Les voilà, justement, avec le 11°
Je sais, c’est le but : créer chez Broly une fascination pour la mort. Et d’autres états pour en faire un ennemi polyvalent ( la preuve avec le coup de tueur parfait ). Ainsi je fais de Broly le plus abominable ennemi qu’ait eu la Z-team, vu que j’avais de quoi l’exploiter. Alors que la Toei avait pondu deux films minables et indignes d’être pris en compte, même s’ils étaient canon. Ce n’était pas Broly pour moi, alors j’ai créé ce Broly taré, violent, schizophrène, un Super-Terminator, un Alexandre de Large.
Et surtout, Végéta ne fera plus son fier une seule fois : les personnages qui se la pètent au point de faire de grosses conneries et qui chialent quand il y a plus fort qu’eux, ça va bien 5 minutes.
Chapitre suivant :
CHAPITRE 8 :( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=q2EMT3OH ... age#t=388s )
Les deux Super Saiyajins étaient immergés dans leur élément : la guerre. Les coups pleuvaient de partout, et ils gaspillaient énormément d’énergie. Mais cela n’avait vraiment aucune importance, car ils étaient heureux de se battre. Gohan goutait à ces nouvelles joies, et tenait à cette vengeance implacable. Broly, lui, avait trouvé son partenaire idéal pour sa dance de la mort : ce garçon s’en donnait à cœur joie. Gohan évitait le coup, et sentait le sifflement, comme une lame dans l’air, et c’était plutôt agréable. Mais le Saiyen fou en profita pour l’attraper par les bras et jambes et le bloquer sur son genou, comme pour l’écarteler en deux. Gohan hurla de douleur, et Broly s’en délecta. En fait, chaque cri, chaque goute de sang, craquement d’os, étaient ressentis par les deux adversaires, qui étaient comme isolés, confinés entre eux. Gohan frappa au niveau des jambes et cherchait à ignorer la douleur provoquée par les coups dans le ventre. En fait, il ressentait presque rien, vu son excitation pour ce combat. Et tout deux gardaient quelque chose pendant tout le combat : un sourire large et déformé, comme un rictus de cruauté. Broly envoya son adversaire au loin par un double-coup de pied avant de lancer une boule de feu qu’il transforma en pluie de rayons destructeurs, suivant :
« SPREAD THE MAYHEM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
Gohan ne put esquiver que la moitié des coups, et le reste lui brula le corps et le faisait horriblement souffrir. Mais Gohan n’utilisa pas un de ses senzus, cette fois : sa force suffisait, il était au-delà des Super Saiyajins classiques. Alors il augmenta sa puissance afin de supprimer sa sensation de douleur et repartit à l’attaque. Le démon avait toutefois vu que son attaque était insuffisante, et en venait aux poings de nouveau. Les esquives, coups, se succédaient à une cadence accélérée sans qu’aucun des deux ne veuille prendre l’avantage. Ils voulaient que leur vie, leurs plaisirs se prolongent, jusqu’à la fin, à défaut d’être immortel. Gohan avait fini par oublier tout le reste : le vaisseau et ses amis, la Terre, ses études, sa propre mère. Ou alors il n’y faisait plus attention, mais une seule chose comptait : se battre, tuer, vaincre, vaincre, vaincre encore. Et surtout, y arriver seul, et sans l’ombre d’un accessoire : Gohan devenait de plus en plus fier de son état, et ne voulait maintenant plus aucune aide. Béjita resta là, à observer avec attention ce métis entrain de « s’ amuser » : Gohan l’avait rejoint dans la gloire, tout juste si son sang allait devenir celui d’un pur Saiyajin. Et cela se voyait surtout lorsque Gohan ne touchait plus à ses poches en se relevant, ou qu’il ne voyait plus que Broly en abordant un rictus de vainqueur. Les deux guerriers lancèrent maintenant leur attaque, et l’équilibre était parfait entre un laser bleu, et une énorme bombe verte.
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=q2EMT3OH ... age#t=477s )
Au vaisseau, Goku commençait à s’inquiéter : Gohan n’avait pas encore vaincu Broly qui avait à peine son niveau, alors qu’il était sur que sa puissance pouvait écraser Cell sans difficulté. Ce fut là qu’il frissonna de peur : la force montait à la tête de son fils, jusqu’à l’enorgueillir. Il devenait un Saiyajin à part entière, presque comme Béjita : puissant, fier et cruel. La preuve était qu’il semblait prendre du plaisir dans ce combat et qu’il n’ingurgitait plus de senzus. Goku prit une décision :
« Gohan est en train de sombrer dans la violence et cette fierté : il faut que j’ailles l’en dissuader, ou Broly risque de prendre le dessus.
_ Attends, Goku : Gohan devenant fier, il refusera ton aide, et pourrait bien te tuer, et avec l’aide de Broly, peut-être.
_ Piccolo ! Je t’interdis d’en arriver à penser cela. Rétorqua le Saiyen, énervé. Si Gohan continue de jouer, ce Saiyajin monstrueux en aura marre et sa force risque d’augmenter encore, jusqu’à rendre mes efforts vains. ». Puis il partit, non sans voir Piccolo lui envoyer des senzus, au cas où.
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=GCUrloGe ... age#t=349s )
Pendant ce temps, Béjita hésitait entre admirer la réhabilitation de Gohan et retourner au combat en tant que prince des Saiyajins. En fait, il était de plus en plus agacé : Gohan se prenait pour lui avec cet air fier et arrogant. Mais que pouvait-il faire contre deux SSJ 2, car ce petit Saiyen pourrait se retourner contre eux, ne serait-ce que parce que on ne devrait pas le déranger ? Argh, mais pourquoi devait-avoir rien à redire alors qu’il était le prince ? Il ne devait rien à personne, et cela ne changera pas ! Végéta se mit au maximum de sa force, non sans voir Kakarotto vers lui : ce Saiyen se mêlait toujours de ses affaires juste pour se battre. Mais il aura besoin de lui, au fond, vu que Broly est très menaçant. Goku lança alors une boule d’énergie vers le monstre, qui ne sentit en tout et pour tout qu’un picotement dans le dos. Il se retourna, fou de rage :
« Non mais ça va pas de me déranger alors que je fais un tour de valse avec ton fiston ?! Espèce de mal élevé !!
_ Tu n’as pas à me dire comment je dois vivre avec mon fils, aberration ! Gohan, tu dois en finir avec ce monstre !! NE LAISSES PAS TES INSTINCTS DE VIOLENCE PRENDRE LE DESSUS !!!!!
_ Ça suffit !!! C’est toi qui as accepté que j’ai ce pouvoir contre Cell ! Et puis toi aussi tu étais trop excité contre Freezer, alors ne me fais pas la morale. Je tiens à ce que Broly subisses le double de ce qu’il nous a infligé !! »
Broly tiquait : alors comme ça, ce sale gosse ne s’intéressait qu’à la vengeance ? Bas, tant pis, il finira par ne pense qu’aux sensations qu’une mise à mort pouvait procurer. Soudain, un mercenaire un peu idiot arriva, demandant son chemin, suivi par d’autres soldats et des vaisseaux. Broly et Gohan se regardèrent, puis s’échangèrent un regard malicieux :
« Cela te dirait un petit entracte avant de reprendre ? Tu dois être épuisé par cette danse.
_ Je ne demande pas mieux. » répliqua Gohan, un sourire sardonique aux lèvres.
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=4rozttnp ... page#t=92s )
Aussitôt, ils se jetèrent sur le pauvre soldat et le massacrèrent de leurs poings et pieds, dont l’intensité était réduite pour l’occasion. Ils le matraquaient dans relâche, tout en savourant chaque coup à porter, chaque craquement d’os à entendre. Goku était effaré devant cette vision : Le Super Saiyen était l’incarnation de la violence , réduite à son sens le plus strict du terme. Il s’agissait de la barbarie la plus pure. Les premières transformations accentuaient les émotions les plus négatives, dont la rage, la haine, la mort et la destruction. Il avouait lui-même qu’il ne pouvait garder la tête froide que très peu de temps. Et il aurait pu tuer son propre fils si celui-ci était resté plus longtemps à côté » de lui, ou dans un accès de colère. De plus, il n’avait même pas chercher à sauver sa peau contre Freezer, car il avait dit lui-même qu’il voulait partager la fierté avec Végéta pour venger son ami Krillin et son peuple. Ce qu’il craignait avait fini par se produire pour Gohan : il s’était laissé emballer par sa force, et allait dériver vers le comportement qu’avait Végéta avant le combat contre Cell. Ce qu’il voyait renforça ses impressions : Gohan et Broly en finirent avec le soldat en lui écrasant la tête au sol., après avoir mitraillé son corps de coups simultanés et de plus en plus violents. Ensuite ils prirent leur envol et se mirent à tirer des salves de lasers pour détruire les véhicules ennemis. Le déluge de feu était très beau à regarder, selon Gohan : cela lui rappellerait certains feus d’artifice qu’il voyait avec ses parents. Sauf que là, c’était lui qui pouvait les créer, donc c’était encore meilleur. Les soldats n’eurent guère plus de chance : les Super Saiyajins les rattrapèrent pour les massacrer : l’un les déchirait ou leur arrachait la tête à coups de dents, et l’autre pouvait les découper en deux ou les faire exploser d’un coup de pied latéral. Le sang coulait encore et encore : bientôt toute la planète allait devenir symbole de désolation et de malheur. Gohan utilisa toute sa puissance pour effacer le sang sur lui, mais Broly le garda et tiqua de voir son partenaire de valse se laver : c’était ridicule. Végéta ne tenait plus en place : il fonça sur Broly et chercha à le tuer :
« Assez !!!!!!! C’est qui le prince des Saiyajins, Gohan ? Toi ou moi ? En tout cas, JE T’INTERDIS DE VOLER MON COMBAT !!!!!!!!!!!! »
Le prince, cachant son chagrin de n’avoir rien pu faire pour la chair de sa chair, frappa de toutes ses forces, suivi par Goku qui ne comptait pas être en reste. Le combat reprit de plus belle : de nouvelles averses de coups de pieds et poings s’abattirent dans le ciel ou sue le sol, déclenchant des tremblements. Mais le Super Saiyajin légendaire ne subissait que peu de dégâts, et était de plus en plus en colère : il avait son partenaire, Béjita et Kakarotto pouvaient bien attendre, rien ne pressait. Qu’est ce qu’ils avaient à se presser ? Voulaient-ils à ce point mourir… juste en se prenant le plus de mandales dans la tronche ? Quelle vulgarité, mais puisque tel était leur intention, pourquoi les priver de cette fin ? Et puis il commençait à s’ennuyer avec ce garçon qui devenait trop sûr de lui, et ne cherchait pas à savourer la venue de la mort. Il croyait vraiment pouvoir le battre ? Pour qui il se prenait, ce danseur de pacotilles, à vouloir gagner ? Il n’avait jamais parlé d’honneur, moins que son père. C’était tuer ou être tué, et c’était la seule chose sur laquelle il était d’accord avec Paragas. Il repoussa Goku, mais alors que le prince allait repartir à l’attaque, quelque chose, ou quelqu’un retenait son bras : c’était le métis :
« Qu’est-ce que je vous ai dit ? Je n’ai pas besoin de votre aide. Et je tiens à décupler sa douleur, avant de la lui rendre. Il doit s’en repentir jusqu’en enfer !!
