Continuité...

Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.

Re: Continuité...

Messagepar Henrietta le Sam Déc 05, 2009 5:48

Et bien moi je n'aime plus du tout.

Je n'étais pas convaincue par ton chapitre 1, et j'attendais de voir la suite avant d'émettre un avis négatif.
Si la qualité de ton récit se dégrade dans le 1, avec une situation pas du tout originale (des voyous la nuit dans la rue, je m'en sors en me découvrant des super pouvoirs), le 2 voit aussi se dégrader la qualité de ton texte. Les fautes se multiplient, les mots se répètent, on a l'impression que tu as écrit à la va vite pour satisfaire notre curiosité.

Le chapitre 1 n'est pas original, ok passons. On ne peut pas l'être tout le temps.

Le chapitre 2 lui, est vraiment mauvais.

D'abord ce qui est objectif. Les actions s'enchaînent trop rapidement sans justification, et nous laissent sur notre faim. Ton texte devient pure description et ne laisse plus de place à la psychologie des personnages. Tout s'enchaîne sans que le héros ne ressente quoi que ce soit, ni ne se pose aucune question. Du coup c'est la lectrice que je suis qui s'en pose.
1) Pourquoi la force des saïyens n'apparaît que maintenant chez Kenji ? Pourquoi apparaît-elle d'ailleurs ? Pas d'entraînement, pas de force non ?
2) Pourquoi sa mère a t-elle voulu rompre les liens avec sa famille de sang ? Pourquoi ce revirement soudain d'opinion ?

Autre situation convenue, le combat contre l'homme tigre dès le début, remake de Goku contre l'homme ours dans les premiers chapitres.
Ensuite, on a des situations peu crédibles : "Ah tiens, je trouve un bâton qui s'allonge (comme par hasard), mais comment le rentrer dans la cabane maintenant ?" et "Ah tiens, je me suis fait embarquer par un nuage doré, voyons voir ou il m'emmène ?"
Soit ton Kenji est un demeuré comme l'était son arrière arrière arrière grand père dans sa jeunesse, mais qui cachait bien son jeu dans le prologue, soit il a subit une sévère régression mentale. Tout cela n'est pas très cohérent en somme.

Pour ce qui est du subjectif, je n'aime pas le nom de "Kenji". Il s'agit du nom de la poupée bosozoku de Toroko dans GTO, qui elle aussi se retrouve mêlée à une histoire tragique et sans originalité. Du coup j'ai un a priori négatif ^^

Conclusion : Je sais que ma critique est dure, mais elle n'a pas pour but de te décourager. Si je te le dis, c'est que je le pense, tout comme je pensais ce que j'ai écrit dans mon premier message. Ton prologue laissait voir de grandes qualités d'écriture, ce qui était de très bon augure pour la suite. J'avais en effet une énorme attente vis à vis de toi et de ton récit, mais j'ai été déçue. Cette critique est à la hauteur de ma déception.
Cela dit, ça ne veut pas dire que je ne continue pas d'espérer pour la suite. Ce chapitre 2 est raté, mais ce n'est qu'un chapitre, ça peut se réécrire. Après tout, si tu as été capable de me faire vibrer avec ton prologue, c'est que tu es capable de faire bien mieux.
Bien sûr, tu dois prendre cette critique pour ce qu'elle est, une critique. Si tu estimes qu'elle est justifiée, tu la prendra en compte, sinon tant pis pour moi, j'irai lire autre chose, tout simplement.

PS : Les auteurs nuls, j'arrête de les lire et je ne perds pas mon temps à les critiquer. Parce qu'on a plus vite fait de réécrire la fic soi-même :lol:
Si ça peut te rassurer.

PS 2 : Si tu prends cette critique trop mal, je vais être tellement traumatisée que je ne vais plus oser commenter quoi que ce soit. D'avance pardon.
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Re: Continuité...

Messagepar Bab le Sam Déc 05, 2009 12:53

Henrietta a écrit:Et bien moi je n'aime plus du tout.

Je n'étais pas convaincue par ton chapitre 1, et j'attendais de voir la suite avant d'émettre un avis négatif.
Si la qualité de ton récit se dégrade dans le 1, avec une situation pas du tout originale (des voyous la nuit dans la rue, je m'en sors en me découvrant des super pouvoirs), le 2 voit aussi se dégrader la qualité de ton texte. Les fautes se multiplient, les mots se répètent, on a l'impression que tu as écrit à la va vite pour satisfaire notre curiosité.

Le chapitre 1 n'est pas original, ok passons. On ne peut pas l'être tout le temps.

Le chapitre 2 lui, est vraiment mauvais.

D'abord ce qui est objectif. Les actions s'enchaînent trop rapidement sans justification, et nous laissent sur notre faim. Ton texte devient pure description et ne laisse plus de place à la psychologie des personnages. Tout s'enchaîne sans que le héros ne ressente quoi que ce soit, ni ne se pose aucune question. Du coup c'est la lectrice que je suis qui s'en pose.
1) Pourquoi la force des saïyens n'apparaît que maintenant chez Kenji ? Pourquoi apparaît-elle d'ailleurs ? Pas d'entraînement, pas de force non ?
2) Pourquoi sa mère a t-elle voulu rompre les liens avec sa famille de sang ? Pourquoi ce revirement soudain d'opinion ?

