de la résistance sur Planet Tukee, Bulma," dit Chi-Chi en essuyant une larme chaude sur sa joue. "Ce serait une honte d'aller aussi loin et de perdre notre cible maintenant."

"Chi ..."

La voix de Bulma était fatiguée, et alors que Chi-Chi regardait le reflet terne de la porte métallique dans l'obscurité, elle pouvait dire que son amie perdait sa résolution. Ce n'était pas comme si elle pouvait éviter Bulma pour toujours. Chi-Chi n'avait nulle part où aller. Mais pour l'instant, elle avait besoin d'être seule avec ses pensées. Avec un peu de chance, elle pourrait repousser le beau Saiyan. Avec un lourd soupir, Chi-Chi se tourna vers son lit, l'atteignant en un pas. Elle se jeta sur le matelas mou, sous la couchette où Bulma dormait au-dessus d'elle, et se recroquevilla dans son oreiller. La douceur contre sa joue était apaisante et bouleversante à la fois. La touche tactile était apaisante, mais elle rappela aussi à Chi-Chi de mettre ses doigts dans l'oreiller de la chambre d'hôtel et d'y tourner son visage, gémissant alors que son corps était rempli de sensations comme jamais auparavant. Elle ne pouvait nier les choses qu'il lui faisait ressentir. Elle devait se souvenir de qui il était. Il était l'homme qui s'est transformé en un singe géant afin de tuer les gens.

Non, il n'était pas un homme. Il était un monstre.

Excusez moi jai encore mal calculé le jour ou je devais publier c'est pas pro tout çaChapitre 3: Repoussé

Quand Chi-Chi se réveilla le lendemain matin, la lumière puissante qui brillait de l'extérieur à travers la fenêtre de l'hôtel reflétait le martèlement dans sa tête. Elle a expiré et a frotté ses mains sur son visage, essayant sans succès d'éloigner la douleur.

Quand elle a bougé pour s'asseoir, un coup de palpitant similaire entre ses jambes a voyagé le long de son intérieur des cuisses. Les yeux de Chi-Chi s'ouvrirent et son visage rougit alors que des souvenirs inappropriés se précipitaient au premier plan de son esprit. Elle entendit la respiration douce à côté d'elle. Ressenti le poids déplaçant le matelas quand elle n'avait pas bougé. Sentait l'odeur persistante du sexe dans l'air. Tout a frappé à la fois.

Chi-Chi lança un coup d'œil oblique à son compagnon de lit en train de dormir, ne sachant pas si elle pouvait se permettre de paniquer ou de rester calme. Ils étaient tous les deux des adultes consentants. Il n'y avait pas de liens avec ce qu'elle avait fait avec ce soldat sans nom.

Ses yeux ont peigné son corps nu. Il était face à elle, les muscles tonique de son dos fléchissant et relaxant pendant qu'il respirait. Ses cheveux noirs et sauvages couvraient presque chaque centimètre de son oreiller blanc. Chi-Chi se mordit la lèvre inférieure en se redressant, levant une main sur sa forme endormie et hésitant. Elle ne voulait pas le réveiller, mais elle était tentée de sentir à nouveau sa peau contre la sienne. Ses yeux descendirent, avidement absorbés par ce qu'elle hésitait à toucher. Et puis elle l'a vu.

Ce n'était qu'une petite cicatrice. Mais c'était l' emplacement de la cicatrice et ce que cela signifiait qui faisait couler son sang chaud instantanément. Il avait une queue. Ou au moins il en avait une à un moment donné. Il était un Saiyan.

Chi-Chi se déchaîna du lit, se déplaçant d'abord rapidement à cause de sa répulsion, mais lentement quand elle le vit remuer. Elle ne ferait pas de bruit. Elle n'oserait pas le réveiller. Elle devait sortir de là, loin de ce bâtard meurtrier.

Des larmes de traîtrise brûlèrent à l'arrière de ses yeux tandis qu'elle rassemblait ses vêtements dans l'atmosphère calme et fade de la pièce. Elle était fâchée de son manque de franchise, mais encore plus d'elle-même pour n'avoir pas remarqué avec qui elle se mettait au lit. Il n'y avait pas de niveau d'ivresse qui pourrait être utilisé comme une excuse pour cela. Était-elle si désespérée de la gratification physique qu'elle était prête à ignorer le type d'écume pour laquelle elle écartait ses jambes? Parce qu'elle aurait dû savoir. Ne pas savoir qui ou quoi il était n'avait pas d'importance. Tous les Saiyans étaient des monstres.

