Alors que la team des Super Walker Power Texas Rangers du risque de l'espace, se jeta à corps perdus dans une offensive.
Le grand Chuck, par télépathie, somma à ses compagnons de s’arrêter. A tous, Non !
Seule Marron continua sa course folle.
Marron s’aperçut bien trop tard que ses compagnons d’armes l’avaient abandonné, restés en arrière.
« -Chuck, êtes vous sûr, qu’il n’y a aucun danger pour la petite ? Demanda Mirai Gohan.
-Sûr, elle ne mourra pas aujourd’hui, je le lui ai interdit. Et tu le sais mieux que quiconque : Pour être mon disciple, faut m’écouter aveuglément ! »
Son Gohan se sentit rassuré, par les propos, toujours posés, toujours réfléchis, de son Maître.
Broly jr regarda au sol, il tiqua, ses dents se serrant, ses mâchoires se contractant l’une contre l’autre, au fur à mesure que son regard se durcissait, au fur et à mesure que la vision de cet être lui faisait perdre son sang froid, il senti une main, ferme, mais empreinte de bonnes intentions.
Le jeune Sayien se retourna et vit Mirai Gohan qui le regardait, qui lui fit un sourire, et qui finalement, l’apaisa, par ses simples gestes.
Mirai Gohan se mit à regardait au sol, pour voir en définitive l’objet de la haine de Broly Jr.
L’être qui avait privé Broly jr de son père, se trouvait dans un de ses espaces, en contre bas. Enfin ce n’était pas exactement lui, c’était une autre version de lui, d’un autre univers.
La difficulté se posait là d’ailleurs : arriver à faire entendre à un jeune métis sayien surpuissant, que l’être qui ressemblait trait pour trait au meurtrier de son père, n’était pas le meurtrier de son père…
Une Tâche qui s’avérait ardue.
La situation était dangereuse, pour la terrienne, et selon les préceptes de Chuck, en danger, elle n’avait pas le temps de réfléchir.
Marron se précipita sur Ozotto. Les poings faits, la rage d’avoir était « abandonnée », qui animait la fille de Krillin, semblait faire trembler l’astéroïde tout entier. Certes pour beaucoup de spectateurs du combat, faire virevolter un caillou dans l’espace, n’avait rien d’impressionnant, mais quand l’on regardait de plus près, quand on savait que Marron était une humaine, alors là, les vibrations ressenties prenaient un sens tout autre, et finalement impressionnaient.
Les coups étaient rapides et puissants.
Marron offrait un spectacle tout à fait convaincant, auquel, Ozotto, n’osait, à ces moments, pas riposter.
Beaucoup se laissèrent aller à des pronostics, à des appréciations.
Gotenks trouvait Marron très en forme, et surtout très à son gout, surement même plus que celle de son univers.
Goku et Vegeta restèrent stupéfaits, et ne purent s’empêcher de se questionner l’un l’autre.
Ils se demandaient, quelles pouvaient bien être ses techniques, leurs fois, pour le moins étranges, mais visiblement efficaces, face à cet Ozotto.
En effet, la blonde « trop bonne », selon les dires de Gotenks, utilisaient des techniques presque inconnues de tous.
Certes, toutes les attaques n’étaient pas nommées, mais une bonne majorité l’était, seulement, mis à part Piccolo qui avait une ouïe hors du commun, et Buu de l’univers 4, qui lui, « en avait rien à cirer », fin de citation, personne ne les entendait, avec le chahut qui ne des-amplifiait pas dans l’arène.
Seule la vision de Gohan, avec ses lunettes, permettait, de manière différée, à tout le monde de suivre l’intensité du combat. En effet, tandis que Gohan regardait, il commentait, pour les autres :
« C’est incroyable ! Elle bouge vite ! … Mais… Mais… Elle vient de le mordre ?! Quelle violence !!! … Mais… Mais… Elle est entrain de le griffer là ! Mais c’est une vraie tigresse !!! Heureusement que Ozotto n’a pas de cheveux !»