_ Gohan !!! Si tu ne le tues pas tout de suite, il verra que tu ne suis pas le même raisonnement que lui, et il te tueras !! Et Végéta a raison : je ne veux pas à ce que tu sombres dans cette arrogance qui l’a tué une fois, et a permis à Cell de devenir plus fort.
_ Mais… papa, son crime restera impuni : tu as vu ce qu’il a fait avec Trunks. Ce monstre n’est pas un Saiyajin, mais un fou dangereux : il est indigne d’être de notre peuple. Les Saiyens ne peuvent pas ressembler à cela !
_ Pfff, le peuple Saiyajin. Rétorqua une voix derrière eux. Ils n’ont rien fait pour moi, et j’ai été jeté dans les fonds de la planète Végéta, comme un déchet ! C’était la seule chose que je pouvais faire pour mon père, car il ne voyait en moi, comme les autres, qu’une brute décervelée. Il n’a rien vu dans mes œuvres, il était comme les autres : un esprit conventionnel. Mais puisque vous êtes le prince Végéta, je comptais vous offrir une mort honorable et humble. Et malheureusement, il a fallu que vous préférez une mort vulgaire en étant piétiné sous mes coups. »
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=9XdugNU6 ... age#t=328s )
Goku dévia la bombe que lança Broly, mais Gohan le frappa et le père tomba vers les débris. Broly ne méritait pas une mort foudroyante et douce ! Le métis en profita et lança une rafale de lasers vers la zone du crash. Tout s’écroula, et on entendit un cri. Ainsi, le fils de Goku reprit son combat contre le Saiyen fou qui remarqua que le plaisir fut plus intense. Mais à un moment, il allait créer un rebondissement, et se remettre à torturer, redevenir le prédateur du début, et prolonger les travaux de son père, en confirmant son état de tueur parfait. Il jeta Gohan au sol, puis le reprit pour l’écraser sur une montagne. Puis encore, et encore : il continua de l’étaler sur la roche, qui craquait de plus en plus. Puis Broly l’envoya de nouveau dans le décor, et se jeta de son poids sur le torse de Gohan qu’il transforma ensuite en trampoline. La douleur s’intensifia, et le petit Saiyen commençait à peiner pour encaisser les coups de son adversaire. Il bloqua un autre coup et lança un double coup de pieds sur le dément. Mais ce dernier prit appui sur ses jambes et attrapa Gohan au visage pour l’enfoncer dans une autre falaise. La méthode consistait à confiner l’adversaire dans un espace isolé et ne plus le relâcher en le matraquant le plus fort et le plus vite possible. C’était simple, au vu de sa folie, mais très efficace : Gohan souffrait carrément le martyr et Broly frappait le plus fort qu’il pouvait… dans son état actuel. Car il possédait des ressources inépuisables et n’était pas encore à 100 % de ses capacités. C’était l’impression qu’il ressentait : ne jamais être à son maximum. Mais alors que Gohan chercha à se dégager, les autres coups firent saigner Broly de plus en plus, mais moins que lui. Cela commençait à le fatiguer. Il avait devant lui pire que Cell : si ce dernier était un être artificiel, Broly était ainsi de nature, s’ajoutant une froideur d’un assassin hors pair : la machine de mort la plus efficace jamais façonnée par un être dans l’univers. Mais c’était aussi une arme évolutive, et relative, et surtout polyvalente.
Totalement abasourdi. Tel fut l’état de Goku après s’être relevé : son propre fils avait failli le tuer. Il s’était contrôlé, bien sûr, mais sa puissance était telle qu’un tir mal chargé, non maitrisé, et son fils aurait été un orphelin. C’était clair, le Super Saiyajin était un état trop dangereux : tous ceux qui l’utilisaient sans préparation au préalable devenaient fous, plus sauvage. Et Broly n’était surement pas là pour affirmer le contraire : c’était le pire de tous. Et Béjita, en le renforçant, était devenu plus arrogant que d’habitude, au point qu’il avait laissé Cell devenir plus fort en absorbant C-18. Le Saiyajin de sang rejoignit Béjita qui tremblait de frustration : il était la risée de son peuple et des combats. Pour cela, il pouvait supporter Goku, rien que pour retourner en première ligne.
Gohan évita un laser de façon plutôt gracieuse, plus que d’habitude. Puis il repartit à l’assaut et martela Broly de coups de poings, de plus en plus fort, et il n’entendait plus rien. Il était totalement habité par la rage, la vengeance pour ses victimes. Il entendait juste un bourdonnement et les gémissements de Broly qui se tordait dans tous les sens. Puis il se fit jeter sur un immeuble en ruines, et Gohan bombarda la zone de Kikohas. Il se mit à hurler, à lui lancer des injures, le mot « vengeance » et le nom du meurtrier de masse retentirent à plusieurs reprises. Broly avançait tout de même, un sourire mauvais aux lèvres : son bouclier vert demeurait impénétrable. Il lacha à son tour une rafale de boules de feu assez puissantes. Gohan, à sa grande surprise, vacilla. Il chercha à prendre un senzu dans sa poche, mais le monstre était déjà sur lui.
« Que t’arrives-t-il ? Demanda le dément, les yeux emplis de folie plus que jamais. Je croyais que ton assurance te rendait indestructible ( tout en parlant, Broly écrasa la main gauche de son adversaire qui cherchait dans ses poches ) ? C’est bien que je désapprouve dans toute idée de vengeance : cela traduit l’impuissance. Et si le fils de l’autre roi des vermines est mort, c’est uniquement par sacrifice, et parce qu’il a eu le malheur de se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment. »
Alors que le fou releva Gohan pour le frapper et le mordre à la gorge, Goku et Végéta arrivèrent et frappèrent Broly ensemble. Le temps leur suffit ensuite pour dégager le métis et lui donner un senzu. Broly releva la tête, les yeux pleins de rage : il était temps de donner la chasse.
« Maintenant que le roi, le guerrier et l’enfant prodige sont réunis, je vais pouvoir jouer les dernières notes de ce mouvement. Ainsi, je vais monter d’un cran, crescendos, puis FORTISSIMO !!!!!!!!!!!!!!! Grraaaaaaaaahhh !!!! »
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=gZkRMddm ... age#t=488s puis :
http://www.youtube.com/watch?v=wWq0r-f7 ... age#t=482s )
Broly augmenta sa masse musculaire, et la force gravit encore un échelon. Les éclairs se firent plus nombreux, et le ciel plus noir que la nuit. Les tremblements de Terre n’en finirent plus : ce monstre serait presque capable rien qui, par concentration, d’éventrer une planète entière. Gohan sentit que la puissance de l’adversaire monta à vitesse grand V. Il se sentit alors terrifié, et honteux : il avait joué au plus malin et cela s’était retourné contre lui. Les veines se firent saillantes sous la peau de Broly, et très peu d’éclairs apparaissaient. Mais il fila droit vers ses ennemis. Béjita ne vit que trois choses : Broly en train de disparaitre, une ombre, et une masse lui tomber dessus. Sonné, et le torse défoncé , il s’écroula rapidement, avec les traves de sang sur le sol. Il craignait l’hémorragie interne, et il prit un autre senzu, avant de reprendre son souffle et espérer combattre à nouveau. Mais pour l’instant, c’était Broly qui avait toujours le dessus, et il continuait de le massacrer à une cadence infernale, tout en laissant le temps à ses ennemis de prendre un senzu. Broly fit un pas, puis une seconde après, se retrouva sur la droite de Goku, abattant son bras pour défoncer sa tête, mais Goku utilisa le déplacement instantané aussitôt. Mais ce fut peine perdue, car le monstre avait perçu ce mouvement, et fonça déjà sur lui. Heureusement, le Saiyajin s’était mis à bonne distance pour se mettre en garde. Mais sous les rafales de coups et de ki chargés dans les mains du dément, la défense ne tardait plus à d’écrouler, et Goku dut réutiliser son déplacement pour échapper à une boule de feu à bout portant. Mais Broly avait en réalité entrainé ses 5 sens : il avait hypertrophié sa moelle épinière et mis ses nerfs et son flux sanguin à rude épreuve. Broly remarqua le regarda et lui expliqua :
« C’est mon père : il m’a entrainé en vue, toujours, de l’efficacité maximale. Alors il fallait que je puisse repérer les adversaires n’importe où, grâce à ces nerfs hypertrophiés et les veines bloquées, afin de contrôler cette hypertrophie. Ainsi, je ne raterais jamais mon coup. C’est aussi pourquoi Paragas était si fier de son travail : avoir créer le tueur le plus efficace et violent possible. Je suis la preuve vivante que sa méthode marche, et je peux lui être reconnaissant au moins pour ça, et que la mort est un ART !!! »
A ces mots, Broly lança une nouvelle salve sur Goku qui ne pout résister : il était à moitié mort. Mais Gohan réagit, et sans plus de résultats, alors le monstre le balança dans les airs, et le frappa de façon à l ‘emprisonner dans un carré tracé par se apparitions. Gohan fut mis à terre, bien mal en point, tandis que Broly était essoufflé : il gaspillait pas mal d’énergie, et son partenaire dans la danse de la mort était parfois redoutable. Il fallait finir en beauté : le dément arma une boule de feu qu’il divisa en rayon lasers pour transformer sa victime en passoire. Mais à ce moment là , Gohan vit deux ombres, avant de se prendre quelques rayons, mais pas tous, malgré l’impact violent et très douloureux.
Fin du chapitre. Fin du combat au chapitre suivant, promis. A vos commentaires et à plus.
Voilà
Merci, mais je voulais parler de Teen Gohan car étant un fan incurable de Gohan, j’avais peur que vous montiez au créneau, tout les deux. Et je voyais bien que c’est humoristique, mais on ne sait jamais.
