Origines

[Shadows]

O.o je suis disons impressionner par l'explication qui est bien dite avec l'histoire de division des forces a chaque enfant etc... enfin je suis a 100% avec toi tu es vraiment inspirer ^^ juste quelque question ?

Alors déjà Cold et compagnie sont d'avant le bigbang donc sur quoi regnait-il ( oui c'est juste une question intérieur pas besoin de répondre)
et celons la puissance qui se divise Ok mais comment il fais c'est gamin ils sont ovipare et même ^^'

Voila j'en ai d'autre mais, sans importance XD bonne continuation

[sonluffy-z]

Tu reprends pas mal d'idées de ton ancienne fic mais c'est toujours très bon .

[broly97]

Belle présentation des démons du froid, àla fois tragique et scientifique, j'adore.
Ainsi il y avait un big bang aussi dans le monde de DB (logique me direz vous), donc il y a d'autres démons du froid qui se sont réfugiés dans le Makaï alors, si j'ai bien suivi .

[rabah11]

dit moi les dieu non pas repérait les saiyen ou il n'existe pas dans ta fic

[Abysse]

O.o je suis disons impressionner par l'explication qui est bien dite avec l'histoire de division des forces a chaque enfant etc... enfin je suis a 100% avec toi tu es vraiment inspirer ^^

Merci ! Content que l'idée que j'ai explorée ne t'aie pas déplue !

Alors déjà Cold et compagnie sont d'avant le bigbang donc sur quoi regnait-il ( oui c'est juste une question intérieur pas besoin de répondre)

Sur quoi régnaient-ils ? Eh bien, sur une sorte de vide primitif intersidéral extrêmement hostile, quelque chose comme ça. Qui sait s'ils côtoyaient autrefois d'autres espèces primitives puissantes qui ont aujourd'hui disparues ou qui se sont réfugiées dans le Makaï ?

mais comment il fais c'est gamin ils sont ovipare et même ^^'

Pour ce qui est des Nameks, on sait que eux, ils sont "ovipares", mais les démons du froid ? En fait, on n'en sait strictement rien. Peut être que je développerais ces détails plus tard, faudra bien que Cooler et Freezer naissent un jour. ^^

Voila j'en ai d'autre mais, sans importance XD bonne continuation

Encore merci et n'hésite pas pour les questions, je tâcherais d'y répondre dans la mesure du possible !

Tu reprends pas mal d'idées de ton ancienne fic mais c'est toujours très bon .

Héhé, merci ! Et tu t'en souviens encore, de cette fic disparue. C'est trop d'honneur ^^

Belle présentation des démons du froid, àla fois tragique et scientifique, j'adore.

Content que ça te plaise, merci !

donc il y a d'autres démons du froid qui se sont réfugiés dans le Makaï alors, si j'ai bien suivi .

Pt'être bien que oui, pt'être bien que non ! C'est volontairement assez flou.

dit moi les dieu non pas repérait les saiyen ou il n'existe pas dans ta fic

Les saiyens... Bien sûr qu'ils apparaîtront à un moment ou à un autre dans la fic. Je n'en dis pas plus ^^

[kouki]

Les saiyens... Bien sûr qu'ils apparaîtront à un moment ou à un autre dans la fic. Je n'en dis pas plus ^^

Y aura peut être du LSSJ *o* !
Sinon superbe chapitre, ça explique mieux pourquoi Cold dans le présent se fait tuer facile par un SSJ, chaque génération régresse au niveau puissance si j'ai bien compris ^^ !

[Max]

En fait, Kouki, comme dans cette fic, il peut se transformer, j'aurai plutôt dit qu'il s'est fait avoir car il était en forme de réduction.

Je n'aie pas grand chose à ajouter au chapitre. C'est toujours aussi captivant.

[Abysse]

CHAPITRE 12



Un vaisseau spatial de reconnaissance et de type furtif, extrêmement élaboré, se tenait à la lisière d'un gigantesque champ de météorites infranchissable, grand comme une galaxie entière, et qui rendait inaccessible l'accès à la zone stellaire inconnue qui se trouvait au delà.
-Commandant, s'aventurer dans ce champ d'astéroïdes équivaut à une mort certaine. Et nous ne pouvons pas le contourner, cela prendrait plusieurs centaines d'années... Nous sommes donc dans l'impossibilité de suivre ces deux créatures. Nos technologies avancées actuelles ne nous le permettent pas.
-Hum... Larguez la sonde spéciale ! C'est le seul moyen pour nous de ne pas perdre de vue ces créatures. Et faites attention à ce qu'ils ne la repèrent pas. Fit la voix du commandant des forces alliées des planètes envahies et colonisées par Cold.
-Très bien !
Après une soigneuse procédure de compte à rebours, le vaisseau ovale doté de hublots et de trains d'atterrissage en formes de pattes d'insecte expulsa de ses entrailles une petite sonde radioguidée, ronde et sans passager, spécialement conçue pour l'occasion, depuis la venue des deux aliens polymorphes colonisateurs de mondes, afin de les pister et d'explorer les milieux spatiaux les plus extrêmes.
Concentré et en sueur, depuis le vaisseau mère en stationnement, le pilote-opérateur de ce mini-drône esquivait adroitement la pluie de météorites dans laquelle s'aventuraient pour la première fois, via la technologie, les êtres vivants civilisés de cette partie de la galaxie.
Soudain, au bout d'un long moment, le contact sonar disparut brusquement.
-Que se passe t-il ?
-Nous l'avons perdue !
-Enclenchez les dernières informations de la boite noire ! Est-ce une météorite qui l'a percutée ? Vociféra le commandant, depuis son siège au milieu de la salle de commandes.
Une flopée de techniciens se mirent à pianoter frénétiquement leurs écrans.
-Non... Ce n'est pas une météorite...
- Alors quoi ??