Autre situation convenue, le combat contre l'homme tigre dès le début, remake de Goku contre l'homme ours dans les premiers chapitres.
Ensuite, on a des situations peu crédibles : "Ah tiens, je trouve un bâton qui s'allonge (comme par hasard), mais comment le rentrer dans la cabane maintenant ?" et "Ah tiens, je me suis fait embarquer par un nuage doré, voyons voir ou il m'emmène ?"
Soit ton Kenji est un demeuré comme l'était son arrière arrière arrière grand père dans sa jeunesse, mais qui cachait bien son jeu dans le prologue, soit il a subit une sévère régression mentale. Tout cela n'est pas très cohérent en somme.

Pour ce qui est du subjectif, je n'aime pas le nom de "Kenji". Il s'agit du nom de la poupée bosozoku de Toroko dans GTO, qui elle aussi se retrouve mêlée à une histoire tragique et sans originalité. Du coup j'ai un a priori négatif ^^

Conclusion : Je sais que ma critique est dure, mais elle n'a pas pour but de te décourager. Si je te le dis, c'est que je le pense, tout comme je pensais ce que j'ai écrit dans mon premier message. Ton prologue laissait voir de grandes qualités d'écriture, ce qui était de très bon augure pour la suite. J'avais en effet une énorme attente vis à vis de toi et de ton récit, mais j'ai été déçue. Cette critique est à la hauteur de ma déception.
Cela dit, ça ne veut pas dire que je ne continue pas d'espérer pour la suite. Ce chapitre 2 est raté, mais ce n'est qu'un chapitre, ça peut se réécrire. Après tout, si tu as été capable de me faire vibrer avec ton prologue, c'est que tu es capable de faire bien mieux.
Bien sûr, tu dois prendre cette critique pour ce qu'elle est, une critique. Si tu estimes qu'elle est justifiée, tu la prendra en compte, sinon tant pis pour moi, j'irai lire autre chose, tout simplement.

PS : Les auteurs nuls, j'arrête de les lire et je ne perds pas mon temps à les critiquer. Parce qu'on a plus vite fait de réécrire la fic soi-même :lol:
Si ça peut te rassurer.

PS 2 : Si tu prends cette critique trop mal, je vais être tellement traumatisée que je ne vais plus oser commenter quoi que ce soit. D'avance pardon.

Je ne prends pas du tout mal cette critique, et je dois dire que moi non plus je n'étais pas réellement satisfait par ce chapitre, que j'avais pourtant beaucoup travaillé; Pour ce qui y est de la question sur la force des saïyens. La force n'apparait pas forcément après un entrainement, on peut simplement être doué d'un grand potentiel (il suffit de voir Gohan à 4 ans), et la force peut se déployer sous forme d'émotions chez les métis si elle n'a jamais été travaillée (encore une fois, Gohan.)
Pour ce qui est de sa mère qui a décidé de couper les ponts avec sa famille, la raison viendra plus tard, je peux juste te dire que c'est parti d'un conflit à propos de la naissance de Kenji... Hanna décide de laisser le choix à son fils, pour ne pas lui dicter sa conduite.
L'enchainement des actions, il s'est fait car je pensai devoir améliorer le coté aventure et combat, je ne pensais pas qu'à cause de ça j'aurai dénigré quelque-peu le coté psychologique... Pour le combat de l'Homme tigre qui ressemble à celui de Goku contre L'Homme ours, c'est fait exprès, c'est un clin d'oeil.

Le bâton qui s'allonge, c'est quand même ce qu'il sait faire de mieux... Et il est déjà trop tard pour que kenji saute, il a peur aussi.
Et personellement j'aime bien le nom de Kenji, aprèv je peux comprendre qu'on puisse ne pas aimer.

Merci beaucoup pour ton commentaire très constructif ! Après relecture de mon chapitre, je me rends effectivement compte qu'il est plein de lacune, je vais donc le modifier le plus vite possible en tenant compte de tes critiques.
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Re: Continuité...

Messagepar Le Chauve le Sam Déc 05, 2009 18:21

En effet il semble un peu bâclé ce deuxième chapitre, avec beaucoup plus de fautes que dans les deux premiers et des évènements qui s'enchaînent clairement trop vite… inutile d'être trop pressé, prend le temps de développer le récit, de laisser reposer le chapitre quelques jours et de le relire avant de le publier :P Le potentiel est là en tout cas.

Essaie de ne pas laisser 6 mois entre chaque chapitre tout de même… ahem… :mrgreen:
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Re: Continuité...

Messagepar Bab le Sam Déc 05, 2009 21:26

voilà le chapitre 2 réécris ! J'ai essayé de respecter les remarques que vous m'avez faite, spécialement Henrietta. La partie avec Hanna n'a été que partiellement revue, mais à partir du départ de kenji, celà a été entièrement réécris !

