Akumetsu a écrit:que dire... si ce n'est "Super!"
Ta comparaison entre les piécettes jetées à des mendiants et la pluie de grenades est du grand art! j'ai vraiment aimer cette tournure de phrase.
Il n'y a qu'un seul défaut : le temps entre les chapitres! ben oui, je reste un leecher!
et moi que dire, à part merci beaucoup. le temps de parution, j'avoue, mais j'alterne entre mes fic et mes études d'où le temps long
Crakower a écrit:Enfin la suite j'en pouvait plus!Enfin je suis quand même aux anges superbe chapitre!!!
Pour mes dessins je compte faire la colo,j'étais sur ma bd Dragon Warp c'est pour cela que ce n'est pas fait!
Merci pour tes compliments c'est sympa d'encourager!
Je vais aussi m'occuper de Taris! A bientôt!

yeah!impatient!et poste moi un lien vers ta bd aussi
tenma a écrit:superbe scénario...Kakarotto va se faire gronder par vegeta
merci beaucoup. j'avoue, Vegeta risque de trouver limite le comportement de son général...
nouveau chapitre:
Chapitre 12: Duel et difficultés
Explosions, vagues d'énergies, mort… Là, Nappa était dans son élément! En tant que saiyen, il était fait pour le combat, et pour sa part, il devait bien admettre que la guerre et les grandes batailles lui convenait tout à fait. Il fonça à travers la vaste "entrée n°7" comme défini sur le plan de bataille, tenant à peine compte des multiples tirs qui l'assaillaient. C'était trop facile… La sorcière de Kakarotto avait trop bien fait son travail. Les soldats ennemis ne semblait pas le moins du monde organisés, certainement du fait que presque tout leurs commandants avaient disparus. Il avait même rencontré deux ou trois soldats qui s'était agenouillé devant lui en demandant grâce. Il leur avait alors promptement écrasé la tête contre le mur le plus proche. Qui demande la pitié ne la mérite pas. La grande peluche, Yron, n'avait pas cessée de se battre même après avoir perdu, et sa récompense, c'était qu'il dirigeait maintenant la meilleure équipe de l'empire. Quel meilleure preuve que celle là?
Nappa fut brutalement rejeté sur sa gauche par un puissant tir sur son flanc. Il heurta un mur qui se craquela sous le choc. Hé! Pas mal! Il vit qu'une des épaulières de son armure venait de partir en fumée et qu'il avait même une petite écorchure sur l'épaule.
"Pff… Ces armures ont fait leurs temps… j'espère que ces scientifiques si précieux pourront nous faire un vrai équipement quand on en aura terminé."
Notant cette pensée dans un coin de son esprit, il chercha du regard l'auteur de l'attaque, espérant un vrai guerrier, peut être même Taris, pourquoi pas? Il fut alors déçu de voir de quoi il s'agissait. Sur un toit, une de ses saloperies de synthétique, dirigé par un soldat, avait chargé sur son épaule un de ces gros canons DCA pour le pointer sur lui. Nappa haïssait ses boites de conserves, c'était… De la triche… Déshonorant pour ceux qui s'en servaient. Ça prouvait au monde entier que les vrais soldats dans leur armée étaient juste de pauvres lâches préférant envoyer la mécanique faire un boulot de vrai guerrier. L'invasion était tellement facile qu'il avait décidé de s'amuser un peu en n'utilisant aucune attaque énergétique, et en ne volant pas, ou alors juste au raz du sol pour aller plus vite. Il se mit donc à courir vers le bâtiment. La machine tenta plusieurs autres tirs, mais le saiyen était maintenant prévenu, et chaque tir fut repoussé du tranchant de la main, allant au passage s'écraser dans les rangs de l'armée de Cold. Arrivé non loin de son objectif, le colosse effectua un minuscule saut pour mieux prendre son appui. Il détendit puissamment les jambes enfonçant circulairement le sol sous ses pieds tout en se propulsant à prêt de quarante mètres du sol. Un simple saut, il ne trichait pas dans son petit jeu. Il tomba violemment sur ses deux cibles qui ne firent pas de vieux os… Ni de vieux circuits. Du sang dans une main, de l'huile dans l'autre, il se retourna vers la rue retentissante de cris et d'explosion et se pencha par dessus le muret. Il perdait un homme pour dix ennemis, les défenses s'effondraient comme un château de cartes. Définitivement trop facile. Ou était le challenge?? Il aurait tué pour un peu plus de défi. Il ne voyait pas la marée argent à cent mètres dans son dos…
