Consoles et jeux rétros

Pour parler et débattre de livres, de mangas, de jeux-vidéo, de DVD, de cinéma, de musique, de télévision, de théâtre, etc. Vos dessins et autres créations doivent aller au salon s'ils ne concernent pas dragon ball, dans la partie créations dragon ball de fans sinon !

Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Paulemile le Ven Déc 03, 2021 10:27

Bon, peut-être que je raconte n'imp, je ne trouve plus l'article qui parle de ces fameux 10 ans.
Au contraire, je trouve pas mal de sites qui disent pas avant 3 ans, et ensuite, il faut des jeux adaptés sur de courtes durées. Donc tout va bien en fait.

Bon, à l'époque, je squattais sans doute beaucoup plus les jeux vidéos que les durées préconisées aujourd'hui, mais bon, trop tard hein :mrgreen:

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Allez, c'est l'heure de poster le deuxième bonus.

Maintenant que j’ai bien squatté ce topic, j’avais envie de vous parler de ces jeux qui ont failli entrer de justesse dans mon top 50 nostalgique, mais à qui il a manqué un petit truc, un petit souvenir spécial associé, un coup de cœur pour l’OST ou n’importe quoi d’autre.

Bomber Raid (1988 - Master System)
Le jeu vidéo préféré de papa quand j’avais quatre ans. Presque aussi pourvoyeur de nostalgie que Psycho Fox, et beaucoup plus difficile.
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Resident Evil (1996 - Playstation)
Sans ce jeu, les zombies n’auraient jamais retrouvé toute la coolitude qu'ils mériteraient. On n’aurait pas eu de série télé Walking Dead… et Milla Jovovich n’aurait pas eu de carrière non plus.
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Pitfall : The Mayan Adventure (1994 - Megadrive)
Preuve que l’on pouvait avoir des jeux magnifiques sur Megadrive. Dommage que celui-ci nous obligeait à tuer des singes et des jaguars.
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Mortal Kombat (1993 - Megadrive et Game Gear)
Ses effusions de sang mythiques, sa musique crâneuse et kitsch, sans oublier les Fatalities !! Pour certains, ce jeu met la misère à Street Fighter II (ouais, même sur la Game Gear).
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The Incredible Machine (1992 - PC)
Parce qu’on pouvait y provoquer les réactions en chaîne les plus dingues de tout l’univers, avec des possibilités presque infinies.
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Jungle Strike (1993 - Megadrive)
Ce titre novateur a failli me donner envie de devenir pilote d'hélicoptère. Failli, hein, faut pas déconner.
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Civilization 2 (1996 - PC)
Pour le plaisir de voir prospérer sa…bah sa civilisation, quoi. Même si je n’aimais plus trop jouer quand on débloquait les technologies modernes.
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Jurassic Park (1993 - Super NES
Quoi de plus logique que de vouloir prolonger le fun indémodable du film ? Qui plus est avec une OST totalement dingue. Les niveaux intérieurs faisaient flipper comme jamais.
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Alex Kidd in Miracle World (1986 - Master System)
Que mes voisins avaient sur leur Master System quand on allumait la console sans cartouche. Moi, j'avais droit à un vieux jeu de moto tout naze. Toujours au sommet du cool, ces voisins.
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War Wind (1996 - PC)
Un RTS vachement sous-estimé (pour de bonnes raisons quand même). Mais son ambiance de monde désolé, peuplé par des civilisations aussi barges les unes que les autres, restera ancrée dans mon esprit jusqu’à la fin des temps.
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Sim City Enhanced (1993 - PC)
Sorte de Sim City 1500 (avant le 2000, quoi), qui m'a fait faire des rêves éveillés d'immeubles surgissant de terre.
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Street Fighter 2 (1992 - Super NES)
La super légende des consoles 16 bits. Si à huit ans, tu ne maîtrisais pas le quart de cercle sur la manette pour lancer un Hadoken, t’étais déjà mal barré dans la vie.
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Sonic Spinball (1993 - Megadrive)
Parce que Sonic trimballé à travers des flippers industriels géants, c'est la classe ultime.
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Dungeons and Dragons : the Tower of Doom (1994 - Arcade)
La seule borne d’arcade à m’avoir fait dépenser toutes mes pièces de dix francs en quelques jours, dans un camping paumé en 1996.
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Si quelqu’un me le réclame avec beaucoup beaucoup d’enthousiasme, je veux bien faire un article sur l’un des jeux listés ici ^^


Et sinon, pour vous montrer à quel point je suis névrosé sur le sujet, voici une liste quasi exhaustive de tous les jeux vidéo auxquels j’ai joué durant mon enfance. J’en ai sûrement oubliés certains, parce que trop petit pour m’en rappeler, mais ça donne une bonne idée, déjà. Ce ne sont pas tous mes jeux, hein. Pour la plupart, ce sont ceux des potes, aussi.