Beaucoup plus loin, dans les profondeurs stellaires inaccessibles entourées de météorites radioactives, deux êtres se tenaient au beau milieu de ce champ d'étoiles filantes et d'astéroïdes géants. L'un d'eux se tenait majestueusement les bras croisés sur le sommet d'une énorme roche flottante, tandis que l'autre, d'un kikoha violet, venait de pulvériser le petit robot qui les traquait.
-Rappelle moi de punir et d'anéantir les dissidents de la planète Karaambar lorsque nous en aurons fini avec père... Fit remarquer Cold, à son frère.
-Pffu, c'est comme ça que tu gères les habitants des mondes que tu as envahis ? Tu ne peux t'en prendre qu'à toi même si ils ne savent pas obéir... Dans la parcelle que j'ai colonisée, les habitants ont compris que toute insubordination de leur part est vouée à l'échec. Ils n'oseraient jamais rien tenter contre moi, contrairement à toi, se moqua Chill.
-Ferme la, Chill. C'est toi qui m'as embarqué là dedans, à la base.
-Allons, nous avons plus important à faire, maintenant que nous maîtrisons nos formes originelles respectives. Nous devons renverser père. Tu auras tout le loisir de t'amuser avec tes misérables planètes renégates lorsque nous reviendrons.

Sur ce, les deux aliens décollèrent et repartirent promptement, en zigzaguant à travers la pluie incessante de météorites aussi grosses que des planètes traditionnelles. Après plusieurs jours de voyage dans le vide intersidéral, ils arrivèrent à la sortie du champ d'astéroïdes. L'espace stellaire qui s'ouvrait à eux était plongé dans le noir, aucune étoile n'illuminait cette zone. Seuls des reflets violets apocalyptiques et surnaturels luisaient de temps à autre, sur les parois du ciel noir d'encre, phénomènes magiques qui marquaient la frontière dimensionnelle et hermétique avec un monde inconnu, le Makaï.
La seule et unique planète des environs, gigantesque, plus grosse que n'importe quel soleil résidant dans les galaxies au delà de la ceinture d'astéroïdes, fut en vue. Les deux frères, se tenant au milieu du vide spatial primitif, chaotique et magique, marquèrent une pause et observèrent leur planète natale.
-Notre planète se meurt...
La transformation finale et irrémédiable de leur vieille planète en un de ces maudits soleils qu'ils détestaient tant avait marqué le début de la fin de leur vie solitaire en autarcie. C'est la raison pour laquelle Cold et Chill furent les premiers de leur espèce à la quitter pour explorer le vaste univers.
-Père est là. Il n'a jamais quitté sa planète moribonde. Il s'y accrochera jusqu'à la fin.
-Penses tu vraiment que nous puissions vaincre père...? S'inquiéta Cold. Même s'il ne peut plus se transformer, sa puissance est au moins aussi grande que les deux nôtres réunies...
-On verra, répondit Chill, laconiquement, ravalant ses propres inquiétudes.
Et les deux frères partirent à la rencontre de leur destin. Ils atterrirent sur leur planète natale, la seule planète de l'univers assez grosse pour supporter leur masse en forme originelle.
La planète, en fin de vie, générait une gravité inimaginable. Si ça n'avait pas été eux, n'importe qui d'autres aurait été volatilisé en poussière avant même d'atteindre la surface.
Ce qui était autrefois une vaste planète de glaciers éternels que la chaleur d'un simple soleil traditionnel ne suffirait même pas à faire fondre, se liquéfiait immanquablement à cause du réchauffement général de l'univers depuis le BigBang, entamé il y a des millions et des millions d'années. Sur sa surface, de violentes tempêtes magnétiques et d'éclairs parsemaient le quotidien. Et chacune de ces tempêtes pouvaient ravager une planète normale en quelques millièmes de secondes. Mais les deux démons de l'univers d'avant le BigBang ne semblaient nullement affectés par ces conditions apocalyptiques. Ils étaient habitués à vivre dans un tel environnement, depuis leur naissance.