Kakarotto fixait son adversaire. Pas un mouvement n'était esquissé d'un coté comme de l'autre. Le jeune saiyen était ennuyé. D'un coté, il ne savait pas vraiment de quoi était capable Taris, vu que la seule fois ou on l'avait vu au combat, c'était il y avait peut être un an contre Nappa. Or, depuis l'attentat, Vegeta avait ordonné à ses frères de reprendre un entraînement drastique entre les batailles, et la puissance de Nappa comme la sienne n'avait absolument plus rien à voir avec celle de l'époque. Mais Taris n'avait pas eu l'air en difficulté, seule l'arrivée de Vegeta sur la planète avait sauvé son colossale ami. Deuxième problème, la fille. Elle était à bout de forces, et il savait déjà qu'elle ne résisterait pas au combat. De même Kakarotto n'avait aucune chance avec un seul bras et l'impossibilité de se défendre. Et il se demandait si Taris lui laisserait l'occasion de la mettre à l'abri. Dernier détail, il n'avait pas le temps, il devait foncer aider les troupes avant qu'il ne soit trop tard. La paroi au dessus de lui serait certainement un jeu d'enfant à percer, mais pas tant que Taris serait en état de l'en empêcher. Et l'autre restait là, un sourire sur de lui sur son visage. Il rappelait étrangement Ginue avec cette expression. Enfin, il ouvrit la bouche:
- Je t'en prie, kakarotto, va donc déposer ton amie dans un endroit plus approprié. Tu n'as pas besoin d'un poids mort sur les bras. Après nous pourrons enfin commencer.
D'abord surpris, Kakarotto ne bougea pas d'un cil, puis doucement, il commença à se diriger vers le fond du hangar, tournant le dos à son adversaire. Il prit cependant bien garde à ne pas lâcher l'aura de son adversaire, restant parfaitement sur ses gardes. Mais il savait qu'il ne risquait rien. Taris avait ce sens de l'honneur si commun à la clique des Cold. Des combattants parfaitement droits tant qu'ils se savaient en supériorité sur leur adversaire, mais qui avait tendance à s'évanouir si le combat ne tournait pas en leur faveur…
Le saiyen déposa sa compagne proche du mur circulaire de la salle, à l'abri d'une pile de caisse. Elle entrouvrit les yeux et tenta de parler mais aussitôt stopper par la main de Kakarotto sur sa bouche qui parla d'un ton acéré:
- Fermes la! Tu m'as suffisamment mis dans la merde pour aujourd'hui.
Puis, hésitant et presque à contrecœur, il n'arriva pas à se retenir d'ajouter d'une voix bien plus douce:
- Tiens le coup, ok?
Il se leva et commença à s'éloigner mais s'arrêta en entendant un murmure pénible:
- Sois prudent…
Il partit sans se retourner. Émergeant de derrière les caisses, il se cala, immobile, fixant le mur du hangar, son ennemi dans son dos. Il l'entendit:
- C'est bon? On peut s'y mettre?
Le saiyen leva lentement les mains à hauteur de son torse et fit craquer ses phalanges. Il resta mains jointes dans cette position, la tête baissée, et dit:
- Quand tu veux.
l'aura de l'alien fonça immédiatement sur lui, sans faux semblant. Relevant brusquement la tête, Kakarotto tourna sa main gauche dans sa droite pour plaquer ses deux mains l'une contre l'autre dans la même position. Quand Taris fut à moins de Dix mètres prêt à frapper, il fit brutalement demi tour sur sa gauche, hurlant
- Garric Gun!!!