Nappa se permit une remarque tout à fait dans le ton de ce qu’il était, à savoir un gros bof aux tendances machistes plus qu’exacerbées : « C’est quoi ce combat de gonzesses là ?! »
Kakarotto le reprit de volée, non pas sans exprimer un certain plaisir, de sa petite phrase bien sentie : « Nappa, ne sois pas jaloux parce qu’elle se bat mieux que toi, veux-tu !? »
Ce qui entraina une confrontation pour le moins virile, mais néanmoins perdue d’avance pour le Sayien chauve, qui était dominé en tout point par Kakarotto, et ce, depuis bien des années.
Quand à Bra, elle ne comprenait pas l’engouement de ses proches pour cette fille, vociférant, pouffant d’ennui, mais regardant tout de même, de manières furtives le combat, à chaque fois que son grand frère poussait une onomatopée. A savoir, donc, toutes les 2 secondes…
En fait, en un court instant, Bra fut honnête avec elle-même, et s’avoua, que la prestation de Marron, bien qu’en dessous de son propre niveau, ne pouvait laisser de marbre quiconque, surtout lorsque l’on savait, quelle cagole, elle était dans son univers.
Brandissant fièrement, et surtout hypocritement des airs de sainte ni touche vertueuse, que son père n’était pas peu fier de vanter. A chacune de leurs réunions ou à chacun de leurs repas, pris entre amis : « Marron par ci, Marron par là, Elle fait ci ! Elle fait ça ! »
Évidemment, personne n’osait avouer à Krillin que tout cela était du flanc, et pas des plus digestes…
Bra s’en serait bien chargée elle-même, mais ses parents s’y étaient farouchement opposés avec des arguments de poids :
« Si tu parles de quoi que ce soit, si tu ne fais, ne serait-ce qu’une réflexion sur Marron, nous te couperons tous tes entrainements, Finis les poids de 35 tonnes ! Finis les combats avec Papa ! Finis les salles de gravité à 8500 G ! Finis les téléportations et excursions sur les champs de bataille interplanétaire ! Finis la résurrection des Dieux, et des entités immortelles à combattre ! Tout ce qui aura un rapport avec le combat te sera proscrit, et ce jusqu’à nouvel ordre ! Est-ce bien clair Bra, m’as-tu bien compris ? »
L’adolescente, à contre cœur ne put qu’acquiescer, et dû accepter de se taire, et cela lui coûtait, tellement...
« -Mouais… bon, ça va, ce n’est pas non plus le combat du siècle… » Conclu la métisse Sayienne surpuissante de l’univers 16, avant d’être reprise par Chuck, apparu, on ne sait trop comment…
-L’important n’est pas de gagner jeune fille. L’important est de progresser, l’important est de connaitre ses limites, ses points forts, ses points faibles… il fut soudainement coupé, chose à laquelle, il n’était pas habitué.
-Et quand l’on est comme moi et que l’on n’en a pas ? De défauts, je veux dire. demanda, la jeune fille sur un ton arrogant.
-Hmmm, je dirais que ton plus gros point faible est ton arrogance, jeune fille… Non, Attends… Toi tu ne souffres pas d’arrogance, c’est l’arrogance qui souffre de toi…
Soudain, alors que Marron récupérait son souffle, durant quelques secondes, après une rafale de coups d’une puissance dont elle n’avait pas à rougir, dans un sursaut des plus impromptus, Ozotto hurla :
«- Je vais te tuer Sale Terrienne !!! Comment as-tu osé ! ? J’aurais du finir le travail, il y a des années !
-Si tu en avais été capable, tu aurais pu le faire. Mais l’es tu vraiment, Ozotto ?
-Tu te moques de moi par dessus le marché ! Ton insolence se paiera de ta vie !!! »
Le cornu, pseudonyme donné par Yamcha, qui visiblement, ne croyait absolument pas en la fidélité de la femelle d’Ozotto, se jeta sur la jeune et belle terrienne. Il arrêta son poing devant le ventre, de la jeune fille, ouvrit sa main, et décocha un kikoha qui illumina toute l’arène, elle n’eut pas le temps de réagir.