NES
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Master System
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Game Boy
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Game Gear
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Megadrive
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Super Nes
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Atari ST (ou autre vieux PC, période pré Windows 95, quoi)
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PC
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Playstation
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Nintendo 64
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Voilà, c'est vraiment fini pour de vrai, cette fois.
Merci de m'avoir lu !

Maintenant, je réfléchis à une liste de jeux plus récents et à comment organiser tout ça.
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar niicfromlozane le Ven Déc 03, 2021 12:55

Trop bien ce post Paulémile

Je peux pas trop réagir mais je tenais juste à le relever
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Paulemile le Mar Jan 11, 2022 11:25

Salut Niic !
Merci beaucoup pour ton message. Ouais, j'y ai mis du coeur là-dedans, je suis content que ça plaise un peu quand même :)

Techno Maker mis en spoiler, sinon on ne comprend rien.
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Alors, je ne sais plus quand l'idée m'est venue de parler de ce truc, mais j'ai fini par en faire un texte. Voilà, ça sera mon bonus numéro 3 ^^

Techno Maker (PC, 1995)

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Techno Maker (écrit dans Windows), ou Musique Techno Studio (écrit sur le CD et la boîte), je n’ai jamais su comment ça s’appelait réellement, les développeurs non plus, d’ailleurs. Ce logiciel, donc, peu importe son nom, nous fait découvrir les joies du séquenceur pour créer de la musique… bah de la Techno, quoi ! Pas vraiment un jeu, du coup, mais que j’ai considéré comme tel tant j’ai pris mon pied dessus. Ça fonctionne de manière super simple. On dispose de huit pistes et d’une bibliothèque de samples. On place ces derniers sur les pistes, et on appuie sur Play pour écouter ce que ça donne ! Et bah… ça donne des trucs très bizarres !

Parce que oui, ce CD-ROM sort en 1995. D’une, les logiciels à cette époque, euh, ça tâtonnait pas mal, hein ! Et de deux, la techno à cette date, elle n’avait pas encore bien grandi, ça restait un truc encore un peu underground et mal connu. Et puis, peut-être pour plaire à une majorité de clients potentiels (même si je n’ai jamais connu personne qui ait possédé ce CD à part moi), les sons choisis pour agrémenter la liste des samples brassent large. Pensez TPMP ou la Bataille des Couples transposés en musique. Qui se sent mal ? Oui, moi aussi un peu.

Bon, passé le temps de chargement des fichiers (avec un lecteur double vitesse et 4 Mo de de RAM, ça prenait plusieurs minutes), on dispose d’une large gamme de percussions, caisses claires, charlestons, cymbales, grosses caisses et autres, ainsi que des choses plus synthétiques. Là dessus, rien à dire. Ça se complique assez vite quand on comprend avec quoi on doit jongler pour créer le reste du “bon son”. Des riffs de guitare qui n’ont rien à voir avec de la techno, la voix d’une chanteuse issue de la pire émission d’Eurovision de l’Histoire, des effets de laser ultra beaufs, des flûtes sous ecstasy et des voix trafiquées pour sonner comme des cloches surnaturelles… sans parler de tous les autres que je n’arrive même pas à définir par écrit.

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Quand EN PLUS ! On se rend compte que tous les samples ne sont pas enregistrés tout à fait au même tempo, que certains ne sont pas bouclés parfaitement (donc qu’il faut en retirer des petits bouts ou ajouter des silences pour que ça s’enchaîne bien), on obtient du bon gros challenge de boss final pour pondre un truc audible. Ouais, comme dans un jeu vidéo. Moi, je mélangeais un peu tout ce bazar dans un mix bien foutraque, et je me disais : “J’ai jamais entendu symphonie de ma vie !” Forcément, je l’avais créée moi-même. Après avoir embarqué quelques potes dans l’aventure, on se mettait vite à traficoter des morceaux de cinq ou six minutes, qu’on se repassait des dizaines de fois pour les peaufiner sans relâche. On en avait des frissons, comme en écoutant nos chansons préférées, ça nous donnait une énergie de dingue. On se prenait pour des DJ ultra célèbres et tout.

Un an ou deux plus tard, un disque additionnel est sorti, avec encore plus de samples ! Et bah pareil, y en avait pas un qui pouvait se coller avec les sons du logiciel de base ! Je me suis jeté sur cette extension dès que j’ai eu vent de son existence (en passant devant par hasard à Auchan, en vrai), mais elle foutait tellement le bordel dans mes créations classiques que je l’ai assez vite oubliée.