Chapitre 2-bis :

Alors que ma mère séchait ses larmes, je regardais mes pieds d'un air coupable. J'attendais la vague de colère qui suivait celle de la tristesse. Je m'attendais à des "Mais où étais tu passé ? Montes dans ta chambre ! Et tu n'en sortiras que pour aller à l'école !" Aprèstout , ça aurait été justifié, j'éssayais de m'imaginer à quel point celà avait pu être dur pour ma mère., et ma colère envers elle avait disparu, il n'y avait plus que de... l'incompréhension...
La vague ne vint pas. Ma mère me regardait d'un regard plein de tristesse, et... d'incertitude... On sentait que dans son esprit se jouait une bataille, où elle pesait le pour et le contre. Elle parla, avec la voix encore vibrante d'émotion :
-Kenji... Tu sais, et je pense que tu as du t'en rendre compte, Ma mère montra les débris de meuble d'un mouvement de la main, Nous ne sommes pas une famille ordinaire.
Je la regardais sans comprendre puis je compris ce qu'elle voulait dire :
-Tu veux dire que c'est toi qui a fait ça ?
Comment était-ce possible ? Ces meubles étaient fabriqués dans l'un des bois les plus durs au monde, même les scies se cassaient sur ce genre de bois.
elle me jeta un regard qui avait l'air de dire "C'est évident non ?"
-Nous avons des origines, Kenji, qui ne sont pas celles de tout le monde. Nous ne sommes pas ordinaires, nous avons des capacités et des sens accrus largement au delà du potentiel humain.
Tout à coup, je me rendis compte que ce qui m'était arrivé dans la rue il y a quelques minutes n'était pas la première fois. Une tonne de souvenirs me revinrent à l'esprit, dont un tout particulièrement :

Je faisais un bras de fer avec mon père. Mon père... Il me manquait, je ne pouvais aller le voir qu'une unique fois par semaine, ce qui, encore aujourd'hui, m'enplissait d'un profond désespoir.
J'avais à peine 5 ans, et mon père était en grande forme. Pourtant, dès le début de ce qui s'annonçait un grand challenge pour moi, mon père semblait avoir beaucoup de mal à tenir, ses yeux semblaient hurler à l'effort, et plusieurs gouttes de sueur perlaient sur son front. Fronçant les sourcils, je lachai la main de mon père, déçu qu'il fasse la comédie pour me laisser gagner.


Si j'avais eu plus d'occasion de l'utiliser, et si ma mère ne m'avait pas interdit le sport à l'école, ou toute autre activité scolaire, je me serai rendu compte bien plus tôt que ma force n'était pas celle d'un garçon de mon age. Ce soir, je m'en étais rendu compte.
-Tu veux dire que...
Elle me regarda droit dans les yeux.
-Ecoutes moi Kenji ! J'ai choisi un autre chemin que mes racines pour des raisons qu'il vaut mieux que tu ignores, il ne m'a pas été facile de renier tout ce que j'aimais, mais il le fallait. Pour toi. J'ai longtemps cru qu'il vallait mieux pour toi que tu fasses de même. Mais j'ai eu tort ! Personne ne doit te dicter tes actes et c'est à toi seul de choisir ta voie.
Elle soutenut mon regard pendant encore quelques secondes, attendant certainement une réponse, mais trop de choses se passaient dans ma tête pour que je puisse répondre. Qu-est-ce qui avait bien pu forcer maman à tout arrêter pour moi ? Je me sentai coupable lorsque je pensais que j'étais responsable de de ce choix...
Elle alla chercher une petite boîte, sous une dalle de plancher. Elle la posa sur le sol, s'agenouilla devant, et me fit signe de m'asseoir à mon tour.
-Regarde bien Ken', c'est l'héritage ancestral de notre famille, je la garde ici pour ne pas oublier qui je suis. Et elle ouvrit la boîte.
J'ouvris de grands yeux, essayant de tout dévorer de mon regard. Il y avait une grande carte, tassée dans un coin de la boîte, un sachet entrouvert où l'on pouvait voir des sortes de graines vertes... Mais l'objet qui retenait le plus mon attention était une petite boule, de couleur jaune-orrangée, avec trois étoiles gravée dessus... Je sentais émaner d'elle un pouvoir mystérieux, et je ne pouvais détacher mes yeux de la lueur fascinante qu'elle offrait... Ma mère prît la carte et le sachet, et refermit la boîte sur la petite boule scintillante...
-Ne sois pas trop gourmand, tu verras bien assez tôt ce que renferme réellement ce coffret...
Elle étala la carte devant moi, où étaient dessinées maintes vallées et forêts, et désigna une montagne, indiquée "Mont Paozu"
-C'est ici que tu devras te rendre, Mon frère Meïlin devrait encore habiter là bas...
Lorsqu'elle disait cette phrase, elle semblait repartir vers un autre monde, une autre époque, que ses yeux nostalgiques reflétaient.
-Maman, je ne sais pas comment te... commençai-je avec un immense sourire sur les lèvres.
-Ne discutes pas ! Tu dois le découvrir par toi même, tu partiras demain à l'aube. Est-ce que c'est compris ?
Je fis un signe de la tête d'un air dépité.
-Alors monte dans ta chambre et dors ! Le voyage sera long !

