par RMR le Jeu Déc 27, 2007 1:51
Alors, ma vision des choses est la suivante. Comme je l'ai dit par ailleurs, il n'y a que deux types d'énergies.Le ki et l'énergie vitale.
La quasi totalité des attaques utilisent le ki, et lorsqu'on épuise son ki, on ne peut plus se battre.
L'énergie vitale est beaucoup plus puissante que le ki, mais son épuisement signifie la mort. Le kikoho et les techniques d'autodestruction sont basées sur l'énergie vitale. C'est pour ça que Tenshinhan a mieux retenu Cell deuxième forme que Piccolo n'a pu retenir Cell alors seulement en première forme.
Mais il n'y a pas pour autant que deux attaques dans tout dragon ball. Aprés, on à une différence dans la forme de l'énergie.
Il est indéniable qu'il y a des rayons. Le kaméhaméha n'est pas une sphère qui est propulsée mais dont le passage resterait imprimé sur notre retine. C'est bel est bien un rayon, comme un jet d'eau sortant par un tuyau d'arrosage. Une libération continue d'énergie forme un rayon.
Il y'a des sphères. Une projection brève d'énergie donne une sphère. Comme un peu d'eau en apesanteur. Pas de raisons que ce ne soit pas sphérique.
Puis il y'a des manipulation de l'énergie qui donne des formes plus complexe. Le makankosappo en est.
Il y a aussi le fait que l'énergie peut être déployée sous une forme invisible, c'est tout ce qui est kiaï.
Mais ce n'est pas tout. Toute les attaques "rayons" n'en sont pas qu'une seule. Qu'est-ce qui change? Le placement des mains. Et si, on va chipoter pour ça. Faire différents mouvement des mains signifie canaliser autrement l'énergie et l'utiliser d'une autre façon. Même si ça peut être similaire.
Pour revenir au problème, le terme "boule de feu" est effectivement une expression. Un raccourci franco-français pour designer toute boule d'un truc impalpable et brulant/explosif dans une fiction. Mais dans la version originale, cette projection basique d'énergie est un kikoha. D'ailleurs, l'usage du terme "boule de feu" pour désigner les kikohas pose problème dans dragon ball, car en version originale, il y a déjà une technique qui s'appelle "boule de feu": en version originale, le "honô no tama" de Dabra (volume 38 page 127 case 02). Et il s'agit bien d'une boule faite de flamme. Le terme étant déjà utilisé, il ne vaut mieux pas utiliser ce racccourci français pour désigner les kikohas.