En tout, j’ai dû enregistrer une dizaine de titres. Je les gardais précieusement sur une disquette, sur laquelle j’avais écrit au marqueur rouge “NE PAS EFFACER”. Mon beau-père avait la fâcheuse tendance à enregistrer ses trucs par-dessus les miens. Et ça valait aussi pour les films de cul, alors qu’avec ma sœur, on croyait juste qu’on allait se mater un Disney. Et puis, le logiciel n’a plus fonctionné sur les versions plus récentes de Windows, et même si je possède toujours le CD-ROM aujourd’hui, je n’y ai plus touché depuis une bonne quinzaine d’années. J’ai toujours accès aux samples, au moins. Je peux les écouter un par un dans le lecteur Windows pour m’envoyer des shots de nostalgie au visage.

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Il n’empêche que grâce à Techno Maker, j’ai appris énormément de choses sur la manière dont on structure un morceau de musique électronique, aussi ridicule soit-il. Ce logiciel m’a donné un certain sens du rythme, et m’a fait comprendre quelles notes ou instruments se combinaient (ou plutôt lesquels ne se combinaient pas) en une jolie harmonie. Je pense que c’est aussi à cause de Techno Maker que j’ai chopé des espèces de TOC, qui me font taper des rythmiques avec mes mains sur à peu près tout ce que je touche. Malaise à prévoir une fois sur trois.

Malgré tous ses défauts, Techno Maker m’a fait passer des tonnes de moments géniaux, seul, avec ma grande sœur ou mes potes. Et puis, il m’a rendu encore plus accro à la techno, au-delà du possible et de l’imaginable. Merci pour la névrose, hein ! Pour vous donner une meilleure idée du délire, je vous partage l’un des fichiers démos présents sur le disque. Il faut une petite préparation mentale avant, quand même.



Il en existe cinq des comme ça, composés par les mecs qui ont bossé sur le logiciel ; qui ont été payés pour. Je vous laisse imaginer ce que des gamins néophytes comme moi pouvaient pondre, en comparaison. Même si en demandant à mon moi d’il y a vingt-cinq ans, il répondrait qu’il savait faire beaucoup mieux.


MàJ du 11 janvier 2022

Salut à tous !
Suite à un message de Davebond qui m'a encouragé à écrire sur des jeux plus récents, j'ai commencé à bosser sur une liste qui pourrait correspondre.
Je suis arrivé à 19 jeux, que je vais poster par ordre chronologique. Alors pour les premiers, ça va aller, je pourrai les inclure à ce topic, mais pour les suivants, ça risque d'être un gros casse tête.
Bref, j'ai classé les jeux par thématiques liées à ma vie. Ouais, ça va encore être assez intimiste et personnel, parfois. Désolé d'avance à ceux que ça va saouler :mrgreen:

En tout cas, un grand merci à Davebond pour m'avoir motivé à aller plus loin que mon top 50 nostalgique d'enfance. Je m'éclate à fond à écrire sur des trucs plus récents aussi.

C'est parti !

L’adolescence encore un peu nostalgique, partie 1 sur 4


Heroes of Might and Magic IV (PC, 2002)

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Pourquoi je m'y suis mis ?

Nan mais, la suite de Heroes 3, quoi ! Avec mes deux potes ultra fans, il fallait forcément qu’on teste. Et du coup… on s’est fait de bonnes sessions, soit en solo, soit à plusieurs en Hot Seat (à jouer chacun notre tour sur le même ordi, ça veut dire). Pendant quelque temps, on a même cru que cet opus dépassait le précédent, avant qu’on revienne à la raison, hein.

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Pourquoi j’ai aimé ?

Le concept évolue sur pas mal de points. Et pour un bon paquet d’entre eux, ça fait plutôt plaisir !


Premier gros changement : les héros prennent directement part au combat, au lieu de rester bien à l’abri à jeter des sorts et à lever le bras quand une troupe ennemie se fait décimer. On peut carrément se monter une armée de héros, ouais, sans créatures pour nous emmerder. Et si au début, ces personnages se font gifler par le moindre gobelin qui traîne, ils massacrent à peu près n’importe quoi en fin de partie. En plus, leur système d’évolution repensé leur permet de les spécialiser en classes avancées en fonction des aptitudes qu’ils choisissent en gagnant de l’expérience ! Franchement, une bonne réussite.

