Concours d'écriture: écrivez la suite de...

PRINCIPE DU CONCOURS
Vous aurez un début de texte, de 987 mots, qu'il vous faudra poursuivre en respectant la personne et le temps. Votre suite devra faire entre 1 000 et 15 000 mots, car il devra s'agir d'une nouvelle, et non d'un roman. (Entre 3 000 et 10 000 mots, c'est le must.) Elle doit bien sûr comporter une fin, bien qu'elle puisse être ouverte.
Note: 1 000 mots, ça fait une page et quart sous words. Un chapitre de Versus fait autour de 2 500 mots. Un chapitre de Hanasia fait autour de 3 000 mots.
Le début de texte ne sera posté qu'une fois les inscriptions terminées.
LES INSCRIPTIONS.
Les inscriptions sont ouvertes dés à présent et pour une semaine (jusqu'au mardi 22 Janvier inclu).
Les inscrits:
-Salagir ---------- rendu
-Nunya
-Masenko
-Thibarik --------- rendu
-Tango_down -- rendu
-Dr_Slump
LE JURY.
Trois juges seront recquis pour ce concours. Il devront juger la nouvelle sur son originalité, le style de l'écriture mais aussi l'orthographe. On demandera par MP à certains s'ils veulent être juge. Vous pouvez cependant posez votre candidature en tant que juge (ne le faites que si vous avez de solides connaissances en orthographe et écriture), nous penserons à vous si on ne trouve pas par nous-même trois juge.
Les juges:
-San999
-TRUNCKS
-Khanard
TEMPS POUR L'ECRITURE ET LE JUGEMENT.
Le texte à travailler sera posté la nuit du 22 au 23 Janvier, à minuit. Dés lors, vous aurez trois semaines pour écrire votre composition. Soit jusqu'au mardi 12 Fevrier inclus.
Les juges auront à leur tour deux semaines pour juger les textes (faut quand même qu'ils aient le temps de les lire...), ce qui fait que le jugement et les résultats seront rendus au plus tard le 26 février.
Les textes devront être rendu à San999 ou à Khanard par MP, ils transmettront aux 2 autres juges.
Aucun retard ne sera admis. Toute composition rendue aprés la date limite sera rejetée. Dusse-t-il ne plus y en avoir aucune. Les juges en retard seront remplacés par moi-même. Peu orthodoxe, mais si on vous donne des dates, c'est pas pour le fun. A bon entendeur. *regard assassin*
LE TEXTE
Voici le texte dont vous devez écrire la suite:
Ma vie prit un tournant, que dis-je, fut bouleversée, avec une grande soudaineté. Lorsque l’événement à l’origine de ce bouleversement eu lieu, j’avais quinze ans. La veille au soir, moi et ma famille étions allé au restaurant. Un buffet à volonté. C’était pas donné, mais ça promettait un sacré festin. Je n’avais pas particulièrement beaucoup d’appétit, à l’époque, bien que je mangeais mieux depuis un peu plus d’un mois, mais en entrant dans le restaurant et en sentant les odeurs tantôt épicées, tantôt acides provenant de la cuisine, je me sentis affamé(e) comme jamais. Nous nous sommes installés à une table, puis, sans perdre de temps, nous avons commencé à nous servir. Je me suis mis(e) à engloutir des plats par dizaines ! J’ai mangé quelques trente nems, sept assiettes de rôti de porc, cinquante bol remplies de lapin à l’estragon et beaucoup d’autres choses dont je ne me rappelle plus. Au début, comme j’engloutissais sans beaucoup mâcher, je m’attirai une remarque agacée de mon père, qui me sermonna sur la nécessité de manger lentement pour conserver une bonne santé. Puis les assiettes s’empilant, mon frère me lança d’un ton hautain :
-« Pas la peine de te forcer comme ça pour te faire remarquer, tout ce que tu y gagnera, c’est une indigestion.»
Ma sœur, elle, sembla s’amuser de mon incroyable appétit. Les clients des tables voisines finirent par me remarquer. Je perçu quelques commentaires du genre :
-« Mais où trouve-t-il (elle) la place de mettre tout ça?» mais ne m’en inquiétait pas, tout à mon plaisir de manger à ma faim.
