par broly97 le Ven Juil 27, 2018 14:15
Indestructible Tome 2 : Révélation
Chapitre 2 : Flashfoward (Partie 2)
Suite au combat acontre Suresh.
Sa combinaison trouée à de multiples endroits et couverte de nombreuses blessures, une Näyma essoufflée avisa avec soulagement Suresh qui était assommé, salement amoché et qui avait surtout repris sa forme normale . Elle brisa le dispositif de stockage de la créature bleue d’une pression de la main.
-Haa… Haa…Haa… ! "Je suis INDESTRUCTIBLE"… Pff ! ça me va bien de dire ça avant de me faire complètement éclater.
Näyma activa alors le dispositif de communication de son oreille.
-Ici Näy… Je veux dire Indestructible. J'ai fini par neutraliser la cible.
<<Bien joué petite ! La félicita Shaïn. Je finis de mon côté et je te rejoins pour qu’on le rende aux autorités. Au fait, "Indestructible", c'est plutôt pas mal comme nom. Déesse Guerrière, terminée.
Une fois la communication achevée, celle qui se nommait désormais Indestructible se permit de prendre un peu de repos et se posa sur une roche. Elle jeta un œil sur la créature bleue assommée et ne pût s'empêcher de sourire. Elle était fière d'elle. Elle avait battu son premier méta-vilain en solo, qui, de surcroit, était même bien plus fort que prévu et ce sans perte civile à déplorer. Un très bon début en somme. Elle avait hâte de raconter ça à son père, son oncle Raditz et à Yanmma.
Une lumière attira subitement l’attention de la semi-saïyanne, qui tourna la tête pour voir une sorte de sphère luminescente flottante, sortir d’un bosquet de la clairière. Un phénomène pas du tout anodin et encore moins naturel. Étais-ce un autre tour de Suresh ? Non. Elle n’en avait pas l’impression. Si le méta-criminel avait eu une technique secrète, il avait eu toute l’aise de la déclencher au cours de leur combat. Intriguée, la fille de la Protectrice se leva pour examiner cette mystérieuse sphère. Prudente, la fille de Kakarotto s'approcha lentement de l’objet flottant, jusqu’à pouvoir le toucher. Hésitante dans un premier temps, elle laissa sa curiosité l’emportée sur ses craintes et toucha lentement la sphère de ses doigts pour voir ce qui allait se passer. La lumière émise par la sphère s’intensifia petit à petit. Subitement, elle fût aveuglée par une soudaine explosion de lumière.
… Suite à l’arrestation de Suresh, Naÿma et Shaïn étaient revenu à la Tour de Veille. L’ensemble de smembres de l’équipe étaient alignés derrière N’Dobin qui se posta en face de Naÿma, ou plutôt Indestructible, émue pour l’occasion.
-Félicitation, Indestructible, commença solennellement N’dobin. Te voilà officiellement un membre de la Légion de la Justice.
Naÿma serra la main du yallabatanga à la peau sombre sous les applaudissements des autres membres et de sa mère qui lui adressa le pousse de la victoire.
Jamais de son existence, la fille de Kakarotto n’avait été aussi fière qu’à ce moment là…
… D’un pas sur le côté, L’Indestructible esquiva l’enchaînement de coups de poing du Pachiderme. D’un déplacement en hyper-Vitesse elle se plaça devant le méta-vilain, avant de l’assommer d’un direct du droit bien placé.
Tandis que la fille de la Protectrice ligotait son ennemi une foule de gens coururent vers elle. Leur communicateurs à la main, ils s’empressèrent de capturer l’image la nouvelle recrue de la Légion de la Justice qui ne tarda pas à s’envoler, avec le bandit pour l’emmener en prison.
Maintenant dans les cieux, la fille de Kakarotto s’autorisa un sourire. Elle ne restait pas insensible à cette nouvelle célébrité. Même si elle était consciente qu’il ne fallait pas qu’elle s’y laisse aveugler, elle n’était pas contre le fait de le savourer…
… Accompagnée de Dachia, Naÿma faisait des emplettes à travers le centre-ville de Misopolis. Comme beaucoup de yahsaïyens sur la grande place, l’attention des deux amies fut attirée par un grand holoécran représentant une rediffusion de la dernière intervention d’Indestructible. La dernière recrue de la Légion de la Justice, devenue en un rien de tmeps la toute nouvelle coqueluche et fierté de Yahsaï.
Tandis que de nombreux yahsaïyens exultèrent lorsque l’héroïne porta des coups de poing à l’immense droïde de Mecaniclex, Dachia se pencha vers l’oreille de son amie.
-Naÿma, cette nouvelle héroïne, là, Indestructible, c’est toi pas vrai ?
La fille de Kakarotto sursauta. Elle en fût tellement choquée qu’elle en lâcha ses sacs par terre.
Tout en se hâtant de ramasser ses achats, la semi-terranide gênée et paniquée réfléchie à toute vitesse pour trouver une réponse valable.
-N… Non ! Non ! Mais que… qu’est-ce que tu dis là Dachia ?! Sa se peut pas ! On se ressemble peut-être… Euh, non ! J’voulais dire que ça ne ce peut pas elle est forte et tout, tandis que moi je suis…
-Indestructible, finis Dachia avec un sourire triomphal. Arrête ce cinéma. On se voit ptêt plus aussi souvent qu’avant mais je me rappelle encore quelle tête tu fais quand tu mens. Et puis lorsqu’on analyse bien, votre bouille à toutes les deux colles.
-Je… Mais… Non ce… Bon ok d’ac. T’as raison, c’est bien moi. Et ma mère c’est la Protectrice, d’où le fait que j’utilise les mêmes pouvoirs qu’elle. Mais s’il te plaît ne le dis à personne, on a vécu tranquille jusqu’à maintenant, et on a envie que ça reste comme ça avec ma famille.
Dachia prit un air sérieux. Le genre d’expression qu’elle arborait lorsqu’elle ne rigolait pas sur un sujet en particulier. Cela rassura tout de suite Naÿma.
--Naÿma, tu me connais. Jamais je ne trahirais ta famille. Tu as ma parole que je ne dirais rien.
-Merci Dachia.
-Pas de quoi ma grande. Mais tout de même…
-Quoi ?
-Dire que je pensais être la meilleurs en éducation physique à l’école et au campus, alors que t’aurais pu me battre comme un rien pendant tout ce temps. Sa m’amuse mais en même temps j’suis un peu frustrée.
-Si ça peut te consoler, t’étais vraiment la meilleure, jusqu’à notre quatrième cycle. C’est à partir de là que j’ai obtenu mon ultra force.
-Et après tu m’aurais battu à l’aise ?
Naÿma fît une grimace g^énée.
-Eh ben…
-Laisse tomber, j’ai ma réponse. Du coup, quand-est ce que t’es dispo pour qu’on s’entraîne ?
-Pardon ?
-Ben ouais, je connais un petit coin sympa où je peux bosser tranquillement seule. J’ai pu faire pas mal de progrès, mais l’entrainement en solo à ses limites. Avec toi, je pourrais y aller sans retenue. Il n’y a pas meilleure moyen pour progresser.
-Il n’y a pas de risque que l’on…
-Non t’inquiètes, personnes ne sait ou c’est, tu pourras utiliser tes capacités sans soucis.
-Bon d’accord alors.
-Yes ! Dans ce cas, prépare toi fille de la protectrice, la super saïyanne va laver son honneur.
-Hé, hé, hé, ! Pour cela il faudra que la super se lève tôt…
… Reconnue par le plus grand monde pour ses exploits méta-héroïques, estimés par ses équipiers, soutenue par un entourage, un peu agaçant mais formidable, Naÿma avait, depuis quelques semaines, toutes les raisons d’êtres heureuses. Il y en avait une autre d’importance : l’homme qui était assis en face d’elle, Loïc Zhane. Suite à leurs premiers rendez-vous, le tsuful et elle avait correspondaiut à distance, en vue de d’avoir des nouvelles et d’organiser des rencontres. Ce dîner au restaurant constituait le cinquième, et, toute proportion gardée, Naÿma se disait que quelques choses de sérieux pourraient ressortir de tout cela.
Les commandes prises, le couple pût reprendre la conversation.
-… Et voilà, comment mon père est reparti sans un sou en poche, mais avec sa futur épouse, finit Loïc sur le ton de la plaisanterie.
-Wow ! Et ta mère a su qu’il s’était couché exprès.
-Elle a prétendu que non, mais je suis sûr que c’est ça qui a fait qu’elle l’a rejoint en dehors. Et pour tes parents ?
-Pas beaucoup de chose à dire. Une rencontre fortuite dans un restaurant où travaillait papa à l’époque, une conversation et c’était parti. Rien d’aussi exceptionnelle que les tiens.
-Allez, je t’en prie, Naÿma. J’insiste. Maintenant que je sais que ta mère est une petite célébrité dans le monde du livre, j’ai envie de savoir le maximum de chose sur elle, avant de la rencontrer…
... Volant aux côtés de sa mère après une mission rondement menée, Näyma lui demanda :
-Au fait m'man, tu crois que je pourrais me transformer en super un jour ?
Surprise par cette question, la Protectrice leva un sourcil avant de répondre.
-Je ne sais pas. Ta sœur et toi, vous êtes pour ainsi dire unique dans votre genre. Je ne sais pas si mes gênes de terrannide peuvent bloquer votre éventuelle transformation.
Quelque peu déçue par la réponse, Näyma soupira. Voyant cela, sa mère lui sourit.
-Après comme je te l'ai dit, vous êtes unique en votre genre mais ça ne veut pas dire que vous n'y arriverez pas. D'après ce que m'a dit ton père, tout le monde a été surpris lorsque le taux de métis humain-saïyans qui pouvait se transformer était supérieur à celui des saïyens pur sang. A bien y réfléchir mes gênes sont à peu près les mêmes que ceux des humains. Il y a des chances que cela arrive.
Les efforts de sa mère firent retrouver le sourire à Näyma.
-Et puis, continua la Protectrice. Ce serait vraiment bien qu'en plus de tes pouvoirs de terrannide tu puisses te transformer. Ça ferait potentiellement de toi l'être le plus puissant de la galaxie. Une guerrière imbattable.
-Ha, ha, ha ! C'est sûr ! Rien ne pourra me résister, et surtout pas ce trouduc d'Immortel. Ouais !
Tout en regardant sa fille retouvée le sourire, le visage de la Protectrice se fît plus sombre. Le regret et la résignation commençait à la gagner.
-Oui… ce serait bien…
… Soutenu par Kakarotto, la Protectrice rentra blessé dans la maison familiale blessé et couvert de platre, à la grande surprise de Näyma et de Yanma qui coururent prendre des nouvelles de leur mère.
-Maman ! Qu'est qui t'es arrivée ?! Qu'est-ce qui a pu te faire ?!
-Je… Je vais bien, rassura la Protectrice tout en s'asseyant avec difficulté sur son canapé. Mais pour les autres… C'est…
-Que veux tu dires par les autres ? Tu veux parler des autres de la Légion ? Qu'est-qui leur est arrivés ?
Attristée et visiblement secouée, la Protectrice n'eut pas la force de regarder sa fille aînée.
-Je… Je suis désolée Näyma. Je ne sais pas ce qu'ils étaient, mais… mais ils nous ont tous prit pas surprise. Ils… Ils nous ont laissé aucune chance. J'ai pu m'en tirer de justesse, mais…N'Dobin, Yellow Shadow, Gast, Shaïn et même l'Immortel, ils… Ils… Ah merde !
Enervée, la Protectrice éclata le rebord du canapé. Encore sous le choc de la révélation de la mort de ses coéquipiers qu’elle croyait invincibles, Näyma resta interdite. Elle ressentit alors un grand vide et une immense tristesse. Tous les morts d’aujourd’hui avaient été d’une façon ou d’une autre une figure paternel pour elle. Même l’Immortel, qui bien que distant était considéré pour elle comme l’oncle grincheux et irrascible mais avec un bon fond. Quelques instants durant elle accusa le coup, avant de tout de même trouver la force de serrer sa mère dans ses bras.