C'est alors qu'ils le virent.
A travers la brume mortelle de gaz radioactifs réchauffés, s'avançait une silhouette imposante dotée de cornes gigantesques, sans aucune mesure avec les cornes que pouvaient développer Cold et Chill, dans leurs transformations réductrices respectives. Les yeux entièrement rouges qui semblaient pouvoir pulvériser une planète d'un regard, les fixaient.
-Vous, mes fils...
-Père. Nous sommes revenus.
-...
La pression ambiante était énorme et palpable. Les tempêtes de givre réchauffé et radioactif redoublèrent d'intensité et hurlèrent de plus belle.
-...
-Alors... Comment est l'univers d'au dessus la frontière du royaume des anciens démons ?
-Incroyablement fragile.
-Je vois... La faiblesse de ma génération vous a permis d'y survivre et de vous y accoutumer...
-Tu nous traites de faibles...?
-C'est ce qui vous êtes, répondit la terrible voix de l'un des êtres les plus anciens et les plus puissants que l'univers actuel ait jamais porté.
-Nous allons voir si nous sommes faibles !!!
Alors Cold et Chill, dans la splendeur de leur transformation originelle maîtrisée, s'élancèrent en avant. Ils jetèrent dans l'assaut toute leur puissance qui pouvait soumettre une galaxie entière.
Korudo l'Ancien leva son bras droit et bloqua sans difficultés le poing de Chill qui s'abattait sur lui. Et de son bras gauche, il para sans mal le pied de Cold lancé à une vitesse vertigineuse. Puis, il poussa un Kiai si puissant que ses deux rejetons en furent balayés comme des feuilles mortes. La terre se craquela partout autour, réveillant les volcans et le magma qui n'attendaient que ça pour émerger des entrailles de la planète de glace en passe de devenir une étoile géante rouge.
Légèrement sonnés, les deux fils repartirent promptement à l'assaut.
-Prends ça ! Supernovae ! Hurla Chill, en générant une gigantesque boule d'énergie orange et cerclée d'éclairs jaunâtres, capable de pulvériser n'importe quelle planète normalement constituée.
Cold en fit autant. La technique qu'il joignit à celle de son frère était très similaire, sauf qu'elle était noire, et cerclée d'éclairs rougeâtres.
L'éclat permanent des yeux rouges de l'Ancien augmenta. Puis il prit une brusque impulsion et fondit droit sur la boule d'énergie la plus puissante, celle de son fils aîné, qui précédait celle de Cold.
-Kiééé !!!
Et d'un simple coup de pied faramineux, le paternel renvoya la boule orange et jaune. Cette dernière fut déviée et alla percuter en retour, sa consoeur noire et rouge qui la suivait de près.
Horrifiés et impuissants, Cold et Chill virent leurs deux techniques fusionner et se retourner contre eux.
La déflagration qui s'ensuivit fut telle que la fonte des glaciers éternels de la planète instable en fut accélérée et toute cette région du cosmos, d'ordinaire plongée dans le noir absolu, en fut illuminée.

A la fin, lorsque le calme revint sur le champ de bataille apocalyptique, Cold et Chill étaient à terre, mal en point.
Korudo l'Ancien marchait vers eux et chacun de ses pas faisait comme un tonnerre qui secouait le sol, pouvant broyer n'importe quelle planète de gravité et densité moindres.