Elle avait donné sa virginité à un monstre.

Combattant un sanglot, Chi-Chi finit de s'habiller et se dirigea vers la porte. Elle grinça quand le tour du manche envoya un grand bruit dans la pièce sombre. Lorsque le Saiyan ne fit que rouler dans son lit et continua de dormir, Chi-Chi poussa un soupir de soulagement. Elle a glissé hors de la porte, l'intention de retourner à son navire. En plus de cette réalisation dévastatrice de la plus grande erreur qu'elle ait jamais faite dans sa jeune vie, rejoindre Yamcha et les autres signifiait que Chi-Chi serait inévitablement forcée de dire où elle avait passé toute la nuit, et quelles informations elle avait trouvées. Eh bien, elle avait échoué sur les deux points. Elle savait maintenant que le Saiyan n'allait jamais répondre à ses questions, même s'il savait quelque chose à propos de ce Broly.

Chi-Chi trouva Yamcha à l'extérieur du même bar d'où ils s'étaient séparés la nuit précédente, attachant un sac de toile brune et le jetant par-dessus son épaule large. Il leva les yeux vers elle, ses yeux s'écarquillant.

"Chi-Chi!" Elle n'a pas bronché à la netteté attendue dans sa voix. "Où as-tu été toute la nuit?"

Elle a rencontré ses yeux alors qu'elle marchait à un rythme rapide pour le rencontrer. Puis elle a continué sans un mot.

"Chi-Chi!"

"Dépêche-toi, Yamcha," dit Chi-Chi, se précipitant sur le trottoir et dans le grand champ. "Je veux quitter cette planète."

Ses pas de course suivis. "Est-ce que tu a trouvé quelque chose?"

Chi-Chi se mordit la langue, refusant de rencontrer le regard de Yamcha alors qu'il se glissait à côté d'elle. "Non."

"Qu'est-ce qu'il y a avec toi ce matin?" Demanda Yamcha avant de tressaillir. "Avez-vous été cr-"

"Est-ce vous avez trouvé quelque chose?"

"Non, b-bien peut-être, je pense, Chi-Chi, vous-"

Alors que le toucher doux de Yamcha lui couvrait l'épaule, Chi-Chi haussa les épaules. "Bon, parlons-en au bateau, Bulma sera énervée si nous discutons de nos informations sans l'inclure."

Sans donner une chance à Yamcha de dire un autre mot, Chi-Chi se mit à courir. Son cœur se penchait sur le besoin urgent de s'éloigner le plus vite possible de la planète, avant qu'il ne se réveille et ne vienne la chercher. Et la discussion avec Yamcha faisait déjà grimper ses émotions. Il n'y avait pas moyen de contourner le fait qu'elle cachait quelque chose la nuit précédente. Les questions de Bulma seraient encore pires. Et cette fille pourrait être implacable.

Quand Chi-Chi atteignit leur navire amarré dans un champ ouvert, elle s'élança à travers l'écoutille qui s'ouvrait pour elle en guise de bienvenue. Elle espérait éviter de tomber sur qui que ce soit, même si elle savait que sa présence avait déjà été annoncée. Juste quelques minutes. Si elle avait juste quelques minutes pour faire le tri dans ses sentiments, elle pourrait les affronter tous.

"Chi-Chi!"

Elle se figea derrière la voix de son père, si joviale, chaleureuse et accueillante. Chi-Chi n'avait pas le cœur pour le secouer, et elle ne pouvait pas non plus, étant exposée dans un couloir ouvert avec rien à cacher derrière. Forçant un sourire, elle pivota lentement pour rencontrer son regard.

"Je suis tellement contente que tu l'aies rendue indemne," dit son père en se précipitant vers l'avant et en la plongeant dans ses bras massifs.

Endurant un câlin qui aurait dû être réconfortant mais qui ne fit qu'alimenter sa culpabilité, Chi-Chi fronça les sourcils dans la poitrine étouffante de son père. Qu'elle soit revenue indemne était une question d'opinion. Quand il la lâcha, elle reprit son sourire, espérant éviter de piquer le soupçon de son père.