-Ne tant fais pas maman, ensemble, on retrouvera les ordures qui leurs ont fait ça et on les fera payer, promit la métisse alors que les larmes commençaient à couler sur ses joues.
L'étreinte de sa fille apporta réconfort à la femme de Kakarotto qui la serra avec son unique bras valide.
-Oui ma fille… ensemble nous y arriverons, répondit la guerrière terrannide, alors, qu'en plus de la tritesse, la honte et le regret commençaient à déformés les traits de son visage…
… Volant à toute allure, Näyma se dépêcha pour rejoindre le lieux de sa mission. Suite à un dysfonctionnement dans le système de portail de la base, Solve n'avait pu envoyer Näyma qu'a 200 km du lieux du sinistre. Heureusement la mère de cette dernière était déjà sur les lieux et aidait les malheureux Stygiens.
Alors qu'elle était presque arrivée, Näyma eut la surprise de sa vie. L'Immortel qu'elle croyait mort plusieurs semaines, était là, bien vivant. Mais plus incroyable encore, il était en train de cogner la Protectrice.
-POURQUOI ?! POURQUOI TU NOUS AS FAIS ÇA ?! POURQUOI TU NOUS AS PIEGEE ?! POURQUOI TU NOUS AS TOUS TRAHI ?! Hurla l'Immortel furieux tout en continuant son pugilat.
A peine blessée par les coups de son coéquipier, la Protectrice finit par les attraper et l'avisa avec colère. Une expression froide et impitoyable déforma alors les traits du visage de la mère de Näyma. Cette dernière s’arrêta net. Jamais elle n’avait vu un tel regard chez sa mère. C’était comme-ci elle était devenue une autre personne.
- Même après que je t’ai carbonisé la tête, tu es toujours en vie toi ! Hurla la terranide pur-sang. Il semble que j'ai sous-estimé ton immortalité. Mais ne t'en fais pas, je pense connaître la solution pour que tu ne m'ennuie plus !
D'un coup sec, la guerrière terranide arracha les bras de son adversaire qui poussa un hurlement de douleur. Hurlement qui prit fin lorsque la Protectrice réduisit son visage en bouillit en écrasant les plats de ses deux mains sur ses joues. Ayant momentanément mis hors service l'Immortel, la femme de Kakarotto saisit l'épaule de son corps innamnimé.
-Je n'aurais qu'a t'envoyer au centre d'un soleil comme ça à défaut de te tuer, il y aura une possibilité que tu en sois prisonnier pour l'éternité. Le tout est de savoir comment…
-Maman ?! Héla Näyma horrifié par ce qu'elle venait de voir.
Surprise par la présence de sa fille, la Protectrice lâcha le cadavre de l'Immortel qui chuta vers le sol. Après avoir réfléchi à toute vitesse sur ce qu'il fallait dire, la femme de Kakarotto soupira avant de se forcer à prendre une expression plus détendue. Elle savait que ce moment-là arriverait, mais elle aurait voulu que ça se fasse dans des circonstances plus propice.
-Ma fille, commença la guerrière terrannide avec calme. Je pense qu'il est temps que je te dises la vérité sur notre peuple et sur les réélles raisons de ma présence dans cette galaxie…
… Alors que le récit de sa mère touchait à sa fin, Näyma était complètement dévastée et perdue. Sa mère, l'être qu'elle admirait et respectait le plus, avait mentit à tout le monde, sa famille compris, concernant son peuple d'origine. Loin d'être des explorateurs en quête de savoir, et encore plus loin d’être morts, les terrannides étaient des conquérants surpuissants et sans pitié qui prévoyaient d'envahir sous peu les territoires de la Fédération Galactique et d'asservir ses populations. Mais ce n'était pas là le pire. Etant donné qu'ils étaient actuellement en sous nombre, suite à un sérieux revers dans leur galaxie d’origine, ils avaient prévu d'envahir la planète Yahsaï afin d'en faire une ferme de reproduction pour renforcer leur rang et leur mainmise sur cette galaxie, ainsi que sur les trois autres. Ce qui expliquait la présence de la mère de Näyma qui s'était mise en couple avec Kakarotto juste pour vérifier que les terrannides et les saïyans pouvaient donnée une descendance stable et puissante.
-… C'est pour ça, ma fille, que tu dois m'aider à réduire à néant les défenses saïyans, finis la Protectrice. Ta puissance a bien augmenté, et je suis sûr qu'ensemble nous pourrons facilement venir à bout des super saïyans et mettre le peuple de ton père au pas en attendant que les nôtre viennent.
-M… Mais et papa ? et Yänma ? Demanda Näyma, toujours sous le choc de la révélation. As-tu pensé ce que ça leur fera ?
-S'il te plaît ma fille, je t'ai déjà expliqué. Ton père n'était là qu'un cobaye destiné à m'apporter son patrimoine génétique pour voir si nos deux races étaient compatibles. Rien de plus, rien de moins. Bien sûr, je ne nie pas avoir été heureuse avec lui, mais maintenant il est temps d'accomplir notre mission.
La guerrière terranne posa délicatement sa main sur les épaules de sa fille.
-Quant à ta sœur, elle est encore jeune. En lui expliquant bien, elle se joindra à notre cause. Crois-moi ma fille, c'est la meilleure chose à f…
D'une gifle, Näyma retira la main de sa mère et s'éloigna d'elle complètement indignée par ce qu'elle venait d'entendre.
-NON MAIS CA NE VA PAS ?! ET TU CROIS QU'APRÊS TOUT CE QUE JE VIENS D'ENTENDRE JE VAIS ME JOINDRE A TOI, LA MEUTRIERE DE TOUTE LA LEGION ET UNE GENOCIDIARE SANS SCRUPULE, POUR TRAHIR MA FAMILLE ET MES AMIS ?! N'Y COMPTES PAS !
Agacée au plus haut point par la réaction de sa fille, la Protectrice fît néanmoins des efforts sursaïyans pour garder son calme.
-Ma fille, je peux comprendre que cette révélation te bouleverse au plus haut point, mais ne laisse pas tes émotions assombrir ton jugement. Notre race à besoins de nous et…
-Notre race ?! NOTRE RACE ?!! NON, TA RACE ! La seule race à laquelle j'appartiens, et dont je suis fière d’appartenir, est celle des SAIYAN ! Et si tu tentes de t'en prendre à eux tu devras me passer sur le corps !
Les poings de la guerrière terrannide se serra et ses traits commençaient à se plissier.
-Ah oui ? Tu veux le prendre comme-ça ?
-Oui ! JE LE PREND COMME ÇA!
-Soit ! Fît la guerrière Terranne tout en frappant sa fille qui s'écrasa sur la ville Stygienne qui trembla à l'impact…
… Grièvement blessé sur tout le corps et costume déchirée, Näyma se relevait péniblement au beau millieu des ruines de la cité Stygienne. Le combat qu'elle disputait avec sa mère était véritablement à sens unique, et ce malgré un miracle inespérée qui avait fait douté une seconde durant la guerrière terrannide. Un miracle qui avait pris la forme d'une aura dorée autours de la métisse saïyanne, devenue super saïyanne. En effet, complètement submergée par la colère et le dégoût que lui inspirait sa mère, Näyma avait, à un moment critique du duel, atteint le légendaire stade de super saïyanne. Malgré tout cela n'a pas suffi, et même avec sa nouvelle puissance, désormais extraordinaire, Näyma était en train de mordre la poussière. Le pire c'était qu'elle n'était pas vraiment surprise. Elle faisait tout de même face à la Protectrice, l'être le plus puissant qu'elle n'a jamais vu et qui de surcroît lui avait tout appris. Cette lutte ne pouvait que ce finir par sa défaite. Malgré tout la fille de Kakarotto devait s'accrocher. Elle se devait de vaincre ce monstre qui avait trompé son père et sa sœur et qui s'apprêtait à éliminer ou à mettre en esclavage tous ceux qu'elle aimait. Non elle devait continuer.
Alors que la super saïyanne s'était péniblement redressée, la guerrière terrannide atterrit, les bras croissé devant elle. Elle ne présentait maintenant plus son masque de mère aimante mais celui de la conquérante froide et sans pitié qu’elle avait si souvent présenter aux milliards d’innocent qu’elle avait tué jadis.
-Il semble que j'ai quelque peu surestimé cette transformation en super saïyan. Enfin, tes performances ont tout de même bien augmenté et j'ai dû m'y mettre un peu. Je renouvelle donc ma proposition. Veux-tu tomber comme ces idiots naïfs de la Légion ou veux-tu accomplir ton destin à mes côtés ?
-Plu… PLUTÔT MOURIR !! Hurla Näyma tout en se jetant vers la guerrière terrannide imperturbable…
… Les mains recouvertes de sang, la guerrière terraidee indemne observait d'un regard neutre sa fille allongée au sol. Elle était presque inconsciente et ensanglantée et ses cheveux avait repris leur colloration noire. La conquérante terranide serra les dents de colère et saisit brutalement sa fille par le cou.
-IDIOTE ! QU'EST-CE QUE TU AS A GAGNER A T'OPPOSER A L'EMPIRE TERRAN ?! MÊME SI JE TE LAISSAIS EN VIE, SACHE QUE CE N'EST QU'UN AVANT-GOÛT DE CE QUI T'ATTENDRA ! NE LAISSE PAS LES PAROLES NIAISSE DE LA LEGION ET TON ATTACHEMENT AU MISERABLE PEUPLE DE TON PERE OBSCURCIR TON SENS DES REALITE !
Grâce à un effort sursaïyan, Nayma ouvrit son œil le moins boursoufflé pour regarder la guerrière terrannide… Non, sa mère en colère. Une colère o,u, encore une fois, elle perçut de… la détresse. De longue seconde durant Näyma respira bruyamment avant de répondre d'une voix faible.
-E… Et toi maman, qu… qu'est que tu as à gagner à aller avec les… les tiens ? La… gloire ?… les honneurs ?... Si… Si tu veux mon avis, bien… bien piètres consolations par rapport à la tristesse et au dégoût que j… j'ai vu dans tes yeux. Mais… bon, cela n'a plus aucune importance. Va… Vas-y tue moi. Tue-moi comme tu l'as si souvent fais.
Perturbée par la réponse de sa fille, la terrannide trembla de fureur. Elle détourna un instant le regard, avant d’armer son poing. Un poing qui, à son tour, trembla de longue secondes durant. Un poing qui ne partit pas alors que l'autre maintenant le cou de la métisse s'ouvrit, la laissant choir blessée au sol.
Toujours sujette à des tremblements qu’elle ne pouvait contrôler, la terrannide regarda ses mains tâchées du sang de sa fille aînée. Comme si elle ne parvenait pas à croire ce qui se passait. Comme si elle ne parvenait pas à croire ce qu’elle avait fait. Les dents serrées elle plaqua ses mains de chaque côtés de sa tête avant de la diriger vers le ciel
-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAh !! hurla la femme de Kakarotto avant de s'envoler dans l'espace.
-M…M'man ? Emit faiblement Näyma avant de fermer les yeux…
…Tandis que les forces de l’ordres emmenait le Prestigitateur dans les pommes, Indestructible qui était fatiguée suite à l’affrontement face au méta-vilain voulut s’en aller, mais l’attroupement de journalistes la força à rester pour quelques questions.
-Indestructible, vous qui faites partie de la Légion, pouvez-vous nous dire ou est passé le reste de l’équipe ?! Hormis Solve et l’Immortel, nous n’avons plus aucune nouvelle des autres. Avez-vous une idée ou ils sont et ce qu’ils font ?
-Eh bien…, commença Naÿma.