Marron se cracha au sol, fumante.
Le pompier Gotenks, qui se découvrit une vocation pour sauver des gens, se hâta pour éteindre le feu, poussant par la même, les Vargas et Nameks qui s’étaient eux aussi activés pour la secourir.
Yajirobé, quand à lui, se lança héroïquement à l’assaut du démon à trois yeux. Dans l’espoir de venger, la jeune Marron. Tout d’abord en garde Batto, alors qu’il s’était propulsé, à l’instant où il allait dégainer son sabre, Ozotto, d’un simple et unique regard, avait réussi à paralyser le petit enrobé.
Immobile à 50 mètres du sol, il donnait l’impression de n’attendre que la droite de la créature, qui ne se fit, d’ailleurs, pas attendre…
Yajirobé se cracha à son tour, non loin de Marron.
Bizarrement, personne ne courut pour le secourir… Un Vargas, présent par hasard, regarda si le terrien était encore vivant, mais pas plus.
Fort de sa vanité, Ozotto demanda l’attention de la piste et avec un plaisir non dissimulé, lança un défi : « Je me sens l’âme joueur ! Quiconque se sentant l’âme de me battre, vienne essayer maintenant ! SI je détruis les plus grandes menaces aujourd’hui alors la Terre m’appartiendra enfin, et je n’aurai à craindre que le soulèvement de mon armée démoniaque ! Mouhahaha !!! »
La famille du froid ne put s’empêcher de penser de manière hautaine, que ce bon monsieur, n’avait pour ainsi dire aucune ambition, quand l’on connaissait les montants des revenus immobiliers intergalactique des Cold…. Freezer, Cooler, et Cold, pouffèrent de rire, mais intérieurement, car la richesse était et se devait de rester intérieure.
Cell, quand à lui se fit tout petit. En priant pour que les univers à sa droite et à sa gauche, ne viennent pas le railler, sur ce discours, bien similaire au sien, à l’époque ou ils s’étaient combattus… Cell se tâtait, il était prêt à répondre au défi. Puis il se dit, qu’un être parfait tel que lui, n’avait que faire d’un tel défi... Puis en tournant la tête il croisa le regard de Son Gohan de l’univers 18, et pour s’affirmer, et contre-balancer, ce regard malheureux, ce malaise intérieur, il explosa son Cell Jr pondu dans la nuit, qui lui collait, trop, aux basques.
Alors que presque tout le monde autour de la zone de combat, s’inquiétait de la présence d’un monstre capable de traverser les dimensions, et qui donnait l’impression d’être légèrement menaçant. Cela ne semblait pas animer Vegetto d’un sentiment de stress plus important que cela.
En effet, le résultat de la fusion de deux Sayiens s’était mis en tête qu’il pourrait disputer un match amical, ou pas, face au Super Namek, qui selon lui, « était peut-être le seul, avec Broly et Buu, à casser des briques ». Il tenta par tous les moyens, de faire céder l’immense stature.
« -Allez Gast ! Ne fais pas le radin ! On se téléporte un peu plus loin dans l’espace, ou sur un caillou et on se tape un peu dessus. Amicalement bien sûr.
-…
- Non, tu ne veux pas ? !
-…
-Si c’est cet Ozotto, qui te gène, je peux m’en charger ! Regarde ! Voyant que le Namek ne daigna même pas le regarder, Vegetto s’arrêta.
-…
-Enfin… Tu vois bien qu’il peut se faire dézinguer en deux temps trois mouvements par au moins 10 personnes dans les différents espaces !
-…
-Bon t’es d’accord alors ? On s’éclipse ? Je sais à quoi tu penses ! Écoute ! Déjà on ne se fera pas attraper… Donc pas de soucis pour ton vœu. Et puis, on pourra se poiler un peu ! T’as l’air tendu un peu.
-…
-Tssss… T’es pas un grand bavard toi !