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Comme les héros intègrent les bastons, les créatures aussi ont voulu gagner en indépendance. Du coup, elles peuvent se balader à travers le monde, sans personne pour les diriger. Et voilà que la carte d’aventure se retrouve saturée de machins qui se promènent en terrorisant les braves gens. Cette carte, d’ailleurs. Sans déconner, dans un tout autre style qu’Heroes 3, elle reste quand même vachement jolie. Ça ne vaut pas le pixel art indémodable de son aïeul, mais avec l’apparition du terrain vallonné et tout, ça claque quand même pas mal.


Un truc qui m’emmerdait au plus haut point dans Heroes 3 (et aussi le 2) : le fait de devoir retourner chaque semaine dans chaque moulin et chaque demeure de créature pour en récolter l’usufruit. Désormais, ces bâtiments visités une fois nous filent de l’or ou des ressources tous les lundis, tant que l’on en conserve la possession. Concernant les bestioles, un système de caravane immatérielle permet de les acheminer dans les villes. Tout ça nous laisse assez de cerveau disponible pour nous focaliser sur la conquête et la baston, la base, quoi.

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Côté musique, on assiste au retour des chanteurs lyriques, comme à la belle époque d’Heroes 2. Sur certains morceaux, les compositeurs se surpassent complètement et nous offrent des mélodies totalement magnifiques. Ouais, la magie opère toujours aussi bien, lorsqu’un titre ultra mélancolique te rentre dans les oreilles en même temps que ton hydre erre sans leader le long d’une fontaine magique. Rien ne peut surpasser une scène pareille.



Pourquoi j’ai arrêté ?

Parfois, faire évoluer le concept retire à un jeu tout ce qui faisait son charme. En l’occurrence, le plus gros foirage d’Heroes IV se situe au niveau des villes. Déjà, il n’y en a plus que six (au lieu de neuf chez son prédécesseur). Par ailleurs, les bestioles sont divisées en quatre tiers (au lieu de sept chez son aïeul), pour un total de huit par cité. Mais le PIRE RESTE À VENIR ! Car lorsque l’on construit le bâtiment qui permet le recrutement d’un monstre, cela supprime la possibilité de bâtir une autre demeure, et donc de posséder l’autre créature de niveau similaire. Qui a bien pu penser que c’était une bonne idée, sérieux ? En outre, beaucoup de créatures jurent complètement avec le décor de leur ville associée, ainsi qu’avec le reste de l’armée. Dans la Nécropole, par exemple, on nous donne en gros le choix entre morts-vivants et démons. Résultat, on se trimballe avec des diablotins, des spectres, des espèces de blobs cracheurs de poison et des dragons zombies. Beurke, crade, dégueu ! La jolie harmonie qui sublimait nos troupes n’existe plus. Enfin, pour nous achever, plus d’améliorations possibles de nos bestioles chéries. On recrute des licornes, point. Plus possible de les upgrader en licornes de guerre ou quoi. Argh, nul, pourrave ! J’adorais ça moi, les upgrades !

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Autre souci, le champ de bataille a été entièrement remodelé, mais sans doute par le même abruti qui a imaginé les bâtiments bloqués, là. On déplace nos légions sur un écran de traviole pas ergonomique du tout, les animations bâclées font mal aux yeux et pour le coup, c’est beaucoup moins joli que sur la carte d’aventure.


Bref, on l’a su plus tard, mais les développeurs de chez 3DO ont sorti ce jeu en mode gros rush, juste avant de faire faillite. Avec le recul, ça se sent énormément, et un peu partout, mis à part dans l’ambiance qui se dégage des jolis paysages de la partie aventure. Alors voilà, après quelques parties (disons, une bonne trentaine quand même), on est vite retournés à notre Heroes 3 chéri.

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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Lenidem le Mar Jan 11, 2022 11:34

Tiens, Heroes IV ! Je l'ai un peu testé à sa sortie, tout fou comme beaucoup après la claque magistrale qu'avait été Heroes III. Et dès le premier soir, j'ai été dégoûté. Rien que la DA me rend triste, en fait, et pas facile de jouer quand on essaie de ne pas regarder l'écran. L'ami avec qui je joue encore de temps en temps à Heroes III insiste pour qu'on se fasse une partie du IV un de ces jours, il m'assure que ce jeu a des qualités que son prédécesseur n'a pas (les héros qui participent, les caravanes de créatures) et qu'il s'agit d'une expérience différente. On le fera un jour, quand nos agendas le permettront.
RMR a écrit:Moi, je peux vous dire qui a raison. C'est Lenidem.