-Ont-ils démissionnés en secret ?
-Ont-ils été fait prisonnier dans une autre dimension par un de leur ennemi ?
-Y-a-t-il des tensions dans l’équipe ?
- Ont-ils été exilés dans une autre galaxie ?
-Sont-ils morts ?
-Ou est la Protectrice, votre mentor ?
La foire aux questions commença à prendre une tournure qui déplaisait à Naÿma.
-Je…Je n’ai aucune réponse à vous donner.
Les journalistes s’interrompirent lorsque le décollage d’Indestructible les obligea à se protéger du souffle de vent qui suivit.
Désormais en altitude, la métisse saïyanne pût enfin souffler un peu. Même si elle s'entendait mieux avec l'Immortel, l'ambiance restait tout de même un peu tendue et morose, maintenant qu’il n’était plus qu’à trois. Et comme une mauvaise nouvelle n’arrivait jamais seule, ils n’étaient pas assez nombreux pour endiguer la nouvelle vague de crime ayant suivi la dispariton de la précédente équipe de la Légion, suivit de celle de la Protectrice. Ils avaient un besoin urgent de nouveaux membres…
… Indestructible interrompit d’un coup sa reculade, avant de prendre de l’altitude, esquivant la charge de son adversaire. La métisse se mit en garde juste au moment où son adversaire se mît à son niveau. Armement, la toute nouvelle recrue de la seconde Légion de la Justice, lui faisait face, avec sérieux et confiance. Et confiance, la spartanne avait de quoi l’être. Ses gantelets ainsi que jambière mystique lui conférait une force extraordinaire. Plus importante que celle de la terranide, du moins à son état actuel.
- Finit de rigoler Indestructible, passe à la vitesse supérieure ! Lui cria l’immortel en contrebas de la salle d’entraînement de la Tour de Veille.
Naÿma tourna son regard vers le vétéran. Il était accompagné des autres membres de la Légion qui regardaient le duel d’entraînement avec plus ou moins d’attention.
-T’es sûr, Imm ?!
-C’est un ordre.
-Comme tu veux, termina la fille de Kakarotto tout en faisant passer ses cheveux à une teinte dorée.
Même si elle savait que la métisse terranide était désormais beaucoup plus redoutable, Armement ne se laissa pas impressionner et partit bille en tête vers l’affrontement. Malgré la maîtrise au corps à corps et à l’ardeur de la nouvelle recrue spartanne, Indestructible la valait allègrement sur bien des points. Notamment sur la force et la vitesse ou elle la dépassait de loin. Le combat fût logiquement à l’avantage de la super saïyanne.
-C’est bon, ça suffit ! Cria l’Immortel au bout de cinq minutes.
Retournant à son apparence normale, Indestructible, accompagnée d’une Armement, particulièrement lessivée, rejoignit le reste de la Légion au sol.
- Armement, ta garde au niveau du flan est trop faible ! lui reprocha l’Immortel. Même quand Indestructible n’était pas transformée, tu as reçus beaucoup trop d’ attaques aux foies. J’espère que tu l’as réalisée, car dehors ça ne pardonnera pas.
-O… Haa !... Haa !... Ouais… J…Haa !... J’ai r’marquer. Haa… !
-Va te reposer un peu. Tu reprends dans quinze minutes.
-O… Haa… ! Haa… ! Ok, fît la spartanne en faisant disparaître son équipement mystique par la pensée.
-Zhamas, Döpple et Myst, en piste avec moi !
Tandis que Myst laissait son ombre lui recouvrir entièrement le corps, jusqu’à former une combinaison de combat noire, avant de s’envoler, le trente-deuxième utilisateur de la Foudre Grise se tourna vers Döpple, l’air inquiet.
Ça va aller avec l’autre ? Tu auras l’esprit assez clair pour gérer la stratégie ?
Le lézard femelle lui sourit tout en répondant à l’affirmatif. Une courte concentration, et ses écailles, jusqu’ici bleu marine, pâlirent jusqu’à prendre une couleur bleu ciel et ses yeux jusqu’ici jaune prirent une teinte rouge.
-Ça va aller au poil, lui assura Döpple d’une voix plus grave et solennelle qui semblait faire écho. On commence à se mettre d’accord concernant l’utilisation de notre corps. Aujourd’hui c’est moi qui aurait le contrôle et rien que moi. Ce sera plutôt à toi de rester attentif pour suivre le rythme. Il faut dire que vous êtes trente-deux là-dedans.
-Hé, hé, hé ! T’inquiètes pas pour moi, même-ci une bon tier d’entre-eux sont carrément relou, la collocation se passe hyper bien. Zhamas !
Naÿma regarda Döpple et Zhamas, maintenant transformés, rejoindre Myst en hauteur. La super saïyanne commençait à être rassurée. Même si l’adaptation pour certains reste encore à faire, la nouvelle équipe commençait à s’entendre. Le deuxième point positif à cela étant qu’en jouant le rôle de coach et de mentor, l’Immortel était plus ouvert envers autrui et son caractère d’oozaru mal léché semblait s’être apaisé. Elle lui semblait même un peu sympathique.…
…Epuisée après une nouvelle journée de patrouille, Näyma fût heureuse de rejoindre la demeure familiale, pour s’y reposer.
-Näyma, t'es rentrée ! Fît Yänma tout en se précipitant vers sa sœur. On part s'entraîner ?!
L'aînée de Kakarotto se tapa le front avec la main. Elle avait complètement oublié l'entraînement qu'elle avait promise à sa sœur. Malheureusement une promesse restait une promesse et elle l'avait déjà repoussée deux fois.
-Ok, ok ! Fît la métisse. Prépare tes affaires, et on y va.
-Ouais ! Fît Yänma.
Ce fût le moment que Kakarotto choisit pour sortir de la cuisine. Il accorda un sourire à son aînée. Un sourire qui c'était considérablement terni depuis qu'il avait appris la vérité sur sa femme et son absence. Cela attristait davantage Näyma qui savait que son père tenait le coup uniquement pour ses deux filles. Autrement il paraissait clair qu'il aurait chuté depuis longtemps.
-Salut terreur, j'espère que tu ne vas pas te défiler cette fois, car ta sœur m'a pris la tête toute l'après-midi à propos de cet entraînement.
-Ne t'en fais pas p'pa j'ai déjà dis oui.
Yänma leva timidement la tête et demanda à sa grande sœur un peu gênée.
-Au fait Näyma est-ce que tu as des nouvelles de maman ?
Comme à chaque fois que sa sœur lui posait cette question, la métisse ne savait que répondre. D'un commun accord, Näyma et Kakarotto n'avaient rien dis à Yânma concernant la vérité sur leur mère. Ils voulaient être sûrs de savoir qu’elles étaient les véritables intentions de la terranide avant de révéler quoi que ce soit à Yanma. Car, Naÿma ne pouvait le nier, sa mère aurait pu la tuer, mais n’en avait rien fait alors qu’elle était une menace claire pour l’Empire terranide. Il y avait peut-être une minuscule chance pour que tout n’ait pas été une illusion. Ainsi, avec Solve ils avaient tous fais pour repérer la guerrière terrannide, mais c'était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Même avec les moyens de l’I .A. Tout laissait malheureusement supposer qu'elle avait rejoins son peuple en vue de leur invasion imminente.
La métis saïyanne jeta un œil vers son père dont le visage s'était immédiatement assombrit. Naÿma se doutait que même s'il s’accrochait à l’idée que la terranide avait bien été la femme avec lequel il avait partagé sa vie, il ne pouvait la pardonner d’avoir frappé leur fille quasiment à mort. Ces deux émotions contradictoires qui déchiraient son cœur le faisaient souffrir plus que de raison.
-Malheureusement non, Yänma. Je te l'ai dit, maman est partis en voyage pour un petit moment. Quand elle reviendra, soit sûr qu'elle nous fera signe…
… Näyma n'en croyait pas ses yeux. Alors qu'elle réglait une affaire sur Kanasia, l'un de ses drôles d'être appelé Yardrat l’avait brusquement téléporté sur leur planète, où quelqu'un l'attendait. Mais pas n'importe qui. Il s'agissait de sa mère ! Pendant un moment la métisse saïyanne avait craint que cette dernière s'était servi de ce curieux peuple pour la piéger, mais elle fût complètement rassurée lorsqu'elle remarqua le soulagement et la joie sincère sur le visage de la guerrière terrannide qui arborait désormais le visage que Näyma avait si longtemps connu et qui l’avait tant manqué. La terranide lui accorda même une longue accolade. Chose qu’elle lui a rarement concédé quand elle y pensait. Après que la mère et la fille se soient séparée, la terranide prit son courage à deux mains et se confessa après un long soupir.
-Pour commencer ma fille, je… Je suis désolée, pour tout ce que je t'ai fait subir. Pour ce que je vous ait fais tous subir Avec le recul, je vois les failles d'un système qui ont provoqué l'effondrement de mon peuple et combien nous avons jadis mérité que le fléau s’abatte sur nous… Non, je pense même que je les avaient déjà vu lorsque je suis allé vivre avec Kakarotto, et que j’ai vu qu’une vie paisible entouré des gens que l’on aime était possible. Mais trop orgueilleuse je me suis voilé la face et j'ai continué à penser que je ne faisais que faire semblant de jouer le rôle d'une mère et d'épouse. Maintenant, je vois à quel point tout cela me manque. A quel point vous me manquer tous : toi, Kakarotto et… Yânma.
D'instinct, Näyma posa sa main sur les épaules de sa mère.
- Reviens maman ! Reviens, s'il te plaît ! Il est encore temps de revenir à la maison et de reformer une famille. Il… Papa espère tous les jours ton retour et Yänma me demande pratiquement tout le temps si je n'ai pas de tes nouvelles. S'il te plaît revient, implora Näyma.
Touchée par ce que sa fille venait de lui dire, la Protectrice sourit avant que son visage ne s'assombrisse de nouveau.
-Tu ne peux pas savoir comme ce que tu me dis me fais plaisir, ma fille. Mais… je ne peux pas voir ton père. Pas maintenant. Pas après ce que je t’ai fait, il ne me pardonneras sans doute jamais. Et je ne suis pas encore prête àaffronter ses reproches. Et puis je t'ai aussi fais venir pour autre choses.
La guerrière terranne sortit une mini disque mémoire de la poche de sa tenue Yardrat.
-Il faut que tu donnes ça à S.O.L.V.E. Il s'agit de toutes les informations nécessaires sur l'empire terranne. Ses points fort et ses faiblesses. Même si mon peuple est puissant, leur sous nombre nous donne une chance de les combattre.
Näyma pris le précieux disque tendu par sa mère et le regarda comme s’il s'agissait du Saint Graal.
-Amaraï ici présent, la terranne indiqua un Yardrat du doigt. Te téléportera sur les territoires de la Confédération. Une fois que tu auras donnée le disque à S.O.L.V.E, Amaraï te raménera aussitôt que tu auras finis sur Yardrat.
-Pourquoi ?
La Protectrice eut un sourire.
-Pour que tu commences ton entraînement à mes côtés. N'as-tu pas envie de te téléporter selon ton bon vouloir ?...
… Sur Yardrat depuis bientôt un mois Näyma flottait en altitude dans la position du tailleur. Apprendre à ressentir les auras ne lui a pris que cinq jours, alors que sa mère lui a assuré que elle cela s'est compté en semaines. Restait plus que l'étape de téléportation, qui s'avérait elle beaucoup plus ardue. Mais Näyma, sentait qu'elle y était presque. D'ailleur elle tentait de repérer l'aura de sa mère, qu'elle avait baissé au minimum. Soudain les yeux de la métis s'ouvrirent et elle porta ses deux doigts sur son front.
-Trouvée !
L'instant d'après, Näyma se trouvait sous un arbre fruitée ou la Protectrice mangeait avec bonhommie un des fruit qu'elle avait cueillis. Heureuse que sa fille ait réussis l'exercice, elle lui tendit un panier remplit.
