Faîtes-nous partager votre fibre littéraire en écrivant votre propre histoire mettant en scène les personnages de Dragon Ball et, pourquoi pas, de nouveaux ! Seules les fanfictions textes figurent ici.
Huit années se sont écoulées depuis la défaite de Majin Buu...
Le monde est cependant différent de celui d'origine. Vegeta et Goku n'existe plus. Pendant le combat qui opposait Vegeto à Buuhan, celui-ci n'a pas dé-fusionné.
Un nouvel être est né : Vegeto le dieu aux potalas.
J'ai pas (encore) tout lu, je me suis arrêté au synopsis et y a déjà beaucoup à dire. En fait j'ai l'impression que tu recraches de jolies formules sans trop réfléchir à ce qu'elles disent.
Les habitants de la planète bleue arpentaient les rues de Satan City
Les habitants de la Terre, quoi. Pourquoi faire compliqué quand tu peux faire simple ?
se déplaçant dans un entrain régulier, semblable au tic-tac d'une montre
Je ne suis pas sûr de ce que tu essayes de faire là. Qu’est-ce que tu essayais de faire passer avec cette phrase ?
Leurs pas s'enfonçaient dans le goudron, fraîchement installé
Ben s’il est fraîchement installé, tu m’étonnes qu’ils s’enfoncent dedans. C’est un peu con de marcher dessus en fait
La vie semblait être active
C’est pas très joli et ça veut pas dire grand-chose. En y réfléchissant oui on peut voir ce que tu veux dire mais y a des manières de le faire moins « techniques » et plus claires.
Malheureusement, la Terre possède encore des traces indélébiles de son passé chaotique.
Ben si c’est indélébile, forcément qu’elle les possède encore.
les larmes ruisselaient à travers la peur des défunts
Alors ça je n’ai absolument aucune idée de ce que ça veut dire. OK y a des gens qui pleurent mais « à travers la peur des défunts », wat ?
la mort les soulageaient presque de cette souffrance inhumaine
Pareil je ne comprends pas. De quelle souffrance tu parles ? Pourquoi est-ce que la mort ne les soulage pas complètement ? Ils vont en enfer et servent de barbecue ?
Ils semblaient s'être résignés à vivre, plus aucun espoir n'était envisageable.
De qui tu parles ? Juste avant tu dis qu'ils sont morts. Ou alors ils tuent des gens pour se soulager ? Mais ils tuent qui ? Qui tue qui ?
Ce sentiment
Ça avair plutôt l’air de faits avérés.
Enfin bref, à mon avis, rebosse le synopsys parce que je n'ai aucune idée de ce dont ta fic va parler. J'ai cru vaguement comprendre que ce sera un genre de what-if mais il a fallu attendre les toutes dernières lignes. Je sais que c'est pas facile mais relis-toi et garde à l'esprit que tes lecteurs n'ont pas les informations que toi tu as en tête, ils n'ont que ce que tu leur donnes. Et là perso j'ai rien compris. Bon je suis peut-être teubé aussi hein.
Dans la Capitale Ouest réside la société la plus importante et influente : la Capsule Corporation. Cette société regroupe les plus grands scientifiques de la planète. Une capsule spatiale consacrée à l'entraînement était située près de la maison d'une de ces scientifiques, dénommée Bulma. Dans celle-ci était disposé tout le matériel nécessaire pour l'entraînement, mais elle possédait aussi une particularité. En effet, au milieu de la pièce se logeait la salle de contrôle qui permettait de paramétrer la gravité de la machine. Plusieurs hublots se trouvaient dans cette capsule circulaire, donnant un aperçu de l'extérieur. On sentait, l'air agréable, les brindilles qui remuaient au gré de ce vent et qui regorgeaient d'eau de pluie. Cette sensation à l'extérieur était à l'opposé de celle venant de la capsule ; l’air s'y fit peu présent, lourd et limité.
Quelques vêtements humides étaient disposés en boule près de la salle de contrôle. On pouvait d’ailleurs y distinguer une silhouette masculine en mouvement. Cet individu, à la chevelure hérissée, auquel deux mèches retombaient sur son front, était alors en pleine entraînement et s’exerçait avec plus ou moins de facilité selon le niveau de gravité affiché. À cet instant, on apercevait sur le tableau d'affichage les chiffres '' 2000 G ". Cet homme exécutait une série de pompes en n'utilisant que son pouce et l’index de la main droite. Quelques gouttes de sueur sur son front venaient chuter sur le sol de la capsule. On entendait une résonance impressionnante, semblable à un coup de feu lors du contact de la goutte au sol, qui justifiait la gravité effarante et inhumaine de la pièce. C'est un homme impressionnant. Seuls quelques gémissements lors de l'effort se faisaient entendre, mais cela n'affirmait en rien la difficulté qu'il avait à exécuter les mouvements. On avait plutôt un sentiment d'aisance et de facilité. L'exécution de ses gestes était fluide et régulière.