En cas de souci sur le forum, me contacter par MP ou à cette adresse : lenidem.lunionsacree@hotmail.com
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Paulemile le Mar Jan 11, 2022 11:57

Ah bah j'ai les mêmes arguments que ton pote pour dire que le jeu vaut quand même le coup d'être testé.
Mais je te rejoins sur la DA. Même si je trouve la carte d'aventure jolie, ça ne vaut pas Heroes 3. Par contre, du côté des villes / créatures / champs de bataille, c'est assez affreux.
Reste la musique, qui s'écoute très bien. Homm 4 est bourré de bonnes idées mal exploitées, comme on le voit trop souvent, mais je pense qu'on peut quand même y trouver son compte.
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Xehanort le Mar Jan 11, 2022 13:21

Moi je l'aime bien Heroes IV.

A part sa difficulté en campagne complètement ridicule.

J'ai jamais réussie à passer la campagne Pirates.

Après j'ai eu Heroes IV en premier, je l'ai donc pas comparée aux autres. (Pas comme vous les vieux ! :mrgreen: )
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Paulemile le Mar Jan 11, 2022 13:53

Jamais touché à une campagne du 4. Mais j'imagine que ça doit être assez cool de découvrir la franchise par celui-là oui.
Et pour ceux qui n'ont pas connu la grande époque glorieuse du 2 et du 3, enchaîner avec le 5, ça devait vraiment envoyer du lourd !
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Antarka le Mer Jan 12, 2022 13:28

Bon petit test d'un jeu déjà plus récent.


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Donc voilà, Battlefield 1942, sorti en 2004.


Lord of War

Battlefield 1942 se présente plus ou moins comme un FPS. Je reviendrai plus tard sur ce « plus ou moins ». Le cadre de ce jeu est la seconde guerre mondiale à partir de l’implication américaine, après l’attaque contre Pearl Harbor. Petit rappel historique : l’Allemagne est en guerre sur deux fronts : contre l’Angleterre (le reste de l’Europe non-neutre étant asservi ou allié) et contre la Russie (qu’Hitler a récemment trahie et envahie). Les USA, qui n’aiment pas vraiment Hitler, sont occupés avec le Japon, qui est un adversaire redoutable. Battlefield 1942 prend place dans cette période ô combien noire du XXème siècle, de 1942 jusqu’à la chute de Berlin en 1945. On trouvera donc moult batailles mythiques pour les férus d’histoire, de Stalingrad à Berlin, jusqu’au massacre de Midway et la Bataille des Ardennes.



Un premier air de Counter Strike

Par où commencer…

Pour chacune des armées en présence pour chaque niveau, 5 classes sont jouables. Tous sont des soldats, même PDV ou autres, la différence étant au niveau des armes attribuées au départ. Le sniper aura… un fusil sniper, l’infirmier aura une carabine et une trousse de secours, le soldat anti-char aura un bazooka… Cela dit, cela ne concerne que les armes attribuées au départ. Il sera possible d’en ramasser d’autres sur des cadavres (amis ou ennemis), et donc la polyvalence est vite de mise. On peut jeter son arme au profit d’une autre.

Le jeu se veut réaliste sur ce point : on ne peut pas transporter trop d’armes ou de munitions (bah oui, c’est lourd), on meurt de façon réaliste (entre 2 et 5 balles, ça dépend où on les prend). Par contre, les blessures ne handicapent pas (je peux avoir pris une balle dans chaque cuisse, j’irai quand même traverser la rivière à la nage). De même, la précision des armes baisse quand on est en mouvement.

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Principe des missions

On trouve 3 modes de jeu : Deathmatch (je n’explique pas, suffit de tuer tout le monde), Capture the Flag (piquer un drapeau dans la base ennemie et le ramener dans la sienne) et le mode Domination, dont je vais parler ici.

Les niveaux sont très grands, gigantesques (plusieurs km²), avec des environnements très variés (îles, collines, montagnes voire ville entière) et divisés en zones contrôlées par des points de contrôle. Un peu comme dans les modes Domination de pas mal de Quake-like à l’époque (Unreal Tournament ou Quake III). Il y a deux manières de gagner la partie. La première est simple : contrôler tous les points du niveau. La seconde : tuer tous les ennemis.

En fait c’est simple : vous n’incarnez pas UN soldat. Quand vous mourrez, vous respawnez au point de contrôle de votre choix (du moment qu’il vous appartienne). Chaque camp dispose d’une réserve de soldats plus ou moins importante, qui ne sont pas forcément tous en jeu en même temps (exemple : j’ai une réserve de 100 soldats, mais seulement 16 sur le terrain à la fois). Le nombre de soldats de réserve est plus important si on a plus de points de contrôle. Dominer le terrain donne VRAIMENT un avantage donc, vu que vous aurez plus de soldats. Bref, ça a l’air classique comme ça ? Détrompez vous !

