BlackWolf_ a écrit:Fais gaffe, un jour ça va te tomber sur le coin de la tronche tu vas rien comprendre !
Ou pas.

Non, je ne dis pas cela de façon pessimiste...
J'ai longtemps été une éplorée de l'amour, jusqu'à ce que je comprenne que la seule chose que j'ai aimé dans le fait d'aimer c'est le sentiment d'amour, pas la personne qui la procure.
Je ne dis pas que tout le monde pouvait me rendre amoureuse, hein. J'avais quand même mes critères de sélection.
Par contre, championne en amours irréalisables. Réussir à être en couple ? Mince, ce n'est finalement pas la bonne personne. Faut que je trouve quelqu'un d'autre.
Du jour où j'ai compris cela et que j'ai, de là, rapidement et pas si difficilement fait mon deuil de cet aspect de la vie, non seulement ma vie s'est simplifiée mais en plus je suis sortie de cette fichue dépression récurrente que je me traînais depuis mes 15 ans.
Maintenant, quand on me sort la phrase de BlackWolf, je commence par rire, parce que "s'cuse-moi, mais je me connais mieux que tu ne me connais, je n'ai pas l'intention de partir dans ce genre d'emm*rdes", mais après je flippe presque parce que "attends, mais je n'ai ABSOLUMENT PAS envie de m'enquiquiner avec quelqu'un !! Epargne-moi ça, je t'en supplie !"... ^^'
Parce que bon, je crois qu'on ne peut pas dire que je sois anamoureuse, qui est différent du aromantique suggéré par Baddy, selon les souvenirs des recherches effectués il y a quelques années de cela (mais les définitions ont pu changer depuis... ?), puisqu'il m'arrive de voir mon intérêt éveillé par quelques personnes, par-ci, par-là, tout ça parce que ces personnes ont un quelque chose avec lequel j'accroche ET qu'elles me montrent un semblant d'intérêt. Qui en fait est juste de la gentillesse professionnelle entre collègues.
Sur ce, je m'en vais réviser mes définitions sus-citées !
Et puis qui sait, me lire et se dire "ouais, non, c'est pas moi, ça" pourrait en rassurer...
Vous n'êtes pas des causes perdues, vous ! XD