___________
Je n'avais pas dormi de la nuit, je ne l'avais pas montré à ma mère hier, mais j'étais fou de joie de revoir ma famille. C'était comme si mon corps en avait besoin, je les sentais, c'était comme si quelque chose émanait d'eux. Je descendais les marches à toute vitesse, engloutis mon petit déjeuner, et je rejoignais ma mère qui attendait sur le pallier. Je lui souris, lui faisant signe que j'étais prêt à partir, elle me sourit en retour et me dit :
-Tiens, tu auras besoin de ça sur ta route, le Mont Paozu est difficile d'accès, et assez dangereux. Il y a des bêtes sauvages. Les haricots sont appelés senzus, ils te redonneront tes forces, mais il n'y en a que deux, fais attention. La carte est là pour te guider, prends- en soin également, c'est mon père qui l'a dessinée.
Elle me tendit le sachet d'étranges haricots, les senzus, ainsi qu'une vieille carte, qui donnait tout de même une assez bonne image du lieu. Je dis une dernière fois au revoir à ma mère en la serrant dans mes bras, puis je partis doucement dans la direction que m'indiquait la carte.

Dès que j'étais plus dans le champ de vision de ma mère, je m'étais mis à courir à toute vitesse, sautant de rocher en rocher, avançant toujours plus vite. j'étais euphorique et mon rire résonnait dans la plaine rocailleuse, où d'impressionnantes marques marquaient les rochers, souvenirs d'une bataille entre deux ennemis. Je regardais la carte de temps en temps, mais je me laissais guider par mon instinct, qui me menait tout droit vers le mont Paozu, comme si j'étais destiné à cet endroit que je n'aurai jamais du quitter.
Je grimpais au sommet d'un rocher, pour avoir une vue imprenable sur la plaine. Le vent fouettant mon visage, je me sentais vraiment heureux d'être là, à regarder s'étaler un paysage désolé, qui laissait place au loin à une magnifique forêt verdoyante.
je descendis du rocher, et me remis à courir.
Les heures défilaient, et mon ventre produisait un bruit sourd, m'invitant volontiers à l'étouffer. Mais la plaine était déserte, et il n'y avait pas la moindre trace de quelque chose à manger. J'ouvris donc la carte, me décidant à chercher un endroit habité où je pourrais chercher hospitalité. En regardant les kilomètres qui me séparaient du moindre village, je sentis une vague de désespoir s'emparer de moi. Je gémis, et mon ventre ne fait qu'empirer ce sentiment d'impuissance. Je me remets à courir, cherchant au moins un abri pour dormir.
Inutile, je m'étale dans le sable au bout de quelques centaines de mètre. C'est horrible, qu'est-ce que j'ai fait ! D'habitude, ma mère me sert toujours de délicieux plats, et en quantité en plus. De cette pensée me vient un déclic : Ma mère ne m'aurait pas laissé sans rien manger, elle avait du me donner quelque chose. Je fronce les sourcils, et je m'assois en tailleur sur le sable, essayant de rassembler mes idées. Je réfléchis, que m'avait-elle donné ?
La carte, et... deux haricots... C'était ça mon repas ? Deux haricots ? Je sors le petit sachet et le regarde d'un air suspect, sors l'un des haricots, et l'avale d'aussi sec. Une étrange sensation m'envahit, une onde d'énergie parcourt tout mon corps, et mon ventre devient tout à coup très lourd... Etonné, rassasié, mais épuisé, après un repas copieux, je m'écroule dans le sable, bien content de pouvoir enfin trouver le sommeil.

