Saga a écrit:Les piafs considèrent que Gotenks est un seul être qui s'est dédoublé (comme la technique de Ten Shin Han). Et pour leur première réflexion, quand Goten et Trunks font la demande, il s'agit de savoir si un candidat encore non présent peut participer seul.
je crois, mais peux me tromper, que c’est surtout parce que gotenks est entré en premier sur le ring. si, par exemple, végéta et goku arrivaient séparément sur le tatami avec un potala chacun, ils seraient disqualifiés en fusionnant contre un adversaire, disons végétto , posant le pied sur le ring tel quel.
Many a écrit:De toute façon Videl a invoqué le Doyen Kaioshin sans que ça pose problème et ce dernier voulait l'aider
il ne sortait pas de l’épée ? si tel était le cas, il n’est pas considéré comme un combattant en plus, mais une « extension » de l’arme.
Many a écrit: Tapion a invoqué Hildegarn en dehors de son corps aussi sans que ça pose problème non plus.
Oui. Mais tapion est rentré tout seul sur le ring, ce qui confirme ma théorie, évoquée plus haut.
Lenidem a écrit:Quelque chose me dit que si Nappa avait fait toute une récolte de Saïbaïmen, les Vargas auraient trouvé ça correct et ne l'auraient pas pénalisé.
sauf que selon la
première version glénat du tome 19 , " il faut une terre fertile "
dixit Nappa pour que les saibai-men poussent correctement.
Or, sur les dalles d’un tatami avec absence de toute terre, je vois mal le saiyen faire de la plantation.
Autre problème
majeur selon moi : le ring Vargas a une force de gravité de je ne sais pas combien de G . je ne sais pas si des créatures avec une force de 1 500 unités pourraient la supporter et combattre décemment. certain.e.s me rétorqueraient, à juste titre, que gokû, autour de 320, parvient à marcher à 10 G avec une tenue lourde d’entrainement.
je leur répondrai, poliment, que de par l’atavisme et la génétique liée à ces ancêtres (
baddack, en tête ) , le gokû post-raditz « renoue » avec la gravité de sa planète d’origine ( planète Végéta = 10 G ).
ce serait une autre paire de manche pour des saibai-men, certes aussi puissants que raditz, mais dont le potentiel génétique n’égale pas, à priori, celui des saiyens.