-« Au moins, on pourra dire qu’il (elle) aura bien amortit le prix du resto!» fit ma sœur, le sourire aux lèvres.
Je finis par être rassasié(e) et nous payâmes le restaurant. Les employés qui ramassaient les assiettes vides et les tenanciers de la caisse me regardaient avec de gros yeux. Mes parents étaient un peu inquiets à mon sujet, mais de nature insouciante, ils ne s’attardèrent pas sur le sujet, tandis que mon frère me raillait, me promettant un mauvais sommeil à cause de la digestion.
Assommé(e) par mon plantureux repas, je ne mis que peu de temps à m’endormir. Mais mon sommeil fut agité. Je cauchemardais. Je me réveillais à plusieurs reprises, en nage, ressentant une sourde douleur diffuse en bas du dos, là même ou je sentais régulièrement des démangeaisons et autres sensations désagréables depuis plus d’un mois. J’avais l’esprit trop embrouillé pour songer à me lever, espérant trouver le repos au pays des songes. Je me tournais et me retournais dans mon lit, ne me rendormant que pour cauchemarder à nouveau. Je crois même que je gémissais faiblement. Je me rappelle parfaitement du dernier de mes cauchemars. Je courrais dans une longue allée, poursuivi(e) par deux kienzans. Et je n’arrivais pas à les distancer. Au dernier moment, un muret se dressa sur ma trajectoire. Je sautai par-dessus. Les kienzans, eux, se fracassèrent contre l’obstacle. Ils explosèrent en morceaux. Un éclat de kienzan fila dans ma direction. Je me retournai pour fuir, mais il m’atteint à la base du dos, me causant une vive douleur semblable à une déchirure. Cette douleur était atroce et paraissait horriblement réelle. C’est alors que je me réveillai en sursaut. La première chose qui me frappa, c’était que j’avais l’esprit parfaitement clair. Puis je me rendis compte que je ne ressentais plus la moindre douleur. Me rappelant du dernier moment de mon dernier rêve, je portai ma main juste au dessus de mes fesses. Et je sentis un liquide poisseux. Il y avait aussi une sorte de corde douce qui serpentait dans mes draps. En regardant ma main, je vis et sentis que le liquide était du sang. Je me jeta hors du lit et je repoussa complètement les draps. Du sang, encore, sur ceux-ci. Et sur la housse de matelas également. Mais pas trace d’une quelconque corde. Je me tournai vers l’armoire à glace de ma chambre pour m’observer dans le miroir. La corde pendait depuis mon bas de pyjama. Je me retournai pour me voir de dos, et je vis qu’elle était attachée à l’arrière de mon bassin, sortant d’une cicatrice encore rouge et ou se trouvait du sang séché, qui imprégnait également une zone de mon bas de pyjama. Quand je vis cela, mon corps me sembla se glacer. Je frissonnai. J’haletai. Des sueurs froides me prirent tandis que je ne parvenais pas à assimiler l’information. Puis, après un temps que je ne saurai définir pendant lequel j’angoissai, à semi conscient, je sentis enfin un chatouillis à la base de ma queue, puisqu’il ne s’agissait pas d’autre chose que d’une queue poilue longue d’un mètre vingt environ. Me sentant complètement hors de la réalité, je me mis à fouetter l’air avec, comme si elle m’avait toujours appartenue. Je me relaxai, prenant conscience de mon corps, détendant mes muscles. Puis, je me tendis d’un seul coup. Je senti mon aura, bien qu’elle ne fut pas visible, vibrante autour de moi. Je pris un minerai décoratif qui traînait sur une étagère de ma chambre. D’après le vendeur, cette pierre se nommait « améthyste ». En tout cas, elle semblait plutôt solide. Je la pris dans mon poing que je refermai. Je serrai un peu, pas trop, et l’améthyste s’effrita comme une vulgaire motte de terre. Je lança un regard à mes quelques volumes d’un manga nommé dragon ball. Puis, émergeant de ma rêverie, analysant tout ce qui venait de se produire, je me mis à sourire, pensant en moi-même que j’était devenu(e) saïyen(ne) et conscient(e) d’en avoir désormais les pouvoirs. Je fut interrompu dans ma réflexion par le bruit du réveil qui sonna dans le but inutile de me réveiller, me rappelant qu’il fallait que je me prépare à aller à l’école…
Bonne chance à tous!
