Belle idée de topic !
Le dragon vote pour :
La 6, parce que je trouve l'idée du contraste en l'image du bonheur familial rendu par Papa Cell et ses juniors avec la destructions qui les accompagne originale. Un point en moins pour le manque de rapport avec le titre, par contre.
La 14, même si le style de Pof est très éloigné de celui de Toriyama. C'est justement ce qui me plaît dans cette couverture, elle transpire une poésie qui lui est propre, signature d'un dessinateur qui a le talent d'ouvrir ses mondes intérieurs.
La 27. Toute simple. Malgré le manque de maturité du trait de ShenronMeteor, ce gros plan de Raditz réussit à avoir la classe. L'effet de reflet dans le détecteur fonctionne bien et constitue une très belle introduction au contenu du chapitre : le ton est donné. C'est ce qu'on demande à une bonne couverture.
La 28, parce qu'elle combine à la fois un bon dessin et la qualité d'une bonne couverture : donner le ton.
J'enlève par contre un point pour le manque de contraste dans le choix des couleurs qui noie le groupe de Saïyans dans la masse.
Le 41. Mêmes raisons que pour le 14. Sur cette couverture, le talent d'Arcady Picardi claque sa mère à tous les niveaux et nous offre l'univers de cet auteur sur un plateau.
La 50. Le coup de l'ombre n'a certes rien de nouveau, mais je le trouve bien placé, ça fonctionne pour moi. Elle offre aussi un beau contraste entre ce que l'on peut imaginer à la lecture du titre, et la réalité du contenu du chapitre.
La 52. Même si j'enlève un petit point pour les visages des soldats qui se ressemblent tous un peu trop et un autre pour le coup de poing dans le vide de Kakarotto. La détresse de la troupe est très bien rendue et sert magnifiquement la puissance de l'oozaru, la composition diffuse aussi très bien l'énergie de la bataille, réussir une scène pareille n'est pas à la portée du premier venu. J'aime bien aussi le joli contraste de couleurs qui participe au dynamisme de l'ensemble.
Par contre, je n'aime pas du tout le choix du titre de ce chapitre en anglais alors que tous les autres sont en français.
La 53, peut-être ma préférée parmi les préférées. Quelle ambiance ! Quelle émotion ! Un dessin de grande qualité, une mise en couleurs magistrale et un superbe contraste entre la présence écrasante de force et de malveillance de Cold et le couple formé par cette Bulma combative et l'enfant qui entrave sa liberté de mouvements, symbole de son impuissance. Enfant qui symbolise aussi le devoir de protection envers l'humanité dont on imagine que Bulma s'est sentie investie après avoir perdu tous ses compagnons Z team dans cet univers. Bref, le talent d'Asura à nous emporter vers son ailleurs ne fait ici aucun doute, même s'il manque à cette couverture la connexion avec le contenu du chapitre.
Celle que j'aime le moins : la 17. Ooc pour Goku selon moi et absolument aucun rapport avec le titre ou le contenu.
Bref, le bide total.