"Eh bien," dit-il, regardant vers la lueur rougeâtre de la lumière du jour qui brillait à travers la trappe ouverte, "où est Yamcha?"

"Il est juste derrière moi", dit Chi-Chi, trouvant son ouverture pour s'échapper. "Pourquoi n'attendez-vous pas ici pour le rencontrer? Il a une charge pour laquelle il pourrait avoir besoin d'aide."

"Oh, bien, le Dr Brief dit que nous avons encore besoin de médicaments."

Chi-Chi grimaça. Si elle se sentait mal avant, elle se sentait absolument affreuse maintenant. Elle avait complètement oublié les provisions. Ils étaient toujours censés retourner au navire avec des marchandises. C'était une bonne chose qu'ils avaient chargée de nourriture sur la dernière planète. C'était une bonne chose qu'ils aient Yamcha. Le vide de Chi-Chi n'allait que susciter davantage de suspicion de la part de ses coéquipiers.

Quand son père se dirigea vers la porte, Chi-Chi fit une rapide promenade dans le couloir. Elle se précipita à travers la première porte qu'elle pouvait trouver, qui menait à un placard de rangement. Elle aurait eu quelques minutes pour trier le désordre dans sa tête tout seul dans le noir. Quand elle serait confrontée aux autres, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle allait leur dire. Une chose dont elle était certaine, cependant, était que son expérience très privée et personnelle avec le Saiyan était l'affaire de personne d'autre sur ce navire mais elle.

Des pas passèrent de l'autre côté de la porte, accompagnés de la voix mélodieuse de Yamcha: «Je sais qu'elle est arrivée ici avant moi, elle ne peut pas être loin.

Avec un gémissement las, quand ses pas ont disparu, Chi-Chi est sorti du placard, dans la lumière brillante de la salle vide. Il était temps de faire face à la musique - si un chœur de questions sans fin et les cris perçants de Bulma pouvaient ressembler à quelque chose de vaguement musical.

Après une marche solennelle et tranquille à travers la salle, Chi-Chi a convergé vers les voix venant du noyau du navire. Le sac de Yamcha était posé sur une table, où le Dr Brief examinait son contenu. Le dos de Yamcha se tourna vers lui tandis que Puar volait sur son épaule blindée. Maître Roshi, Oolong et Ox King étaient déjà occupés avec leurs questions, demandant à Yamcha ses dernières escapades planétaires. Bulma était aux commandes, préparant le vaisseau pour le décollage, ce dont Chi-Chi était très reconnaissant. En ce moment, se lancer dans l'espace était sa première priorité, suivie de près par la préservation de sa dignité.

"La voici," dit Maître Roshi, le premier à poser les yeux sur Chi-Chi.

Chi-Chi croisa les bras, essayant de se couvrir, comme si les autres pouvaient voir sa honte. Comme si les yeux lubriques de Maître Roshi pouvaient voir un jeu-par-play à travers les lentilles sombres de ses lunettes des choses scandaleuses qu'elle avait faites avec un Saiyan dans cette pièce sombre la nuit précédente. Elle savait que c'était ridicule, mais son visage brûlait à la pensée même.

"Chi-Chi!" Bulma a claqué ses mains sur la console de contrôle et a tiré sur ses pieds. Elle a eu de la chance de ne pas avoir brisé leur vaisseau. «Tu as eu Yamcha inquiet, tu sais combien d'appels j'ai reçus de lui ce matin en me disant que tu ne m'avais pas rapporté hier soir et qu'il ne savait toujours pas où tu étais?

Chi-Chi inclina Yamcha d'un regard réprobateur et resserra ses bras. Il a rompu leur accord exprimé de ne jamais impliquer Bulma. Ce qui s'est passé dans l'exercice de leurs fonctions avec les soldats de l'Empire était de rester entre eux. Bien que Chi-Chi se rendit compte que Yamcha devait être très inquiète pour qu'elle franchisse cette ligne, elle ne put s'empêcher de se sentir fâchée contre lui pour cette trahison.

Yamcha grimaça et tourna les yeux vers Bulma. "Hé, Babe, c'est de l'eau sous le pont maintenant, Chi-Chi est ici-"

"Et où était- elle?" Demanda Bulma, avant de retourner son regard sur Chi-Chi. "Yamh a ramené des analgésiques et de l'information, c'est plus que ce que tu as ramené, et retourner les mains vides n'est pas comme toi, Chi-Chi."