Vous aurez un début de texte, de 987 mots, qu'il vous faudra poursuivre en respectant la personne et le temps. Votre suite devra faire entre 1 000 et 15 000 mots, car il devra s'agir d'une nouvelle, et non d'un roman. (Entre 3 000 et 10 000 mots, c'est le must.) Elle doit bien sûr comporter une fin, bien qu'elle puisse être ouverte.
Note: 1 000 mots, ça fait une page et quart sous words. Un chapitre de Versus fait autour de 2 500 mots. Un chapitre de Hanasia fait autour de 3 000 mots.
Le début de texte ne sera posté qu'une fois les inscriptions terminées.
LES INSCRIPTIONS.
Les inscriptions sont ouvertes dés à présent et pour une semaine (jusqu'au mardi 22 Janvier inclu).
Les inscrits:
-Salagir ---------- rendu
-Nunya
-Masenko
-Thibarik --------- rendu
-Tango_down -- rendu
-Dr_Slump
LE JURY.
Trois juges seront recquis pour ce concours. Il devront juger la nouvelle sur son originalité, le style de l'écriture mais aussi l'orthographe. On demandera par MP à certains s'ils veulent être juge. Vous pouvez cependant posez votre candidature en tant que juge (ne le faites que si vous avez de solides connaissances en orthographe et écriture), nous penserons à vous si on ne trouve pas par nous-même trois juge.
Les juges:
-San999
-TRUNCKS
-Khanard
TEMPS POUR L'ECRITURE ET LE JUGEMENT.
Le texte à travailler sera posté la nuit du 22 au 23 Janvier, à minuit. Dés lors, vous aurez trois semaines pour écrire votre composition. Soit jusqu'au mardi 12 Fevrier inclus.
Les juges auront à leur tour deux semaines pour juger les textes (faut quand même qu'ils aient le temps de les lire...), ce qui fait que le jugement et les résultats seront rendus au plus tard le 26 février.
Les textes devront être rendu à San999 ou à Khanard par MP, ils transmettront aux 2 autres juges.
Aucun retard ne sera admis. Toute composition rendue aprés la date limite sera rejetée. Dusse-t-il ne plus y en avoir aucune. Les juges en retard seront remplacés par moi-même. Peu orthodoxe, mais si on vous donne des dates, c'est pas pour le fun. A bon entendeur. *regard assassin*
LE TEXTE
Voici le texte dont vous devez écrire la suite:
Ma vie prit un tournant, que dis-je, fut bouleversée, avec une grande soudaineté. Lorsque l’événement à l’origine de ce bouleversement eu lieu, j’avais quinze ans. La veille au soir, moi et ma famille étions allé au restaurant. Un buffet à volonté. C’était pas donné, mais ça promettait un sacré festin. Je n’avais pas particulièrement beaucoup d’appétit, à l’époque, bien que je mangeais mieux depuis un peu plus d’un mois, mais en entrant dans le restaurant et en sentant les odeurs tantôt épicées, tantôt acides provenant de la cuisine, je me sentis affamé(e) comme jamais. Nous nous sommes installés à une table, puis, sans perdre de temps, nous avons commencé à nous servir. Je me suis mis(e) à engloutir des plats par dizaines ! J’ai mangé quelques trente nems, sept assiettes de rôti de porc, cinquante bol remplies de lapin à l’estragon et beaucoup d’autres choses dont je ne me rappelle plus. Au début, comme j’engloutissais sans beaucoup mâcher, je m’attirai une remarque agacée de mon père, qui me sermonna sur la nécessité de manger lentement pour conserver une bonne santé. Puis les assiettes s’empilant, mon frère me lança d’un ton hautain :
-« Pas la peine de te forcer comme ça pour te faire remarquer, tout ce que tu y gagnera, c’est une indigestion.»
Ma sœur, elle, sembla s’amuser de mon incroyable appétit. Les clients des tables voisines finirent par me remarquer. Je perçu quelques commentaires du genre :
-« Mais où trouve-t-il (elle) la place de mettre tout ça?» mais ne m’en inquiétait pas, tout à mon plaisir de manger à ma faim.
-« Au moins, on pourra dire qu’il (elle) aura bien amortit le prix du resto!» fit ma sœur, le sourire aux lèvres.