-Tien, voilà ta récompense…
….Le dos de la Protectrice et de sa fille, transformée en super saïyanne, se cognèrent viollemment, faisant trembler les alentour. La mère et la fille décidèrent de ne pas en tenir compte et se remirent en garde. Leurs quatre adversaires se mirent à leur niveau, prêt à en découdre.
C’étaient des êtres à l’apparence humaine, avec une musculature solide et puissante qui étaient vêtus d’une combinaison grise avec des parties blanche. C’étaient ni plus ni moins des guerriers terranides.
Même si ils étaient tous plus puissants qu’elle à des degrés divers, la métisse nota toutefois, que les quatuor n'étaient heureusement pas aussi puissants que sa mère. S’étaient déjà ça, mais l'affrontement s'avérrerait serré.
L'une des deux femmes finit par s’approchée en face de la Protectrice. Pourvu d’une peau claire et d’un visage attrayant, elle avait des yeux azurs avec une chevelure bleue lui arrivant au niveau de l’arrière du cou. Le sourire féroce et carnasié qu’elle accordait à la mère de Naÿma éclipsait néanmoint tous ses charmes :
-Aaaah ! Katana. Ma chère Katana. J’imagine que je dois interpréter ta résistance en notre encontre comme un acte de rébellion.
-Interprête mes actes, comme tu l’entends, fille d’Eryolis, répondit la Protectrice avec dégout.
-C’est désormais Glaive pour toi, Katana !... Non, pas Katana. Tu ne mérites plus ce titre. Au vue de ton incapacité à achever ta mission, et à tes actes claires de rébellion, je te destitue officiellement de ton titre de 14 ème Katana d el’Empire Terranide. Pour toi ce sera désormais Traitresse.
D’un geste de Glaive, les trois autres terranides entourèrent Indestructible et sa mère. Les lèvres de Glaive formèrent un sourire sadique, comme-ci l’on venait de lui apporter un présent longtemps désiré et refusé sur un plateau.
-Si tu savais depuis combien de temps j'avais envie de t'éclater ta sale face arrogante. Prépares-toi à saigner sale Traitresse…
…Téléporter en urgence par des Yardrat, puis transporter au plus vite sur la Tour de Veille, Näyma et sa mère récupéraient lentement de leur dernier combat contre les terrannides. La mère et la fille avaient tout d emême put tuer trois deleur adversaires, mais la chef du quatuor, Glaive, à pu s'échapper. Toutefois ce succès ne fût pas sans peine. En effet, Näyma avait reçue un nombre incalculable de blessures qui l'aurait sans doute tuer si la haute résistance hérité de son héritage saïyan-terranne ne l'avait pas préservée. Quant à sa mère c'était pire encore, sa collonne vertébrale avait été brisé et les dommages qu'elle avait reçu l'avait plongée dans un coma léger.
Une fois revenue à elle, Näyma demanda à S.O.L.V.E, accompagnée de la nouvelle Légion de la Justice, si il y aurait possibilité que sa mère revienne à elle et remarche.
-Concernant sa collonne vertébrale, ne t'inquiètes pas, j'ai bien assez de connaissance pour le lui ressoudé, même si ça prendre un peu de temps. Par contre pour son coma, cela ne dépendra que d'elle. J'espère qu'elle se réveillera avant que l'empire terranide ne nous ataque. Mais si les informations que tamère m'a donné son exact alors ils prendront du temps pour se remettre de la déconvenue d’avoir ^perdu trois dès leurs.
Pas aussi soulagée qu'elle ne l'aurait espéré, Näyma avisa sa mère endormie avec appréhension. Aussi sombre que fût le passé de sa mère, ellle ne voulait pas que les quelques semaines qu’elle est passé avec elle sur Yardrat soient les dernières.
-Pour l’instantet remet-toi bien de tes blessures, Naÿma. Il sepeut que l’on ait besoin de toi pour sécuriseret consolider la Galaxie avant la venue des terranides…
…Arrivant en grande trombe, Naÿma défonça la ernière porte de la base secrête de son allié, enfin, c’est ce qu’elle avait supposé jusqu’alors. Ne pouvant plus se retenir, Indestructible laissa sa transformation s’activer d’elle-même tandis que ses yeux émeraudes darsaient le saïyan juché calmement devant la grande vitrine de sa base secrête donnant sur les montagne enneigé du Sud de Yahsaï. Une fois que la super héroïne s’arrêta à cinq mètres de sa personne, le super saïyan légendaire dénia retourner son 2m20 de muscle surpuissant. Tandis que son aura, de la même couleur verdâtre que ses cheveux, dansait langoureusement à la surface de sa peau, il répondit au regard furibond de la métisse-terranide par une expression aussi neutre que le blanc de ses yeux. Même si l’on pouvait déseulé un soupçon de contrariété.
-T’ES MALADE MA PAROLE ?!! Tu étais sensé nous aider à combattre les terranides !
-Et c’est ce que j’ai fais. Enfin, c’est ce que j’étais sensé faire, jusqu’à ce que toi et tes amis n’interveniez.
-En transformant les saïyans en ses répliques démentes de toi-même ?!!
-Faire évoluer notre peuple à une étape supérieur était la clé. Les terranides auraient été submergé par le nombre, la guerre se seraient finis avant même d’avoir commencé.
-Et la moitié de la galaxie aurait été mis à feux et à sang par tes monstres ! Wow, super comme plan !!
-Ton petit esprit étriqué ne peut de toute évidence pas comprendre, que pour remporter de grandes victoire de grands sacrifices sont quelquefois nécessaires.
-Si par « grand sacrifice » cela signifie rendre mon peuple fou à lier, et condamné des billions d’innocents à une mort certaine. Effectivement je ne peux pas comprendre !
-Pauvre idiote. A terme la santé mentale de notre peuple se serait stabilisé, et nous aurions finis par prendre la place qui nous revient dans la galaxie. C’est-à-dire tout droit au sommet. Mais tout est tombé à l’eau à cause de tes scrupules pathétiques.
Le super saïyan millénaire décroisa ses bras et s’avança d’un pas lent mais assurée vers son ancienne alliée désormais ennemie.
-Tant pis, je trouverais bien un autre moyen pour porter notre race au sommet. Mais avant il me faut me débarasser de tout obstacle sur mon chemin.
-Vraiment, comment j’ai pu faire confiance à un malade mégalomaniaque de ton espèce. J’aurais dût écouté les autres plus tôt. Mais cette fois, tout va prendre fin aujourd’hui.
-Oh que non, « Indestructible ». La seule fin qui va arriver aujourd’hui c’est la tienne.
-Tu m’ôte les mots de la bouche, raté millénaire.
D’une impulsion hypersonique, les deux saïyans cognèrent leurs coude respectif avec une violence inuouï, faisant exploser la base secrète du guerrier légendaire…
….Jouant de la force de ses jamabes, Indestructible souleva un bloc de plusieurs centaines de tonnes. Sans trop de surprises, la fille de Kakarotto révéla trois nouveaux cadavres, parmis les milliers d’autres.La terranide posa prestement l’énorme bloc à côté et s’éloigna pour laisser faire les secours qui l’avisèrent d’un œil méfiant avant de détourner le regard pour s’occuper des cadavres. Feignant n’avoir rien remarquer, la fille de la Protectrice s’accoda une petite paue afin de se remettre les idées en place et se contenta de regarder l’avancement de l’opération. Se prétant mutuellement main forte, les membres de la Légion,d’autres équipes de super héros et les forces de l’ordre tentaient déblayaient les ruines de la principale ville de Luxerra. Celle-ci ayant suvbit l’attaque d’un groupe de jumelles maléfique d’Indestructible quelques jours plus tôt. Heureusements elles ont été toutes tuée ou exilés dans une autre dimension à l’issue de la bataille, et le principal responsable de ce désastre, un puissant criminel Vargas ayant la particularité d’être l’un des pires ennemis d’Indestructible, avait été éliminé par Coola, le remplaçant yallabatanga d’Ndobin.
Si la victoire d’aujourd’hui était un bonsignze concernant la bataille à venir contre l’Empire terranide, les pertes avaient été suvbtantiel, et l’image, ainsi que le moral, d’Indestructible avait été fortement terni. En somme, un terrible évènement qui avait ^placé la Fédération en état de faiblesse pour la guerre fatidique à venir. Si l’Empire terranide frappait dans les semaine sà venir, cela serait extrêment préoccupant…
… Fraîchement arrivée sur les ruines de la ville de Magret, Indestructible s’assura d’abord que tous les membres de l’équipe de super saïyans avaient été évacué avant de lever la tête pour aviser le responsable de ce massacre. Un terranide chauve, plutôt costaud, ayant la particularité d’avoir trois yeux et habillé del’ahbituel tenue blanche et grise de son peuple. Un sourire narquoi et sanguinaire aux lèvres, ce dernier avait laissé tous le temps à ses anciens adversaires de filer avec leur blesés comme si il était sûr qu’ils ne lui posseront plus le plus petit problème. Si Naÿma en croyait son aura, il avait parfaitement de quoi être tranquille. Ce type était du même calibre que sa mère. Pas étonnant qu’il est étallé une bonne vingtaine de super saïyans comme un rien. Cela serait loin d’être facile, surtout qu ?e pour l’instant ? elle était seule sur le coup. Les autres membres de la Légion étant occupé autre part ou toujours en convalescence. Ignorant la goutte de sueur perlant sur sa tempe, Indestructible darda son adversaire d’un œil hostile.
-T’es qui toi ? Et t’es venue faire quoi sur ma planète ?
-Hé, hé, hé ! Tu peux m’appeler Cimeterre. J’ai été envoyé sur cette planète Yahsaï par le puissant Empire Terranide afin d’en prendre possesion, et ce qu’elqu’en soit le prix. Tu peux essayer de m’en empêcher, mais ce sera à tes risques et péril. Enfin je dis ça, mais on m’a aussi envoyé pour te tuer toi, et aussi ta Traitresse de mère si l’envie l’en prenait de s’amener ici.
-Ah ouais ? Eh bien mon gars…
La métisse se transofrma en super saïyan tout en se plaçant devant son adversaire.
-… tu verras que ce sera moins facile à dore qu’a faire.
Le sourire du conquérant terranide se mua en rictus bestial.
-Dans ce cas, amène toi.
A ta guise, répondit Indestructible tout en logeant son poing sur la joue du terranide…
… En plein roulée boulé aérien, Indestructible traversa un nouvelle immeuble à grand ff=racas. La métisse parcourue bien malgré elle plusieurs centaines de kilomètres avant de trouver les ressources nécessaires pour se poser sur ses deux pieds, traçant tout de même un silon de plusieurs dizaines de mètres avant de s’arrêter complètement.
Tourt en reprenant sa joue, la super saïyanne se massa l’œil qui avait gagné un formidable coquard. Une nouvelle blessure parmis beaucoup d’autre qu’elle avait accumulé depuis le début du duel. Les sens de la fille de la Protectrice se mirent aussitôt en alerte. Un danger imminent s’approchait au loin çà grande vitesse.
Naÿma se décalla aussitôt, évitant in extremis la charge de Cimeterre qui l’avait suivit au vol. Le triclople terranide enchaîna par un nouveau coup de poing, bien vite attrapé par la paume de la métisse. Celle-ci contre-attaqua aussitôt avec un direct, aussitôt capté par le conquérant terranide. Pas décourager pour autant, Indestructible fît glisser son adversaire quelques mètres en arrière avant qu’il n’arrête sa progression par la force de sa jambe tendue. Se neutralisant l’un l’autre, les deux combatants continuèrent à mobiliser leurs ressources pour faire pencher la balance en leur faveur
-Tu sais, quand notre Chef Suprême m’a envoyé sur cette planète, il m’a spécifiquement ordonné de te laisser le bénéfice du doute et d’attendre ta réaction avant de te démolir.