Chi-Chi haleta, fixant des yeux pleins d'espoir sur Yamcha. "Vous avez des informations sur Brolly?"

"Oui je-"

"Il a probablement des allées et venues," interrompit Oolong avec un air renfrogné. "Mais sachant de qui il a tiré ..."

" Oolong précise ," murmura Maître Roshi.

"Il est aussi probable que nous soyons dans un piège qui nous attend comme ce Saiyan psychotique que nous poursuivons." Oolong croisa les bras et souffla. "Comme une bande de fous suicidaires."

"Oh, s'il te plaît , Oolong!" Cria Bulma en agitant une main dédaigneuse en l'air avant de poser ses mains sur ses hanches. "Un piège, qui prendrait la peine de nous piéger ? La majorité de cet univers ne sait même pas que nous existons!"

Maître Roshi se frotta le menton, posant un regard solennel sur la table laquée blanche à laquelle il était assis. "Ce qu'ils savent, c'est quenous avons deux belles jeunes femmes, un bateau et des combattants valides", ajouta-t-il avec un regard pointu sur Yamcha.

"Comme tous les autres vaisseaux voyageant ici," grommela Chi-Chi.

"Pas vraiment, Chi-Chi Non," dit Bulma. "Les femmes comme nous sont précieuses, nous devons surveiller notre dos, sachant le genre de saccades qui existent," ajouta-t-elle en lançant un regard noir à Maître Roshi avant qu'il ne puisse l'interrompre. "Je fais confiance aux informations de Yamcha, j'ai déjà défini les coordonnées de Tukee."

"Tukee?" La tortue demanda, sa voix profonde attirant les yeux de Chi-Chi vers l'espace sous la table.

"C'est là que vous avez dit Brolly", a déclaré Bulma. "D'accord, Yamcha?"

Yamcha acquiesça. «Planète Tukee, j'ai dit a un soldat ivre hier soir, avant de passer mon kit médical.


"Intéressant", songea le Dr Brief, en faisant un clin d'œil à l'écran panoramique se transformant en la galaxie de ladite destination. "C'est un peu loin du territoire de Saiyan."

"Bien," chuchota Chi-Chi en se laissant tomber sur la chaise aux côtés de Bulma. "Plus on s'éloigne du territoire de Saiyan, mieux c'est."

Chi-Chi n'allait pas attendre une confirmation ou une planification supplémentaire. Ses doigts se mirent au travail, frappant à la hâte les boutons multicolores et allumés sur le panneau de contrôle. Destination Tukee, environ quatre jours de voyage. Trappes scellée. Hyper-drive activé. Quand Chi-Chi plissa les yeux sur l'écran au-dessus d'elle, les moteurs rugirent à la vie.

"Oui," dit le Dr Brief au sujet du bourdonnement croissant du moteur, "mais pourquoi est-il si loin?"

"Papa!" Bulma a pleuré de frustration.

Le navire propulsé en avant, propulsé par ses propulseurs. Chi-Chi agrippa les bras métalliques de sa chaise. Ceux qui étaient encore debout ont trébuché. Bulma fut presque renversée jusqu'à ce qu'elle saisisse le dossier de la chaise de Maître Roshi.

Le rire suggestif du vieil homme et l'élan nauséabond du navire n'ont pas empêché Bulma de gronder son père. «Brolly est un homme recherché ... Rester parmi les autres Saiyans serait stupide, et pas n'importe qui d'accuser les Saiyans d'être intelligents.

"Pouvons-nous y penser une minute?" Oolong a demandé.

Alors que l'atmosphère brillante et brumeuse de la planète disparaissait des fenêtres et au-dessus d'elles pour être remplacée par la noirceur de l'espace, Chi-Chi lança un regard provocant à Oolong. Elle savait qu'il devait essayer de se débarrasser de ce travail à un moment donné, mais elle ne s'y attendait pas si tôt. Il n'y avait rien de dangereux à voyager à Planet Tukee. Si Oolong se rendait compte à quel point il était dangereux de rester là où il était, il aurait donné l'allumage plus rapidement que Chi-Chi.

"Je veux dire," ajouta Oolong docilement. "Nous ne voulons pas que le Saiyan nous voie venir, n'est-ce pas?"