Bon, c’est reparti :
CHAPITRE 9 :http://www.youtube.com/watch?v=y-IBe32T ... age#t=318s )
Goku se sentait traqué de toutes part, mais par un seul homme. En réalité, il faisait face à un adversaire doté d’une vitesse et d’une agilité totalement ahurissantes. Il avait beau cherché à anticiper les coups du monstre, mais celui-ci, même en bougeant après ( et cela se sentait, car en fait, il avait remarqué Broly était peu discret ), il avait le dessus. Mêmes les boules de feu étaient devenues trop rapides, et Gohan se sentait impuissant. D’ailleurs, ils venaient de se jeter devant lui pour le protéger, et à ce moment là il avait honte. Si seulement il s’était retenu de jouer le héros devant un démon de la guerre, mais devant tant d‘horreur, il avait réagi instinctivement. Le Saiyen fou ava il raison, malheureusement : c’était tuer ou être tué en temps de guerre. Il se releva et prit deux senzus et ses partenaires de combat furent soulagés qu’il n’ait pas tout pris. Hélas, Goku se sentit horriblement faible : il avait encaissé avec plus ou moins de mal la rafale de lasers meurtriers. Bientôt, les senzus ne serviraient plus, et il risquait, au final, de mourir. Les trois Super Saiyajins se relevèrent alors et revigorés par les senzus, se jetèrent sur le dément. Le combat redoubla d’intensité, mais Broly était trop rapide et trop fort, et les coups ne faisaient que peu d’égratignure. Mais ce détail se révéla hélas peut important, car Broly était hors de son physique, il ignorait totalement la douleur, car obnubilé par ses excitations, part cette sensation de jouer avec ses ennemis comme avec des instruments de musique. En fait, il bougeait parfois comme un chef d’orchestre lorsqu’il envoyait des lasers, ou déchainait des orages de feu à distance. Goku et Béjita le repoussaient vers une falaise et lancèrent un Kaméhaméha et un Final Flash en même temps : l’attaque avait enveloppé le monstre et décolla du sol. Puis les deux rivaux/alliés lancèrent la douve-charge vers ce qui restait de la charge. Ce fut alors que Goku parla :
« Gohan, Béjita, écoutez moi très attentivement. Kaiho-sama m’a parlé de cette légende, et Broly n’est pas si exceptionnel par rapport à ses prédécesseurs !
_ De quoi parles-t-u, Kakarotto ? En quoi ce fou dangereux serait-il banal, par rapport aux Super Saiyajins légendaires ? Tu ne m’apportes rien : ils ont toujours été indestructibles et surpuissants. »
En faut, le prince des Saiyens était incrédule : à entendre Kakarotto, on aurait dit…qu’il avait un plan ? Goku continua alors :
« En fait, un ancien guerrier légendaire, apparu il y a 2000 ans, a été combattu par des Super Saiyens : à l’époque, ils étaient nombreux, et constituaient l’élite de nos ancêtres. Pour battre ce monstre qui n’avait aucune prise sur sa force, et était indestructible et infatigable, ils avaient amplifié la portée de son système nerveux pour le vendre vulnérable aux ultrasons. Et ainsi, ils l’avaient battu plus facilement. Ici, Broly est déjà avec ses nerfs hypertrophiés. C’est pourquoi je disais qu’il n’était pas si exceptionnel : il est juste plus fort, et plus cruel. Le premier d’entre eux était même un héros. »
Il termina dans un once de regret : si seulement Broly avait pu bien tourner, il aurait pu être comme eux, et vivre paisiblement. Pourquoi la nature et le destin avaient décidé de s’acharner après les Saiyajins ? Béjita remarqua cela et esquissa un sourire : ainsi Kakarotto se montrait de moins en moins ingrat envers ses ancêtres. Cela devenait intéressant, et Béjita déclara :
« En tout cas, si cela ne le tue pas, on pourra au moins le repousser. Et peut-être l’expédier au loin vers les autres galaxies, tout en suivant sa trace. Car même Dieu ignore ce dont est capable ce psychotique en liberté, dans la nature. Et alors on s’entrainera, et on le vaincra sans la ruse. »
Tous acquiescèrent avec fermeté pour ensuite repartir à l’attaque, plan en tête, car Broly venait de prendre son envol. Et il était en colère : il avait perdu cet état d’omnipotence, il ne pouvait plus les voir, entendre, les sentir n’importe où. Mais cela allait revenir, et il commençait à s’ennuyer ferme : cela devenait routinier et il fallait y mettre un terme. Il vit ses partenaires de sa danse macabre, et dut repartir à l’exercice. Ses nerfs devinrent aussi saillants sous sa peau, rien qu’en pendant à leurs cris de concert, aux peintures qu’il allait faire de nouveau. Il fut de plus en plus rapide, et Gohan se mit à produire avec Béjita un son avec les éclairs autour de son aura. Ainsi, il obtiendrait un ultrason suffisamment efficace pour déstabiliser Broly et ainsi l’achever en ne le lâchant plus du tout. Le monstre continua de les traquer et les massacrer à coups de pieds tout en esquivant leurs attaques, mais lorsqu’il passa devant Gohan, celui-ci émit un sifflement pour intriguer son adversaire puis il produisit un puissant effet sonore avec l’épée de Trunks : Béjita le rengaina dans le fourreau, puis Gohan siffla le plus fort qu’il pouvait. La technique fonctionnait à merveilles : Broly, devant ces ultrasons, hurla de douleur en se tenant les oreilles, d’où coulait du sang. Il était hors de lui, énervé par leurs manières : il voulait juste sentir les gouttes tomber une par une, et amplifier l’orchestre ave leurs os. Mais c’était peine perdue : ils ne pensaient qu’à leurs causes perdues, comme la victoire. Alors il laissa tomber cette technique et augmenta sa puissance qui était diminuée à cause des nerfs qui ne faisaient monter que la vitesse. Enfin, c’est-ce qu’il voulait bien montrer à ses ennemis.
Béjita et Goku avaient le visage un peu plus détendu : ils avaient enfin fait souffrir Broly depuis le début de la bataille. Maintenant il n’était plus aussi inoxydable qu’auparavant, et la victoire était encore possible. Gohan et Béjita se jetèrent sur le Saiyajin légendaire pour le marteler de coups successifs et sans perdre une seule fraction de seconde. Goku fit moins d’effort que les deux autres : Broly l’avait poussé à utiliser énormément et trop de senzus en quelques heures risquait de ne pas être si bénéfique que ça. Mais il devait déjà réduire les ouvertures qui constituaient toujours un mur d’acier devant ce monstre sanguinaire. Les coups continuaient de pleuvoir dans tous les sens, et Gohan se mit à fond : plus question d’hésiter ou de chercher à savourer la violence. Il fallait en finir avec ce monstre au plus vite. Mais ce dernier était devenu encore plus fort et bientôt ne pourra plus ressentir les coups. D’ailleurs, il leur faisait de plus en plus mal et les boules de feu étaient plus destructrices. Ce fut alors que Broly ressentit une brulure dans le dos : Piccolo lui avait lancé son Makkankosappo. Goku lui hurla alors :
« Piccolo ! Retourne au vaisseau, tu es largement distancé par ce monstre.
_ Tu oublies que j’ai le plus de senzus, et apparemment, il n’existe qu’un seul moyen de vaincre Broly : je vais transmettre mon énergie, et Krillin va faire de même depuis la zone de décollage ! »
Goku comprit alors : il fallait concentrer toutes l’énergie dans un seul point et ainsi tout relâcher sur leur adversaire. Mais pas question d’utiliser le Genkidama, cela prendrait trop de temps et le monstre les aurait tué avant qu‘ils ne soient prêts. Il fut interrompu par un coup de pieds dans la tête qui le jeta dans le décor. Végéta et Gohan se ruèrent sur le fou qui esquivait avec une aisance stupéfiante, tout en restant les bras croisés : il anticipait tout leur coups, et se permettait de danser dans le mouvement. Cela agaçait prodigieusement Béjita : il voyait vraiment la mort et la guerre comme de l’art, ou se moquait en permanence d’eux ? Broly l’interrompit soudainement dans ses réflexions :
« Maintenant, il est temps d’en finir avec le premier acte de notre opéra. Je vais vous tailler en pièces !! »
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=l0mezGsk ... age#t=433s )is
Aussitôt, il devint plus brutal dans les coups, et Piccolo vit ses bras se faire déchiqueter de plus en plus. Ses bras repoussèrent alors, mais Béjita eut beaucoup moins de chance : ses coups ne firent plus rien du tout à leur adversaire. Il était alors désemparé : rien ne pouvait tuer Broly, tellement sa force était gigantesque. Et le pire, c’était qu’il n’avait, ce n’était qu’une impression, pas encore tout montré. Soudain, il vit la masse de muscles foncer sur lui et le frapper de toutes ses forces , le projetant à un kilomètre ! Ses alliés en furent totalement décontenancés, mais n’eurent pas le temps de réagir, car le démon était déjà sur eux, et Goku et Piccolo furent mis à Terre très rapidement. Il ne resta plus que Gohan qui était complètement paralysé : le combat semblait durer toute une éternité, et personne ne semblait prendre l’avantage, et surtout pas eux. Il était blessé, certes, mais moins que lui, et il était plus déstabilisé que à bout de souffle, à cause des ultrasons. Mais un frisson d’effroi le parcourut, tout à coup : Broly réduisit sa puissance : il cherchait à le torturer à nouveau, et peut-être lui faire subir le même sort qu’au pauvre Trunks. Si tôt pensé, Gohan se mot en garde pour résister contre les rafales de coups de son adversaire qui semblait s »en donner à cœur joie, la preuve étant ces paroles :
« Finalement, cela va durer un peu plus de temps, mais au final, je vous tuerai tous. Mais une autre sonate doit être jouée, et tu vas me soutenir ! Gwaw Ha Ha Ha Ha !!!! »
Piccolo, de son côté, cherchait à se relever, avec deux senzus, mais était très inquiet : bientôt, le stock allait être épuisé. Maintenant, il s’agissait d’offrir de l’énergie à Gohan et à Béjita afin qu’ils surpassent Broly. Aussi Yamcha arriva sur les lieux et soutint Piccolo et Krillin pour fournir Gohan. Béjita décida de l’offrir d’office aussi : ce n’était pas le moment de faire des caprices de Saiyajin lambda. En fait, il s’avoua que si c’était Kakarotto qui avait affronté ce monstre, il n’aurait pas offert aussi copieusement son énergie. Décidément, il se sentait maudit en ces jours.
En tout cas, Gohan se sentait de plus en plus fort : il résistait mieux aux coups de Broly, même s’ils étaient d’intensité réduite. Et il se relevait plus rapidement. Il lui restait 4 senzus, mais il décida de s’en servir uniquement au cas où : le gaspillage ne pouvait plus être permis. Il décida de riposter contre son tortionnaire mais celui-ci se mit à esquiver les coups et intensifia sa frappe, transformant le petit métis en pantin désarticulé et sanguinolent. En effet, Broly pouvait les blesser assez gravement, alors que les autres ennemis causaient des blessures qui étaient pourtant loin de se résumer à de simples éraflures. Gohan se fit projeter dans une falaise qui se creusa, puis le monstre le rejoignit aussitôt. Les deux adversaires firent alors un duel de Kikohas dans le tunnel et Broly reprit ne regard épanoui : c’était beau ce feu d’artifice dans cette sombre grotte. Cela semblait être un magnifique spectacle d’ombres et de lumières. Mais le métis ne goutait pas à ce genre de considération et le prouva en matraquant le corps de Broly le plus fort possible, puis il l’éjecta hors de la montagne éventrée. Gohan se sentait un peu mieux et surtout plus d’attaque. Il comprit que l’union faisait la force pour vaincre ce genre de monstre. Il sentit maintenant l’énergie de son père affluer dans ses veines : tous comptaient sur lui, et il n’avait plus droit à l’erreur. Il sortit alors l’épée de Trunks et l’utilisa avec son ki. Alors enveloppée de l’énergie, la lame pouvait envoyer des vagues d’énergies tranchantes, qui, sur le Saiyen fou, entailler la peau. Et ce fut le cas : un peu de sang s’échappa du corps de ce dément, et celui-ci décida de réutiliser l’hypertrophie des nerfs. Gohan ne comprit pas ce raisonnement : pourquoi s’en servir alors qu’il la savait neutralisée. Mais qu’importe : il tenait à souffrir, il allait être gâté. Le métis attendit pour rengainer afin de provoquer l’ultrason dévastateur. Mais le tueur ne tomba pas cette fois ci : il avait détendu ses nerfs l’espace d’un instant pour y échapper. Puis tout de suite après, il les réactiva pour repartir toujours plus vite, et rendre son ennemi totalement impuissant.