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Mieux que les Playmobils !


La grosse nouveauté dans ce Battlefield, c’était la possibilité d’utiliser divers engins et véhicules. Et je ne parle pas d’un GTA où on prend une tuture et on roule avec, non, c’est bien plus que ça. Et c’est ce que j’entendais par « plus ou moins un FPS ». Vous pouvez prendre possession de moult objets de mort :

Jeeps ou autres voitures : rapides, pouvant transporter quelques alliés. Elles disposent parfois d’un canon léger ou d’une mitrailleuse. Pratique pour rallier vite une bataille.

Le tank : plus lent (plus rapide qu’à pied) mais puissant et très résistant. Peut également servir de bouclier pour les alliés.

Les avions : on dispose de chasseurs rapides, d’hélicoptères et de gros bombardiers. Les premiers sont redoutables contre l’infanterie, moins contre les tanks. Le bombardier est plus lent, mais vole plus haut et est très efficace contre les tanks, et vous pouvez y embarquer à plusieurs ; ils disposent de mitrailleuses latérales. Idem pour l’hélico, redoutable machine de mort, assez lente et facile à aligner, mais pouvant lancer des vagues de missiles et embarquer deux mitrailleurs.

Les bateaux : du porte-avions au croiseur de combat en passant par les navettes rapides… L’embarras du choix.

La DCA : pour aligner les avions.

Les canons côtiers : un navire ennemi s’approche ? Son cœur va faire boum en vous voyant.

Bref… c’est grave la classe ! Les possibilités de jeu sont ÉNORMES, et de véritables armées peuvent être conçues. Utiliser les jeeps pour rejoindre vos alliés, forcer le passage avec le tank pendant que l’infanterie vous suit de près, protégée des balles par votre gros blindage… Jouissif de descendre le zéro japonais à coups de DCA, alors que ce con avait bousillé 15 de nos types juste avant. Grandiose de nager jusqu’à un porte-avions après une défaite (mieux vaut la fuite que la mort), d’embarquer sur un avion et de retourner bousiller les deux salauds embusqués à coups de bombs in the face !

La plupart des engins sont destructibles de façon… réaliste. Un zéro japonais peut se bousiller à la mitrailleuse si vous arrivez à le toucher, et un obus de tank le réduira en miettes (mais là, c’est un gros coup de bol). Une mitrailleuse ne peut rien contre un tank, qui peut exploser à peu près n’importe quoi. La DCA est fragile mais redoutable…


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Un jeu conseillé multijoueur

Soyons honnête, le jeu est conçu pour le multijoueur, vu que certaines cartes peuvent accueillir jusqu’à 64 soldats (32 dans chaque camp)… enfin, pour la plupart, c’est du 16 vs 16.

Mais si vous jouez seul… vous aurez des bots avec ou contre vous. Et si l’IA n’est pas trop mauvaise, reconnaissons qu’ils jouent un peu perso, les bots. Ils ne vous attendront pas forcément avant de décoller en hélico ou de prendre la jeep. Par contre, ils comprennent pas trop mal quand vous prenez les commandes (si je m’arrête en jeep à côté d’eux, ils montent. Si j’embarque dans un B-25, ils se placeront aux mitrailleuses). Évitez de leur laisser les commandes des véhicules, quand même… Bref, un mode solo amusant, mais qui est loin d’être le véritable intérêt du jeu.

Mais en multijoueur… Pour moi il y a clairement eu un avant et un après Battlefield. Comment décrire ce sentiment ? Des équipes de 30 à 60 joueurs l’une contre l’autre, s’entendant sur les actions, où chacun est un rouage d’une armée, où chacun est potentiellement dangereux, où vous devrez scruter terre, air et mer si vous voulez survivre. Un jeu où, alors qu’on stresse à mort dans un calme trop calme avec 20 camarades, on distingue 2 avions qui descendent en piqué vers vous. Vous tentez de vous défendre, la DCA fait feu, mais votre camarade tombe à côté de vous. Damned, c’est un sniper, là-bas, couché juste à côté… des 3 tanks qui se dirigent vers vous, entourés d’une dizaine de fantassins. Vos potes s’en occupent ; vous, de votre côté, n’êtes pas tranquille… Hop, je prends le sniper, regarde autour du camp, et je les vois, les deux jeeps ennemies qui tentent de nous contourner. Soit 8 types armés jusqu’aux dents, qui tentent de nous prendre à revers. Et… ARGH ! Le bombardier ennemi a détruit notre DCA, on est mal, on est mal !!!

