Quand peut-on parler d'une erreur dans une fiction?

Edit RMR : Sujet originellement créé sur ce topic: Force de Freezer à propos de la force de Végéta évaluée à 20 000 contre le commando Ginue alors qu'il était déjà à 24 000 contre Doria et qu'il a frôlé la mort entre temps et de la force de Freezer évaluée à 530 000 en première forme et 1 000 000 en deuxième forme.
Bon alors, autre exemple : il y a un pion.
L’auteur dit que ce pion est blanc, il le dessine en blanc. Plus tard, il dit que ce même pion est noir. Et encore plus tard, il dit qu’il est blanc. Il y a contradiction.
Soit on recherche la vérité et on déduit de la proportion des éléments (ici on a les 3/4 des éléments qui montrent que le pion est blanc contre 1/4 pour le noir) que la vérité est que le pion est blanc et que l’auteur s’est trompé quand il a dit qu’il était noir.
Soit on considère que toutes les informations données sont correctes et qu’il n’y a aucune erreur. Conséquence : on considère que le pion est blanc donc pas noir mais qu’il est aussi noir donc pas blanc, puisque les informations sont incompatibles. Double contradiction. Qu’est-ce qu’on peut en déduire ? Rien. Néant. Incompréhension totale. Conclusion : on n’en sait rien, c’est une impasse.
Imagine qu’une histoire soit bourrée de non-sens. Tu restes bloqué, tu ne peux donc statuer sur rien, tu ne sais rien, tu ne comprends rien, tu ne peux plus réfléchir (tu n’as plus qu’à te dire « cherche pas, tout est correct »). L’œuvre en devient alors totalement inintéressante.
Ce n’est pas que je considère qu’il n’y a pas de S, mais qu’il ne doit pas y avoir de S, c’est-à-dire que le S est faux.
C’est déjà mieux que de considérer que les deux orthographes sont correctes alors qu’il y en a forcément une mauvaise.
Ce n’est pas important, du moment que je me rends compte que c’est une erreur. Je n’ai pas besoin que cette erreur soit corrigée pour connaître la vérité.
C’est sûr que ça aurait été bien si il n’y avait pas eu d’erreur, ça aurait évité à certaines personnes de rester bloquées en totale incompréhension par une contradiction qui s’est imprégnée dans leur esprit. Mais moi je n’ai pas besoin qu’elle soit corrigée officiellement sur papier, je peux facilement la corriger dans mon esprit et ainsi garder l’esprit clair.
L'exemple est mauvais vu qu'il est purement formel.
Bon alors, autre exemple : il y a un pion.
L’auteur dit que ce pion est blanc, il le dessine en blanc. Plus tard, il dit que ce même pion est noir. Et encore plus tard, il dit qu’il est blanc. Il y a contradiction.
Soit on recherche la vérité et on déduit de la proportion des éléments (ici on a les 3/4 des éléments qui montrent que le pion est blanc contre 1/4 pour le noir) que la vérité est que le pion est blanc et que l’auteur s’est trompé quand il a dit qu’il était noir.
Soit on considère que toutes les informations données sont correctes et qu’il n’y a aucune erreur. Conséquence : on considère que le pion est blanc donc pas noir mais qu’il est aussi noir donc pas blanc, puisque les informations sont incompatibles. Double contradiction. Qu’est-ce qu’on peut en déduire ? Rien. Néant. Incompréhension totale. Conclusion : on n’en sait rien, c’est une impasse.
Imagine qu’une histoire soit bourrée de non-sens. Tu restes bloqué, tu ne peux donc statuer sur rien, tu ne sais rien, tu ne comprends rien, tu ne peux plus réfléchir (tu n’as plus qu’à te dire « cherche pas, tout est correct »). L’œuvre en devient alors totalement inintéressante.
Quand tu repères une faute d'orthographe dans un livre, que fais-tu? Tu corriges au bic rouge? Tu mets du "Tipp-Ex" sur le S en trop? Ou tu considères qu'en fait, il n'y a pas de S?
Ce n’est pas que je considère qu’il n’y a pas de S, mais qu’il ne doit pas y avoir de S, c’est-à-dire que le S est faux.
C’est déjà mieux que de considérer que les deux orthographes sont correctes alors qu’il y en a forcément une mauvaise.
Toute ta volonté n'y changera rien.
Ce n’est pas important, du moment que je me rends compte que c’est une erreur. Je n’ai pas besoin que cette erreur soit corrigée pour connaître la vérité.
C'est certes déplorable mais à ce stade, il n'y a plus qu'à écrire à l'éditeur pour lui signaler la bourde...
C’est sûr que ça aurait été bien si il n’y avait pas eu d’erreur, ça aurait évité à certaines personnes de rester bloquées en totale incompréhension par une contradiction qui s’est imprégnée dans leur esprit. Mais moi je n’ai pas besoin qu’elle soit corrigée officiellement sur papier, je peux facilement la corriger dans mon esprit et ainsi garder l’esprit clair.