Ha ! les fameux anti-dbgt
J'admet qu'on puisse ne pas aimer dbgt mais cet anime existe et a été approuvée. Donc DBGT est la suite de dbz.
Simple question : pourquoi n'aimes-tu pas dbgt ?
Le chapitre 6 donc. Le scénario qui nous est dévoilé est génialissime, tout simplement. La galaxie du centre et le kaïo du centre déchu! C'est super excitant! Au fait, qu'en est-il du Kaïoshin du centre? Il n'est pas dit que Boo l'a tué, alors...
Merci ! ça me fait tres plaisir que tu approuves !
Alors pour le kaioshin du centre, il y a deux solutions. Soit c'est le doyen des dieux soit on s'appuie sur une parole du doyen dans dbgt qui insinue qu'il y aurait un grand conseil (si je me rapelle bien) et donc le kaioshin du centre en ferait partie. Mais j'admet que la premiere idée me tente plus
Pour le reste. Tu as tout as fait raison ! Un mois sans rien....c'est fade. Je vais voir ce que je peux faire ! Merci encore !
Je poste le dernier chapitre en date.
Je vous souhaite donc (encore) une bonne lecture !
Chapitre 7 : Retour sur Terre
La Terre ! Notre merveilleuse planète ! Avec ses immenses océans bleutés, ses hautes montagnes et ses plaines verdoyantes. Il y a cinq ans elle était en ruines, victime de la puissance des dragons noirs qui avaient tout dévasté sur leur passage. Mais grâce à Songoku, ce n’était plus qu’un lointain souvenir et sa famille et ses amis avaient joué un grand rôle dans la reconstruction des nombreuses villes détruites. Aujourd’hui les cicatrices du passé ont disparu et les terriens vivent des jours paisibles.
Loin de la ville, en pleine campagne, près d’une rivière, se trouvaient trois petites maisons en forme de dôme. C’était ici que résidait la famille de Songoku. Aujourd’hui, ils déjeunaient chez Chichi. Sur la table, un grand nombre de plats étaient posés et étaient remplis d’une quantité impressionnante de nourriture alors qu’ils n’étaient que six autour de ce repas si l’on n’exceptait le petit garçon aux cheveux sombres quasi-châtains et aux grands yeux noirs qui jouait non loin de ses parents. Son père, vêtu d’un pantalon en jean et d’un tee-shirt bleu, avait des cheveux assez courts dressés sur sa tête partant tous sur un côté. Ils étaient noirs, à l’instar de ses yeux et ses traits étaient semblables à ceux de Songoku. La mère du petit était assise à côté de son mari, elle était très belle et ses longs cheveux châtains cascadaient dans son dos. Elle portait une robe courte assez claire avec des bottes blanches. En face d’eux, un autre couple était attablé : l’homme semblait être une version plus âgée et plus sérieuse du père du petit. Hormis le costume, les lunettes et la coupe de cheveux plus ‘‘droite’’, ils se ressemblaient comme d’eux gouttes d’eau. Sa femme, Videl, fille du grand champion Hercule Satan, avait de grands yeux bleus et de longs cheveux noirs formant une tresse qui tombait dans son dos. A une extrémité de la table, une femme aux cheveux mi-longs grisonnants et à l’air quelque peu sévère se tenait les bras croisés et observait la jeune femme qui venait de se lever à l’autre bout. C’était la fille de Videl et de son mari, Songohan. Elle s’appelait Pan. De longs cheveux noirs et lisses, de profonds yeux sombres (d’ordinaire emplis de curiosités) aussi dur que le métal, elle portait une robe du même type que celle de la mère du petit mais de couleur rouge. C’en était fini du petit garçon manqué qui n’en faisait qu’à sa tête, elle était une femme désormais.
Debout, sa chaise renversée, elle fixait la femme en bout de table. Les deux autres femmes observaient la scène, Videl, d’un air aussi sévère que la doyenne alors que sa belle-sœur, elle, ne semblait pas comprendre ce qu’il se passait.
Les bras le long de son corps, poings serrés, les dents grinçant, Pan paraissait vexée.
Ne pouvant plus se retenir, elle fit d’une voix forte :
- Je ne suis plus une gamine Grand-mère Chichi !
Pour appuyer ses propos, elle tapa du poing sur la table mais, n’ayant pas contrôlé sa force, la table se renversa et tous les plats s’envolèrent derrière elle sous le regard surpris des trois autres femmes alors que les deux hommes continuaient de manger dans leurs assiettes, tenues bien fermement dans leurs mains.
C’est à ce moment que Songoku choisit de faire son apparition…en plein dans la trajectoire des plats volants.
N’entendant pas de bruit de vaisselle cassée, les deux hommes levèrent la tête de leur assiette. Pan, elle, se retourna et se figea instantanément à la vue de son grand-père, debout, en train de manger le contenu des plats qu’il venait de rattraper. Une énorme pièce de viande dans la bouche, celui-ci leva la tête et prononça un ‘‘bonjour’’ quasiment incompréhensible.
Les larmes aux yeux, la jeune femme regardait son grand-père.