Comme un même saïyan, Indestructible et Cimeterre mobilisèrent leur forces et posèrent leur pied droit un peu plus en avant. Leur position en fût stabilisé, mais l’onde de choc qu’ils produite par leur mouvement simultanée fragilisa le terrain montagneux qui commençait à se craqueler sous leur bottes.
-Il faut dire que tu lui as fait une forte impression lorsque tu t’es fritté avec ta mère contre Glaive et son groupe d’assaut. Il voulait donc te proposer une place de choix dan sl’Empire.
Sous l’effet de la résistance des forces des deux combattants, le sol rocailleux se disloquait à vue d’œil. Les enfonçant davantage au sol.
- Mais non ! Toi… toi, ila fallu que tu fasses ta maligne et que tu t’oposses à moi. Mias je dois te remercier Näyma… Non, Indestructible. Toi et ta Traitresse de mère. D'habitude je dois prendre tant de pincette lors des missions : "Assasine seulement cette personne" ou "Netouche pas aux laboratoire", etc… Mais en refusant cette chance qui t’étais offerte, tu m’as donné l’occasion de me lâcher complètement. Alors, du fond du cœur merci !
Cimeterre libéra son poing qu’il logea aussitôt sous le menton de la super saïyanne qui décola plusieurs dizaines de mètres en hauteur, crachant un filet de sang à l’impact…
…Serrant de toute ses forces le cou du guerrier terranide aux trois yeux, une Näyma érintée mais décidée regarda son adversaire se débattre désespéremment pour lui faire lâcher sa poigne.
-Alors, tu commences à manquer d'air pas vrai ?! Cria la métisse. Ne compte pas sûr moi pour lâcher, tu vas crever !
Voyant que sa mort prochaine était de plus en plus imminente, Cimeterre frappa de toute ses forces l’abdomen d'Indestructible qui ne pût s'empêcher de crier, sans pour autant lâcher sa prise. A la succesion de coup de poings suivit un vif tranchant de la main qui perfora perça le ventre de la super saïyanne.A l’inimaginable douleur, suivit un vomissement de la saïyan qui eut grande peine à supporter le flot de sang jailliosant de sa bouche.
Pensant avoir tuer son adversaire, le triclope se permit un sourire, mais remarqua que la poigne de son adversaire se faisait toujours plus pressante.
-M…Même si c… C'et la dernière chose que je fais, Je… lâche pas, bégaya Näyma à son adversaire dont le visage avait viré au bleu.
Vingt seconde durant le terrannide se débattit, toujours plus sauvagement à meusre que son visage virait au bleu. Vingt seconde durant Näyma retint sa prise, malgré lesvertiges et la douleur toujours plus incisives. Et à la vingt et unième le corps du triclope se raidit avant d ene plus bouger. Näyma tenu le cou de son adversaire dix secondes supplémentaire, avant de s'effondrer agonisante.
Tandis que des drônes de S.O.L.V.E venaient à sa rescousse, la métisse fît :
-Ai…Aidez-moi…
… Bandée des piedsà la tête, et ses blessures tout juste refermée, Naÿma écoutait de son lit d’hôpital, les rapports que lui contait le droïde de Solve. Apparemment, des armées inconnuscausait des troubles dans la Bordure Extérieur. Nulle doute que l’Empire Terranide passait désormais à l’action. Cela fait, l’intelligence séculaire l’informa des bonne snouvelles du jours. Leurs statuts de membres de la Légion aidant, Solve et l’Immortel avaient pu convaincre la plupart des gouvernements associés à la Fédération sur la menace concernant les terranides. Ils se joindront alors à l’effort de guerre. Il fallait dire que l’attaque de Cimeterre sur le monde mère des saïyans, réputés inviolable par le plus grand nombre, avait fait beaucoup de bruit et avaient finis par décidé les plus indécis.
Alors que Solve lui rendait compte de l’état des membres de la Légion, la Protectric, tout juste guérie, entra dans la pièce. Rasurée de voir sa fille en état de parler, elle se mît aussitôt à son chevet, attendant que Solve finisent puis quitte la pièce avant de commencer à parler.
-Alors ma fille, on dirait que nos rôles se sont inversé bien vite. Tu m’as l’air dans un bien bel état.
-Et ouais. Il faut dire que la brutasse trois yeux n’était pas allé de main morte.
Naÿma raconta rapidement cequ’elle se rappelait de son combat face à Cimeterre. A l’issue du récit, la Protectrice ne pût retenir un léger sourire de fierté.
-Et bien, t’as l’air contente que ta fille se soit prit une tolle.
-Non. Excuse moi, Naÿma, mais c’est juste que Cimeterre est considéré comme le deuxième meilleure guerrier de l’empire juste après notre Chef Suprême. Et, aussi déplacée que tu juge ma réaction, je ne peux m’empêcher d’être fière que tu l’ais vaincu au combat.
-Ne t’emballes pas. Il était plus fort que moi. Je l’ai eu grâce à l’intervention des autres et parcequ’il s’était retenue durant la majeure partie du combat. Je suis chanceuse d’être encore en vie.
-Peut-être, mais si j’en crois ce que les autres m’ont dis, c’est toi qui a fais le plus gros du boulot. Tu n’as pas déméritée ma fille. Et puis dans un combat à mort, il n’y a pas d’excuse qui tienne. Tu étais plus impliquée dans le combat, tandis que Cimeterre n’en avait été que spectateur. Tu as largement mérité cette victoire.
Même si elle pensait que sa mère exagérait, Naÿma, fût flatter par ses éloges. Ce fût pile à ce moment que la porte de la pièce coulissa de nouveau. Les deux terranides, surtout la mère, palirent lorsqu’ellels virent celui qui venait d’entrer dans la pièce. Kakarotto. Arborant dans un premier temps la même stupeur que les deux terranides, le visage du saïyan se mura en une expression imperceptible. Il se dirigea à côté du lit de sa fille ou il y déposa un petit panier à provision.
-Salut, terreur. Je te poses le goûter que ta sœur et moi t’avons confectionné. Etant donnés que l’onne savait pas si tu pouvais mâcher on t’as fait ta soupe préféré. Il y a aussi les friandises que t’adores, mais si tu peux pas manger, ne te forces pas.
-O… Ok p’pa. Merci à tous les deux d’y avoir penser.
La pièce retomba alors dans un silence pesant. De longues secondes durant Naÿma alterna lentement son regard de l’un à l’autre de ses parents qui étaient clairement mal à l’aise de cette situation. Finalement Kakarotto prit les devants.
-Tu sembles bien te porter, constata le saïyan d’une voix sèche qui lui ressemblait peu.
-Je… Merci, toi aussi.
-Sa va aller.
-Ka… Kakarotto, je… Naÿma et l’enregistrement de Solve ont sans doute d^^ut t’éclairer sur les propos que j’ai tenue à l’égard de notre famille, lors de notre… altercation. Laisse moi te dire que je n’y pensais pas un mot. Je voulais me convaincre que ce que je ressentais pour vous… pour toi, n’était qu’une affection passagère et triviale et que seul ma fierté de terranide importait. Mais au moment ou j’ai vu Naÿma en sang par ma faute, j’ai su que j’avais fait fausse route en me voilant la face et j’ai vu l’ampleur des conséquence qu’on engendrer mon manque de courage envers moi-même. Jamais plus je ne retournerais vers l’empire terranide.
- Après tout ce que tu nous as fait subir, comment suis-je censé croire tout cela ? Quelle preuve m’apporteras-tu ?
-… Je n’en ait sincèrement aucune. Tous ce que je peux t’assurer ce sont mes plus profonds regrets.
-Cela suffit peut-être à t’apporter ma compréhension, mais pas mon pardon.
Naÿma tourna son regard vers sa mère dont le regard ne quittait plus le sol. Jamais elle n’avait vu une telle morosité sur son visage.
-Je comprends.
Kakarotto resta là quelques secondes durant, puis accorda un bref au revoir à sa fille avant de se diriger vers la sortie de la chambre.
-Et comment va Yanma ?
Kakarotto interrompit ses pas, mais ne se retourna pas.
-Comment elle va ? Eh bien sa maman lui manque beaucoup et il ne se passe pas une journée sans qu’elle demande ou elle est partie et voudrait bien la revoir.
Naÿma fût mal à l’aise pour sa mère lorsqu’elle constata que l’expressiond e son visage se ternissait davantage. C’était comme-ci on lui enfonçait une nouvelle lame dans le cœur.
-Toutefois, elle tiens le coup. Elle sait contrôller ses « vizion tepmiques », sait faire sa première patisserie et est en bonne voie pour passer au troisième cycle, finit Kakarotto avant de quitter la pièce.
Malgré la douleur qui l’accable, un mince sourire avait tout de même fleurit sur le visage de la Protectrice.
-Maman, je…
-Non, ma fille. J’ai mérité ce que ton père m’as fait subir. En vérité, je mérite infiniment plus.
…Arrivées à la Tour de Veille, via le portail de la cabane de sa maison, Naÿma et Dachia se dépêchaient de traverser les couloirs de la base de la Légion.
-Tu sais Dach, tu n’as vraiment pas à le faire. Là ce sera les interventions bateau. Là ce sera du gros. Du très très gros. Je préfère te le dire carrément¸ même un super saïyan pourra se faire tuer.
-Et tu es une super saïyanne, Naï. C’est pour ça que je suis venue, pour surveiller tes arrières. De toute façon, que je viennes ou pas, le problème à de grandes chances de venir sur Yahsaï tôt ou tard. Autant essayer d’éteindre l’incendie avant qu’il ne touche la forêt.
-Justement, si ils viennent sur Yahsaï, les nôteres auront besoins de toutes l’aide possible pour repousser une invasion, ou si un autre du style Cimeterre venait. Et tu es l’une des meilleures.
-Ne sous-estiment les autres super, Naÿ. Depuis l’attaque de Cimeterres, ils savent qu’ils ne sont plus aussi intouchables qu’avant. Ils sont maintenant d’autant plus redoutables. Même si les terranides réattaquaient, ils auront bien plus d emal à s’imposer.
-J’espère que tu dis vrai. Mais et toi ? Tu penses que tu pourras tenir le coups ?
-Hé, hé, hé ! Tu seras surprise. J’ai fais quelques progrès vois-tu. J’suis impatiente de te le montrer, en même temps que mon poing, pour les terranides bien entendu.
-Des progrès ? De quelle sorte ?
-Tu le découvrira en temps voulu.
-Cachotière và, reprocha Naÿma qui se hâta d’enfiler le masque de son costume de combat lorsqu’elles arrivèrent près de la porte coulissante.
Les deux amis arrivèrent enfin dans la salle principale de la base. S’y trouvaient un nombre depersonne bien plus élevés que la moyenne. En plus de l’ensemble des membres de la Légion, il y avait en plus de sofficiers d’élites de la Fédérations de puissants combattants de diverses horizons. Namek, spartans, yiti, saïyans, nograds, iruliens, éloïtes, etc… Tous se tenaient devant une esplanade pour l’instant vide. La Protectrice fît signe à sa fille et à Dachia qui prirent place à se scôtés.
Maintenant que l’assemblée était au grand complet, l’Immortel monta sur l’esplanade et commença son discour.
-Guerriers et guerrières, je ne vais pas aller par quatre chemins. Bienvenue à ce premier conseil pour notre guerre à venir contre l’Empire Terranide…
… Indestructible esquiva les tirs succesifs, et, à l’aide de sa vision thermique, toucha succesivement la bonne vingtaine d’aéronef ennemi à ses trousses. Elle se tourna et fonça succesivement vers une trentaine d’autres qui furent littéralement pulvérisés à son passage. Cela permis à l’escadron d’aéronef de la Fédération de passer. Il fallait à tout prix qu’ils fassent céder ce bouclier d’énergie, sinon les saïyens ne pourront jamais pénétrer dans la base ennemie. La super héroïne l’aurait bien fait elle-même, mais si elle s’en référait aux rapports de Solve, ce truc était inensibles aux attaques physique et elle absorbaient les attaques d’énergie vitale. Ne restait plus qu’à espéré que la bombe IEM fabriqués par les éloïtes marche.