___________
Je me réveillai le lendemain avec un lézard qui essayait de rentrer dans ma bouche. Pas très agréable. Après m’être à moitié étouffé, je me passai de petit déjeuner, ayant le ventre rempli après l’étrange repas de la veille. En pleine forme, je me fixai comme objectif d’arriver au mont Paozu dans la soirée.
Je me remis donc à courir, la tête pleine d’interrogations à propos de cet oncle melæna… Qu’allait-il m’apprendre ? J’étais un peu effrayé de connaître la vérité sur mes origines depuis que ma mère avait fait mention de « non humain », mais je ne pouvais rien y faire, il y avait toujours cette attirance vers ma famille, cette « aura ». Que j’aie peur ou non, mon esprit me guidait tout droit vers eux, sans me demander son avis.
Je courais depuis quelques heures maintenant, et je me rapprochais peu à peu de mon objectif, le sourire aux lèvres, quand j’aperçus une silhouette massive, au loin. En me rapprochant, je me rendis compte qu’il s’agissait d’un homme-tigre; Je fronçais les sourcils, il ne valait mieux pas s’attarder ici… Je fonçais sur l’espoir mince qu’il ne me remarque pas, ou ne puisse pas me rattraper.
« Hey, où vas-tu si vite, petit », m’interpella-t-il.
Raté. Il me rattrapa en quelques pas de géant, et se plaça devant moi d’un air féroce. Je m’arrêtai soudainement, me demandant ce que j’allai bien pouvoir faire pour me sortir de là.
« Je t’ai posé une question, gamin !
-Je suis pressé, je n’ai pas le temps de discuter. Qu’est-ce que tu veux ? Demandai-je avec une hargne maquillée
-Ce que je veux ? Est-ce que j’ai l’air d’être un gentil passant ? Je veux ton argent, tes capsules, en bref tout ce que tu as, même n’importe quel objet, tout se vend.
Il jeta un œil à la carte dans ma main
Je ne pouvais pas le laisser prendre la carte, ou je pouvais dire adieu au mont Paozu, à ma famille et à mes origines ! Non, je ne pouvais pas !
Avec rage, je balance violemment mon genou dans ses côtes, il suffoque. Il se relève rapidement, et avec une lueur pleine de haine dans les yeux. Il m’abat son sabre sur la tête.
La douleur m’envahit le haut du crâne, atteignant mes souvenirs, et me rappelant mon but. Je lui enfonce mon poing dans son ventre. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, je vu déjà derrière lui, et mon coude se frotte violemment à son dos, provoquant un léger craquement.
Le colosse s’écroule au sol, soufflant et gémissant. Je ramasse en toute hâte ma carte tombée par terre pendant la bataille. Et je m’éloigne en courrant, bien décidé à rattraper le retard pris, un peu chamboulé tout de même par cette mésaventure.
Le soir, après avoir couru toute la journée, je mange mon dernier senzu, de nouveau affamé. Je me remet en route, sachant que le mont paozu n’est plus très loin. Je cours donc, traversant la forêt, sautant par-dessus les troncs d’arbre, évitant les branches, étant impatient de rencontrer mon oncle.
La forêt s’ouvre finalement sur une petite clairière, où une petite cabane ainsi qu’une vieille maison capsule-corp, siègent. Impatient, je ris, en voyant enfin mon but s’accomplir.
J’arrive devant la maison, et toque à la porte. Quelques minutes passent, personne ne répond. Je réessaye , accompagné d’un « Oncle Meïlin ? »
Toujours personne Je sens le désespoir ‘envahir. Ai-je fait tout ça pour rien ? Je crie de tous mon air la rage qui m’envahit, tellement que la maison en tremble.
Je défonce la porte d’un coup de pied. La maison est petite,et de multiples photos sont accrochées sur les murs. Je m’attarde sur une photo où l’on voit Un Homme,aux cheveux en bataille, accompagné de deux enfants, un adolescent et un moins âgé, et d’une femme coiffée d’un chignon, ils ont tous les cheveux noirs. Etait-ce ma famille ? La rage en moi s’apaise. Je visite le reste de la maison, il n’y a pas grand-chose, juste un vieux matelas et une table. Oncle Meïlin n’habitait plus ici depuis longtemps, c’était sur et certain.
Je regardais par la fenêtre en me disant que demain je rentrerai chez moi, mon espoir de revoir ma famille s’était annoncé vain, finalement… J’avais tant donné pendant ce voyage, toutes les questions que je ne m’étais jamais posé avaient resurgi, me donnant la volonté d’arriver jusqu’à cette petite cabane, où il n’y avait… rien.
Mon regard est attiré par la petite cabane isolée, je ressens quelque chose de fort venant de là bas. Mon cœur s’affole, je sens que quelque chose d’important m’attend dans cette cabane.
Je sors de la maison d’un pas lent et hésitant, je m’approche de la petite cabane. L’entrée est béante et sombre. Je mets quelques minutes à m’habituer à l’obscurité, puis je vois, sur la table en ruine, est posé un bâton rouge, magnifique bâton qui émane de… l'aura de ma famille. Je le prends dans mes mains et je me sens revivre.
Je le fais tournoyer entre mes mains, il est d’une rapidité et d’une souplesse incroyable. Il se mou voit au moindre de mes désirs. Je sors dehors afin de m’exercer, et le bâton tournoie de plus belle dans mes mains. Je me sens empli d’une grande sensation d’allégresse. Je ris, et je pense que je ne serai pas venu pour rien finalement.
Alors que je frappais des rochers qui se fissuraient sous mes coups hasardeux, quand je vis une magnifique étoile dorée dans le ciel au loin. Cela devait être de bonne augure, je retrouverai ma famille, j’en étais sur. Mais pour le moment il fallait dormir. Je me rapprochais de la maison, doucement, les yeux encore brillants devant le magnifique bâton rouge, mais un bruit sifflant retint mon attention et me fit tourner la tête. Un nuage doré filait sur moi à toute vitesse. J’eus à peine le temps d’étouffer un étonnement que le nuage m’avait déjà soulevé à plusieurs dizaines de mètres et m’emportait au loin.

___________
Au loin, j’aperçevais un monument étrange, monté sur une tour aux motifs étranges,une sorte de coupole géante, dans les cieux. Mon esprit rationnel me criait que c ‘était impossible, mais mon sang me disait que j’étais chez moi.

Voilà, j'espère que ça vous a semblé mieux ^^ J'attends vos réactions !
Dernière édition par Bab le Ven Jan 08, 2010 22:36, édité 4 fois.
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Re: Continuité...