Et voilà comment on perd un point de contrôle. :/ Bon, c’est pas grave, hardi les gars, on y retourne, on les a bien allumés, leurs forces ont diminué de moitié, ne les laissons pas s’installer !

Ou encore lorsqu’on voit le croiseur ennemi s’approcher de la côte, là où notre base est présente… On prend le canon côtier, avec sa portée limitée. On tire. Merde, raté… Il tire, l’eau explose devant moi, mais je suis indemne. Je retire… merde, pas assez loin. Il tire… à côté ! Grosse explosion, une jeep a pété derrière moi. Dernière chance, je tire, et JE TOUCHE ! Mais pas coulé. Lui ne me rate pas… mon pouls tape à 150, je transpire à grosses gouttes, mais il va voir, ce salaud.

A noter aussi les batailles aériennes… rare que ça dépasse le 2 vs 2, mais c’est souvent épique. Et combien de fois j’ai pu faire le kamikaze sur un porte-avions américain avec mon zéro en flammes…

Jamais guerre n’a semblé aussi… guerrière !

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Et la réalisation ?

Battlefield accuse un petit retard graphique par rapport à la concurrence (UT 2003 sortait peu après), mais c’est logique, vu le nombre d’éléments sur la carte, et le nombre de joueurs.

N’empêche que le jeu est bien texturé, la modélisation des ennemis est correcte, de même pour les véhicules ennemis. Le jeu était à l’époque gourmand en ressources, mais avec les PC de maintenant, c’est une formalité.

L’animation est bonne, rapide voire très rapide (à pied c’est lent, mais en avion en rase-mottes, c’est flippant).

Finissons par l’ambiance sonore : la musique est… je sais plus, donc ça va.

Les bruitages eux, sont dantesques. On retrouve la guerre dans nos oreilles. Entre les bruits des avions en piqué, les balles qui sifflent de partout, les chenilles des tanks qui écrasent la pierre ou les tirs de DCA au loin… grandiose !

Allez hop : 9/10

Si en solo c’est un petit FPS sympathique, en multijoueur, Battlefield m’a procuré des sensations inédites, jamais ressenties depuis (faut dire, les LAN, j’ai un peu laissé tomber). La guerre sur votre PC, la vraie, à condition de ne pas y jouer seul.
Dernière édition par Antarka le Mar Mai 30, 2023 20:55, édité 1 fois.
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Xehanort le Mer Jan 12, 2022 14:29

C'était l'époque où Électronique Arts faisait des bons jeux ?
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Antarka le Mer Jan 12, 2022 16:40

L'époque où ils faisaient des Jeux au delà d'excellents ouais. Je savais pas que ça avait changé.


Curieusement à l'epoque, certaines boîtes de développement étaient extrêmement douées pour faire des merveilles sur certains supports et de la merde sur d'autres. Genre GT Interactive ou Midway, qui étaient des dieux sur PC mais sortaient que de la daube sur console.
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Paulemile le Mer Jan 12, 2022 16:41

Jamais joué à un seul Battlefield. J'aime pas les FPS en général, donc je me suis pas penché dessus.
Mais ton retour donnerait presque envie de changer d'avis, Antarka :wink:
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Antarka le Ven Jan 14, 2022 13:12

Tu aimes pas les FPS ? Ça veut dire que je peux parler de Golden Eye un de ces jours sans te le piquer ?

A vrai dire, mon amour sur Battleflied, le truc ou vraiment j'ai trouvé ça révolutionnaire, c'est sur la cooperation, c'est ça que je voulais appuyer dans mon test.

Je veux dire... En fait je me rend compte que s'ils étaient plutôt rares et très ciblés (du Beat them All en général), gamin j'adorais les Jeux que tu pouvais faire en coop. Ne nie pas, toi aussi, y'a qu'a voir ton test du Tortue Ninja de la SNES la.

Avant les FPS PC, mon expérience de la coop c'était donc surtout du Beat Them All. Y'avait bien quelques jeux qui te proposaient ce genre de gameplay mais souvent c'était pas trop au point (les Sonic après le 2). Y'a bien eu Goemon 2 sur Nintendo 64 (un jeu excellent) aussi, mais ça reste assez rare dans les jeux auquel j'ai joué.

Puis sont venus les FPS PC. Perso j'ai vraiment commencé avec Unreal Tournament et Counter Strike. Et déjà niveau coop ça y allait davantage, même si on restait des amateurs qui, disons le, jouaient perso tout en saisissant parfois des opportunités de cooperation (mais on avait pas de "plan").