Les sens d’Indestructible s’agitèrent. Elle esquiva la première charge, mais dût seprotéger pour encaisser la deuxième qui la repoussa sur quelques mètres. Stabilisée, elle avisa ses adversaires du moment. Deux terranides. Tous les deux de sombres épidermes, la première avait de longues dreadlocks, et le second était coiffé de tresse lui arrivant à l’arrièr edu cou. Sans tarder, Naÿma se transforma en super guerrière.
-Allons-y Ikem, fît la terranide aux longues nattes.
-Oui ma sœur. Sus à la fille de la Traitresse !
Le duo commença à foncer vers la super saïyanne. Un duo qui devînt aussitôt un monome, lorsque le terranide dénommée Ikem fût repoussé un peu plus lois par un noveau venu. Ou plutôt une nouvelle venue qui lui fît fasse.
-Dachia ! Cria Naÿma, inquiète pour son amie malgré sa transformation.
-T’inquiète Naÿ…
La membre du Corps de sSUper saïyans se concentra, et une nouvelle aura parcourue d’éclair l’entoura.
-… J’ai de quoi balancer ! Occupe toi de l’autres aux grand enattes !
-Ok, mais fais gaf… Oupslà !
La fille de Protectrice esquiva in extremis le direct de la guerrière terranide. Elle contre-attaqua aussitôt, mais son coup fût parer par l’avant-bras de son adversaire.
-J’imagine que tu allais dire à ton amie de faire attention, Indestructible, ou devrais-je dire, Naÿma Tabemo. Un judicieux conseil que tu devrais suivre toi-même.
-Sympa de ta part. A qui ai-je l’honneur ?
-Depuis d elongue années, on me nomme Coutelas au sein de la grande armée terranide. Mais on m’a jadis appelé par le nom que mon donné mes géniteurs, Tanisha.
-Tiens, je pensais que vous étiez plutôt discret concernant vos noms, vous les terranides.
-Parceque tu ne t’es confronté jusque là qu’au Quatre Fer. L’élite de l’armée terranide, dont je fait aprtie. Le nom que l’on a reçu à notr enaissance nous ait retirer au profit de notre titre que l’on ne dévoile qu’à cuex que l’on juge digne. Ce qui est ton cas, puisque tu as succesivement survécu à Katana, et à Glaive et que tu as même tuée Cimeterre. Considère le fait de connaître mon nom comme mon ultime cadeau avant de te tuer.
-Très aimable de ta part, mais je compte bien rentrer pour bouffer ce soir.
Naÿma repoussa le bras de Tanisha et partie dans un intense échange d ecoups, pendant que Dachia et Ikem se confrontaient du regard.
-Même si c’est par surprise, tu m’as tout de même repousser de uelques pas, et tu semble beaucoup plus forte que tes congénères ; saïyanne. Dis moi ton nom.
-Et pourquoi je te le donnerais ? Demanda la super saïyanne de niveau 2.
-Pour m’en rappeller afin que ta mémoire soi… Outch !
Le terranide imprudent fût forcer de reculer après avoir encaisser un direct de la super guerrière. Il parvînt tout d emême à rattrapper de peu en captant son poing, puis en lançant le sien. La super saïyanne capta à son tour le poing de son ennemi à qui elle accorda un sourire malicieux.
-Désolé, beau gosse. Mais tu étais plein d’ouvertures . ‘Pas pût m’en empêcher.
-Chier ! Espèce de sale traitresse.
-A la guerre, puisque s’en est une, tout est permis. Au fait, mon nom à moi c’est Dachia, beau gosse.
La super saïyane ponctua sa présentation par un clin d’œil qui gêna le terranide au plus haut point, même si il se reprit bien vite.
-Et le mien est Ikem. Prépares-toi à ton trépas Dachia, la super saïyanne.
L’amie de Naÿma se dégagea assez vite pour esquiver le poing vengeur du terranide avant de repartir à l’assaut. Un grondement semblable à la foudre tonna dans les cieuxx au moment ou leurs genoux se percutèrent.
-Enchantée. Mais cela ne sera pas chose facile, Ikem le terranide…
… - A l’assaut ! Cria La Protectrice au troupe de la Fédération, tout en se dirigeant vers la base fortifié d’oolienne, désormais vulnérable.
Suivant sa mère et épaulé par des milliers de combattants armée propulsé par jet-pack, Naÿma se jeta vers les méchas des alliées des terranides…
… Un coup de vission thermique bien placé permit à Naÿma de découper les jambes du dernier quadripode ennemis. Elle se tourna vers ses alliées.
-Allez Alathorn ! La porte nord est sécurisée, vous pouvez y aller !
L’irulien acquiesça avant d’ordonner à ses troupes de le suivre. Il ss’étaient tout justes mis à hauteur d’Indestructible, lorsqu’une silhouette leur barra la route. Glaive
-Hèp pèp pèp ! Personne n’ira nulle part, assura la terranide aux cheveux bleus.
Des troupes extragalactique vêtus chacun d’une flamboyante armure bleu et d’une cape rouge arrivèrent hyper rapidement derrière la terranide. Leurs armes à lame plasma et leur redoutables formation intimida assez les troupes de la Fédération pour les obliger à s’arrêter. Indestuctible grimaça. Même si elle pouvait compter sur la force d’Alathorn, Glaive avait apporter avec elles ces fameux soldats génétiquements par les terranides qui leur donnait du fil à retordre depuis plusieurs mois. La guerrière d’élite terranide avait de tout évidence l’avantage. La destruction de la base semblait des plus compromises
-Dommage pour toi, fille de la Traitresse, tu y étais presque. Malheureusement tes exploits, qui n’ont durés que trop longtemps, s’arrêtent là.
D’une brêve concentration Naÿma activa sa transformation en super saïyan.
-Qu’est ce qu’il y a, Glaive ? Comme tu n’as pas pu t’occuepr de ma mère, tu te rabats sur moi ? Je me demande si je dois me sentir flatté, ou si je dois te prendre en pitié.
-Fanfaronne tant que tu le peux, petite conne. Tu n’en aura plus l’occasion lorsque je t’aurais arraché la tête pour la présenter à ta pute de génitrice.
La terranide claqua des doigts, et les guerriers modifiés entourèrent la petite troupe républicaine qui se préparaient à les recevoir. Alathorn se transforma à son tour, faisant passé sa peau du bleu nuit à vert pâle, avant de se tourner vers la super saïyanne.
-Tu te crois capable de pouvoir vaincre la terranide ? chuchota le guerrier d’élite irulien
-Sa va être serré, très serré. Mais je crois que oui, confirma Indestructible.
-Bien, focalise toi uniquement sur elle et laisse-moi faire.
-Tu as un plan ?
-Possible.
-Un plan normal, ou un plan à la Alathorn ?
-Devine.
-Merde, on est vraiment mal.
-Si tu as mieux à proposer je tout ouïe.
-Non, et c’est pour ça que l’on est vraiment mal.
-Je ne te le fais pas dire.
Sûre et certaine de sa victoire, Glaive finis de décroiser les bras avant de crier :
-TUEZ-LES !!...
…. Malgré son costume de combat largement abimé, son masque à moitié arraché, et les hématomes sur son visages, Indestructible maintenait fermement à terre l’officier terranide qui n’était pas en meilleur état qu’elle. Face contre terre, le guerrier extragalactique exténué mobilisa les quelques forces qu’il lui restait pour darder la super saïyanne du regard.
-Sales batarde ! Profites bien de ta victoire car l’Empire vainc… Outch !
Indestructible livra un second coup de poing sur la tempe du guerrier terranide pour être bien sûr qu’il soit assomé, avant de le menotté.
-Mais oui, c’est ça, c’est ça ! A chaque fois que l’on vous bottes les fesses c »’est toujours la même rengaine, se plaignit Naÿma.
Son ennemi entravé sur ses épaules, la super guerrière se dirigea vers la base ennemi en ruine ou des centaines de vaisseaux républicains se relayait pour apporter provision et matériels à leur troupes et d’emmener en prison les soldats ennemis qui se sont rendus, ou les cadavres de leurs acamps qui pouvaient encore l’être. Naÿma soupira. Une grande victoire a été remporté, mais comme à l’acoutumée, le prix avait encore été élevé pour pour prendre la planètedes mains des terranides. Et maintenant, la question que se posait Naÿma était combien de temps ce monde allait resté sous le jiron républicaint ?
Car pour deux mondes prispar un camps, trois autres étaient repris par l’autre et vice versa. La guerre était dans une impasse, et si ils ne trouvaient pas une approche décisive, l’horreur était bien partis pour s’éterniser…
… Une fois rentrée dans le bureau du général de la Fédération, Indestructible et la Protectrice prirent leur place sur la rangée de guerrier faisant face à l’officier de haut rang. La métisse jeta un œil sur ceux qui ont été convoqué pour cette réunion secrête. S’y trouvaient l’Immortel, Dachia, Althorn, Armement, et d’autres guerriers plutôt balaise qu’elles avaent de temps à autres vu durans les réunions de guerre. On pouvait en gros dire que, à quelques absents et blessés près, les gros calibres de l’armée fédérale étaient tous réunis. Ce qui était plutôt rare. L’opération à venir devrait sans doutes être particulièrement importante.
-Merci à tous d’être venu. Je vous ait tous réunis ici, parce que les troupes tsufuls et saïyans sur la Bordure nous ont annoncé leur prises de la Passe Oolienne. Nous avons donc enfin réussi à endigué les chemins d’approvissionement d’un peu plus de 60% des mondes ennemis. Les terranides n’auront plus le choix, et seront obligé de rappratrier le maximum de leur troupes vers le cœur de leur territoires. L’assaut final n’est plus très loin.
Les combattants se regardèrent entre eux. Partageant leurs étonnements, leurs excitations, mais aussi leur anxiété. Cela faisait tellement longtemps qu’ils avaient attendu ce jours qu’ils n’osaient y croire.
Mais ne vous emballer pas. Même si nous avons pu les repousser, les terranides ont encore bien assez de forces pour nous poser des soucis. Nous devons nous assurer qu’ils soient les plus faibles que possible lors de notre attaque finale. C’est pour cela que je vais vous envoyer par groupe vers Stygis, Oozla, Kanasia, Eychield et Ogani. Les troupes ennemis dans ces mondes sont en train de préparer leurs évacuations vers le systèmes principale de l’empire. Votre mission sera de les en empêcher. Si ce que nos agents nous ont dis est bon, tous les guerriers terranides sont rentrées au bercail ou sont en passe de l’être. Vous ne devriez avoir aucun mal à empêcher leur troupes de s’enfuir vers leur système principale….
… -RAAAAAAAAH !! Cria la Protectrice en balançant la boule de cristal qui se brisa en mille morceau à l’impact de la roche.
La guerrière terranide se tînt rageusement la tête tout en tournant en rond dans l’espace principale de la grotte. Trop choquée pour dire quoi que ce soit, Naÿma ne pipa mot. Elle se contenta de regaerder impuisante sa mère marcher dans tous les sens et d’éclater de temps à autres la roche sous le coup de la colère. La métisse se tourna vers l’oracle kanasien qui lui accorda son impression le plus navré avant de baisser tristement la tête, devant ce qu’il considérait sûrement comme l’un des plus gros gâchis de l’histoire. Gâchis, s’était exactement le terme qui venait encore et toujours dans l’esprit de Naÿma. Avec « Trahison » et « Duperie », il résumait bien ce que la Protectrice et sa fille venait de voir dans l’outil de voyance de l’oracle kanasien.
