par Antarka le Ven Juil 10, 2020 12:01
Bon après les cultures ça évolue de toute façons, avec ou sans métissage hein.
Mais je comprend l'idée.
Dans un registre assez différent, un de mes oncles a 3 enfants, le premier est homo, la seconde est bi tendance homo, le troisième est homo. Bon mon oncle n'est pas homophobe, s'en fout un peu de l'idée de "culture hétéro" mais je sais que quand le 3eme a fait son coming-out il a un peu fait la gueule, et a certainement du se demander s'il avait joué un rôle la dedans (2,5 sur 3, ça pulvérise toutes les statistiques).
Pour les enfants metis, j'ai une filleule métis, qui a son papa d'origine brésilienne (donc déjà un métis, doit avoir du sang d'à peu près toutes les ethnies), et sa mère qui est créole réunionnaise. Ça fait vraiment une gamine magnifique.
D'un point de vue purement génétique, je suis mitigé par l'idée d'un grand brassage, parce que je trouve que la diversité génétique c'est cool, ça correspond plus à mon idée de l'évolution (bon c'est totalement foutu depuis 50 000 ans mais je trouve dommage qu'on soit là seule espèce du genre homo sur Terre et que les peuplades isolées se comptent sur le doigt d'une main), même si de tt façons c'est trop tard pour ça. Mais d'un point de vue culturel je m'en fiche.
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.