Ses yeux scrutèrent la foule des coéquipiers qui lui rendaient son regard, mais Chi-Chi se rendit compte qu'elle et Bulma ne se contentaient pas de froncer les sourcils elles fulminaient. Et pour une bonne raison. Ils avaient attendu assez longtemps cette opportunité. La lâcheté d'Oolong n'allait pas empêcher la restauration de la race humaine.

Bulma croisa les bras. "Brolly ne nous attend pas et Tukee est une planète très peuplée, il ne nous verra pas venir."

Chi-Chi fronça les sourcils, mordant sa lèvre inférieure. Cette mission commençait à paraître dangereuse, et pas seulement pour son équipage. Elle n'avait pas considéré la complication de trouver leur prime dans une zone peuplée. Le seul moyen pour que cela fonctionne sans provoquer d'effusion de sang était que les Saiyan restent absolument inconscients de leur présence. Ce qui était presque impossible quand presque chaque Saiyan et alien meurtrier portait des scouts de nos jours.

"Toutefois." Le père de Chi-Chi a soulevé son poids massif dans une chaise vide à côté de Maître Roshi et a serré ses mains ensemble. "Nous devons être prudents."

"Oui," dit maître Roshi, hochant la tête. "Absolument."

"Nous ne pouvons pas simplement affronter un Saiyan autour de toutes ces personnes innocentes", a ajouté Chi-Chi. "Cela pourrait devenir très moche."

"Ne t'inquiète pas," dit Bulma. "J'ai le plan parfait pour l'extraire de cette planète vers une planète récemment purgée et devrait être assez désolée pour nos objectifs."

"Je suppose que je ne vous parle pas de filles," gémit Oolong. Il tourna un regard pénétrant sur le chat qui planait au-dessus de l'épaule de Yamcha. «Eh bien , qu'en penses- tu , Puar?

Puar regarda solennellement Oolong avant de tourner les yeux vers Yamcha. "Yamcha?"

"Nous devons être absolument sûrs que personne d'autre ne se blesse," décida Yamcha, tirant un sourire amical à Chi-Chi avant de s'adresser à Bulma. "Si nous pouvons l'attirer au large de Tukee, je suis dedans."

"Alors c'est réglé," dit Bulma en se ressaisissant aux commandes. "Je vais commencer à chercher des cibles de purge à proximité."

Chi-Chi cligna des yeux. "Des missions de l'empire ? Vous pouvez les suivre?"

"Chi-Chi," dit Bulma, le menton levé alors que ses doigts glissaient sur l'arc-en-ciel vacillant des touches. "Je peux tout faire, tant que je reste en dehors des problèmes." Elle fit une pause dans les mouvements de ses doigts pour lancer un sourire coquin sur Yamcha avant de lever le front vers Chi-Chi. "En parlant d' ennuis ."

Chi-Chi tendu. Sous le regard scrutateur de Bulma, la chaleur commença à monter sur le visage de Chi-Chi. Avec tout le remue-ménage de partir à la recherche de Brolly, elle avait espéré que les questions sur son sort du jour au lendemain seraient abandonnées. Avec Bulma, elle aurait dû savoir mieux.

Bulma fredonna une note de surprise alors qu'elle observait le visage de Chi-Chi plus attentivement que Chi-Chi n'aurait aimé. "Tu sembles gêné, Chi-Chi, maintenant je suis vraiment curieux, qu'est-ce qui t'es arrivé la nuit dernière?"

"Je-" Chi-Chi lança à Bulma un rapide coup d'œil avant de déglutir et de tourner les yeux sur le champ planétaire projeté au-dessus. "Je ne sais pas de quoi tu parles, ne devons-nous pas nous inquiéter des extraterrestres qui ont emporté ce contrat sur Brolly avant nous? Vous savez, puisque nous ne l' avions pas officiellement ."

"Oh," dit Yamcha. "C'est un bon poi-"

"Pas maintenant, Yamcha," cassa Bulma. "Chi-Chi, ne change pas de sujet, où es-tu allé après le bar la nuit dernière?"