En effet, si l’espèce terranide ne se résumait maintenant plus qu’à quelques dizaines de membres, depuis un peu plus de deux siècles, ce n’était pas entièrement dût à leurs ennemis de leur galaxie d’origine, mais au machination du leader actuel de l’empire, le Chef Suprême. Jadis en position de faiblesse dans l’échiquier politiquede l’ancien emlpire terranide, ce dernier avait pactisé avec des ennemis de l’empire afin de fabriquer un virus mortel pour les terranides afin d’éliminer ses opposants et de créer une situation assez catastrophique pour qu’ils prennet les renne de l’empire. Un plan qui s’est révélé dévastateur. Car si il est effectivement devenu le Chef Suprême de l’empire, suite à la catastrophe, son ambition a presque exterminé son propre peuple qui est passé de quelques millions de membres à moins d’une centaine, suite au ravages du virus et aux nombreuses attaques ennemis des subits par les terranides affaiblit par la maladie. Une véritables hécatombes qui a sonné le glas de l’Ancienne Empire Terranide.
-FAIS CHIER ! SALE ENCULE ! C’EST TOI QUI T’ES FOUTU DE NOUS ET TU OSES DIRE QUE C’EST MOI LA TRAÎTRESSE !! ET DIRE QUE JE ME SUIS PROSTERNE PENDANT DEUX SIECLES, DEVANT TOI, RAAAAAAAHHH !!!
Tétannisser, Naÿma ne savait vraiment pas que faire. Elle avais déjà vu sa mère en colère, dégoutté, indigné, et quelquefois un peu cruelle, mais jamais une telle rancœur, ni un un tel courroux n’était jusqu’alors apparut sur son visage. Mais comment pourrait-il être autrement ? La Protectrice avait confié à sa fille que même si elle savait que ses congénères étaient des monstres sans pitié et insensibles et qu’elles avaient des regrets vis-à-vis de ça, elle les considéraient tout de même comme des guerriers fiers avec un certains codes de l’étiques, brutales et sans cœurs, mais un code de l’étique tout de même.. Le Chef Suprême, davantage que quiconque, représentait cet idéal de combattant pour la mère de Naÿma qui l’avait idéalisé, quand bien même ils étaient dans des camps opposés. Malheureusement cet image de combattant acharné et désinteressé à la cause terranide, n’était qu’une façade pour cacher sa nature d’obscure intrigant mégalomaniaque.
Ma… Maman, je suis désolé. Je sais que les terranides sont ce qu’ils sont et qu’ils ont fait pas mal de truc à gerber, mais ce que ce type vous a fait à toi et aux autres… son propre peuple, c’est…
La Protectrice leva la paume de sa main pour indiquer à sa fille de ne pas en dire plus.
-Non, ne sois pasdésolé pour nous ma fille ! Nous n’avons mérité que ce qui nous est arrivés. Victime de notre société et de nos valeurs qui n’a fait que cultivé notre individualisme et notre bellisisme plus que de raison. Le Chef Su… enfin lui était juste l’incarnation même de ces maux qui ont finis par faire tomber notre peuple dans l’abime. Cela nous pendait au nez depuis plusieurs siècles déjà.
La Protectrice pris le temps de s’asseoir sur un coussin avant de reprendre son amère constat :
-Quel ironie. Les fiers et puissants terranides se battent au nom d’un d’un honneur illusoire dicté par un menteur qui provoquent des souffrances bien réels à tout le monde. Si ce n’est pas malheureux, ça. Et vous savez c’est quoi le pire ? De savoir que nous avons peut-être la clé pour une résolution pacifique du conflit mais que nous ne pourrons convaincre personne. Que valent en effet, la parole d’une traitresse, d’une terranide hybride et d’un étranger, face à celui du chef respecté de tous ?
Tout comme l’oracle kanasian, Naÿma ne dit rien. Il était inutile de donner une réponse si évidente et désagréable. Ne restait plus qu’à se préparer pour une bataille qui, ils l’espéraient, serait le dernier de cet énorme fiasco que fût cette guerre.
… Côte à côte, Näyma et sa mère faisait face à l'empereur terran, un homme à la peau noire coiffé de tresse et portant un bouc. Le combat était dur pour les deux parties qui se rendaient coup pour coup.
-Alors Traitresse, fît l'empereur tout en reprenant son souffle. Tu as enfin décidé de faire face à ton destin et d emourir aux côtés de ces piètres créartures ?
-Oui, j'ai décidé de faire face à mon destin et d'arrêter ta folie ! Je vois maintenant comme j'ai eu tord de suivre tes DECISIONS ! Toi qui a décimé notre peuple et qui a provoqué cetteguerre intergalactique destructrice ! Bon sang, regarde un peu ce que tu as fais, tu es sur le point de nous mener à l'extinction.
-Faux !
Le leader terranide fonça vers le duo avec lequel il engagea un brêve combat avant de bloquer leur poing respectif. Mère et fille tentèrent bien de s’extirper, mais la poigne de leur adversaire était trop forte.
-Tout ce que j’ai fais fût pour ammener nous vers notre salut et vers l’accomplissement de notre plein potentiel ! Si la moitié d’entre nous doit mourir pour que l’autre partie prospère, et bien ainsi soit-il.
-Esoèce de lmaniaque….
…Les jambes brisés, NÂyma ne pût que regarder impuissante l'empereur terranide s'apprêter à donner un dernier coup de poing fatale à sa mère qui se débattait faiblement, en vain. Se sachant hors combat, la Protectrice demanda une dernière volonté à son ancien leader.
-M… Merde. Tu as gagné. M… Mais au moins, au nom de notre race. Au nom de la dernière volonté d’une futur condamnée, dis moi si ce dont je t’accuses est vrai. Je veux partir en ayant le cœur net.
-Si il n’y a que ça pour te fair eplaisir. Non, tu n’as mentit, c’est bien moi qui ait fait un marché avec nos ennemis pour qu’ils fabriquent le virus qui a causé la chute d el’Ancien Empire terranide.
-P… Pourquoi ?
-Parce que notre empire, en pleine expansion, était gorgé par des faibles et autres séparatistes qui l’auraient lentement mais surement clairsemé, et on ce serait tout droit venu à une guerre civile qui n’aurait fait que profité aux cloportes inférieurs. Il fallait que j’agisse. Il fallait que je devienne le nouveau leader de notre empire, aussi diminué soit-il.
-Au risque de nous mener à deux doigts d el’extinction ?
-Je te l’ai déjà dis. Si je devais mener la moitié d’entre nous dans la tombe pour l’autre partie prospèrent je le ferais sans hésiter, et je l’ai déjà fais avec le virus. Même si je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi efficace. Mais en fin de compte cela m’a bien arrangé. Moins il y avait de terranide survivant, moins j’aurais eut de problème à convaincre tout le monde. Bien volonté accordée. Prépares-toi maintenant à rencontrer ton destin.
Alors que l'empereur s'apprêtait à tuer la Protectrice, son poing fût retenu. Agacé, l'homme à la peau sombre regarda derrière lui pour voir la trentaine de terranides survivants et les forces ennemies rassemblés dans la ruines qu'était maintenant la salle du trône. D'ailleurs celui qui a retenu son bras était sa fidèle lieutenante Tanisha.
-Tanisha, qu'est-ce que ça veut di… OUTCH !
D'un coup d epoing l'officier terranne envoya son empereur boulé d'un coup de poing et l'avisa avec colère.
-Ainsi, la grande catastrophe vient de toi. Nous n’avons été pour toi que des jouets pour tes bases ambitions politiques. Je… je ne te pardonnerais jamais !
Suivis par son frère Ikem, Glaive et tous ces camarades terranides, tous plus encolère les uns que le sautres, Tanisha s'approcha lentement en direction de l'empereur déchu qui se demanda comment ses sujets avaient pu connaître la vérité. Un coup d'œil à la Protectrice lui apporta la réponse. Une réponse sous forme d'oreillette que la mère de Naÿma brandissait fièrement.
-Sois maudite ! Cria l'empereur alors que les derniers survivants terrans se ruèrent désormais vers lui pour réclamer leur dût…
… Maintenant en face de son peuple qui l'avait élu représentantes des terranides auprès de la Fédération, l'ex-Traitresse terranne avait mobilisé tout son courage pour parler aux membre restant et leur assurer qu'elle fera tout pour assurer un avenir meilleur à son peuple, aux côté de son peuple d'adoption les saïyens.
Tout en écoutant le discours de sa mère, Näyma était un peu mal à l'aise de se trouver aux côté des guerriers terranes qui, il n'y a pas si longtemps, n'auraient pas hésité à la tuer.
-C'est vraiment trop bizarre, marmonna la fille de Kakarotto à Dachia qui tourna un peu trop rapidement son regard vers elle.
-Hein ? Ah oui, oui très bizarre. Oui, vraiment très bizarre.
La métisse, plissa les yeux peu convaincue. Elle tourna son regard vers l’endroit ou son amie regardait pour voir Ikem détourné précipitamment son regard vers la balustrade, l’air gêné. Elle avisa sa meilleure amie dont le sjoue avaient légèrement rossis d’embaras. Naÿma en fût scandalisée.
-Dachia, ne me dis pas que… Depuis quand ?
-Eh bien, deux semaine après la fin des hostilités, l’informa la membre du corps des super saïyans à moitié gênés, moitié soulagée de l’avoir dis. Je devais faire une mission sur Oozla, et lui il était avec un groupe des siens pour la reconstruction de la capitale planétaire. On s’est croisés, je l’ai invité à boire un verre. On a parlé et tout, et voilà, quoi.
-Mais enfin, Dachia, vous avez faillis vous tuez mutuellement au moins scinq fois durant la guerre.
-Non, sept fois. On se plait à compter la bataille d’Eridian.
-Oui, oui si tu veux. Mais ce que je veux te dire c’est que c’est pas saint. Tu…
-Oh ça va miss saint ni touche. De un c’étais la guerre, cela n’avait rien de personnel. De deux, j’invites qui je veux dans ma piole et dans mon pieux. De trois, comptes tenue des circonstances, ils ont droit à une seconde chance non. Et de quatre, chez nous on dis que l’on ne connait jamais mieux qu’une personne qu’après l’avoir affronté .Et à force, on s’est vachement bien connu.
-Bon ça va, ça va. J’ai compris. En tout cas, cela explique pourquoi personnes n’a pu te joindre pendant une semaine. Vous étiez o,u avec ton jule ?
-Sur Bégerian.
-Begirian ? Mais il n’y a que dalle à part une forêt sauvage vierge.
-Ouais, idéale pour un combat incognito.
-Un combat ? Mais qu’est-ce que ça à avoir avec un rendez vous romantique
-Mais tout ma grande, tout, fît la saïyanne avec contemplation . A vraie dire tout à vraiment commencé comme ça. On s’était donné rendez vous pour faire un petit match pour décider qui serait le plus fort entre nous deux. On s’est battu, comme pas permis, mais à un moment il était dos contre terre, torse nu, moi assise sur lui. Nos combinaisons déchiré de partout. On se regarde, nos hormones font un bond en avant et après on a joué, à la version sauvage, de « La courageuse héroïne qui prend les gênes du méchant envahissuer pour le bien de la Glaxie». Je peux te dire qu’en super saïyanne c’est…
D’un geste, Naÿma intima à s ameilleur amie de s’arrêter. L’air consterné de la métisse s’était changé en un air de dégout.
-S’il te plaît arrête. Je penses que j’ai trop entendu…
… Anxieuses, Näyma et Yânma regardaient en cachette les retrouvailles de leur parents, qui étaient plutôt mal partis, car même si leur père crevait d'envie de serrer la terranne dans ses bras, il ne pouvait pardonner facilement ses mensonges. Et ça, les trois femmes, la Protectrice la première, ne pouvaient que comprendre ça.