Mais Broly ne put tuer le petit Saiyen : Béjita et Goku étaient de nouveau accourus pour le sortir de cette spirale de tourments. Aussi il fallait changer de tactique :
« Nous allons continuer à t’approvisionner tout en avalant des senzus. Toi Gohan, tu nous en donneras aussi après avoir avalé un autre senzu. Ainsi, nous lancerons une attaque simultanée qui le jettera très loin dans l’espace. Nous aurons alors du temps pour rentrer sur Terre et nous entrainer pour quand il sera de retour.
_ Exactement, Kakarotto. Je pensais à ça, aussi. J’aurai tellement voulu l’affronter seul, mais il semblerait que ce soit le peule qui doit l’affronter, et non un monarque. »
Tous furent d’accord en regardant admirablement Végéta : ainsi, il en avait et l’idée avant eux. C’était la preuve qu’on ne pouvait pas assimiler systématiquement les Saiyajins à des brutes stupides et imbues d’eux mêmes. Broly, lui, n’était pas anodin, c’était une exception, mais totalement à l’opposé de leur évolution. Aussitôt ils l’ encerclèrent mais il pouvait malheureusement aller plus vite et détendre ses nerfs grâce à sa concentration et ainsi augmenter sa force pour frapper plus fort. Mais les trois Saiyajins mettaient leurs énergies en commun, la partageaient. Le lien qui le unissait, par la force et par le sang, isolait ce monstre sanguinaire qui était pourtant plus fort et plus résistant, qui les surclassait avec une aisance capable de déstabiliser n’importe quel maitre d’art martiaux. L’intelligence et l’agilité ne marchaient que si l’écart pour la force était assez étroit, ce qui n’était pas le cas avec Broly. Ce dernier le fit remarquer :
« Félicitations : même quand je ne me retiens pas, vous cherchez à ignorer la douleur et vous soignez avec ce « médicament ». Pourtant, il doit vous en rester plutôt peu. A ce rythme, il n’y en aura plus pour suivre la cadence esthétique que j’impose et improvise. C’est pourquoi…notre spectacle doit être momentanément interrompu. »
Cette phrase choqua toutes l’assistance : Broly comptait reporter ce combat ? Gohan était surpris ( un bel euphémisme ) mais Béjita était plus qu’énervé : il avait affaire au top du top, maniaque, cannibale, fou, schizo, et lâche ?!?!! Il se déchaina alors sur le monstre en augmentant la masse musculaire :
« Tu oses, après ces massacres, nous dire que tu comptes te retirer ??!!! Tu ne partiras sans un souvenir de nous : pourquoi devrions-nous accepter de te laisser partit ? »
Broly, furibond, utilisa ses nerfs et matraqua de nouveau le prince et le massacrer aux jambes qui redonnèrent de craquements d’os, et d’écoulements sanglants. Ce fut presque le début du traitement qu’avait subi Trunks. Le démon le jeta aux pieds de Gohan et lui cracha :
« Est-ce que cela répond à ta question ? J’en ai marre de devoir me retenir pour que vous puissiez donner l’intensité sonore adéquate. Et si je me bat à fond, vous craquez trop vite, alors que notre sonate doit être jouée au top de tout. Alors je propose l’entracte, après que vous m’aurez expulsé hors de ce décor en ruine : il faudra en utiliser un autre. Oui, j’avais prévu l’union du peuple pour détruire la mauvaise herbe. Vous bous rendez compte : quelle plus belle fresque pouvait-on imaginer ? Réfléchissez-y un peu, pendant cet instant, où nous voulons échapper au cycle, pour être toujours heureux de jouer la musique de la guerre. »
Tout en parlant, il devint de plus en plus passionné, et moins stressé et colérique. En fait, il avait réglé tout cela à l’avance, alors qu’il parlait comme si il improvisait ?! Cela fit tomber Gohan de désespoir : il était une marionnette, et joyeusement pendant un certains temps, entre les mains de ce psychopathe. Celui-ci avertit toutefois :
« Mais attention. Il faudra bien vous entrainer pour le deuxième acte. Et je vous interdit d’aller trop vite, car je peux vous sentir dans tout l’univers. Vous allez prendre sept ans de travail : cela vous permettre de savourer cet entracte pendant longtemps car vous verrez votre vie défiler en boucle lorsque l’on se reverra. Et je m’arrêterai de tuer durant ce laps de temps, mais rappelez vous : étalez la préparation sur 7 ans, ou j‘accélère ce crépuscule de cet univers, et ce sera magnifique. Les meilleures pièces sont en gestations durant des années, et la mienne ne doit pas faire exception. Bon, comme je n’a rien à ajouter, je vous laisse conclure ce premier acte comme il se doit. »
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=ppAQuUp5 ... page#t=33s )
Excédés, les trois Super Saiyajins déployèrent le maximum de leurs force qu’il pouvaient sans mourir vidé de leur essence. Et ils utilisèrent leurs attaques, avec Gohan en première ligne :
« KAMEHAMEHA !!!!!!!!!!!!!!!!!!
_ FINAL FLAAAAAAAAAAAAASH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
_ KAMEHAMEHA !!!!!!!!!!!!!!!!!! »
Les trois rayons dorés et de couleur d’un bleu saphir foncèrent sur Broly qui déploya furtivement, l’espace d’un instant invisible, les 2/3 de toute sa puissance pour générer un bouclier suffisamment résistant pour qu’il se fasse éjecter assez loin et s’en sortir sans dégâts. La décharge produisit un fracassant tonnerre au moment de l’impact, le sifflement d’une centaine d’avions, puis plus rien.
Gohan était à bout, et dût produire un effort olympique pour prendre les senzus qui lui restaient. La même scène se produisit et tous repartirent pour la Terre, plus menacée que jamais, mais au même titre que les autres planètes, étoiles, êtres vivants de l’univers, par ce cataclysme vivant, et impossible à arrêter de façon habituelle. Sur le chemin du retour, Végéta voulut détruire la planète, mais on l’en dissuada, car c’était la preuve que Broly était dangereux.
Au retour, ils invoquèrent, et demandèrent la résurrection de toutes les victimes depuis leur départ de la planète Terre, sauf les criminels ( si il fallait faire revivre ceux qui ont été tués par Broly, Paragas et son armée auraient ressuscité.). Trunks, ainsi, revint à la vie. Et parla :
« Je suis content de vous revoir…mais j’aurai préféré oublier… ce qu’IL m’a fait subir. termina-t-il dans un frisson mélangé à un sanglot. Végéta, peu habitué à des envolées, serra son fils dans se bras un court instant et lui sourit avec affection. Il lui devait bien cela, pour se pardonner de sa bêtise lors du combat contre Cell et sa peur contre Broly. Puis ils parlèrent :
Alors, il n,’est pas mort, mais on peut devenir plus fort que lui ?
_ Exact, annonça gravement Goku. Il a dit dans sept ans. Passé ce délai, il sera de retour. »
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=oAwZWPt8 ... age#t=492s )
Trunks annonça alors qu’il s’entrainera du mieux qu’il pourra et que peut-être qu’il reviendrait. Mais il devait rentrer : sa mère l’attendait pour reconstruire leur futur, après la mort des cyborgs et de Cell, depuis qu’il l’avait quitté pour s’entrainer avec Gohan.
Pendant ce temps, dans l’espace, le Saiyajin fou avait atterri sur une planète, puis reparti après avoir détruit des montagnes ( pour songer au scénario de l’acte 2 ), puis repartait. En dehors de tuer, il errait, comme si il ne voulait rien faire d’autre. A défaut de semer la mort, il se laissait dériver dans les méandres du cosmos. Mais il sentit la réapparition d’une aura : ils pouvaient ressusciter les morts ? Cela l’énervait, alors il décida de les pousser à vénérer la mort. Et pour cela, il comptait bien détruire ce pouvoir de résurrection.
FIN. Voilà, la première partie est terminée, et le prochain chapitre ouvre le 2° acte de l’opéra 7 ans plus tard, et on verra un peu Boo, les Majins, les fusions, et Mystic Gohan ( mais pas Great Saiyaman ). Je posterai la fin alternative de ce chapitre demain, car j‘avais une autre idée en tête sur le pourquoi du 7 ans après . A vos commentaires et à plus.
Voilà
P.S : pas la peine de m’interroger sur les paradoxes temporels : je m’en fous et vous reverrez Miraï Trunks. Point barre.
CHAPITRE 10 :La moitié du temps avait défilé : 3 ans et 6 mois exactement s’étaient écoulés depuis le combat contre le terrifiant Broly, et il reviendra dans le même temps. Gohan ne pouvait pas dormir certaines nuits, même si d’autres étaient reposantes, et qu’il pouvait étudier comme s’entrainer avec son père. Pourtant, malgré la résurrection de Trunks, il en pouvait s’empêcher de faire des cauchemars. Il se revoyait en train de massacrer des soldats sans défenses, avoir taillé en pièce se guerrier qui demandait juste de partir. Et pire, il avait fait tout cela aux côtés de ce tueur crée par Paragas, cette aberration, ce monstre : il avait savouré, durant un instant, le même plaisir sadique à terroriser tous ceux qui l’entouraient. Il avait peur de son pouvoir, et raison de plus pour le maitriser et être prêt pour lorsque la terreur réapparaitra. Lorsqu’ils étaient rentrés, Chichi avait de nouveau piqué une crise après un évanouissement. Goku revoyait la scène :
« Quand je te dis que tu as tord de m’écouter ! Il n’a pas dit un mot de la soirée et a mangé à peine, même si en général, il a un bon appétit, même moindre que le tien. J’aimerais qu’il arrête de ne penser qu’à cela, et cette fois, tu vas devoir t’y résigner !!