Les joues de Chi-Chi devenaient chaudes. Elle appuya ses mains sur la console métallique et se leva. Elle pouvait sentir les yeux de Bulma et de Yamcha sur elle maintenant, et sans doute aussi sur ceux de Puar, mais elle refusa de les regarder. "Ce n'est pas important, ce qui est important, c'est que Yamcha ait trouvé l'information dont nous avions besoin, et-"

"Pas important ?" Bulma fulmina, tirant sur ses pieds. "Depuis quand est-ce que tout ce que tu fais sur une planète extraterrestre n'est pas important?" le visage de Chi-Chi devint plus chaud en raison de son embarras mêlé d'une pointe de fureur croissante. "Vous ne tolérez que de vous habiller comme un soldat de l'Empire du froid pour le bien de nos missions, et maintenant vous êtes ..."

Un Yamcha aux yeux écarquillés plaça ses mains sur les épaules tendues de sa petite amie. "Bulma."

Bulma le secoua. "- Me raconter tout ce qui t'a empêché de faire des progrès la nuit dernière n'a pas d'importance, qu'est-ce que tu caches, Chi-Chi?"

"En fait, Bulma ," gronda Chi-Chi, "je ne tolère que de m'habiller de cette façon pour notre mission, mais je fais ma part et la seule fois où je bousille, je n'ai pas besoin d' être interrogé! "

Bulma croisa les bras et se calma, ses narines brûlant. "Tu caches quelque chose."

"Peut-être," rétorqua Chi-Chi en fourrant ses longs cheveux sur son épaule. "Mais ce n'est pas vos affaire."

"Chi-Chi," dit Yamcha, ses yeux grandissant avec inquiétude, "es-tu sûr que tu vas bien?"

La poitrine de Chi-Chi se souleva alors qu'un grondement grondait dans sa gorge, ce qui ne fit qu'alarmer Yamcha et les autres. Le reste du navire était silencieux. À ce moment-là, ils écoutaient tous cela. Chi-Chi grinça des dents et secoua la tête. Elle savait qu'ils demandaient par souci pour elle, mais elle ne pouvait plus supporter de questions. Parce que la vérité était, elle n'allait pas bien. Elle avait honte et était furieuse contre elle-même pour ce qu'elle avait fait avec ce Saiyan. Pour ce qu'elle lui avait laissé faire. Pour ne pas l'avoir tué quand il s'était rendu vulnérable. Et pire encore, quoique la moindre pensée de lui la remplît de rage, elle la faisait aussi frissonner. Les pensées de son contact ses caresses puissantes mais douces alors que ses mains parcouraient son corps ne la laisseraient pas tranquille.

"Chi-Chi?" dit son père.

Chi-Chi a crié. Alors que tout le monde mettait en garde contre sa fureur, elle agita ses bras sauvagement dans les airs. «Je vais bien, ce n'est pas tes affaire ce que je faisais!

"Chi-Chi!" Yamcha haleta.

"Merci d'avoir fait du bon boulot, Yamcha, mais je suis fatigué, je pense que je vais aller dans ma chambre pour être," Chi-Chi lança un regard d'avertissement à tout le monde dans la pièce, " seul ".

Elle a pivoté sur place et a pris d'assaut le couloir, faisant tellement de bruit dans le processus qu'elle ne pouvait pas être sûr qu'elle n'a pas été suivie. Au moment où sa porte est apparue et elle a ralenti pour le rencontrer, elle pouvait entendre des pas derrière elle. Un seul ensemble. Serrant les dents, elle refusa de regarder en arrière alors qu'elle tendait la main vers le panneau de contrôle et regardait la porte s'ouvrir devant elle.

"Chi-Chi!" C'était Bulma.

Chi-Chi secoua la tête avec ferveur et entra dans la pièce. Quand elle se tourna pour atteindre le pavé de contrôle intérieur sur le mur, Bulma était dans le couloir, la fixant avec de grands yeux inquiets. Chi-Chi frappa le bouton, se scella de Bulma, seule dans sa chambre.

"Chi-Chi," la voix de Bulma était à peine audible à travers la porte épaisse. "S'il te plaît parle-moi, tu peux me le dire , n'est-ce pas?"

"Toi et Yamcha devriez parler de ce qu'il faut faire si nous rencontrons de la résistance sur Planet Tukee, Bulma," dit Chi-Chi en essuyant une larme chaude sur sa joue. "Ce serait une honte d'aller aussi loin et de perdre notre cible maintenant."

"Chi ..."