-… Kakarotto, je sais que je t'ai fais beaucoup de peine, et que je ne pourrais jamaisvraiment réparé le tord que j'ai fait, mais comprends moi, je ne savais plus quoi faire. J'étais tiraillés entre l'amour que je ressentait pour vous et le devoir que je croyais être juste pour le salut de mon peuple. S'il te plaît Kakarotto, essaie de me comprendre.
Le visage de Kakarotto, se détendit quelque peu c'est sous l'emprise d'une terrible envie qu'il approcha lentement se smains de celles d esa femme. Mais il l’éloigna de suite, tout en l’avisant avec un regard emplit de reproches qu’ils ne pouvaient plus endigué.
- NON ! Cria Kakarotto tout en retirant ses mains qu'il serra. Le long de son corps. Tu as foutu en l'air tout ce que l'on a construit ! Tu nous a abandonnée pendant je ne sais combien de temps tes filles et moi au lieu de venir tout simplement dire la vérité quand tu as vu que tu es allés trop loin ! Tu… Tu…
Les mots se turent dans la bouche de Kakarotto qui prit un air navré. Il comprenait très bien les raisons de sa femme, et même si il ne pouvait lui pardonner le fait d’avoir frapper leur fille, il était plus que disposé lui pardonner tout le reste.
-J… J'aurais tellement aimé que tout cela ne ce soit jamais passé. L’incident avec les ceniens membres de la Légion, ta bataille contre Naÿma, cette foutue guerre. J'aurais tellement aimé que tout redevienne comme avant. Que l’on ait le temps de s’expliquer sur tout ceci avant que tout ne dégénère. Avant que notre famille ne soit déchiré par les évènements.
Devant le désarroie de son mari si souriant d'habitude, la Protectrice se demanda quoi dire, quoi faire. Finalement une seule chose vient à l'esprit de la terrannife qui s'approcha timidement de son mari, avant de faire ce qu'elle avait tant rêver de faire depuis tant de mois, le serrer dans ses bras.
Lentement mais surement Kakarotto répondit à l'étreinte de la femme de sa vie qu'il avait longtemps attendu.
-Chéri, plus rien ne sera comme avant, car je ne te mentirais plus jamais...
-Hep, mademoiselle ! Mademoiselle !
Näyma émergea. Elle regarda autour d'elle, mais au lieu du salon de ses parents, elle était dans une forêt. Deux secondes suffirent à la fille de Kakarotto pour se rappeler de l'endroit ou elle était : Dans la forêt Irulienne o,u elle a affronté Suresh. Ce dernier était d'ailleurs allongé par terre toujours inconscient. Etais-ce un rêve ? Etais-ce un voyage dans le passé organisé par l’un de ses ennemis ? Pourquoi était-elle ici ? Pour qu’elle raison ?
Naÿma mit toutes ses questions de côtés, et regarda en détailla l’irulien. Comme ses semblables, s’était un elfoïde à l’air juvénile, avec une peau bleu sarcelle et aux cheveux orange. Il était vêtu d’une toge blanche qui lui conférait une apparente sagesse, qui s’accoradait à merveille à ses traits harmonieux qui laissa entrevoir une intelligence poussée. L’irulien alterna son regard perplexe entre sa sphère de cristal et la super héroïne qui se demandait qui pouvait bien être se drôle d’individu qui n’était pas présent dans ses souvenirs. Finalement l’irulien décida d’engager la conversation.
-Bonjours mademoiselle. Ce que je vais vous demandez est quelque peu bizarre, mais est-ce que vous avez eu durant les dix dernières secondes des souvenirs plus vivace que d’habitudes ou des sortes de… vissions ?
-Des… des vissions, vous dites ?
-Des flashs d’évènements qui ne se sont pas passer mais que vous avez l’impression d’avoir vécu. Des évènements qui sont maintenant sous formes de souvenirs, mais que vous n’avez pas vraiment l’impression qu’ils en sont. Ressentez vous cela ?
Des flashs d’évènements ? L’impression d’avoir vécu ? Des souvenirs qui n’en sont pas ? Il fallu un peu de temps à Naÿma pour se rendre compte que les souvenirs qui suivaient sa victoire sur Surek semblait vivace, mais tout en étant incertaint. Comme-ci elle avait du mal à accepter qu’il se sot passé.
-Eh bien… Oui, je penses que oui.
-Très bien. On progresse. Au fait, vos cheveux, vous pouvez les faire revenir à la couleur brune ?
-Comment ça ?
Naÿma jeta un œil sur la surface de l’étang voisin qui refleta ses yeux aux pupilles émeraudes et ses cheveux couleurs jaune pâle.
-Wow ! M… Mais queand-est que je me suis transformée ? Je n’étais pas censé me transformer avant… Enfin, non, bref.
La fille de Kakarotto se calma et se concentra un peu. Comme attendu, la transformation s’était évanoui d’elle-même, quoique moins aisément qu’elle ne le pensait. Comme-ci, contrairement à son esprit, son corps n’avait pas été prêt à recevoir ce don. La terranide se tourna vers l’irulien.
-Heu… Depuis quand je suis comme ça ?
-Blonde ? Eh bien juste avant que je ne vous réveille de votre état de transe, qui a duré un peu plus d’une vingtaine de secondes.
-Je… J’étais en transe ?
-Oui, et je penses que ces vission se sont produites durant ses vingt secondes. Soit un temps très long pour ce genre d’expériences. M’est avis que vous avez eu le temps de voir une floppée de ces vissions qui représentent en faite plusieurs années d’un avenir supposés durant ce laps de temps.
Les explications de l’irulien furent un choc pour Naÿma qui avait le tournis. Toutes ces années de luttes, toutes ses expériences, toutes ses personnes rencontrées, toutes ses peines, toutes ses joies, toutes ces vies sauvés ou perdus. Tous cela avait-il été faux ? Elle avait la forte impression que oui, mais en même temps que ce « oui » pouvait devenir un « non ». En tout cas cela expliquerait la présence de cet irulient et de sa sphère de cristal qui n’aurait pas dût être là et pourquoi elle s’est transformé en super saïyanne, plussieurs semaines à l’avance.
Tandis que le cerveau de la métisse remettait un peu d’ordre à toute ses informations, un terrible constat s’offrit à elle. Un constat dont elle n’osait y croire.
-Dites monsieur…
-Appellez moi juste Oracle.
-D’accord, monsieur l’oracle. Dites moi, par vission, est-ce que ça veut dire que je vois… le futur ou un truc du genr ?
L’Oracle se massa le menton pour mieux réfléchir à ce qu’il allait dire avant de répondre.
-Eh bien, le « futur » au sens strict, pas vraiment. Disons qu’il donne la suite d’évènement le plus probable de se passer, pour faire simple.
-… Et donc, elle ne se trompe pas sur la nature des gens impliqués dans la vission ? Demanda Naÿma avec inquiétude, presque suppliante.
-Surtout pas non. Si la suite d’évènement peut-être contredite le moment venu, les gens impliqués dans ses vissions sont, ce qu’ils sont censés êtres à l’instant ou nous parlons.
-Gloup ! Et, est-ce que les gens que j’ai vu dans ces vissions vont évolués comme j’ai vu ?
-Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ? Tout ce que la sphère vous a montrés c’est leurs évolution la plus probable par rapport à la chaîne d’évènement la plus probable. Si les évènements découlant vers le futur bien réél sont radicalement différents, il se peut qu’ils deviennent de toutes autres persoones que ce que vous avez vu. Et l’inverse s’appliquera alors. Si les artisans du futur sont différents, sa toile n’en sera que plus modifié par rapport à celle que vous avez entrevu.
Naÿma avait l’impression qu’on lui avait jeté un saut d’eau glacée dans la tête. Complètement déconfite elle se laissa s’asseoir sur une roche, heureusement placé à cette endroit.
-Bordel de merde, alors on est pas dans la merde, se lamenta la terranide les dents serrés.
Il ne fallait pas être un génie pour interpréter les paroles d el’Oracle. Dans ce futur hypothétique, ils avaient en effet gagné la guerre contre l’Empire Terranide. Seulement ce résultat ne fût possible que par la réalisation d’une suite d’évènement plus ou moins fortuit que Naÿma assimilait à un jolie mais fragile édifice. On retirait une ou plusieurs pièce, et c’était toute l’édifice qui s’écroulerait.
-Vous n’avez pas l’air satisfaire de ma réponse, jeune fille.
-Désolé, monsieur l’oracle. C’est juste… C’est juste que j’ai vu une longue suite de difficiles et de douloureuses épreuves auquels moi et mon entourage on devra faire face, mais qu’au final on a pu surmonter pour arriver à quelque chose de meilleur à la fin. Mais là… Maintenant que j’ai vu tout cela je ne peux m’empêcher de constater à quel point l’issue de tout cela était fragile et aurait pu donner quelque chose de bien pire. C’est horrible. C’est comme j’ai maintenant l’impression de marcher sur une longue voie de verre asséré. Comme-ci au moindre faux-pas, j’aillait tout faire capoter, l'avenr sera bien plus sombre que ce que je viens de voir.
-Hmm ! Je vois, vous avez vu un futur avec une continuité heureuse. C'est vrai que dans un certains sens c'est encore plus cruelle que de voir un avenir funeste, car vous serez hanté par la perspective de tendre vers cette fin optimiste. Ce qui fera que vous serez obsédé par chacune de vos actions, en vous demandant "si ce que j'ai fais est la bonne chose" et résultat vous ne saurez plus quoi faire lorsqu'un incident imprévu viendra.
-C… C'est à peu près ça.
L’irulien cogita un moment supplémentaire avant de répondre :
-Si vous voulez un conseil, je dirais que vous devriez tout simplement agir en profitant de ce que vous avez apprise. Vous, plus que quiconque, vous ne devriez pas prendre le futur comme un fragile sentier de glace menaçant de s’effondrer à chaque mauvais pas , mais comme un océan dont on doit sur lequel naviguer. Le futur ne se construit pas avec ceux qui craigne les évènelment engendré par leur réactions chacun de leur actions, mais avec ceux dont les évènements provoque chez eux une réaction. Il est vrai que vous ne serez pas à l’abri de l’erreur ou d’une conséquence dont vous n’avez pas prévu l’étendu. Mais c’est le cas pour tout le monde. La seule différence entre vous et les autres c’est que vous avez une idée plus précise sur les conséquences de vos actions et celles de votre entourage. Quand vous y pensez c’est une chance inouïe, car vous savez la main et la stratégie de chacun de vos adversaires, et vous pouvez non suelement réagir de façon adéquate, mais aussi planifier. Un avantage que beaucoup aimeraient avoir. Et encore mieux, ces visions vous ont montré que, malgré les futurs problèmes à venir, une bonne conclusion est toujours possible, encore plus si vous avez les clés pour y arriver. Et puis si vous ne réussissez pas du premier coup, faîte comme votre alter-ego dans ce futur hypohétique : supportez, encaissez et battez-vous. En plus, contrairement à elle vous aurez l'avantage de l'expérience.
Au fur et à mesure qu'elle avait écouté les conseils de l'irulien, les idées de Näyma s'éclaircirent et elle commençait à entrevoir toute le spossibilités que ses "visions" lui avaient apporter. Déjà elle pouvait se transformer en super saïyanne un peu plus tôt que dans le futur hypothétique. En plus elle savait que sa mère n'enclencherait son plan pour tuer la Légion que dans plusieurs semaines. Cela lui laissait le temps de réfléchir. En faite, elle avait même déjà un début de plan pour contrecarrer le projet de sa mère.
La jeune saïyanne accorda un sourire reconnaissant à l'irulien.
-Merci monsieur. Je vois beaucoup plus clair maintenant.
-De rien, répondit l'irulien heureux d'avoir aidé la jeune femme quib s'envola avec son prisonnier.