-Imbéciles... Je suis votre père. Périsse l'univers entier, vous ne me vaincrez jamais, avec votre niveau... Avez vous oublié que votre puissance provient de moi ?
Chill et Cold n'en revenaient pas que leur paternel puisse être aussi puissant. Ils étaient pourtant dans la splendeur de leurs formes originelles maîtrisées alors que leur père était physiquement diminué depuis des siècles et ne pouvait même plus se transformer.
-Arrggh... Gémit Cold, à terre. Même à nous deux, on ne peut rien faire...? Nous n'aurions jamais dû le défier...
-...
Recouvert d'égratignures, Chill fut le seul à se relever, tant bien que mal.
-Détrompe toi, père, fit l'aîné des deux fils de Korudo. Il me reste... une carte à jouer.
-Comment ?
-Je vais te montrer la raison pour laquelle nous avons eu l'assurance de te défier, toi, notre père ! Regarde ce que tu m'as légué en m'engendrant !
Alors Chill concentra son pouvoir et fit appel à toute la puissance qui sommeillait en lui. Son aura se mit à grandir en flèche et dans un fracas infernal d'énergie pure qui fit s'accélérer le processus imminent de la transformation de la vieille planète en une géante rouge, il dépassa enfin le stade de la forme originelle. Ses iris rubis se dilatèrent et vinrent occuper la totalité de ses globes oculaires.
Ses muscles et sa silhouette triplèrent de volume et il se mit à grandir en taille. Dans un bruit abject semblable à des os raclés contre de la pierre, des excroissances se mirent à pousser sur les protections de ses avant-bras et de ses mollets. L'armure osseuse qui lui servait de plastron s'allongea au niveau des épaules, prenant des proportions effrayantes. Une collerette de pics osseux émergea lentement de son crâne. Et enfin, dans un dernier grésillement d'énergie disjonctante, un masque quadrillé vint recouvrir et protéger la partie basse de son visage.
D'une respiration rauque et amplifiée, la voix gutturale profonde de derrière le masque quadrillé parla :
-Peuf... Peuf... Voilà la puissance de la mutation au dessus de la forme originelle que mes péripéties dans l'univers m'ont révélée, pendant que tu te morfondais sur cette minable planète mourante ! Père, je t'ai enfin surpassé ! Voici venu le glas de ton règne ! C'est maintenant que nous te renversons et que nous prenons ta place !
Cold, toujours cloué au sol, tremblait devant la puissance, la majesté et la grâce sauvage de la nouvelle apparence de son frère.
Korudo, quant à lui, restait de marbre. Il affichait en toutes circonstances un calme horrifiant. Seul l'éclat de ses yeux entièrement rouges, exactement semblables à ceux de son fils aîné, trahissait du fait qu'il était sincèrement étonné par l'autonomie et la puissance qu'avait atteint son premier rejeton.
-... Eh bien, en garde, mon fils ! Montre moi donc ta nouvelle puissance ! Si elle n'est pas à la hauteur de tes espérances, tu mourras !
Alors le père et le fils s'élancèrent dans un assaut mortel et décisif.
Le choc des puissances et des quantités d'énergie dégagées furent inévaluables, et Cold lui même, dut fermer les yeux et se protéger le visage, en raison de l'éclat aveuglant et de l'ampleur cataclysmique qui produisaient les énergies qui s'entrechoquaient.
La vieille planète géante, qui avait jadis servit de refuge à cette race ancienne, immaculée depuis la nuit des temps, acheva de s'effondrer sous son propre poids. Les atomes de son noyau redoublèrent d'activité et entamèrent des réactions en chaîne de fusion nucléaire de plus en plus violentes, et le noyau se dilata d'un coup. La surface désolée autrefois glaciale et sans atmosphère, fut ravagée et disparue sous la chaleur ardente. La planète n'était plus qu'un noyau géant qui générait des fusions nucléaires de plus en plus intenses. Elle devenait enfin un soleil.
Sur son sol chaotique sur lequel nul être vivant ne pourrait se tenir à part eux seuls, les deux silhouettes qui étaient entrées en contact demeuraient immobiles et figées tandis qu'une troisième, allongée sur le sol bouillant assistait en spectateur.
-Je te félicite, mon fils... Tu m'as surpassé, moi, ton père.... Sourirent les lèvres noires de Korudo l'Ancien, alors que le poing de son fils était fiché dans son torse.
-Père... Si tu n'avais pas perdu tes transformations en nous donnant la vie, nous n'aurions jamais pu te vaincre...
Le père de Cold et Chill cracha une gerbe de sang.
-C'est le destin de notre race... Les fils doivent détrôner le père... Et tu as réussi...
-...
-Partez... Partez, à présent... Quittez cette planète avant que son processus de destruction ne s'achève complètement... Sinon vous serez pris dedans et vous perdrez de votre force... Même vous, vous ne pourrez pas survivre à la puissance du soleil...
Mais c'était trop tard. Cold et Chill avaient été considérablement affaiblis par l'affrontement familial. Ils n'avaient même plus la force de s'arracher et d'échapper à la chaleur et à la gravité qui devenaient de plus en plus chaotiques.
-Nous avons vaincu notre père mais nous allons mourir... Ferma les yeux Cold, écrasé par la puissance du soleil grandissant sur lequel ils se tenaient encore tous les trois.
Chill, à bout de forces suite à l'exploit d'avoir transpercé son père, s'effondra au sol, sombrant peu à peu dans l'inconscience. Cold s'était déjà évanoui. La chaleur ardente des atomes en fusion sur le sol magmatique allait les consumer.
Le Roi Korudo, bien que transpercé, posa un genou à terre, en se tenant le torse sanguinolent d'une main. Ses deux fils étaient déjà inconscients.
-Kuuu... Fit-il en résistant à la puissance du soleil, malgré sa blessure mortelle. Notre race ne s'éteindra pas aujourd'hui ! Mes fils, vous ne devez pas mourir... Vous devez survivre et répandre la puissance et la suprématie de notre race dans tout l'univers...! Moi, je suis né et je mourrais ici...
Alors Korudo, le seul qui parvenait à rester debout sur le champ de bataille ardent, fit appel à toutes ses forces restantes et se saisit des corps inconscients de ses deux fils qui l'avaient vaincu. Puis, dans un effort surhumain, il parvint à les arracher à la gravité infinie et les propulsa dans les airs.
-NUUUOOOOH !!!!!
Il visa, et d'un gigantesque kikoha rougeâtre zébré d'éclairs noirâtres, il poussa sa progéniture hors du champ d'action mortel de la planète-soleil. La vague déferlante les repoussa très loin dans l'espace, hors de portée. Les corps de Cold et Chill, même évanouis, étaient en mesure de survivre sans problème dans l'espace vide et chaotique, et il le savait.
La planète géante en perdition acheva d'un coup son processus de passage en une étoile, et se dilata instantanément dans un éclat aveuglant qui illumina les ténèbres de cette partie du cosmos, pour laisser place à un tout jeune soleil.

Ce fut la fin de Korudo, l'être suprême de sa génération, le père de Chill et de Cold, qui engendrera lui même plus tard les tristement célèbres tyrans de la Galaxie du Nord, Cooler et Freezer.


A suivre...

[Pensyves]

Une fin pour ce père tout en noblesse, comme quoi l'instinct pa(ma)ternel .... En tout cas sympathique fiction qui expliquerait bien des choses. Néanmoins, j'aurai aimé pouvoir lire l'ancienne version dont certaines parlent dans ce sujet...

[Abysse]

