Bourriks {l Wrote}:Le Final Impact, c'est sûr que c'est l'attaque la plus badasse de Vegeta.
Pour pour reprendre les commentaires sur l'intelligence de Vegeta, je vous prie de ne pas oublier que Cell Junior est très, mais alors très très c**. Et les fantômes de Raichi agissent selon leur libre arbitre (et une fidélité parfaite à Raichi) et non pas selon une quelconque stratégie du docteur. Donc Cell Junior, sans un cerveau pour le guider, ne va pas aller bien loin. Je suis d'ailleurs étonné qu'un génie comme Cell fasse des progénitures aussi idiotes (selon Salagir).
Et une preuve supplémentaire de l'idiotie du Cell Junior, c'est que pendant la jolie attaque combinée de Tidar-Bojack-Zangya-Pan (qui a été efficace), qu'est-ce qu'il fait, mon Cell Junior ? Et ben il reste en retrait pour mater pèpère le spectacle. Lui qui est bien plus rapide et plus fort que le reste de l'équipe, il reste tranquille en retrait au lieu de porter l'estocade au prince des Saiyens pendant qu'il est déstabilisé (en se faisant taillader le buste). Vegeta a même le temps de retomber sur ses pattes et contre-attaquer Tidar pendant que le gnome ne bouge toujours pas, attendant de faire sa pose théâtrale.
Vous allez encore me dire qu'il a autre chose qu'un pois chiche sous le casque, le Cell Junior ?
Dans le même genre on a Végéta qui aurait pu OS toute la Z-Team à lui tout seul sur terre avant l'arrivée de Goku mais qui, au final, perd le combat car il ne les a pas tués avant et qu'ils ont pu aider Goku par la suite.
En fait, tous les big boss de DBZ auraient pu OS la Z-Team si ils n'avaient pas attendu et laissé leurs hommes de main faire. Cell lui même regarde ses " fils " se faire exploser sans bouger un doigt ^^. Sont-ils pour autant tous trés c** ou idiots ???
Le Cell Jr est pour moi bien futé de laisser les autres faire le gros du taf en attendant comme ça. Maintenant, sauf surprise de Salagir, il n'aura pas trop à se fatiguer pour terminer le travail.
PS : Dans l'histoire Végéta n'est pas en reste question bêtise pour avoir oublier son plus redoutable adversaire sur lequel, au contraire, il aurait du porter un max son attention ( en plus il a vu de quoi il était capable peu de temps avant).