_ Pas la peine de me hurler dessus, cette fois. Répliqua le Saiyajin, un peu piqué au vif. Je ne sais que trop bien ce que nous avons enduré. Mais la menace est loin d’être étouffée. Dans moins de 7ans, tu ne pourras peut-être plus jamais le serrer dans tes bras. Nous avons sans doute affronté le pire des monstres, et il doit bien se foutre de ce que tu penses !! »
Chichi se calma un peu alors, puis :
« Certes. Après tout, je ne peux peut-être rien faire pour changer sa nature de demi-Saiyajin. La guerre est presque dans votre sang. Mais laisse le étudier au moins , et puis vous pourrez toujours vous entrainer, puisque c’est dans presque 7 ans, et d’après ce que tu m’a dis, votre ennemi avait menacé de décimer des peuples de l’espace si vous vous entrainiez trop rapidement et sans vous soucier du délai qu’il a imposé. »
Mais un autre sujet les tourmentait, à cette époque. Gohan, les premiers joues suivant la bataille, il semblait dépressif. Goku d’en inquiétait avec Chichi de voir, par certains moments, et surtout le même jour que quand ce fut arrivé, une telle souffrance sur son visage. Goku se maudissait, car il risquait de perdre sa bataille pour permettre à son fils de redresser la tête. Il devait avouer qu’il avait commis pas mal d’erreur, non en tant que guerrier et entraineur, mai entant que père de famille. Son fils ignorait son plan, contre Cell, et ils auraient tourné à la catastrophe si N°16 n’était pas intervenu. En plus, il avait forcé sur Gohan avec sa puissance, il avait succombé à la violence et la cruauté. En fait, ce devait être cela qui le hantait : lui-même, mais en pire. Goku devait à tout prix faire quelque chose pour son fils, ou sinon, il sombrerait dans la folie. Un soir, peu avant de s’endormir, Gohan vit son père qui s’asseya au bord du lit. Il se mit à parler :
« Tu sais fiston, je commence à me demander sui j’ai été un bon protecteur en tant que père. Je n’ai rien pu faire pour sauver Trunks et je n’ai pu prévoir que ta puissance exacerberait tes mauvais sentiments. Mais tu dois m’écouter : tu ne dois plus te lamenter sur ta nature. Nous devons prouver que les Saiyajins peuvent évoluer. »
_ Pourquoi tu me parles de tout ça ? Lui rétorqua le métis. D’abord, tu avais accepté que tu sois plus sévère avec moi pendant l’entrainement. Et puis j’aurais du le tuer quand je pouvais le faire, et lui faire payer ses horreurs, mais ses victimes ne sont toujours pas reposées en paix. Et je ne peux toujours pas me transformer sans voir dans mon miroir un monstre couvert de sang avec le regard d’un fou : je vais finir par ressembler à ce démon. Comment expliquer le simple fait qu’il peut exister, qu’il a pu venir au monde ??! Dis le moi, papa : comment la nature peut elle aussi cruelle contre le monde pour donner naissance à des monstres pareils ? »
Gohan avait hurlé ses derniers mots avec fureur et chagrin, puis il se mit pleurer.. Chichi entendit cela avec un sanglot : voir son fils se lamenter ainsi la rendait malade. Elle espérait que Dieu lui viendrait en aide, que quelqu’un stoppe ces cycles de violence, de sang et de larmes. Mais Dieu, ou Dendé en était incapable, si il était là à écouter cette douleur. Pourtant, elle entendit Goku sermonner un peu Gohan, car elle sentît une pointe de mécontentement dans la voix de son mari. A la fin, elle entendit ceci :
« Je n’ai, hélas, rien d’autre à dire, sinon ceci : si tu penses à la vengeance, tu dois creuser deux tombes*. A moins qu’il commette un crime de trop ou ne détruise ton identité. Et dis-toi qu’à nouveau nous allons continuer comme avant le Cell-game, car il se pourrait que je ne revienne pas cette fois-ci. Si il devait m’arriver quelque chose contre Broly, tu devras compter sur Béjita pour l’avenir de la Terre. Et je dois t’avouer que je me poses aussi la question à propos de ses victimes : quel crime peut-on commettre pour mériter un traitement aussi inhumain, dégradant. ? Mais je crains qu’aucune réponse n’est possible. »
A ces mots, l’adolescent se laissa tomber dans les bras de son père qui le sera avec force. Tous deux se laissèrent aller totalement : à la tristesse pour tous cers morts, aux pleurs ,et à la joie d’avoir au moins laissé un peu de répit pour l’univers qui , hélas, attendait le pire, comme le calme avant la tempête. Mais tous les trois ( le petit Goten était déjà au lit et n’avait que trois ans et 10 mois ) ne voulurent plus penser à ça. Ils voulaient tellement que cette insouciance dure éternellement, comme si plus personne n’avait envie de voyager, se battre, tuer. Pourquoi faut-il toujours que la paix devait s’acheter par le sang ? Chichi les rejoignit et serra tendrement son fils dans ses bras : il ne pouvait pas en être ainsi, Dieu ne pouvait pas se permettre de les lui prendre tout les deux, même si cela devrait être pour demain, dans 10 ans, dans des siècles. Elle tenait trop à son fils, à qui on avait volé l’enfance. Même si elle avait fini par approuver son mari et Piccolo, Béjita l’énervait : combien de risques inutiles et de violences lui faudrait-il pour être satisfait ? Désormais il fallait compter sur Bulma pour que le prince ombrageux se calme et finisse par se faire une raison. A quoi bon régner sur un peuple disparu et hanté par un fléau qui semblait être plus une malédiction qu’une légende ( on lui avait raconté la légende du Saiyen qui vient tous les 1000 ans ) ?
Le lendemain, après les cours de Gohan, père et fils allèrent vers la salle du temps et de l’esprit pour 2 heures d’entrainement. Au palais, ils virent Béjita qui attendait placidement, ce qui surprit le Saiyajin de sang. Le prince expliqua :
« Trunks du futur est revenu pour un entrainement dans la salle et il es resté un peu plus longtemps que moi qui ait terminé. Trunks d’aujourd’hui m’attend, après tout. Il a un peu plus de 4 ans, maintenant.
_ Je me rappelle qu’il nous rendait souvent visite grâce à sa machine à remonter le temps. Mais il ne faudrait peut-être pas qu’il en abuse.
_ Tiens, pourquoi dis-t-tu cela ? Interrogea végéta, incrédule. Il y aurait un problème avec les voyages dans le temps ?
_ peut-être, je ne sais pas. Sans doute une intuition que voyager à travers les âges peut soulever moult interrogations.
Il fut soudain interrompu dans ses interrogations lorsqu’il vit Trunks sortir de la salle. Il avait poussé de quelques centimètres, et ses cheveux étaient plus longs que d’habitude. Il avait réussi à trouver la même combinaison que celle fabriquée par Bulma dans le présent. Ce fut là que Goku ressentit la force du garçon du futur : il était bien plus puissant que Gohan lors du combat contre Cell et même contre Broly. Il avait donc surpassé les limites su Super Saiyajin, jusqu’au niveau 2 et plus. Le Saiyen de sang et Béjita le ressentirent avec une once de soulagement : ainsi, avec autant de guerriers contre le monstre ( puisqu’il fût envisagé d’entrainer Goten et Trunks ), ce dernier ne s’en sortira pas aussi facilement au deuxième round, ou deuxième acte comme disait le dément . En tout cas, il risquerait d’avoir de grandes visions d’Apocalypse.
Trunks s’approcha et serra la main de Goku, puis ébouriffa les cheveux de Gohan. Ce visage lui rappelait bien un homme, celui qui l’avait entrainé et permis de dépasser ses limites et d’accéder au Super Saiyen…à titre posthume. Lors de sa résurrection, on lui avait raconté que la vue de son « sacrifice », horrible à supporter, avait permis au petit métis d’avoir surpassé sa puissance, et d’avoir permis de repousser Broly afin de reporter le combat. Trunks ne manqua pas d’y faoire référence :
« C’était un combat brutal et stupéfiant que tu as du livrer. Et je sens une ironie dans tout ça : ton homologue du futur avait été tué par les Cyborgs, et à la vue de sa dépouille, ma rage était telle que j’avais accédé au stade su Super Saiyen. Et dire que grâce à moi, tu as eu le ressources pour battre Broly : tu as du avoir une grande colère et… ».
Mais en voyant la mine renfrognée de l‘adolescent, il se ravisa : i avait avancé sur un sujet sensible. Lui aurait-on caché un moment de la bataille ? Goku lui expliqua :
« Trop grande colère. A tel point qu’il s’est laissé emballer par sa puissance en espérant qu’une grande implication suffirait à utiliser toutes ses forces pour tuer Broly. Malheureusement, il s’est mis à tuer d’autres soldats aux alentours alors qu’ils étaient incapables de se défendre. Et tous deux avaient éprouvés des penchants malsains pour tuer et détruire. Il a mis deux ans à s’en remettre, grâce à Chichi surtout, et Végéta aussi. Aujourd’hui, il alterne études et entrainement, parfois dans cette salle. Cela lui a permis de se maintenir au niveau du combat contre Broly, et bien au-delà. Donc, il aurait été, avec cette puissance, capable de vaincre le démon. »
Tous sourirent et décidèrent de se rendre dans une région désertique pour voir quels progrès ils ont faits. Végéta se battit naturellement contre Goku, et Trunks affrontât Gohan. Les combats commencèrent alors : bien qu’ils se retenaient de détruire la Terre, leurs coups étaient si puissants que les rochers et montagnes en furent détruites. D’un coup, ils creusaient des cratères, alors qu’ils n’étaient pas vraiment à fond. Trunks remarquait que son adversaire était serein alors qu’il était en SSJ 2 : il était habitué à cet état et il ne l’éprouvait plus, ou ne lui donnait plus envie de commettre des massacres. Mais trucks ne fit pas de cadeau pour autant : il avait atteins également le SSJ 2 et était devenu un peu plus fort. Mais le métis avait une longueur d’avance et restait le plus fort. D’entre les deux seulement, car Végéta et Goku s’étaient entrainés avec plus d’acharnement, surtout concernant Végéta. Il n’avait pas digéré l’humiliation lors du combat contre Broly lorsque Gohan commençait à se prendre pour lui, et qu’on lui avait volé son combat. Contre Goku, il s’acharnait et était sans retenue tandis que Goku se retenait à peine : tous deux avaient passé aussi le SSJ 2 et commençaient à devenir bien plus fort que le Saiyajin fou lors de la première rencontre. Bientôt ,il n’y aurait plus autant besoin de senzus, et ils donneront un peu plus de fil à retordre à ce monstre. Car Goku avait livré une pensé : il ne pouvait pas croire que Broly n’avait qu’une seule transformation, il cachait un autre pouvoir beaucoup plus dangereux. Ainsi il n’était pas encore vraiment à fond et pouvait devenir plus dangereux songea Végéta. Les coups de pied et des poings partaient dans tout les sens, malgré l’intention de ne pas tuer personne. Soudain, Béjita reçut Gohan dans le ventre alors qu’il se préparait à contrer un kikoha qui explosa. Le Saiytajin de sang accourut pour voir les dégâts, mais il fut rassuré en voyant Végéta donner une tape sur la tête du jeune guerrier :
« Imbécile ! tu n’as donc pas esquivé le coup de mon fils ? A quoi bon tant de force si tu ne peux pas bouger et esquiver ? »
Gohan, conscient qu’il ne l’a pas volé, préféra ne rien dire et avouer qu’il avait négligé un des coups de Trunks. Mais lorsque les combats reprirent, Gohan ne laissa rien passer des coups que Trunks lançait : c’était donc les fruits de son entrainement, pensa le garçon du futur. Et il se prenait tout, et souffrait sans l’afficher. Goku et Végéta étaient, de leur côté, plus que des poissons dans l’eau : le combat, à défaut de montrer des combattants bien plus forts que Gohan, était extrêmement intense. Les deux Saiyajins se battaient presque de toute leurs forces et aucun ne voulait céder. Goku lança une bombe sur son adversaire mais celui-ci voyait ce qu’il allait faire ensuite. Il en profita pour lancer une rafale de coups sur son ennemi, mais ce dernier se redressa et répliqua par un double coup de pied. Végéta saigna de la mâchoire et s’ouvrit une lèvre. Le combat reprit de plus belle, puis Trunks se releva pour se retrouver entre eux. Ils s’échangèrent, tous, leurs adversaires, et Gohan affronta de nouveau Béjita : celui-ci s’était entrainé de manière plus intensive et était presque à son niveau. Tous les deux se respectaient, et avaient partagé la fierté des Saiyajins contre Broly. Mais le métis ne voudra pas recommencer une telle expérience, pas en risquant la survie de l’univers. Mais il tenait à se battre de toutes ses forces pour être prêt le jour J.