CHAPITRE 13


Le messager savait qu'il allait mourir.
Porter de mauvaises nouvelles au seigneur des lieux raccourcissait considérablement l'espérance de vie. D'autant plus qu'il était de notoriété publique que le privilège de voir, de contempler, et de parler avec Cold n'arrivait qu'une seule fois dans une vie. Juste avant de mourir.
Avant d'entrer dans la salle du trône, le porteur de nouvelles attitré avait tout juste eu le temps d'écrire au revoir à sa femme qui se trouvait sur leur lopin de planète acheté à l'autre bout du système stellaire et de s'assurer que la totalité de sa solde lui serait reversée. Puis, il était parti à la rencontre de son destin.
En franchissant les lourdes portes du couloir de la salle du trône, le malheureux messager ne put s'empêcher de penser que si le seigneur Cold n'avait pas une telle aversion pour la technologie, la mauvaise nouvelle aurait pu lui être communiquée autrement, par message holographique ou par retransmission vocale. Ce n'était pas les moyens de communication à distance qui manquaient. Et c'était bien la peine de disposer du fleuron technologique de la galaxie en matière d'armement et de télécommunications si c'était pour que l'être le plus haut placé de ladite galaxie ne daigne même pas s'en servir pour les communications les plus courantes ou les plus urgentes de la gestion de son royaume. Avec le patron, tout passait par un être vivant. Même si cela occasionnait de fréquents problèmes de renouvellement de personnel.
Le messager, un humanoïde aux traits bleus et aux yeux jaunes, originaire d'une des nombreuses planètes qui appartenaient à Cold, avait su qu'il était mort, à l'instant même où il avait appris qu'il était choisi pour remplacer le dernier coursier exécuté par les sautes d'humeur du patron. Il avait bien songé à déserter et s'enfuir, mais les représailles auraient été terribles pour lui et sa famille, et peut être même pour son peuple entier. Des rumeurs de couloir prétendaient que Cold avait fait sauter la planète natale de l'un de ses serviteurs juste parce que celui-ci avait menti pour atténuer son rapport. On ne trompait pas Cold. Il avait un don particulier pour déceler ces choses-là. C'est sans doute pourquoi il ne s'embarrassait d'aucune facilité technologique. Avec lui, tout se passait d'homme à homme. Et Cold s'assurait de la confiance absolue de ses subordonnés par la terreur. Le trahir était une chose inenvisageable sous peine de génocide. Les inquiétants bruits et ragots que se colportaient ses subordonnés tremblants n'étaient pas là pour le contredire.
Le condamné entra dans la vaste salle du trône, en transpirant à grosses gouttes.
Cold était juste là... En personne.
Assis et seul dans la vaste pièce, tenant avec une majestueuse nonchalance, un verre d'alcool rouge à la main. Son regard glacé se posa sur le messager. Celui-ci déglutit et s'agenouilla en silence.
-Plus bas. Ordonna la voix de Cold, avec malice.
Une très puissante force invisible écrasa le dos du porteur de nouvelles. Ce dernier s'aplatit au sol comme une larve rampante, comme s'il était pris dans un étau invisible.
L'être aux immenses protubérances cornues qui pointaient vers les cieux, esquissa un léger sourire carnassier sur ses fines lèvres noires.
-Eh bien, quelles nouvelles ?
Le messager alla droit au but. Net, clair et concis. Sans s'embarrasser de formules de politesses foireuses. Plus vite il mourrait, mieux ce serait. Et il n'aurait plus à supporter cette épée de Damoclès sur la tête.
-Votre... frère... Le seigneur Chill... s'est fait battre.
Le verre à la main du maître des lieux se brisa subitement.
L'alcool, un nectar rare à base de nitroglycérine radioactive fermentée, se renversa au sol et la fine flaque s'enflamma aussitôt.
Un craquement sinistre s'éleva ensuite dans toute la pièce.
Et d'un coup, la gigantesque baie vitrée de la salle du trône qui donnait sur le ciel étoilé de l'espace, pourtant épaisse de plusieurs mètres, vola en éclats.
L'écho d'une sirène d'alarme stridente retentit dans le bâtiment, tandis que l'infortuné messager s'agrippait désespérément au sol de la salle du trône pour ne pas se faire aspirer par la dépressurisation et basculer dans la nuit noire par la brèche béante. Au bout d'un moment, l'aspiration fut trop forte pour lui et il lâcha prise. Son corps valdingua en direction de l'ouverture. C'était la fin... Il allait se retrouver largué dans l'immensité du cosmos et finir implosé en petits morceaux gélatineux en suspension dans le vide...
Mais cette mort atroce n'arriva pas. Les systèmes de sécurité du complexe prirent in extremis le relais, et les lourds volets métalliques hermétiques s'abattirent miraculeusement. Le dos du messager heurta violemment un des épais battants et il retomba lourdement au sol. Il était sauvé, du moins temporairement. Endolori de partout, il se risqua à lever les yeux vers son souverain.
Cold, qui ne s'était pas le moins du monde soucié de la dépressurisation, se leva alors lentement de son trône.
-Explications ! Se contenta-t-il de prononcer d'une voix imposante et ferme, en affichant des traits de marbre. Seul l'éclat de ses yeux rougeoyants et le battement stressé de sa queue trahissaient son état d'esprit.


Plusieurs dizaines d'années auparavant...