La voix de Bulma était fatiguée, et alors que Chi-Chi regardait le reflet terne de la porte métallique dans l'obscurité, elle pouvait dire que son amie perdait sa résolution. Ce n'était pas comme si elle pouvait éviter Bulma pour toujours. Chi-Chi n'avait nulle part où aller. Mais pour l'instant, elle avait besoin d'être seule avec ses pensées. Avec un peu de chance, elle pourrait repousser le beau Saiyan. Avec un lourd soupir, Chi-Chi se tourna vers son lit, l'atteignant en un pas. Elle se jeta sur le matelas mou, sous la couchette où Bulma dormait au-dessus d'elle, et se recroquevilla dans son oreiller. La douceur contre sa joue était apaisante et bouleversante à la fois. La touche tactile était apaisante, mais elle rappela aussi à Chi-Chi de mettre ses doigts dans l'oreiller de la chambre d'hôtel et d'y tourner son visage, gémissant alors que son corps était rempli de sensations comme jamais auparavant. Elle ne pouvait nier les choses qu'il lui faisait ressentir. Elle devait se souvenir de qui il était. Il était l'homme qui s'est transformé en un singe géant afin de tuer les gens.

Non, il n'était pas un homme. Il était un monstre.

Excusez moi jai encore mal calculé le jour ou je devais publier c'est pas pro tout ça :( 😣 😣
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Black_Sennin le Dim Juin 10, 2018 12:43

J'ai encore deux chapitre d'avance ducoup je publierai mercredi à 20h et dimance à 12h25 après sa je publierai toutes les semaines samedi à 13h
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar xela26 le Mer Juin 13, 2018 13:53

Salut Black Sennin,

tout d'abord bienvenue à toi sur la section fanfic du fofo. tu y trouveras, tu as déjà commencé à le faire, pleins de bonnes histoires et de l'émulation.
Tout d'abord bravo pour le début de ton projet. Je sais pas si tu as publié d'autres histoires que des fanfics dbz, mais ça fait toujours un truc quand on commence à publier.
Concernant ton histoire, j'avais commencé à la lire, mais j'ai pas terminé le chap 1 et pas commencé le chap 2. J'avais quelques remarques que je détaillerai plus lors d'un premier retour, mais ma première question est la suivante: j'ai vu rapidement pas mal d’anglicismes dans ta façon de rédiger. Ta langue maternelle c'est l'anglais?
Cell: l'ascension de la terreur- Cell a vaincu Son Gohan lors du Cell game!! Quel sort réserve-t-il à la Terre?? Pour le savoir....viewtopic.php?f=42&t=5990
Chapitre 138: publié
Chapitre 139- 145: 90%- relecture, correction

Cell: Damned Souls- Les aventures parallèles de héros de "l’ascension de la terreur". Pour les connaitre:
viewtopic.php?f=42&t=6774
abandonnée
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Black_Sennin le Jeu Juin 14, 2018 21:47

Non ma langue maternelle n'est pas l'anglais,mais mon correcteur si ( mon ami ) j'ai décider d'arrêter pendant un certain temps cette fic car j'ai ne plus la motivation de continué mais je suis sur une autre fic que vous decouvrirez bientôt
Dernière édition par Black_Sennin le Jeu Juin 14, 2018 22:17, édité 1 fois.
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Gaetan23 le Jeu Juin 14, 2018 21:58

Eh bien, c'est une fanfic qui a du potentiel ! J'ai bien aimé les 3 premiers chapitres que tu nous as sorties, il y a pas mal de chose à lire et tes chapitres donnes matières à réfléchir, on peut notamment se poser des questions sur ce qu'il a bien pu se passer durant les 10 ans entre le chapitre 1 et 2. Il y avait pas mal de chose à écrire la dessus, comme l'intégration de Goku-Kakarot dans la société saiyan, les liens familiaux entre Baddack, Raditz, Gine et Goku-Kakarot.
Comment Baddack vois son fils ?
Quel est le niveau de puissance de Goku ? Est-il du même niveau que Raditz dans le Canon (1 200-1 500 unité de combat)
Qu'on fait les terriens pendant 10 ans ? (il n'ont pas jouer au Scrabble pendant tout ce temps, n'est pas ?)
Comment le Roi Ox a-t-il quitté sa colline ? Question quasi-similaire pour Yamcha: Pourquoi et comment a-t-il quitté son désert ?
Quel âge ont les différents personnages ? Goku en a combien (18 ou plus) ?
Que deviens Raditz, travaille-il avec Végéta et Nappa ?
D'ailleurs, Où est Végéta et qu'a-t-il fait durant tout ce temps ?