Goku arriva au palais de Dieu et fut de nouveau accueilli par Dendé, avec une idée à la surface de sa conscience. Il parla :
« Je me demande si ce serait possible de se rendre dans l’au-delà avec les Dragon Balls. Je dois conserver mon corps, bien entendu.
_ pourquoi abuser des dragon balls si je peux te rendre ce service ? Renchérit une voix bien connue, notamment pour les conseils.
« Kaiho-sama ! Vous pouvez me rendre ce service ? Je dois m’entrainer dans le royaume des morts, et peut-être je reviendrai avec des informations sur de quoi vaincre Broly.
_ Ce n’est pas un problème : je vais devoir en informer Emna puis je te présenterai auprès des autres Kaiho : nous sommes quatre, sous la direction du Daï Kaiho, notre maitre. »
Goku le remercia et informa ses amis et sa famille. Chichi eut des larmes mais les sécha aussitôt : elle était heureuse que son mari se soit comporté en vrai père et que Gohan avait pu progressé autant dans ses études : au lycée, il réussira tout ce qu’il devra entreprendre, tous le savaient. L’épouse se promit de prendre son pseudo-mal en patience, puis Goku se dirigea vers un lit où dormait Goten : il jouait beaucoup avec lui à ses heure perdues, en dehors des travaux des champs et des coups de main dans certains travaux. Ave un sourire doux et un regard affectueux, il se pencha et fit une bise au petit garçon qui ouvrit brièvement les yeux et dit « papa » avant de se rendormir. A son réveil, il ne le reverrait pas avant un bon bout de temps, mais Gohan serait toujours là.
3 ans et demi plus tard :
Finalement, le délai avait fini par s’écouler et tous se donnèrent rendez-vous au tournoi mondial des Arts martiaux, où un accueil, un triomphe digne des Césars et autres grands empereurs, les attendait. De nombreuses personnes étaient émues et curieuses de voir enfin ces sauveurs venus de très loin , dans l’espace. Ce devait être une preuve qu’il existait bien des peuples au-delà du ciel, et pas forcément hostile, bien au contraire. Avant l’arrivée, il était convenu de n’utiliser les pouvoirs de Super Saiyajin que si besoin s’en faisait sentir : même si tout le monde les connaissait et les adulait et qu’un grand spectacle se profilait, il fallait être prudent. Non seulement ce serait injuste de ne pas laisser une ombre de chance aux autres concurrents, mais ce pourrait être dangereux. Goten et Trunks étaient fin prêts : leur Super Saiyajin était bien plus puissant qu’un Super Saiyen classique. Ils étaient autorisés à utiliser ce pouvoir. Gohan, lui était devenu encore plus fort : Cell à son maximum et le Broly de la 1°manche étaient distancés. Bêjita était aux anges d’avoir deux challenges à relever : le père et le fils. Piccolo s’était joint aux entrainement des Saiyajins et sa force avait augmenté. Lorsqu’il arrivèrent, Mirai Trunks et Goku les attendaient. Tous firent d’excellentes retrouvailles, mais deux personnes étaient perdues : Goten pouvait voir Goku normalement, et Trunks était troublé de voir lui-même, mais adulte. Végéta lui expliqua qu’il s’agissait de son double du futur.
Tous participèrent et passèrent les éliminatoires avec une facilité déconcertante, remarquée par Videl, mais elle s’en doutait un peu. Trunks et Goten s’affrontèrent au championnat Junior après avoir écrasé tous les autres concurrents. Durant le combat, Gohan et Mirai Trunks regardèrent leur montre : c’était à cette heure, il y a 7 ans, jour pour jour, que le garçon du futur fut mutilé jusqu’à la mort par Broly, dont l’éventuelle arrivée était attendue par l’équipe. Le combat tripla d’intensité lorsque les deux enfants se changèrent en SSJ, ce qui étonna Goku. Le combat s’acheva par la victoire in extremis de Trunks mais tous deux se félicitèrent. Trunks et Goten furent admis, après plusieurs négociations, au combat des adultes. Des concurrents attiraient l’attention : un certain Shin, Kibito qui l’accompagnait, deux hommes à l’air haineux et avec une marque sur le front. Le plus gros, Spopovitch, fit souffrir Videl atrocement, à tel point que Gohan revît presque le Saiyen fou en train de torturer ses amis lors du fameux massacre. Lorsqu’il devait combattre et s’apprêtait à attaquer Kibito, les deux colosses prirent de l’énergie à Gohan et Kaiho Shin, qui se révéla, leur demanda de l’accompagner car un danger se préparait. Misère, songea Goku, les voilà avec deux menaces maintenant. On leur raconta qu’in sorcier avait créé un démon extrêmement puissant appelé Boo, et que le fils avait pris la relève pour le libérer de sa prison. Goku avait, heureusement, demandé à l’avance, de mettre le tournoi en pause.
En effet, un vaisseau attendait que deux serviteurs y retournent. Mais ce que personne ne savait, c’est qu’un passager clandestin s’était incrusté : il avait en tête un spectacle, le 2° acte d’un opéra sanglant et morbide.
Fin du chapitre. J’ai du trouver des excuses pour que Goku atteigne et maitrise le SSJ 3 et surtout entende parler de la fusion, et c‘est juste un interlude, donc moins intense que les autres.. Voilà, je pense me débarrasser de Boo assez rapidement et il sera peut-être déjà dans la forme petite et sauvage, je ne sais pas encore. Alors peut-être je montrerai enfin le LSSJ d’ici peu, et il va souffler tout le monde, au moins de quoi latter un SSJ 3. A vos commentaires et à plus.
Voilà
Ps : pas de musique pour ce chapitre, mais le prochain va en contenir de superbes, c‘est promis.
* proverbe chinois.
C’est clair, et il n’y aura que très peu de temps morts. Et encore. Bon, on repart :
CHAPITRE 11 :L’équipe accompagnant Kaio Shin était arrivée vers le vaisseau de Babidi, caché dans le sol. Ils le remarquèrent en voyant le sol autour, qui avait l’air d’être travaillé. Cela ne faisait aucun douter : le sorcier savait que Kaio Shin chercherait à retrouver le cocon de Boo, et ce la voulait dire qu’il était préparé à toute éventualité. Y compris qu’il se servirait de ses esclaves pour le repérer, alors il ne faudrait ne plus se poser de questions et aller combattre. Cette pensée traversa surtout l’esprit des Super Saiyens qui, d’un autre côté, ils n’étaient pas rassurés. Non seulement, un démon menaçait l’univers si ce Babidi le contrôlerait, mais touts ignoraient où et de quelle façon Broly allait manifester son retour funeste. Il fut décidé d’observer ce qui se passerait, car de toute façon, la résurrection se fera à l’extérieur, car ainsi, celui-ci ne subira aucun dégât. Le fils de Goku regarda sur sa droite et remarqua des corps sans vie et une maison en morceaux. Cette vision le fit frissonner de colère : l’univers était donc un endroit de terreur de d’hostilité.
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=sYxJAVFi ... page#t=73s )
Soudain, ils virent quelqu’un sortir du vaisseau, non, deux personnes : un petit être verdâtre, une sorte de grenouille avec une cape orange et une ceinture frappée d’un « M ». Un autre, plus grand, bien plus, était rouge, ressemblait à un diable, et dans tous les sens du terme. Mais un détail frappa l’esprit de Kaio Shin : ce démon avait un « M » aussi, mais sue le front. C’es là qu’il dut reconnaitre ce constat :
« Dabra ! Babidi a donc réussi à s’approprier ses services. ( en se tournant vers les autres ) voilà pourquoi je disais que la magie de Babidi est terrifiante : il peut manipuler de nombreux êtres maléfiques et puissants et seuls les êtres purs peuvent quelque chose contre lui. I n’st pas surnommé le « maitre des démons » pour rien.
_ Babidi est le petit, et le grand est Dabra ? Demanda Goku avant de renchérir. Il doit être fort pour avoir été sélectionné par ce sorcier. » Mais pas aussi fort que Broly, loin de là, au premier abord, ajouta le Saiyajin de sang pour lui-même, en sondant la force de ce démon.
Goku demanda à Krilin de partir afin, de prévenir leurs amis, que leur absence va peut-être durer plus longtemps que prévu, même si Videl était déjà en route pour le faire. Mais soudain, alors qu’ils étaient occupés à se parler entre eux, ils virent autre chose : Babidi s’approcha des deux serviteurs et, l’absorbeur en main, il fixa le plus gros, Spopovitch et le fit déformer jusqu’à l’explosion du corps. Son partenaire n’eut guère plus de chance : le soldat de Babidi, Bui Bui, lui envoya un puissant Kikoha qui tua le pauvre esclave sur le coup. C’était donc ainsi que fonctionnait ce sorcier : il tuait ceux qui ne lui servaient plus à rien. À leur insu, toutefois, Babidi jubilait : non seulement il avait un absorbeur plein à craquer d’énergie, mais en plus il avait réussi à attirer Kaio Shin et des proies hautement intéressantes jusque vers son repaire. Dabra compta pour lui : ils devaient être huit, dont quatre qui possédaient une force insoupçonnée. En fait, il se pourrait même qu’un seul suffirait à remplir le cocon de Boo et ainsi permettre son retour. Les ordes furent donnés : éliminer les proies peu alléchantes et attirer le reste dans le vaisseau pour les livrer aux soldats qui attendaient à chaque étage. Ainsi, Kaio Shin arrivera jusqu’à Babidi, mais seul et affaibli. Ce dernier fit remarquer au démon docile de lui laisser le dieu pour savourer sa vengeance. Babidi laissa son serviteur faire son œuvre tandis que se soldats l’appelèrent : ils auraient repérés un parasite dans les conduits de ventilation, et de la nourriture disparaissait en quantité constante, et des pilotes commençaient à manquer. Un détail totalement inintéressant pour le sorcier, mais il ordonna aux serviteurs de faire ce travail nauplius tôt et au plus vite. Après, tout, en cas de report des opérations, le plus sage sera de repartir de cette planète.