Depuis la mort de leur père et le changement de leur planète natale en étoile géante rouge, libérés d'un poids sur le coeur, les deux frères rivaux Cold et Chill étaient repartis vers ces lointaines régions stellaires où les étoiles et planètes habitées fourmillaient en abondance, remplies de lumières et de couleurs.
Ils quittèrent définitivement leurs profondeurs stellaires natales noires, vides et hostiles, situées en bordure de la frontière magique de l'inaccessible royaume du Makaï, là où s'étaient réfugiés la plupart des leurs à la venue de la grande lumière des Kaioshin, il y a des millions d'années.
Leur père était l'unique descendant de ceux qui n'avaient pas voulu se réfugier dans le Makaï avant son scellement définitif. Mais l'unique planète géante sur laquelle leurs ancêtres avaient élu domicile avait fini par se transformer en étoile. Le vieux Korudo avait décidé d'y rester et d'y mourir comme il y était né, après s'être fait vaincre par ses fils, qui, eux, s'étaient aventurés plus loin dans l'espace qu'aucun autre avant eux.
Quitter la zone frontalière avec le Makaï avait longtemps été un chose impensable. Leur corps surpuissant supportait mal la différence énorme de pression qui régnait entre la surface de l'univers et ses profondeurs.
Mais Cold et Chill furent les premiers de leur espèce à pousser au delà de leurs limites leurs formes de réduction. Et de planète en planète, dans cet univers si giboyeux, si fragile et si abondant, ils s'étaient amusé à tester leurs pouvoirs et à découvrir la richesse des opportunités que pouvaient leur procurer leurs formes réductrices. Le contact avec d'autres formes de vie, par exemple. Car, en temps normal, sous leur forme originelle, ils étaient si puissants que toute vie alentour se consumait à leur vue.
Puis, avec leur temps, ils avaient plus ou moins appris à maîtriser la splendeur de leurs formes originelles sans presque trop affecter leur environnement spatial ou planétaire. Mais rien ne valait le confort et le laisser-aller que procurait les formes réductrices. Elles leur offrait aussi l'avantage d'une vie plus longue, et moins usée par la puissance. Cependant, même ainsi physiquement diminués, ils restaient au sommet de la chaîne alimentaire de l'univers actuel, eux, Cold et Chill, les deux seuls descendants d'une race de l'Ancien univers à vivre hors du Makaï.

Leur remontée à la surface de l'univers suite aux bouleversements de leur habitat et leur adaptation à ce nouvel environnement bouleversa l'écosystème, aussi bien naturel que politique, d'une galaxie entière. A eux deux, Cold et Chill provoquèrent la migration massive de millions de peuples planétaires. Leur simple présence causait leur fuite. D'un geste, ils pouvaient raser une planète entière dans sa totalité. Personne n'avait jamais rencontré de prédateurs comme eux. Même si c'était relativement peu à l'échelle de l'univers entier, la plus légère déviation des flux migratoires interstellaires suffisait à entraîner un désastre écologique sans précédent dans toute une galaxie. La chaîne alimentaire des systèmes solaires locaux s'en trouva entièrement bouleversée. Des millions de peuples supplémentaires s'entassaient dans les mêmes zones et toute la balance alimentaire s'en trouva déséquilibrée. Beaucoup se battirent pour les maigres ressources et bon nombre de peuplades locales furent fatalement éliminées. A terme, cela affecta toute la géostratégie de la galaxie pour les siècles à venir.

Cold et Chill savaient aussi qu'il ne devait rester qu'un seul d'entre eux et qu'à un moment ou à un autre, ils devraient lutter pour leur propre suprématie.
Mais étant jeunes, intelligents, affranchis de l'autorité paternelle et de leur ancienne vie en autarcie, désireux de connaître l'immensité de l'univers, ils s'étaient accordé une trêve prolongée et n'étaient pas pressés de la rompre.
Ils eurent alors l'idée égoïste et perverse de s'affronter indirectement.
Ils fondèrent ce qu'on surnommerait plus tard le Planet Trade Organisation, dont le but était de lever la plus grande armée possible d'autochtones vivants et de faire rivaliser entre elles les différentes factions.
Chacun organiserait ses propres factions qui seraient recrutées par la force parmi les différents peuples qui pouvaient exister dans la galaxie, ce qui était chose aisée, et les mettre en concurrence pour coloniser et soumettre le plus grand nombre de planètes et de systèmes possible.
Ainsi, ils auraient moins à se fatiguer eux-même et accumuleraient beaucoup plus rapidement les plus belles planètes de la galaxie à leur botte. Et la supériorité de l'un sur l'autre serait attribuée par le nombre individuel de planètes conquises et colonisées par les différentes factions au sein d'une même armée commune, mais rivale. Ils seraient alors les rois de la galaxie et l'univers et ses peuplades, leur échiquier.
L'influence du Planet Trade Organisation fut immense et tentaculaire, remodelant le paysage politique et économique de toute une partie de l'univers. Ces années sombres de la galaxie furent l'âge d'or des mercenaires de tout poils. D'innombrables sous-factions privées ou indépendantes, parfois réunissant toute une race puissante d'une même planète, allaient proliférer, proposant leurs services au plus offrant.

[Chocoloutre]

Alors j'ai fini le chapitre 6, j'ai déjà quelques remarques.
J'aime beaucoup la poésie du premier chapitre ainsi que l'idée, très astucieuse, que les différentes formes soient des régressions et non pas des évolutions comme on aurait tendance à le croire.

Je trouve par contre la puissance de l'être un peu exagérée. Ça va peut-être s'expliquer dans la suite du récit mais pour qu'il soit si puissant qu'il ne puisse même pas se tenir sur une planète, c'est... Waouh quoi.

Je suis aussi un peu déçu que ce ne soit pas "l'être originel" mais je pense que c'est mieux ainsi pour le scénario.

Je continue ma lecture.

[Abysse]

Alors j'ai fini le chapitre 6, j'ai déjà quelques remarques.
J'aime beaucoup la poésie du premier chapitre ainsi que l'idée, très astucieuse, que les différentes formes soient des régressions et non pas des évolutions comme on aurait tendance à le croire.