Je finis par être rassasié(e) et nous payâmes le restaurant. Les employés qui ramassaient les assiettes vides et les tenanciers de la caisse me regardaient avec de gros yeux. Mes parents étaient un peu inquiets à mon sujet, mais de nature insouciante, ils ne s’attardèrent pas sur le sujet, tandis que mon frère me raillait, me promettant un mauvais sommeil à cause de la digestion.
Assommé(e) par mon plantureux repas, je ne mis que peu de temps à m’endormir. Mais mon sommeil fut agité. Je cauchemardais. Je me réveillais à plusieurs reprises, en nage, ressentant une sourde douleur diffuse en bas du dos, là même ou je sentais régulièrement des démangeaisons et autres sensations désagréables depuis plus d’un mois. J’avais l’esprit trop embrouillé pour songer à me lever, espérant trouver le repos au pays des songes. Je me tournais et me retournais dans mon lit, ne me rendormant que pour cauchemarder à nouveau. Je crois même que je gémissais faiblement. Je me rappelle parfaitement du dernier de mes cauchemars. Je courrais dans une longue allée, poursuivi(e) par deux kienzans. Et je n’arrivais pas à les distancer. Au dernier moment, un muret se dressa sur ma trajectoire. Je sautai par-dessus. Les kienzans, eux, se fracassèrent contre l’obstacle. Ils explosèrent en morceaux. Un éclat de kienzan fila dans ma direction. Je me retournai pour fuir, mais il m’atteint à la base du dos, me causant une vive douleur semblable à une déchirure. Cette douleur était atroce et paraissait horriblement réelle. C’est alors que je me réveillai en sursaut. La première chose qui me frappa, c’était que j’avais l’esprit parfaitement clair. Puis je me rendis compte que je ne ressentais plus la moindre douleur. Me rappelant du dernier moment de mon dernier rêve, je portai ma main juste au dessus de mes fesses. Et je sentis un liquide poisseux. Il y avait aussi une sorte de corde douce qui serpentait dans mes draps. En regardant ma main, je vis et sentis que le liquide était du sang. Je me jeta hors du lit et je repoussa complètement les draps. Du sang, encore, sur ceux-ci. Et sur la housse de matelas également. Mais pas trace d’une quelconque corde. Je me tournai vers l’armoire à glace de ma chambre pour m’observer dans le miroir. La corde pendait depuis mon bas de pyjama. Je me retournai pour me voir de dos, et je vis qu’elle était attachée à l’arrière de mon bassin, sortant d’une cicatrice encore rouge et ou se trouvait du sang séché, qui imprégnait également une zone de mon bas de pyjama. Quand je vis cela, mon corps me sembla se glacer. Je frissonnai. J’haletai. Des sueurs froides me prirent tandis que je ne parvenais pas à assimiler l’information. Puis, après un temps que je ne saurai définir pendant lequel j’angoissai, à semi conscient, je sentis enfin un chatouillis à la base de ma queue, puisqu’il ne s’agissait pas d’autre chose que d’une queue poilue longue d’un mètre vingt environ. Me sentant complètement hors de la réalité, je me mis à fouetter l’air avec, comme si elle m’avait toujours appartenue. Je me relaxai, prenant conscience de mon corps, détendant mes muscles. Puis, je me tendis d’un seul coup. Je senti mon aura, bien qu’elle ne fut pas visible, vibrante autour de moi. Je pris un minerai décoratif qui traînait sur une étagère de ma chambre. D’après le vendeur, cette pierre se nommait « améthyste ». En tout cas, elle semblait plutôt solide. Je la pris dans mon poing que je refermai. Je serrai un peu, pas trop, et l’améthyste s’effrita comme une vulgaire motte de terre. Je lança un regard à mes quelques volumes d’un manga nommé dragon ball. Puis, émergeant de ma rêverie, analysant tout ce qui venait de se produire, je me mis à sourire, pensant en moi-même que j’était devenu(e) saïyen(ne) et conscient(e) d’en avoir désormais les pouvoirs. Je fut interrompu dans ma réflexion par le bruit du réveil qui sonna dans le but inutile de me réveiller, me rappelant qu’il fallait que je me prépare à aller à l’école…
Bonne chance à tous!