Soudain, les guerriers voulurent encore observer les alentours, mais Dabra ne leur laissa pas cette occasion, et attaqua. Goku constata que ce démon allait très vite et se montrait assez agressif. Puis tous virent que sa première victime allait être Kibito, mais végéta fit un mouvement pour bloquer le monstre. En réalité, c’était une image rémanente. Dabra se tenait un peu plus en hauteur et :
« Ha Ha ha ! Décevant, et maintenant, regardez : HELL RUSH !!! »
La déflagration d’énergie démoniaque fila droit vers Kibito mais celui-ci était déjà en alerte et esquiva, pour, hélas se retrouver en face de Dabra qui lui cracha dessus, puis sur les autres. Kaio Shin hurla alors :
« Attention : surtout, attention à sa salive !!! Elle peut pétrifier les victimes !!! »
Hélas, Krilin et Piccolo ne réagirent pas à temps : ils en reçurent sur eux, et le petit combattant commît la grosse erreur de s’essuyer le visage, car le pouvoir agît plus rapidement. Piccolo subît le même sort., et tout deux devinrent des statues de pierre. Mais ce ne fut plus le cas pour Kibito, qui devint un éboulis de pierre : il fut à peine transformé, que Dabura défonça d’un coup de pied la statue. Kaio Shin détourna la tête de tristesse à l’idée de perdre son ami aussi rapidement. Goku avait compris que si on les cassait, il ne serrait plus possible de les faire revenir à l’ état normal. Kaio Shin exposa une seule solution pour que le sort soit annulé : éliminer Dabura. Les Saiyajins étaient surpris par la simplicité de la chose : Dabura ne les égalait pas vraiment, ce serait presque une partie de plaisir en même temps qu’une mise en bouche avant que le Saiyen fou ne réapparaisse. Végéta et Trunks virent le visage surpris de Kaio Shin devant la réplique de Goku : malgré son statut de dieu, il ignorait la capacité de leur peuple à évoluer et à devenir largement plus fort que Freezer et autres. Le prince n’appréciait pas ce genre de mépris et imaginait avec une once d’amusement, assez caché pour que personne nr le remarque, la tête qu’il ferait face au Super Saiyajin légendaire. Tous décidèrent de pénétrer le vaisseau de Babidi sans écouter les avertissements de Kaio Shin, puis Trunks et Végéta s’avancèrent :
« Désolé, argumenta Trunks. Mais nous ne sommes pas vraiment des stratèges, et puis vous n’aurez rien à craindre avec nous. Et pour tout vous dire, nous étions préoccupés par un autre danger, que nous pensons pire que Boo. »
A la fois rassuré et terrifié, le dieu les suivit, ce qui ne manqua pas de faire sourire Dabura : ces idiots s’étaient sciemment jetés dans la gueule du loup. De plus, étant un démon, il pouvait analyser les âmes, et remarqua de deux d’entre eux n’étaient pas vraiment blanc comme neige. Au cas où, cela pourrait servir, mais il avait peu d’espoir, vu que Kaio Shin comptait les surveiller, et puis les conclusions hâtives n’avaient pas permises. Il pénétra dans le vaisseau, direction la salle où se trouvait le cocon et où le sorcier attendait l’arrivée. Les Saiyajins et le dieu entrèrent et trouvèrent une pièce arrondie avec une porte au milieu. Kaio Shin leur annonça que les portes se refermeraient toujours derrière eux et que vaincre Babidi serait la seule solution pour sortir sans réveiller Boo. Il était donc trop risquer de détruire le vaisseau ou même de démolir la porte : Boo sortira au moindre choc, et le dieu, traumatisé par la cruauté et la force de ce monstre, ne voilait courir aucun risque. Béjita était étonnamment d’accord : Broly pouvait être n’importe où sur la Terre ou ailleurs. Peut-être même qu’il les observait et attendait le moment propice pour les attaquer. Tout à coup, ils virent leur premier adversaire s’avancer : c’était celui qui avait tué le serviteur avec l’absorbeur d’énergie. Cela ne prendrait pas plus de trois secondes, songea Végéta.
Pendant ce temps, Babidi remplit le cocon de Boo avec l’énergie prise et s’étonna du contenu : ils en étaient déjà à la moitié du « réservoir ». Cela était intéressant, car l’énergie des trois autres servirait à remplir le reste. Ils regardèrent le combat qui ne commença qu’à leur arrivée dans la salle de conférence au dessus. Et là, ils étaient bouche bée, Kaio Shin : Bui Bui était largement dominé par son adversaire, Végéta. Celui-ci voyait bien que se transformer était vraiment inutile contre cet ennemi, même si il sentait que l’adversaire d’en dessous serait plus fort. Babidi modifia l’environnement de la salle pour que son combattant ait plus de chance. Mais c’était peine perdue : le prince tua son ennemi avant qu’il n’avait eu le temps de réagir. Babidi fut consterné et gêné : il pouvait exister des puissants combattants sur cette planète ? Dabura n’en n’avait pas le souvenir, mais cherchait toujours à rassurer son maitre : ils n’avaient traversé que le premier étage.
Yakon sera envoyé et il en fut ainsi malgré la surprise de Dabura. Babidi se tourna vers un soldat et demanda d’envoyer une patrouille, car l’ingénieur n’était toujours pas rentré de sa mission de nettoyer la ventilation du vaisseau. Kaio Shin fut de nouveau contre que l’on casse le sol, mais Végéta éleva une question :
« Et si en réalité Boo et Dabura n’étaient pas aussi fort que vous le prétendez ? Si on fait attention à sa salive, on peut le vaincre. Et je ne pense pas qu’il soit plus fort que Broly.
_ Je suis entièrement d’accord : en fait, je pense que Dabura est aussi fort que Cell à son maximum. Il n’y a donc, a priori, rien à craindre.
Yakon entra , encore plus laid que l’adversaire au dessus, et qui fonça aussitôt sur Goku. Il montra toute sa rapidité et sortit ses ongles tranchante pour entailler le Saiyajin de sang. Babidi était satisfait de ce résultat : si sa créature continuait de harceler son adversaire, il pourra le frapper et le tuer, et alors, son énergie sera absorbée en grande quantité pour approvisionner copieusement Boo. Le sorcier décida de les envoyer vers la planète noire. Yakon espéra surprendre sa victime et le découper, amis ce fut peine perdue : Goku pouvait le suivre grâce aux déplacements d’air et se transforma en Super Saiyen, ce qui surprit l’assistance sauf ses amis. Le compteur d’énergie s’affola autour des 3000 kilis, ce qui voulait dire que Yakon était perdu d’avance. Pourtant, celui-ci prit une énorme inspiration et la lumière fut avalée. Goku comprit : ce monstre se nourrissait, alors il pouvait simplement risquer l’indigestion. Il opéra et augmenta au-dessus du niveau du Super Saiyajin , ce qui fit exploser le monstre. Effrayé, Babidi décida que Dabura allait combattre pour le troisième étage. Alors qu’il se dirigea vers sa chambre de méditation, Babidi reçut le rapport des soldats, qui étaient terrifiés :
« Maitre Babidi, c’est terrible : les soldats que vous avez envoyés ont parlé de cadavre, de monstre fou, puis on a été coupés. Il y aurait un passager clandestin à bord de notre vaisseau.
_ Grrrr… comme si je n’avais pas assez de problèmes. Dabura ! Lança-t-il par télépathie. Quand tu auras fini avec nos hôtes, rejoins mes gardes à la salle des machines : un passager clandestin se trouverait dans le vaisseau. Tu le trouveras et l’éliminera. »
Tandis qu’il se dirigeait vers la pièce, il s’interrogea : si quelqu’un s’était introduit dans leur vaisseau, comment se faisait-il qu’il ne l’ait pas repéré plus tôt, Surtout si il avait mauvais fond ? Il chassa ses interrogations de son esprit pour se battre contre les intrus. Gohan s’avança et annonça que Dabura allait être écrasé. Goku jeta un regard de confiance à Béjita :
« Tout ira bien tant que son niveau n’égalera pas celui de Broly.
_ Je m’en doutes. Lui répondit le prince.
Le combat commença aussitôt et à l’avantage du métis : il avait décidé de se battre à fond en passant au niveau 2. Dabura avait du mal à suivre la cadence imposée : les coups pleuvaient à torrent sur son torse et malgré sa résistance, sa garde en souffrait atrocement. Mais il lançait des boules der feu qui faisaient mouche, et il attaquait quand son ennemi s’y attendait le moins. Pourtant, Gohan était devenu de plus en plus dur à cuire, et il ripostait par des vagues successives de Kikohas. Goku, Végéta et Trunks étaient catégoriques : la force de Dabura était loin d’égaler celui de Broly. Il avait de grande dispositions, sa salive et la force poussée par la magie de Babidi, mais cela s’arrêtait là. Dabura profita d’une vague mal esquivée pour piéger Gohan et le marteler de coups : il frappait le plus fort qu’il pouvait, et entendît des râles de douleur. Cela était au moins de bonne augure : la défense de son ennemi commençait à craquer, et apparemment, il le sous-estimait bel et bien. Ce fut décidé : il augmenta sa force pour lui faire oublier son assurance et le pousser à se défendre comme un diable.
Mais cette situation ne plaisait pas du tout à Babidi qui s’impatientait : le niveau ne montait pas du tout pour le cocon. Au contraire, il stagnait peu à peu. Il fallait qu’il trouve une solution, où Boo ne reviendra pas. Soudain, il entendit des exposions et des cris de peur ou d’agonie. A peine , il eut le temps de se retourner, qu’il vit une énorme poigne se refermer sur son cou : il vit en face de lui, un visage au teint brun, avec des cheveux dorés, comme celui de tout à l’heure, mais plus hérissés, et dressée comme les oreilles d’un démon. Il le regardait avec de petit yeux froids et un demi-sourire, qui aurait pu le rendre presque l’air sympathique. Sauf que cet homme était un des monstres les plus ignobles de l’univers et de tous les temps. Personne n’avait prévu que sa naissance engendrerait de si nombreuses tragédies. Il se mit à parler :
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=sYxJAVFi ... page#t=44s )
« De mieux en mieux : je ne m’attendais pas à un tel rebondissement dès la scène 1 de mon deuxième acte. En passant, tes soldats de plombs résonnent moyennement, et à l’avenir, il faudra en trouver des plus coriaces.
_ Non, lâches moi. Je ne te laisserai pas m’empêcher de libérer Boo. Et si tu acceptes de travailler avec moi en tant que mercenaire, tu auras de suite des adversaire de qualité, du premier choix !! Mais reposes moi et ne me tues pas.
_ des adversaires, hein ? Broly demanda et on lui indiqua une boule de voyance. Il regarda dedans et reconnut ses partenaires de danse pour le 1° acte. Joyeux et le regard plein de sadisme et de lubricité, il se tourna :
« Va pour ces proies : le paiement sera de me laisser jouer avec eux assez longtemps. Mais attention car je ne reviens jamais sur mes contrats : ce serait mauvais sur ma réputation.