C'est ça que j'aime bien avec le boss de l'arc Namek de Dragon Ball. D'habitude, dans les histoires, le méchant se transforme pour devenir plus fort. Donc, au tout départ, il n'est donc pas spécialement fort. Il a besoin de se transformer en un truc monstrueux pour être plus fort. Avec Freezer, c'est le contraire. Au départ, il était hyper fort et il a eu besoin de se transformer en un truc monstrueux pour devenir moins fort.
Je ne suis dit qu'une fiction là dessus, en reprenant ce schéma de transformation inverse peu banal, comme une course à la puissance à l'envers, ça pourrait être intéressant.

Je trouve par contre la puissance de l'être un peu exagérée. Ça va peut-être s'expliquer dans la suite du récit mais pour qu'il soit si puissant qu'il ne puisse même pas se tenir sur une planète, c'est... Waouh quoi.

Je suis d'accord.
Mais je voulais vraiment le trip "prédateur qui évolue dans un écosystème" poussé à l'extrême, carrément à l'échelle planétaire. Genre un requin dont l'océan serait l'univers et ses proies, au lieu de poissons, des planètes.
Et quand on voit dans le film avec Baddack, un Freezer-assis-bien-peinard-dans-son-fauteuil exploser la planète Vegeta d'un seul doigt, quasiment sans effort, c'est... Waouh quoi. Même si le manga montre qu'il est un petit peu plus compliqué que ça de faire sauter une planète, c'est le genre d'image qui reste et qui m'a largement influencé.

Je suis aussi un peu déçu que ce ne soit pas "l'être originel" mais je pense que c'est mieux ainsi pour le scénario.

Je continue ma lecture.

J'avoue que le début a un peu trop des allures de genèse, de créatures primitives fantastiques surpuissantes aujourd'hui disparues alors que ça se déroule dans un passé pas si lointain par rapport aux événements de Dragon Ball. Tu verras, le ton du récit et du scénario sera de moins en moins fantasmagorique et plus nuancé, dans les événements et échelles de démesure.

En tout cas, merci pour ton commentaire et bonne lecture !

[Chocoloutre]

Voilà, j'ai fini ! Nouvelles remarques.

la planète Karambaar

T'es sérieux là ? -_-

Pendant les huit premiers chapitres, le plus marrant c'est quand même kouki qui commente la même chose : "superbe chapitre l'empire des cold va enfin naitre", presque au mot près à chaque fois.

J'aime bien ton style, assez direct malgré beaucoup de répétitions (d'expressions, de tournures, de description) et quelques étrangetés du genre "une décennie plus tard après l'invasion blabla" au chapitre 9 par exemple.

Trop de retours à la ligne je trouve, ça ferait pas de mal de faire des paragraphes plus compacts. Le retour à la ligne, c'est vraiment pour marquer le coup. (changement de lieu, d'époque, retournement de situation etc.)

Spoiler

C'est Cold ? :/ Effectivement je trouve sa puissance exagérée... Après tout on ne connaît pas sa véritable puissance parce que Trunks le démonte avant qu'il ait le temps de réagir mais quand même...

Par contre j'aime beaucoup la petite réunion où les scientifiques échangent leurs études et hypothèses, c'est toujours sympa d'avoir un point de vu scientifique sur une fiction.

étaient natifs... de l'univers d'avant la venue des quatre Kaioshin suprêmes.

Haha, ça ça me plait ! Dommage que ce soit anecdotique dans le récit.

Il y a quelques expressions maladroites :

à la lisière de la frontière avec le Makaï

Une lisière, c'est déjà une frontière.

le tout d'un froid permanent stagnant au zéro absolu

La température ne possède pas de zéro absolu. Le zéro absolu, c'est vraiment quand on ne peut pas aller plus bas que 0. (genre la taille, personne ne peut pas faire -1 mètre, même un atome est au-dessus du 0)
Y en a pas mal des comme ça, des expressions qui sonnent bien mais n'ont pas vraiment de sens. Ça pourrait passer, ce sont des effets de style on va dire mais comme on sent que tu essayes d'être relativement précis et rigoureux... Ça coince.

L'historique de l'Univers et de la race de Cold tient vraiment debout, j'ai beaucoup aimé. J'ai bien aimé la référence aux Yardrats aussi.

Par contre, je suis un peu lassé des rapports de force exagérés...

Et chacune de ces tempêtes pouvaient ravager une planète normale en quelques millièmes de secondes.

Pas la peine d'en faire trois tonnes non plus, quelque chose du genre "des tempêtes d'une violence inimaginable" aurait été largement suffisant.

il parvint à les arracher à la gravité infinie

Enfin bon, on sent bien que tu veux vraiment appuyer sur la puissance hors du commun de ces êtres mais t'en fais un peu trop.

Tu verras, le ton du récit et du scénario sera de moins en moins fantasmagorique et plus nuancé, dans les événements et échelles de démesure.

J'attends !

Voilà sinon j'aime beaucoup, j'attends la suite avec impatience !

[Abysse]

Voilà, j'ai fini ! Nouvelles remarques.

la planète Karambaar

T'es sérieux là ? -_-

Je sais, c'est lamentable. Un carambar... Tout comme le professeur Sckernis qui est un anagramme de snickers. Faut croire que j'avais la dalle au moment où j'ai "inventé" ces noms...

Pendant les huit premiers chapitres, le plus marrant c'est quand même kouki qui commente la même chose : "superbe chapitre l'empire des cold va enfin naitre", presque au mot près à chaque fois.

