Et puis bon, des exemples du capital et de l'extrême droite qui marche main dans la main, y'en à la pelle. Même mieux que ça : les entreprises se portent rarement mieux que lorsque les pays sont en guerre et dans des situations politiques tout sauf démocratique.
Parce qu'ils me font rire au MEDEF, mais dans les entreprises représentées, un bon nombre on collaboré, fait fortune en 40-44/sur le dos des colonies/sur le dos de pays du tiers monde, et n'ont jamais été sanctionnée.
Vous voulez vous faire mal ? Suffit de regarder la liste des entreprises actuelles, qui datent de 44 ou avant, qui ont collaborée, et qui s'en sont sorti tranquille en 44. Genre Hugo Boss, la famille Amaury (groupe "L'Equipe"), Laffarge, Bayer, Opel, Porsche, Ford, IBM (qui a tout simplement confectionné un système de fichage des juifs sur mesure...), Sainrapt et Brice (filial de Vinci), les banques qui ont été très heureuse de participer à la saisie des biens des juifs, et le démantèlement des banques dites "juives" (Allianz en tête), Coca-Cola (qui ne voulait pas souffrir commercialement quel que soit le vainqueur...), Nestlé (qui a profité du STO), BMW (là encore, profite du STO), Général Electric (qui achète des pars chez Siemens dès le début de la guerre, pour profiter de la rentabilité des travailleurs forcé en Allemagne), Renault (travail forcé, tout ça tout ça), LVMH, Coco Channel (profite des lois antisémite pour récupérer "N°5" qui appartenait à une famille juive...).
Et ça c'est une liste non-exhaustive. Globalement, à de très rares exception, les entreprises collabore sans soucis, voir avec bonheur pour certaines (celles qui en profitent pour évincer la concurrence au mains de familles juives, ou tout simplement par anti-sémitisme et adhésion aux valeurs pétainiste, comme L'Oréal).
Bref, c'est un non événement. Le MEDEF a encore une fois montré les intérêt commun du système libéral et de l'extrême droite, et tente tant bien que mal de limiter la casse, mais honnêtement personne n'est dupe.