L'échauffement de ce dernier était terminé. Mais cela ne fut que la première étape de la séance d'entraînement intense du guerrier.
Il releva tout le poids de son corps et étala celui-ci dans une nouvelle invention de Bulma : l’auto-masseur. Cette machine interpréta différentes actions sur toutes les parties musculaires de l'individu : le dos, les bras et les jambes. Une huile de couleur bleu, semblable à celle utilisée par les saiyans pour se regénérer fut appliquée à toutes ses parties musculaires, qui eu pour effet de le ravigoter intégralement, et cela afin d'être prêt pour la séance suivante. Celle exécutée précédemment n'était que l'échauffement. L'individu progressa pas à pas, et se dirigea vers le pilier d'acier, pour s'empresser d'enclencher la deuxième étape de son entraînement. Celui-ci, comme à son habitude, observa longuement l'affiche d'alerte jaunâtre, qui préconisait d'être attentif à tout moment, sous peine de mourir irrémédiablement. Prenant ses précautions en amplifiant sa concentration, le guerrier enclencha l'interrupteur :
— Entraînement enclenché. Prononça la voix cristalline, faisant écho sur toute la capsule.
Plusieurs engins rotatifs sortaient de réservoir des murs de la pièce, qui en seulement quelques secondes encerclaient la pièce et l'individu. Ces robots possédaient la même particularité des cyborgs, soit l'énergie infinie. Il se prépara à passer à l'action. Ses deux bras auparavant croisés se déplièrent, ses poings se fermèrent, et son regard s'enflamma. Il bomba son torse, contracta ses muscles, puis sa force s'intensifia. Les quelques débris du sol virevoltaient et gravitaient autour du guerrier, devenu lui-même le centre de gravité de la pièce. Son aura prie la teinte jaunâtre, ses yeux virèrent au vert, ses cheveux devinrent couleur or, et tout son être se transforma. Il était prêt, et les machines également. Une attaque de l'un des robots se dirigeait en direction du guerrier, c'était une première lame empoisonnée qui lui était destinée. Celui-ci n'hésita pas et déclencha une vague d'énergie qui détruisit l'arme. C'est alors que plusieurs de ces engins similaires commencèrent à expédier une salve de kikoha devenu imposant et surpuissant par la forte gravité de la salle. Une barrière de protection enveloppa notre guerrier, qui s'abrita de toutes ces attaques, suffisamment dangereuse pour détruire intégralement la machine spatiale. Ces machines généraient plusieurs salves de kikohas dont la puissance augmentait à chaque renvoi entre eux. L'individu évitait sans difficulté les projectiles, d'un fléchissement de tête où à chaque esquive apparaissait un sourire narquois, agaçant presque les machines, sans vie.
Celui-ci, exaspéré par la facilité de l'entraînement, décida d'accentuer la difficulté : Le bras étendu, un puissant kikoha azuré était déployé de la paume de sa main. La concentration en énergie était phénoménale. Le guerrier le projeta vers une de ces machines, qui avait la faculté de renvoyer toute forme d'énergie vers ses congénères. Cette boule électrifiante, à chaque renvoi, augmentait drastiquement sa vitesse et sa puissance de destruction. L'individu, attentif, attendait le moment opportun où l'une de ces machines allait la renvoyer à son destinataire. Une fois... Cinq fois... Vingt fois... C'est au bout du vingtième renvoi que celle-ci se rua, à toute vitesse, sur notre guerrier. Elle était à présent plus rapide que la vitesse du son, invisible à l'oeil nu. L'individu à la chevelure dorée ne se contenta pas de son seul sens qu'est la vue comme orientation. Il ferma les yeux, visualisa son énergie, et celle qui se précipita vers elle. A sa concentration maximale, celui-ci déploya ses deux bras, un pas en arrière, et amplifia sa masse musculaire, prêt à parer sa propre énergie, cent fois plus puissante qu'auparavant. La boule d'énergie, au contact des deux paumes du guerrier, provoqua un son discordant. Plusieurs éclairs enflammés parsemèrent l'homme de contusion, rien qu'en parant ce kikoha bleuté. Le guerrier, éprouvant enfin une certaine difficulté, était envahi à travers tout son corps, d'une joie sans égale. Le sourire au coin des lèvres, il décida d'amplifier sa puissance brute, afin de parer sa propre énergie. Son aura dorée submergeait la pièce de toutes parts. L'homme aux yeux cyan déploya une partie de sa puissance, et de ses paumes, créa une énergie plus intense et puissante que celle qu'il paraît. Les deux kikohas se jetèrent sur un des hublots de la capsule, rendant poussière celle-ci au simple contact de cette formidable énergie.