-…
-Je n’abandonnerai pas ! Je n’abandonnerai pas ! Gast ! »
Bra dans l’espace 16, observait son père de loin. L’adolescente enviait le pouvoir de celui-ci. Elle enviait le fait qu’il soit le « patron ». Elle enviait le fait que rien, ni personne, ne fut en mesure de contraindre son père de faire quelque chose qu’il n’avait pas décidé d’exécuter.
Elle aurait tant aimé avoir ce pouvoir de domination.
Même dans leurs univers les plus hautes élites divines n’avaient pas su contenir son père. Alors qu’il avait décidé de réveiller des démons millénaires, immortels. Les Kaio Shins s’étaient retrouvés face à un mur, avec aucun outil pour le détruire, ou pour le fissurer.
Bra espérait arriver un jour à ce niveau. Ce niveau même qui lui permettrait de devenir ce qu’elle souhaitait devenir.
Cette soif de pouvoir, c’était son père lui-même qui lui avait insufflé. C’était lui-même qui alimentait un feu d’envie, par son besoin de voir sa fille se dépasser, et par son besoin de la voir rattraper son niveau, pour, au final, satisfaire un caprice personnel, à savoir : avoir un adversaire assez puissant et surtout, à portée de main.
Bra en était même arrivée, dans les jours les plus sombres de son adolescence, à se demander si elle n’avait pas été conçue dans le seul et unique but de donner, dans un avenir proche, un challenge de taille à son père.
Son frère, Gohan bien que très puissant, se révélait vite limité face à leur père, et face à elle.
Trunks et Goten, étaient des guignols du combat, depuis des années ils avaient cessé leurs entrainements. Quand à leur fusion, Gotenks, elle était bien trop limitée par le temps, et surtout trop immature…
Un nouvel enfant, elle, devait être la solution.
Que la joie fut grande pour Vegetto quand à quelques mois d’intervalle, deux enfants, aux gènes Sayiens naissaient : Pan et Bra.
Les forces de combats à la naissance n’avaient fait aucun doute, sur les capacités plus importantes de Bra. Pan se soumettrait elle aussi à un entrainement, mais Vegetto savait qu’elle n’irait pas aussi loin que sa fille. Et donc peut-être de manière inconsciente, le résultat de la fusion se révéla moins dur avec sa petite fille, qu’avec sa propre fille.
Tout d’abord, la jalousie, que Bra ressentait à l’égard de Pan, ressortit, puis elle se laissa aller à quelques bons souvenirs, à une étrange et rare nostalgie, qui en temps normal lui aurait fait décrocher un sourire, mais qui dans les circonstances de ce tournoi, ne servit qu’à lui rappeler avec quelle horreur, et avec quelle impuissance elle avait assisté à la mort de celle-ci.
Dans ce contexte, sa colère commença à gronder intérieurement, avec des questionnements importants, qui pourraient changer la face du tournoi : « N’était-ce pas le moment le plus propice pour se venger de Bojack, et au diable les piafs et leur règlement ! Le choper dans ses appartements serait tellement facile, surtout que personne ne sentirait nos présences, ni nos forces, le seul capable serait Papa, mais il semblerait que Gast soit en mesure de l’occuper un petit moment… »
Alors que Bra était plongée intensément dans ses pensées, et qu’elle continuait d’agrémenter son plan, d’idées, toutes plus vicieuses, toutes plus immorales, les unes que les autres, elle senti une main se posait sur son épaule, dans un sursaut d’étonnement, et de surprises, elle haussa l’épaule, attrapa de sa main l’avant bras étranger et...
« -Argh Dégeulasse ! S’exprima-t-elle.
-Tu te rends compte que tu viens de m’arracher l’avant-bras, Bra ?
-Oh merde ! Euh Oh mon dieu ! Pardon Piccolo !
-Ce n’est pas grave, ça peut arriver à tout le monde… »
Piccolo fit repousser son bras.
Plusieurs guerriers s’étaient envolés sur la surface de combat. Une dizaine de combattants, au moins, avait répondu à l’appel d’Ozotto.
Piccolo de l’univers 16 remarqua ses vieux et disparus rivaux, Goku et Vegeta de l’univers 18.