Messagepar Henrietta le Sam Déc 05, 2009 23:57

Hum... Joker ! :?

C'est plus développé, c'est plus détaillé, mais ça reste encore énormément de la description.
Je propose que j'arrête de faire la fine bouche, et j'attends le prochain chapitre. Je ne doute pas que cela sera plus intéressant avec l'introduction de nouveaux personnages.
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Re: Continuité...

Messagepar Le Chauve le Dim Déc 06, 2009 17:48

J'aime mieux, mais il y a encore beaucoup de fautes (frappe, orthographe, grammaire). Comme je l'ai dit, prends le temps de te relire :P
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Re: Continuité...

Messagepar Bab le Dim Déc 06, 2009 23:07

Merci pour tous vos commentaires ! Ce chapitre vous a peut-être semblé rapide, où tout n'était pas parfaitement développé et donnait peut-être l'impression de passer rapidement (même après réédition) mais il s'agit juste de l'introduction d'un looooong apprentissage qui se déroulera sur 2-3 chapitres ^^, qui seront surtout basés sur le développement du potentiel de Kenji, et ce sera donc du seconde par seconde, sans aucun résumé où l'on verra tout par les yeux du personnages, un peu comme dans le prologue.
Afin que la qualité soit au rendez vous, j'attendrai un peu avant de poster, pour être bien sur que je réponds à toutes vos attentes :D
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Re: Continuité...

Messagepar Foenidis le Dim Déc 06, 2009 23:22


En tous les cas je salue bien bas l'exemple que tu donnes en sachant prendre des critiques parfois un peu abruptes avec bonne humeur et réflexion... reprendre presque entièrement ton texte pour l'améliorer après ça est une marque de profonde intelligence...

C'est acceptant de regarder ses défauts droit dans les yeux qu'on se donne les moyens d'une réelle progression...

Alors continue comme ça... tu vas y arriver ! ^^
Le futur me donne un peu trop souvent l'impression d'avoir les mots de Dante « Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance » gravés en lettres sombres sur son fronton.
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Re: Continuité...

Messagepar RMR le Lun Déc 07, 2009 0:20

Je viens de penser à un truc!!! Le nuage magique ne peut pas aller au palais de Dendé, il ne peux pas monter plus haut que la tour Karine!!!
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Re: Continuité...

Messagepar Bab le Lun Déc 07, 2009 8:37

Zut, je n'avais pas pensé à ça :? Mais bon,je n'ai pas précisé s'il s'agit du palais de Dende, ou bien de la tour Karine. Ils ont à peu près la même architecture. Ca rajoutera quelque chose d'intéressant à mon prochain chapitre, en fait.
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Re: Continuité...

Messagepar Bab le Sam Déc 26, 2009 22:48

Voilà le chapitre 3 ! Il a un peu plus trainé que les autres, mais c'était afin de le perfectionner au maximum. J'espere avoir répondu à toutes vos attentes dans ce chapitre.