Oui, le brave kouki est un lecteur fidèle, t'as remarqué ? Ca m'a surpris aussi qu'il ne dise plus juste "hâte de voir la suite!".

J'aime bien ton style, assez direct malgré beaucoup de répétitions (d'expressions, de tournures, de description) et quelques étrangetés du genre "une décennie plus tard après l'invasion blabla" au chapitre 9 par exemple.
Trop de retours à la ligne je trouve, ça ferait pas de mal de faire des paragraphes plus compacts. Le retour à la ligne, c'est vraiment pour marquer le coup. (changement de lieu, d'époque, retournement de situation etc.)

Content que mon style ne te déplaise pas, et je suis conscient que j'ai souvent tendance à étouffer mon récit sous des tonnes de détails qu'on connaît déjà. Faut que je remédie sérieusement à cette tare.
Pour le "une décennie plus tard", c'est pour illustrer qu'on suit la progression et l'évolution du protagoniste sur un bon paquet d'années à chaque intervalle. Ce n'est pas comme s'il colonisait 10 planètes en 24 heures top chrono.
Pour les retours à la ligne trop fréquents, j'en prends note, merci !

Spoiler

C'est Cold ? :/ Effectivement je trouve sa puissance exagérée... Après tout on ne connaît pas sa véritable puissance parce que Trunks le démonte avant qu'il ait le temps de réagir mais quand même...

Hé oui, c'est bien Cold. Ca en a surpris plus d'un. Il faut l'imaginer grosso modo du niveau d'un C-16, un peu comme dans DBM. Et comme je considère un niveau cyborg largement capable de faire sauter planète sur planète si l'envie lui prend...

étaient natifs... de l'univers d'avant la venue des quatre Kaioshin suprêmes.

Haha, ça ça me plait ! Dommage que ce soit anecdotique dans le récit.

Peut être développerais-je un peu ce coté mythologique avec quelques flashbacks qui s'accordent avec le récit, on verra bien ! Comme j'ai quelques petits idées sur les événements, je trouverai bien une occasion pour les placer.

Il y a quelques expressions maladroites :

à la lisière de la frontière avec le Makaï

Une lisière, c'est déjà une frontière.

Mea culpa.

le tout d'un froid permanent stagnant au zéro absolu

La température ne possède pas de zéro absolu. Le zéro absolu, c'est vraiment quand on ne peut pas aller plus bas que 0. (genre la taille, personne ne peut pas faire -1 mètre, même un atome est au-dessus du 0)
Y en a pas mal des comme ça, des expressions qui sonnent bien mais n'ont pas vraiment de sens. Ça pourrait passer, ce sont des effets de style on va dire mais comme on sent que tu essayes d'être relativement précis et rigoureux... Ça coince.

Il me semble bien que l'expression "zéro absolu" est d'usage, pour désigner la température la plus basse qui puisse exister dans l'univers, à savoir - 273,15 degrés celsius.
[url]http://fr.wikipedia.org/wiki/zéro_absolu[/url]
C'est là où je voulais en venir.

Par contre, je suis un peu lassé des rapports de force exagérés...

Et chacune de ces tempêtes pouvaient ravager une planète normale en quelques millièmes de secondes.

Pas la peine d'en faire trois tonnes non plus, quelque chose du genre "des tempêtes d'une violence inimaginable" aurait été largement suffisant.

Quand j'ai écrit cette phrase, j'avais en tête l'exemple précis de la tache rouge de Jupiter, qui est en fait une tempête à la surface, presque aussi grosse que la Terre elle même :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_tache_rouge
Sauf que dans le récit, ça se passe sur une planète fictive bien plus grosse que Jupiter.

il parvint à les arracher à la gravité infinie

Enfin bon, on sent bien que tu veux vraiment appuyer sur la puissance hors du commun de ces êtres mais t'en fais un peu trop.

Alors là, c'était surtout pour accentuer l'intensité dramatique du moment.
Le père de Cold qui se sacrifie pour que ses fils ne meurent pas avec lui, toussa.

Tu verras, le ton du récit et du scénario sera de moins en moins fantasmagorique et plus nuancé, dans les événements et échelles de démesure.

J'attends !

Je voulais dire qu'entre le chapitre 6 et le chapitre 12 (la réunion des scientifiques etc), il y avait beaucoup moins de fantasmagorique. Le chapitre 12, à mon avis, est le chapitre le plus démesuré de toute la fic, il n'y en aura plus d'autres avec une telle échelle de démesure. Le point culminant est passé.

Voilà sinon j'aime beaucoup, j'attends la suite avec impatience !

Encore merci, et ravi que ça te plaise. Pour la suite, je ne sais pas quand je la sortirai, elle n'est même pas écrite. Je n'ai quasiment jamais d'avance dans mon scénario. Je ponds et je publie, presque directement, en général.
Alors ça peut être demain comme dans 3 mois !

[Chocoloutre]

quelques étrangetés du genre "une décennie plus tard après l'invasion blabla" au chapitre 9 par exemple.

Pour le "une décennie plus tard", c'est pour illustrer qu'on suit la progression et l'évolution du protagoniste sur un bon paquet d'années à chaque intervalle. Ce n'est pas comme s'il colonisait 10 planètes en 24 heures top chrono.

En l'occurence, c'est la succession de "plus tard" et "après" qui est bizarre et, je pense, pas correct.