Bravo Draven :
7h00
Le radio réveil t’hurle l’ordre de te réveiller. Forcement, tu t’exécutes. C’est imparable. Comme chaque matin, à cette même heure. Le travail t’y force. Il paraît que même les chômeurs et les retraités suivent ce rituel.
Eux le veulent. Pour ne pas sombrer. Il leur faut donner un intérêt - même stérile et illusoire - à cette vie.
Alors que toi, tu t’y crois forcé. Tu l’es peut-être.
Le personnage est stressé et sujet à "psychoter". Il réfléchit de tout, analyse et calcul l'ensemble des paramétres de sa vie.
Comme d’habitude, tu prend ton petit-déjeuner en écoutant le flash de France Info. C’est pas spécialement par besoin de se tenir informer, mais surtout pour pouvoir suivre la discussion entre collègues lors du café de 10h.
Tu finis ton café tandis que le bulletin se termine.
Soudain, tu l’entend.
Ce que Draven semble avoir compris, c'est que le personnage entend quelque chose à la radio, à la suite du bulletin d'info : c'est bien de la pub.
Tu as de hautes fonctions administratives dans une galerie commerciale parisienne.
Notre personnage entretien un rapport "privilégié" avec le commercer, la consomation et la publicité.
Sur le mur, on imagine assez bien une grande affiche publicitaire.
Notre personnage se sent totalement harcelé par les divers publicités que l'on nous balance à longueur de journée. Pour rappel, à 18 ans, un individu a déjà été soumis à plus de 350.000 publicités.
Alors, qui gouverne le monde ?