Une explosion d'énergie mauve heurta de plein fouet l'élite de Cold qui fut projeté à l'autre bout du hangar. Le flux s'interrompit et Taris, enfoncé dans le mur, réussit à sortir de sa silhouette d'acier. Il tomba à genou. Kakarotto apparu brusquement à coté de lui, projetant son poing droit sur le visage de l'alien… qui bloqua la main adverse, le faisant tournoyer verticalement pour l'écraser au sol dans un Bang sonore. Il se jeta alors pied en avant sur sa proie qui disparu pour réapparaître derrière. Il attaqua lui aussi dans le vide avant de parer de justesse un coup de pied dans sa gorge. Un long enchaînement bestial commença alors, les deux adversaires rivalisant de techniques et de violence pour se briser l'un l'autre. Kakarotto tenta d'enfoncer son genou dans les cotes de son ennemi. Celui para, puis enserra la jambe encore plié dans son bras. Il donna un brusque coup d'épaule qui souleva le saiyen au dessus de lui, et l'agrippa à la gorge de son autre main, le chargeant ainsi sur ses épaules massives. Un aura violette apparue autour de lui quand il se lança à toutes allures contre le toit de la salle. L'impact fut terrible et coupa le souffle du guerrier pris en sandwich entre une paroi refusant de céder et un ennemi riant sauvagement en continuant de pousser vers le haut. Relâchant enfin la pression, l'élite agrippa la jambe de son ennemi et le projeta d'une main vers le sol, perpendiculairement. Avant même qu'il n'ait parcouru la moitié de la distance, Taris projeta une décharge d'énergie soutenue qui s'abattit sur sa victime, doublant sa vitesse jusqu'au sol d'acier ou elle explosa, soulevant métal et pierre, prouvant que la couche de blindage (et le saiyen) avait été déchiré sur toute son épaisseur. Fronçant les sourcils, l'alien bleu entama une lente descente vers les lieux du sinistre. Il était déçu…
- Déjà? Mais c'était pitoyable! C'est ça, la race la plus puissante de l'univers?
Deux mains réunis en marteau s'abattirent avec une force inimaginable sur le crane chauve, envoyant le moqueur dans le trou qu'il avait lui même creusé. Kakarotto déchaîna alors les enfers avec fureur en pluie de vague d'énergie qui toutes filèrent dans le creux de pierre, explosant de plus belle. Enfin, dans un ultime hurlement, le combattant leva les bras au ciel, invoquant une boule d'énergie de deux mètres de diamètre qu'il envoya achever son attaque.
- OUI! C'EST ÇA!!!!
Toute la cité trembla et le sol du hangar se déforma en se soulevant lors de l'impact. La moitié des éclairages flancha, assombrissant considérablement les lieux. Kakarotto essuya le sang qui coulait de sa bouche et brisa ce qui restait de son armure de combat, ne laissant que le pantalon noir de sa combinaison encore intact. Il atterrit près du cratère et attendis. Quelques instants plus tard, un Taris blessé à la tenue elle aussi brisée émergea en lévitant du trou et fit face à son ennemi. Il souriait, et parti même d'un franc rire avant de parler:
- Magnifique! J'ai cru un instant que tu avais donné tout ce que tu avais! Quel idiot j'ai été, je te fait toute mes excuses, ça va être un combat extraordinaire!
Il se posa sous les yeux sombre du saiyen et entreprit de se débarrasser lui aussi des ruines de sa tenue, laissant apparaître son torse musculeux d'un bleu profond, écorché par ci par là, mais sans plus. Enfin, il se mit en position de combat et lança:
- Bien, je suis bien échauffé, ça ne te dérange pas si je passe au chose sérieuse maintenant?
D'abord impassible, le bouche fendue de kakarotto s'étira en un sourire:
- J'allais te demander la même chose.