- Grand…Grand-père ? bégaya-t-elle très émue, ne pouvant faire un geste.
Le saiyen posa les plats par terre et s’avança en direction de sa petite fille.
- C’est toi Pan ? demanda-t-il. Tu as beaucoup changé ! Tu es une femme maintenant !
Enfin débarrassée de son blocage, elle sauta par-dessus la chaise renversée et s’agrippa au cou du guerrier, folle de joie.
- Grand-père ! Tu es enfin revenu !
Quand elle l’eu enfin lâché, Songoku se tourna vers les deux hommes et Chichi qui s’étaient levés.
- Vous avez l’air en forme.
Les deux hommes vinrent l’enlacer.
- Papa ! s’exclamèrent-ils en chœur. Tu nous as manqué.
- Songohan, Songoten, vous aussi vous m’avez manqué !
Il se retourna vers leurs femmes, toutes deux debout, côte à côte.
- Bonjour Videl, (celle-ci hocha la tête, un sourire aux lèvres). Bonjour, (il réfléchit une seconde)… Valese. La femme de Songoten eu un sourire franchement ravi.
- Eh bien tu en a mis du temps ; fit une voix sèche derrière lui.
Le saiyen se tourna pour voir sa femme approcher, bras croisés.
- Chichi ! fit-il, ravi. Tu m’as manqué.
La femme de Songoku se tint droite face à son mari et le fixa d’un regard froid. Songoku fut un peu surpris par cette attitude. Malheureusement pour elle, Chichi n’eut pas la force de tenir son petit rôle, elle éclata en sanglots et tomba dans le bras du guerrier qui la serra affectueusement.
- Toi aussi tu m’as manqué ! fit-elle, en pleurs.
- Calme toi Chichi ; dit-il d’un ton apaisant. Je suis là maintenant, tu n’as plus de raisons d’être triste.
Elle leva la tête, les yeux brillants de tristesse mais aussi d’amour. Songoku la fixa, plein de tendresse. Autour, tout le monde les regardait, touchés par cette scène.
Ce doux moment fut coupé lorsqu’une petite main agrippa le pantalon du saiyen. Le guerrier se baissa pour observer son petit fils. Le regardant d’un air curieux il fit :
- Bonjour toi ! (il leva la tête vers Songoten) Il est très mignon, mes félicitations !
- Merci ; répondit son fils. Il a deux ans. (il baissa la tête vers l’enfant) Rice dit bonjour à grand-père.
Le gamin lança un regard curieux en direction de Songoku.
- Bonjour Grand-père ; dit-il d’une voix encore maladroite.
Ce dernier eu un grand sourire ? Il prit son petit-fils dans ses bras et le souleva au dessus de sa tête ; le garçon éclata de rire sous le regard ravi de toute la famille.
Quelques heures et quinze plats plus tard, Songoku sortit de la maison en s’étirant. Dehors, le temps était magnifique, le ciel bleu ne comptait que quelques petits nuages, la nature était verdoyante et la rivière coulait paisiblement. Songoku avança et alla s’asseoir à l’ombre d’un arbre, non loin de sa maison. Assis en tailleur, il croisa les bras et ferma les yeux, sourcils froncés.
Ils sont si contents de me voir. Comment vais-je pouvoir leur annoncer qu’une nouvelle menace approche ?
Lorsqu’il ouvrit les yeux, Songohan se tenait debout devant lui, le regardant avec un regard étonné.
- Tiens Songohan ! fit-il l’air de rien mais ne pouvant cacher sa panique. J’ai vu Piccolo pendant mon séjour au Royaume des morts. Il t’embrasse.
Le demi-saiyen s’assit en face de son père.
- Ah oui ? Comment va-t-il ? demanda-t-il, curieux de savoir ce que son ancien mentor et ami faisait au Royaume de morts.
Songoku haussa les épaules.
- Bien. Il s’assure que tout se passe bien en enfer et d’après ce que j’ai vu je peux te dire que Cell et Freezer ont intérêt à se tenir à carreaux.
Son fils lâcha un rire bref.
- ça ne m’étonne pas de lui ! Il a trouvé le travail parfait ! (il s’interrompit) Papa, reprit-il après un silence pesant d’un ton plus sérieux et quelque peu inquiet. Que ce passe-t-il ? Ce n’est pas dans tes habitudes de méditer comme ça, surtout que tu viens à peine d’arriver.
Le guerrier eu un léger sourire. Son fils avait deviné.
- Je ne peux rien te cacher n’est-ce pas ? (Songohan acquiesça) Très bien ; ajouta-t-il en se relevant. Allez au palais de Dendé. Je vous y rejoindrais avec nos amis et je vous expliquerais tout.
- D’accord. Quelque peu hésitant il fit : ‘‘Papa, c’est grave ? ’’
Il n’eut qu’un hochement de tête pour seule réponse avant que son père ne disparaisse
Seul, Songohan croisa les bras et fronça les sourcils.
Pour que papa veuille que nous nous rejoignions tous, c’est que la menace qui pèse doit être terrible !
Il se leva et prit la direction de sa maison.
Plus vite nous serons au palais, plus vite nous en saurons d’avantage.