Chapitre 3

Le nuage ralentit et se rapprocha lentement du sommet de la tour. Des sortes de trou étaient visibles sur la façade basse du sommet. Je fronce les sourcils, c’est trop petit pour que le nuage passe, et de toute façon, il s’est arrêté.
Je me lève donc, prends de l’appui, et saute de toute mes forces, vers cette entrée béante. Je suis projeté à grande vitesse vers le trou, je l’ai presque atteint, et je… retombe. Dans un cri désespéré et terrifié, je tends les bras vers le sommet, vers le nuage qui me nargue… Je tombe inévitablement, et je continues à crier sans retenue, la peur aux lèvres. N’est-ce pas stupide de mourir comme ça ? Alors que j’étais venu chercher des réponses…
Je remarque enfin véritablement la tour que je regarde défiler depuis ma chute. Que je suis bête ! Je m’accroche alors à un des motifs de la tour, arrêtant brusquement mes cris, ma crainte et ma mort au pied de la tour. Je prends pieds sur d’autres motifs, afin d’avoir une prise solide et être sur de ne pas tomber.
Maintenant, que faire… Monter ? Ou bien descendre ? Je regarde en hauteur, on aperçoit déjà plus le sommet, et en me penchant vers le vide je suis pris de vertige en voyant que le sol n’est pas visible. Ravalant ma salive, je prends mon courage à deux mains et tente une escalade, un grand exploit pour moi, nullissime en tout ce qui concerne l’équilibre !
J’effectue mon ascension de la tour… Je garde mon sang froid, en concentrant et rassemblant toute ma volonté dans ce seul objectif. Le bâton me ralentissant, je le glisse à ma ceinture, afin d’avoir les mains libres.
Je continue ma montée, finissant par accélérer mon rythme, en oubliant mes peurs.
Chaque heure passée de plus était un challenge, j’arrive enfin finalement au sommet, me retrouvant finalement au point de départ;
Cette fois-ci, je suis bien décidé à ne pas me rater. Je prends de l’appui sur mes jambes, tends mes bras, et saute. Ouf ! Je réussis de justesse à m’accrocher au bord du trou.
Je me hisse avec peine par la drôle d’entrée, et j’arrive dans une pièce, quasiment vide. Il y a seulement trois jarres au fond de la pièce; Pourquoi un nuage doré m’avait-il emmené ici ? Pourquoi m’avait t-il emmené tout cours déjà ?
Alors que je réfléchissais à ces questions, mon oreille fut interpellé par des paroles, qui semblaient venir d’un étage supérieur. Il y avait donc des gens dans cet endroit ?
Je cherchais un escalier des yeux, il y avait juste une sortie qui menait vers l’extérieur. Je me dirige vers celle-ci, apercevant un escalier, un peu plus loin. Je le monte doucement, sans faire de bruit, alors que j’écoute furtivement la conversation :
« Hum, si tu veux l’eau sacrée, il faut… euh.. M’attraper…, je sentais de la peur dans cette voix mielleuse et féline
-Arrêtes ton barratin ! Je sais bien que ce n’est que de l’eau ordinaire, je veux juste me battre contre toi! Dis une voix jeune, mais qui vibrait de volonté »
Je sortis légèrement la tête de l’escalier afin de mieux observer la scène. Je pouvais voir une fille, qui devait avoir à peu près mon age, en kimono, et en position de combat, en face d’un vieux chat, sur ses deux pattes arrières, un bâton entre les mains, il semblait quelque peu apeuré.
La fille poussa un cri de rage, et se jeta, le bras en avant, à une rapidité déconcertante, sur le vieux chat qui tendit ses jambes pattes prêt à esquiver.
La jeune fille s’arrêta brusquement, et se retourna soudainement vers moi.
« Tu pensais que je ne sentirai pas ton ki ? » me demanda-t-elle avec un regard froid.
Elle se projeta avec vitesse sur moi, sautant par-dessus l’escalier, me faisant face.
« Qui est-tu ? Comment as-tu fais pour venir jusque là ? Ton ki m’est familier mais… me demanda-t-elle, menaçante mais avec un brin de curiosité.
-Je… parvins-je à bredouiller, terrifié et incrédule
-Alors qui es-tu ? Ne m’obliges pas à te le faire dire par la force ! Hurla-t-elle presque, en m’agrippant le bras, beaucoup plus menaçante cette fois ci. »
Je ravalai ma salive bruyamment. Quelle fille effrayante ! Elle avait les cheveux bruns, et des yeux de même couleur, le visage dur, sûrement amplifié par sa colère qui augmentait à vue d’œil. En la regardant de plus près, paralysé comme j’étais, je me rendis compte que… Elle était enveloppée de… la même chose que j’avais ressenti en présence de ma famille, et que j’avais cherché en vain… Etait-il possible qu’elle en fasse partie ?
La jeune fille soupira, et me lâcha.
« Tu as avalé ta langue ? Comment es tu arrivé jusque ici ? » Elle essayait de se faire plus douce et conciliante, mais son visage allait au contraire de ses actions.
D‘un geste timide, je désignais le nuage doré, à quelques mètres à l’exterieur de la coupole..
« Mais… Le nuage de mon père… » Elle me regarda d’un regard nouveau, subjuguée, comme si elle me reconsidérait selon une nouvelle information.
Le vieux chat s’approcha alors de moi, me regarda et dit : « si tu ne peux pas parler, alors tais toi. »
Il me regarda droit dans les yeux pendant de longues minutes, alors que je les écarquillai, étonné.
Une vague de surprise parcourût alors le visage du félin, il fit un pas en arrière.
La jeune fille le regarda avec suspicion , puis moi.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Il est néfaste ? Dit elle en me jetant un regard mauvais.
-Mina… C’est… un descendant !
-Ah bon ? Fit la dénommée Mina avec dédain. Il n’en a pas l’air pourtant…
-Il est envoyé par sa mère, la sœur de ton père !
Mina ouvrit la bouche d’étonnement.
-Un descendant de ma famille ? Lui ? C’est ridicule, son ki est pitoyable… »
Elle m’attrapa par le col, et me balança à l’autre bout de la pièce. J’aterrîs brutalement sur la tête, lâchant un petit gémissement de douleur.
« Arrête de pleurer ! Et si tu es vraiment un de leurs descendants, prouves le ! »
Alors que je me massais douloureusement le crâne, la jeune guerrière arrivant à une vitesse phénoménale auprès de moi, m’asséna un coup de poing magistral dans l’estomac.
Elle m’envoya valser violemment contre le mur, laissant de profondes fissures.
« Relève toi ! »
Je m’exécutai, douloureusement.
Mina ne me laissa pas une seconde de répit, elle était déjà toute proche de moi, et elle m’administra un puissant coup de pied. Je le bloquai difficilement avec mon avant bras. Mais je ne vis pas sa deuxième jambe filer à une incroyable rapidité et s’écraser violemment en plein milieu de mon visage. Aucun de ses deux pieds ne touchait plus le sol, et je vis avec stupéfaction qu’elle flottait dans les airs…
Alors que Mina s’apprêtait à abattre un coup de poing rageur dans mon estomac, le vieux chat interposa son bâton, contrant le poing de la jeune fille. celle-ci interrompit son coup.
« Mais à quoi tu joues ? Je suis en plein combat ! Hurla Mina
-Il n’a jamais reçu aucun entraînement. Tu allais le tuer si tu continuais.
-Aucun… Entraînement ?
-Il est venu ici afin de découvrir ses origines en questionnant son oncle, ton père. Il n’a découvert ses capacités que depuis l’enterrement de Son Goten
-Mais, sa mère ne l’a-t-elle pas…
-Elle est en froid avec sa famille depuis de longues années, elle a fait un trait sur tout son passé, y compris pour son fils… Elle a rompu cette idée depuis quelques jours à peine. »
Ma cousine me regarde, les yeux tristes l’air de dire « mon pauvre je te plains… Tout ce que tu as manqué… »
-Je suppose que je dois l’emmener voir mon père…
-Il a fait un long voyage, juste pour le voir. Le vœu de sa mère est qu’il découvre ses origines, mais je présume qu’il désire un entraînement…
C’était le genre de conversations très désagréables ou la personne présente est appelé « il » ou « elle ». On se sent assez insignifiant.
-Il me semble qu’il est à Kame House. Il y a eu un problème de taille…
-Très bien alors emmène le là bas, il te suivra sur son nuage.
Le vieux matou me regarda, et je ressentis de la compassion pour lui. Il avait raison, si il n’avait pas arrêté Mina, je serai peut-être mort… Dans quel genre de famille était-je tombé ?
Elle marmonna quelque chose du genre « même pas capable de voler…» puis elle me dit plus haut : « Allez, ramène toi ! C’est assez loin »
Je fulminai intérieurement, comment osait-elle me traiter ? Elle allait voir ce que… Je repensais tout à coup à la violente raclée que je m’étais prise et j’arrêtai là mes idées de vengeance. J’en avais encore mal au crâne !
Mina sauta dans le vide. Etait-elle folle ? Je me rapprochais à toute vitesse du bord, pour me pencher au dessus du vide. J’aperçûs ma « cousine » qui me narguait, flottant dans les cieux, un sourire aux lèvres. Le nuage se rapprocha de façon à ce que je puisse y grimper, comme par la force de ma pensée. Je m’y hissais donc, et j’ordonnai au nuage de filer à sa vitesse maximum, ayant à peu près compris le principe, je suivais Mina.
Elle était loin devant, et je ne la rattrapai pas… Elle ralentit, afin d’être à mon niveau. Elle me dit : « Fais moi un peu de place sur ton bidule ! J’ai pas mal de choses à te raconter, vu que je doute que mon père ait le temps de tout te raconter en détails.
Quelque peu surpris, je lui fis une place sur le nuage. Mina tâta l’étonnante matière, et je vis à son regard qu’elle était soulagée de ne pas passer au travers. Elle s’assit donc sur le peu de place qu’offrait le nuage pour un second passager.
-Ecoutes moi très bien… Quel est ton nom déjà ?
-Kenji, soufflai-je, impatient d’avoir enfin les réponses à mes questions.
Et Mina commença à raconter l’incroyable histoire de nos origines… Ce que j’entendis ce jour là, faillit me faire tomber de mon nuage.