Il remarqua, par la même, que les « Supers Sayiens » n’avaient pas décliné l’invitation.
Piccolo pensa alors que finalement, ils se ressemblaient peut-être ces 4 là, malgré leurs différences de caractères, et leurs différentes évolutions, Ils n’en restaient pas moins des Sayiens de sang pur, intéressés et surement obsédés que par une seule chose, le combat.
Uub avait suivit son mentor. En effet, Goku avait eu l’idée, que ce combat, si Ozotto ne se faisait pas éliminer en deux secondes par un autre combattant, pourrait être un très bon entrainement pour le jeune homme. Tester ses capacités à jauger un adversaire, à se connaitre soi même, à déterminer ses propres capacités. Et voir ses réflexes, si jamais, Uub se faisait acculé. Un très bon entrainement en somme.
Buu de l’univers 4 s’était lui aussi envolé, ses motivations étaient quelques peu flous. Piccolo pensait, qu’il devait avoir plusieurs raisons de monter sur le ring : Soit, Il devait vouloir s’amuser, soit, il souhaitait finir cette mascarade au plus vite, pour combattre, Bra, puis Vegetto, ou peut-être bien qu’il souhaitait juste absorber Ozotto, pour récupérer son don de téléportation extra-univers.
Il fut étonné de voir l’adversaire de Mary Sue, après quelques hésitations il se souvint de son nom, Aralé. Cette petite fille ne semblait pas être une combattante hors pair.
Il distingua le petit garçon qui était apparu en même temps que Satan, et le Son Gohan manchot, quelques dizaines de minutes auparavant, ce garçon avait une aura impressionnante, et pour son âge il dégageait un charisme, une détermination extraordinaire, il lui rappelait énormément le Petit Son Gohan qui avait surpris tout le monde en dépassant le stade de simple Super Sayien face à Cell.
En détournant le regard de quelques centimètres, le Namek aperçut d’ailleurs ce Son Gohan atypique, arborant une cicatrice sur le visage, et dont le bras manquant, signifiait bien l’horreur qu’avait dû être une partie de son existence.
Un Kaioh Shin avait décidé lui aussi de mettre un terme à ces contournements de règles. C’était le Rouquin, le plus massif de tous, et celui qui s’avérait être le plus puissant. Depuis le combat Broly face à Vegetto, le dieu paraissait excédé tant, le tournoi qu’il avait eu tant de mal à organiser, avec ses collègues, s’orientait plus vers une fin apocalyptique, que vers un happy end. Lui qui avait imaginé et tant espéré, que le gagnant sacrifierait son vœux pour ramener à la vie toutes les personnes décédées durant le tournoi. Visiblement il se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au coude.
D’autres se déplaçaient, quand Ozotto cria, avec un sourire qui ne cachait en rien un sadisme assumé : « Tu seras ma première Victime ! »
Il ne fit que quelques mètres à la verticale quand son déplacement fut bloqué, en quelques sortes, par un bruit, qui immobilisa le son de l’arène. Un silence de messe, un silence de mort régnait en Maître sur l’arène. Même les plus bruyants de l’univers 2 se turent. Tout le monde, toutes les personnes présentes, regardèrent un même et unique endroit, un même espace d’univers, le septième, celui de Gast Carcolh.
Tout le monde vit le grand et imposant Namek, au sol, avec un tas de poussière qui s’était envolé, suite à sa chute. Piccolo et Son Gohan de l’univers 16 restèrent, bouches béantes, devant le spectacle de Vegetto, bras tendu, poing fermé, maquillé d’un sourire, qui donnait de nombreuses indications sur ce qu’il s’était passé.
Le Super Namek se releva, se frotta la joue gauche, fit craquer son cou, en le balançant de droite à gauche, de manières élégantes et majestueuses.
Radditz chuchota alors à Nappa, restés dans leurs espaces : « Ptain, celui là de Namek, il en impose quand même ! »
Une fois, ces étirements terminés, Vegetto lui demanda :
« Alors Gast, cela t’aide à te décider pour une petite filoche ? »