_ Ouf , je me sens en sécurité. Renchérit Babidi. En soupirant, puis avec un sourire malicieux : _ surtout quand tu ne peut pas revenir toi-même sur les décisions !! PAPARA PAPAAAAAAAAA !!!!! »
Broly fut surpris et eut un sacré mal de tête, puis se ressaisit : cette larve espérait le contrôler, mais sa magie demeurait insuffisante. Il décida de lui donner l’illusion jusqu’au bon moment. Après tout, pas donner un petit rôle à cet acteur serait vraiment ingrat, et il aimait quand il y avait un peu de suspens. Même si dans sa tête, il n’en était rien, Broly fût marqué à son tour, comme Dabura et peut-être Végéta si le sorcier avait cherché à déceler le mal en ses invités. Il décida de faire monter la force de Broly, mais elle augmenta assez peu par rapport à ce qu’il cherchait à faire. Mais cela ne le dérangea guère, en vérité. Avec ce nouveau mastodonte, Dabura pouvait rentrer à la base et le protéger en cas de problème majeur, en espérant que cela ne concerne pas ce monstre de Broly.
Il scruta plutôt le combat qui s’annonça de très mauvaise augure : son serviteur était de plus en plus souffrant, et l’ennemi était à 80 % de ses moyens. Dabura utilisa sa salive , mais toucha un bracelet de force et Gohan l’enleva aussitôt. Il se dégagea des rafales d’énergie que son adversaire lançait et chercha à le matraquer à vitesse grand V, mais en vain. Dabura l’attendait faire cela et dégaina de nulle part un sabre très tranchant, plus affuté que 1000 rasoirs. Heureusement, le métis attrapa le sabre oà temps et le brisa en deux avant de jeter le démon contre la falaise de l’environnement où ils se battaient. Dabura allait repartir à l’attaque avec ses salives et son pouvoir au maximum, car il avait révélé sa force démoniaque caractéristique ce chez les démons. Cependant, tous étaient revenus au vaisseau par la magie de Babidi qui contacta son servant par télépathie :
« Ca suffit, Dabura, reviens immédiatement : j’aurais besoin de toi comme garde du corps. Et le problème a été réglé avec un avantage indéniable : j’ai trouvé LA machine de guerre qui va les balayer. »
Dabura lui fît entièrement confiance et repartit, mais Gohan n’était pas d’accord :
« Toi, tu n’iras nulle part, sale dégonflé !!! » et il chercha à tirer un laser, mais Dabura se retourna et :
« Je te le déconseille, car le choc pourrait faire sortir Boo et on en est au 2/3 d’énergie à remplir. Et puis mon maitre m’a simplement ordonné de me retirer au profil d’un adversaire qui sera surement au dernier étage. »
( musique :
http://www.youtube.com/watch?v=oAwZWPt8 ... age#t=277s )
Tous eurent un très mauvais pressentiment, surtout Mirai Trunks : cet ennemi devait être cette fois ci assez puissant et dangereux. Ils descendirent au 4° et dernier étage, et attendirent devant la porte, qui s’ouvrit. Ce fut alors que le comble de la surprise, de la peur et du dégout , mélangés, gagna l’assistance. Oui, le public, car c ‘était un scénariste, un metteur en scène, et un chef d’orchestre, qui comptait diriger une pièce de théâtre morbide, dans le paroxysme de l’horreur. Le Super Saiyajin légendaire, le dément, le fou furieux, venait de faire son entrée : Broly s’était donc caché dans le vaisseau de Babidi, et ils s’y étaient tous engouffré. Cependant, ils ne croyaient pas à un piège car ils savaient Broly incontrôlable. Ce fût là que le Saiyajin fou ouvrit la bouche :
« Acte 2, scène 2. Et merci pour l’invité de marque et un retour en grande pompe pour un acteur. Je le savais : on ne change pas une équipe qui gagne, qui réussit les plus beaux rôles. Imaginez ça : ancienne et peut-être nouvelle générations sont réunies pour un gala majestueux.
_ Et merde !! Cracha Béjita. Babidi n’a donc rien dans le crâne : il ignore totalement le danger qu’il représente et… attends. Qu’entends-t-u par scène 2 ?
_ Très simple : votre voyage vers mes bras et ces péripéties peuvent former un acte. C’est bien la preuve que vous pouvez jouer sans que je sois là pour vous motiver. »
Trunks songea fermement, et ses pensées étaient tournées contre le sorcier : « pauvre fou : si tu a cru pouvoir contrôler ce malade mental, tu fais fausse route, c’est lui qui t’as utilisé pour nous retrouver. » Soudain, Broly se changea en SSJ et leur fît signe de le suivre : pour lui, cet étage était trop étroit, alors ils descendirent lorsqu’il détruisit la porte. Babidi en dut décontenancé, mais heureusement, le cocon n’avait pas cédé. Une fois descendu, Babidi les fit téléporta vers le stade qui était aux tiers vide. Le commentateur les félicita car le championnat allait pouvoir reprendre. Mais Broly les attaqua aussitôt. Le premier réflexe fut de protéger les spectateurs en se postant aux angles et attaquer Broly. Passées en SSJ 2 et au-delà, ils se jetèrent sur le monstre pour remarquer qu’il s’était amélioré. Il avait fait appel à son habilitation de tueur parfait et utilisait les méthodes adéquats en effilochant les lasers qui partaient en plusieurs parties vers le ciel. Et il les massacrait, comme à son habitude, mais de façon plus gracieuse et stylisée : il esquivait plus facilement, et avec sa souplesse travaillée, il contrattaquait en même temps. Babidi, de son côté, jubilait : le compteur repartait à la hausse et en était aux trois quarts de la jauge. Goku décida qu’il fallait en finir, puis :
« Broly !!!!! Cela ne sera pas aussi simple que la dernière fois. YYYAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!! »
Aussitôt, le Saiyajin de sang fît gonfler ses muscles et augmenta à un niveau terrifiant, qui bluffa tout le monde, sauf Broly, ou presque : il était surpris et fasciné. Effectivement, ce ne sera pas aussi simple, et ennuyeux que la dernière fois. Goku se jeta sur lui avec une violence inouïe : les coups de poings et de pied se perdaient à côté, mais le Saiyen se lâchait contre ce démon. Il n’était absolument pas question de lui laisser du répit, et peu importait si une telle force coutait pas mal d‘énergie pour un être vivant. Béjita bouda un peu mais vint en aide à son congénère : même si il était irrité de voir Kakarotto toujours plus fort que lui, il devait protéger sa famille contre cette aberration de la nature . Le deuxième acte sera alors prometteur, songea Broly de son côté, qui commençait à peiner malgré toute la force de son Super Saiyen. Aussi il déclara :
« Mes pauvres partenaires, vous auriez raccroché vos accessoires sans plus attendre si vous aviez au moins une idée de ce que je vous réserve !!
_ Si tu crois que je vais te laisser le temps, tu commets une grossière erreur !!! »
Goku repartit et relâcha de nouvelles rafales de lasers et de coups tous brutaux les uns que les autres. Gohan se jetait à son tour dans la bataille avec Trunks en embuscade. Tous, sous les encouragements de leurs amis qui étaient restés dans le stade, s’acharnaient sur le dément, qui ne devait sa survie que grâce à son ki protecteur et sa peau dure. Il se dégagea et forma un bouclier vert, impossible à percer malgré les efforts de Goku qui arrivait à créer deux fissures, mais trop tard.
(
http://www.youtube.com/watch?v=A2FFcP0q ... age#t=105s )
Broly commença à se mettre dans une rage folle en pensant très fort à une musique désagréable à entendre, et sa haine grandit à cause du joug que l’on cherchait à lui imposer, pour la seconde fois de sa vie. Cette fois c’était trop, beaucoup trop. Il se mit à hurler à s’en déchirer les poumons et la lumière enveloppa le cercle. Un orage se déclencha, les bourrasques de 500 Km/h se levèrent mais Gohan et Béjita mettaient la ville et ses habitants hors de danger avec leurs pouvoirs. Mais le dehors eut moins de chance se mit à se disloquer. La Terre tremblait et menaçait de craquer à tout moment sous l’impulsion, et les cris devinrent plus torturés qu’avant : dans la lumière, la peau se déchirait, comme si Broly était devenu une chrysalide pour donner naissance à autre chose. Babidi fut, de son côté, horrifié de voir le tatouage disparaitre du front : le monstre échappait à son contrôle. Non, il ne l’avait jamais été, il s’était joué de lui. Le vaisseau partit en morceaux petit à petit, et les occupants en sortirent par en haut. Soudain, la boule explosa, enveloppant toute la zone de lumière, et des cercles vert, rouge, bleu, et or, rétrécissaient l’un après l’autre vers Broly.
Toute l’équipe put regarder pour s’exorbiter les yeux devant ce qu’ils voyaient : Broly était devenu bien plus grand, et une masse de muscles constituait désormais son corps. Une aura d’un vert agressif l’entourait, et mêmes cheveux, hérissés sans aucune exception, étaient dressées tels un éventail. Ses yeux étaient devenus blancs, plus de pupilles, et il montra toutes ses dents par un grand sourire. Tous étaient de nouveau terrorisés par cette puissance : il les avait de nouveau distancé, et seul Goku pouvait faire quelque chose. Et tous se sentaient écrasés et fléchissaient, et semblaient presque s’incliner devant cette puissance : il apparaissait comme le dieu de la mort et de la violence, avec un rictus sadique et des yeux morts, le teint d‘un mort. Le dément se jeta sur Goku et le massacra de coups de poings qui firent souffrir le martyre au Saiyen. Mais grâce à sa nouvelle force, il rééquilibra le jeu, et se battit de toutes se forces, suivi par les autres.
Mais ailleurs, Babidi jubilait : Boo allait enfin sortir de sa prison et savourer sa liberté. Lorsqu’il apparut, ses yeux étaient noirs, puis les pupilles étaient blanc et noir. Son corps était tout rose et musclé, puis il portait un pantalon, une ceinture et des bottes noir et or. Il avait un air cruel et plutôt sombre. Kaio shin le sentit et se croyait maudit, pris entre le démon qui le hantait, et ce nouveau fléau, qui allait déclencher un maelstrom de destruction et de deuil sa ns fin.
Fin du chapitre. Désolé d’avoir repris les passages du manga, mais au moins, je n’ai pas repris le moment où Mr Sqatan regagne le championnat car celui-ci est en pause.
Au chapitre suivant, d’autres éléments pour combattre Broly seront dévoilés, mais là, c’est sûr : il peut latter un SSJ 3. Et il y aura bien des morts, cette fois, et pas que les mêmes. Sa force augmentera de plus en plus , et de façon à surpasser toujours son adversaire que qu’il soit. Un peu comme chez HadalZone, et à la façon de Nékomajin, mais pour broyer, écraser et mutiler l’ennemi au lieu de s‘amuser. En tout cas, les chapitres seront toujours plus longs, et toujours plus violents et je montrerai Mystic Gohan et les fusions sur le devant de la scène.
Oui, Teen Gohan, je ferais ce que je veux de Gohan, et on verra si il crève maintenant ou pas et c’est pas la peine de me hurler dessus, je l’ai assez gâté dans le premier acte.
A vos commentaires et à plus.
Voilà
Bon, jusque là c'est du copier-coller, et je remercie Gohan pour avoir récupéré les chapitres. Là, je posterais, quand tout sera reconstitué, le chapitre 2 du cross-over, où Sasuké et les autres dégustent contre Broly.
Voilà