Voilà donc un chapitre ou j'ai essayé de mélanger les nouveaux personnages avec les anciens (Maitre Karine). j'espère que l'effet est réussi ! (il est un peu court, mais le prochain sera assez long par rapport à d'habitude, et je voulais absolument finir ce chapitre comme ça.)
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Re: Continuité...

Messagepar RMR le Dim Déc 27, 2009 10:39

Ben c'est très bien!, Tu as réussis à freiner le rythme pour qu'on s'attarde sur chaque situation, avec plus de description! En effet, le mariage du neuf et de l'ancien marche bien! D'excellent progrès!
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Re: Continuité...

Messagepar Bab le Lun Déc 28, 2009 20:47

Merci beaucoup ! Mais personne d'autre ne veut donner son avis ?
Continuité : Plus d'un siècle après la fin de Dragon ball, nouveaux héros, nouveaux ennemis ! :D
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Re: Continuité...

Messagepar Foenidis le Lun Déc 28, 2009 21:39

Ben moi je te l'ai déjà donné par M.P mais je veux bien le remettre ici...
J'ai beaucoup aimé ce chapitre à la fois bien écrit et très bien mené... ^^
Le futur me donne un peu trop souvent l'impression d'avoir les mots de Dante « Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance » gravés en lettres sombres sur son fronton.
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Re: Continuité...

Messagepar Le Chauve le Lun Jan 18, 2010 23:55

J'arrive un peu en retard…

Et bien voilà, il y a du progrès :o On sent beaucoup plus d'application dans l'écriture et de fluidité dans le déroulement. On s'immerge mieux dans le récit. Comme quoi, rien ne sert d'être trop pressé :)

Il y a tout de même quelques changement de temps pas vraiment justifiés et un peu aléatoires, du moins c'est l'impression que j'ai.
Message tapé avec une disposition BÉPO

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