C'est Battlefield 1942 (et sa "suite" Battlefield Viêtnam) qui m'ont vraiment les premiers fait ressentir que je faisais parti d'un tout. Que je devais coopérer. Que je me battais pour quelque chose de plus grand que moi. J'imagine que c'est ce qu'on doit ressentir quand on se bat à la guerre.


Pour la petite histoire, si Battleflield n'est pas le dernier FPS auquel j'ai joué (y'a eu Far Cry aussi, puis Half-Life 2 et un peu Doom 3), c'est mon dernier gros jeu de LAN.

Pour le 3615mylife, j'ai quitté ma "région d'adolescence et d'adulescence" vers 2006, avec tout mon groupe de potes de l'epoque que j'avais depuis le collège. Potes avec qui, forcément, j'ai pas mal joué, même si on a tous eu le même parcours vidéoludique (passé des 16 bits à la N64 puis au PC). Les potes avec qui je faisais de la musique, avec qui on faisait des LAN aussi, et avec qui on s'inscrivait parfois à des LAN plus grosses.

Après ce déménagement, j'ai quasiment arreté de jouer en fait. Du rétrogaming juste, jusqu'à récemment.

Et J'ai joué à aucun vrai jeu multi à grande ampleur depuis la suite de ce Battlefield. Ce jeu est sans doute un de ceux qui représentent le mieux cette période de ma vie qu'était la petite vingtaine à l'époque.
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Paulemile le Ven Jan 14, 2022 14:50

Je dirais pas que j'aime pas les FPS. C'est juste pas le truc qui m'attire le plus, quoi. Comparé à des jeux de gestion, des RTS, des Hack'n Slash... jamais je choisirais le FPS ^^
Tu peux écrire sur Golden Eye sans souci sans me le piquer. Tu peux même écrire sur un jeu que j'ai déjà fait, ça m'intéresserait à fond aussi. Mais ouais Golden Eye mérite un truc, vu le succès qu'il a eu.

J'ai bien senti l'accent que tu mettais sur la coop dans ton texte, oui. J'aurais dû détailler ma réponse un peu plus, j'ai voulu commenter vite à un moment où j'avais pas trop le temps.
J'avoue que la baston à grande échelle comme ça, ça doit envoyer du lourd. Et oui j'aime beaucoup la coop, le jeu à plusieurs, ou simplement regarder un pote jouer, donc je comprends très bien ^^
J'ai pas mal joué à CS en cyber café, puis à Doom 3, qui doit être le dernier FPS auquel j'ai touché, en vrai.
Grosse période League of Legends aussi, avec sa co-op si particulière :P J'en ferai un article ici, il est dans ma seconde liste de jeux à commenter.

Bref, je me souviens, y a une quinzaine d'années, je voyais souvent des gifs de Battlefield tourner sur internet, avec des mecs qui faisaient des moves improbables, genre se jeter d'une falaise en jeep, sauter hors de la voiture et choper un avion de chasse en plein vol pour le piloter.
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Claude Lindsay le Sam Jan 15, 2022 13:00

ce jeu est fait pour le multijoueur, dixit antarka.

mais arrête moi si je me trompe - je dis peut-être des bêtises - mais il y a dix huit ans les gens pouvaient déjà jouer en ligne sur internet ( sans que ça rame je veux dire ) :?:

:lol: de mes vagues souvenirs à l’époque pour envoyer un mail ( bloc de texte avec une seule image fixe ) ça prenait trois plombes avec mon modem.

on s’appelait d’ailleurs souvent par téléphone pour savoir si on avait reçu le mail de l’autre :lol:
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Re: Consoles et jeux rétros

Messagepar Antarka le Sam Jan 15, 2022 16:12

Alors perso, le multijoueur sur PC, ca a été long et progressif.

Avant 1998-99 : rien. Le multi, c'était en local sur console. Avec un modem c'était pas la peine, même si j'aurais bien test Quake II en multi.

A partir de 1999 : je crois que j'ai eu le 512k à cette époque (j'étais en cambrousse). J'ai fail à jouer sur des FPS (ça ramait trop, déjà que mes PCs c'était pas de la compétition). Par contre du RTS ça passait (AoE2), du Diablo 2 un peu plus tard aussi. Warcraft 3 aussi plus tard (en 2003, je crois pas que j'avais plus que du 1024k)

À partir de 1999-2000 : en réseau local avec des potes. Ce qui impliquait de déplacer sa machine de 30kg (tour + ecran) à chaque fois.


En fait Oui, internet était "lent", mais Internet était plus léger aussi. Quand j'ai eu le 512k, téléchargements mis à part, je me sentais pas de limite à ce que je pouvais faire sur le net. En 2022 avec 512k, je suis pas sûr que tu puisses ouvrir Gmail.
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