Ah ah ce sont toujours les coui.... pacifistes qui se font avoir.
M'enfin ouais elle est nunuche ta pote. Perso on a très souvent tenté de m'emmerder (j'ai toujours été tout petit et guère épais, genre la j'ai 27 balais, et je mesure 1m63-64 pour 60 kg, et suis un mec

), dès mon plus jeune age, et ma grande gueule qui sortait toujours un truc pour enveminer la situation quand il aurait fallu la calmer n'arrangeait rien.
Bah se rebiffer parfois ça fait du bien, et moi je rentrais dans le lard quand vraiment c'était pu possible. On m'a fait mal plusieurs fois (jamais trop blessé non plus), j'ait perdu quelques bagarres et gagné d'autres (un superbe K.O de ma part assené alors que j'étais acculé dans un chiotte au collège, et c'est moi qu'on avait engueulé

).
Deux périodes de ce genre dans ma vie : l'entrée en 6° (j'arrivais de la campagne, je connaissais 5 personnes sur ma classe et 20 dans le bahut), et mon entrée en 4° (déménagement à 500 bornes, donc rebelote dans un collège ou je connaissais vraiment personne). Ca a duré 1 mois à chaque fois, et on me foutait la paix après, et j'arrivais même a défendre certains souffre douleurs juste en grincant des dents (pas que j'étais costaud donc, au contraire, mais ils savaient que je pouvais etre môchant).
Etre pacifiste je veux bien, dans le sens "aller dans le sens de la paix quand elle est possible", pas "tendre l'autre joue en disant merci" (quitte à lancer un troll, c'pour ça que je comprend pas les anti-militaristes aussi. Je veux dire, j'aimerais qu'on puisse totalement se passer d'une armée et de tout savoir-faire guerrier dans un monde utopiste, mais c'pas possible : /)
J'ai un pote qui adorerait passer 1 heure avec ta pote a toi en tout cas, non pas dans un but cochon (bande de pervers, il a le double de son age) mais en une heure il lui fait un cours de self-défense complet et même plus (apprentissage de clés, voire comment bien taper dans une glotte ou mettre un bon coup de genoux dans les burnes), et elle se ferait pu tordre les doigts au moins.
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.