En bref, il y a un paquet de questions que l'on peut se poser, et je ne doute pas que tu vas y répondre dans ton récit, donc j'attends le prochain chapitre avec impatience pour avoir des réponses.

Ta fic a été une bonne surprise car je ne m'attendais pas à tomber sur quelque chose comme ça, l'idée de ''Goku ne se tape pas la tête'' étant (on peut le dire) pas mal utilisé, voir de l'originalité avec un synopsis de départ pas mal usé est super sympa, donc, déjà, ça rajoute un gros plus à ton histoire.

Petit bémol que j'ai remarqué durant ma lecture, tu copie colles deux fois ton chapitre, n'oublies pas de rectifier ce petit détail car ça peut sortit le lecteur de sa lecture :)

Hormis cela, je trouve ton style d'écriture plutôt agréable à lire, d'autant plus que ton style colle parfaitement à l'ambiance que tu donnes à ton récit, un autre point positif ! D'ailleurs, il n'y a pas beaucoup de fautes d'orthographes (je n'y ai pas fais attention, mais vu qu'aucune faute ne m'a sauté aux yeux, je pense donc qu'il n'y en a pas vraiment)
Mes fanfics :

Le souhait de Gohan: viewtopic.php?f=42&t=8969&p=445791#p445791

Raditz, frère de Goku: viewtopic.php?f=42&t=9084&p=446296#p446296
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Re: Dragon Ball Bad Future : Kakarot

Messagepar Black_Sennin le Jeu Juin 14, 2018 22:21

Gaetan23 a écrit:Eh bien, c'est une fanfic qui a du potentiel ! J'ai bien aimé les 3 premiers chapitres que tu nous as sorties, il y a pas mal de chose à lire et tes chapitres donnes matières à réfléchir, on peut notamment se poser des questions sur ce qu'il a bien pu se passer durant les 10 ans entre le chapitre 1 et 2. Il y avait pas mal de chose à écrire la dessus, comme l'intégration de Goku-Kakarot dans la société saiyan, les liens familiaux entre Baddack, Raditz, Gine et Goku-Kakarot.
Comment Baddack vois son fils ?
Quel est le niveau de puissance de Goku ? Est-il du même niveau que Raditz dans le Canon (1 200-1 500 unité de combat)
Qu'on fait les terriens pendant 10 ans ? (il n'ont pas jouer au Scrabble pendant tout ce temps, n'est pas ?)
Comment le Roi Ox a-t-il quitté sa colline ? Question quasi-similaire pour Yamcha: Pourquoi et comment a-t-il quitté son désert ?
Quel âge ont les différents personnages ? Goku en a combien (18 ou plus) ?
Que deviens Raditz, travaille-il avec Végéta et Nappa ?
D'ailleurs, Où est Végéta et qu'a-t-il fait durant tout ce temps ?

En bref, il y a un paquet de questions que l'on peut se poser, et je ne doute pas que tu vas y répondre dans ton récit, donc j'attends le prochain chapitre avec impatience pour avoir des réponses.

Ta fic a été une bonne surprise car je ne m'attendais pas à tomber sur quelque chose comme ça, l'idée de ''Goku ne se tape pas la tête'' étant (on peut le dire) pas mal utilisé, voir de l'originalité avec un synopsis de départ pas mal usé est super sympa, donc, déjà, ça rajoute un gros plus à ton histoire.

Petit bémol que j'ai remarqué durant ma lecture, tu copie colles deux fois ton chapitre, n'oublies pas de rectifier ce petit détail car ça peut sortit le lecteur de sa lecture :)

Hormis cela, je trouve ton style d'écriture plutôt agréable à lire, d'autant plus que ton style colle parfaitement à l'ambiance que tu donnes à ton récit, un autre point positif ! D'ailleurs, il n'y a pas beaucoup de fautes d'orthographes (je n'y ai pas fais attention, mais vu qu'aucune faute ne m'a sauté aux yeux, je pense donc qu'il n'y en a pas vraiment)


Merci, je viens de remarquer je me disais bien que quelque chose n'allait pas, mais je crois que que que je copie colle une fois sa bug et sa n'apparaît pas ducoup de je le fait une deuxième fois
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