Un seul hublot détruit, c'est bien payé pour la puissance qu'aurait engendrée le contact de ces énergies au sol de la pièce.
* * *
La séance d'entraînement était terminée. Le guerrier se releva, enfila sa tenue froissée et imbibée de sueur, puis se dirigea vers le pylône au milieu de la pièce. Il enclencha l'interrupteur qui désactiva la gravité de la pièce, et il sortit de la capsule, exténué. Cependant, le moment de répit fut bref, puisqu'une personne interpellait notre guerrier dès sa sortie de la machine circulaire.
— Vegeto ! Dis-moi combien de temps comptes-tu rester dans cette machine. Je te cherchais partout ! J'ai l'impression que tu passes plus de temps avec elle qu'avec moi ! s'exclama la femme, à bout de souffle.
La vision de Vegeto, encore troublée par la lumière du jour aveuglante, ne pouvait alors qu'apercevoir les bribes d'une silhouette féminine, vêtue d'un tablier, à la chevelure noire et d'une queue-de-cheval.
— Mais... Vegeto répondit à son mécontentement, bien qu'il n'identifia pas encore la personne.
— Il n'y a pas de mais qui tienne ! Tu n'aurais pas oublié que l’on doit se rendre chez Kamé Sénnin aujourd'hui, n’est-ce pas ?
Cette femme se tenait juste devant notre saiyan. Elle n'était pas bien grande, mais elle osait défier avec assurance notre guerrier. La demoiselle était bien familière à Vegeto. Des cheveux noirs... une queue-de-cheval... Un caractère de chien... Il n'y a pas de doute quant à l'identité de la personne. Chichi était venu rendre une petite visite à notre héros.
* * *
— Tu es irrécupérable. Tu t'entraînes tous les jours dans cette machine construite par Bulma, bientôt on va penser que tu y habites ! D'ailleurs, où est-elle ? rajouta Chichi.
— Je ne sais pas, elle m'a dit qu'elle devait bricoler un truc pour sa nouvelle invention.
— Elle nous rejoindra plus tard alors... Nous allons nous y rendre de suite. Le soleil commence déjà à se coucher.
Le coucher de soleil était éclatant ce jour-ci. L’horizon avait pris la teinte rouge-orangé, s’unissant avec celle de l’astre. Le soleil venait alors éclairer le visage de nos personnages, laissant apparaître deux larges sourires, débordant de compassion et d'affection, bien plus qu'amical... C'est alors que cette gigantesque boule de feu, encore éveillé nous permettait d'apercevoir leurs silhouettes, qui s'entrecroisaient à cet instant.
Une silhouette plus petite apparaissait derrière celle de Chichi. Une silhouette qui interpella Vegeto.
Comme un enfant qui parle à son père.
Dernière édition par Shinogu le Ven Juin 12, 2015 12:37, édité 5 fois.
Je crois que tu as modifié ton histoire car je n'ai pas vu ce qu'a indiqué l'autre commentateur, sinon pour le moment ça va j'attends la suite c'est marrant on a commencé nos fanfiction a quelque jours seulement d'écart. Sinon j'adore le nom que tu as donné à ta fanfiction!!! Moi aussi dans ma fanfiction je n'ai pas beaucoup avancé mais je compte bien faire la suite . J’espère que tu vas faire une fanfiction plutôt longue j'attends la suite. Regarde un petit peu ma fanfiction stp voir si c'est bien. Bonne continuation
A aussi vu que Vegeto et la fusion Goku, Vegeta il est marrié avec qui? Chichi, Bulma ou personne?Et pour le nom cela ressemble un peut à Cell l'ascention de la terreur mais sinon je suis impatient de voir la suite. Je pense que tu vas faire un truck avec un dieu maléfique qui vient. Sinon j'aime bien ton dessin
Je te remercie de l'attention que tu porte à ma fic Cavaren. Alors oui j'ai modifié le synopsis en donnant une petite partie de mon histoire, à savoir une anomalie temporelle, ayant crée ce monde alternatif. Il sera donc différent de DBM et de l'Univers 16 pour ceux qui connaissent.
Après pour répondre au titre, au départ cela devait s'appeler " L'épopée des Dieux" mais je l'ai finalement appelé comme ça car au fil de ma fanfic nous assisterons à l'ascension d'un (des ?) personnage(s) clé(s) de l'histoire, je n'en dis pas plus.
Ensuite pour l'histoire de qui est avec qui, tout sera expliquée dans le chapitre 1 encore en écriture (que je compte posté avant la fin des vacances). Mais je te dis pas le casse-tête pour arranger quelque chose de cohérent En plus, de toute façon, que ça soit une des deux ne change pas vraiment le cours de l'histoire.
Et merci pour le dessin, j'y suis allé au feeling. Je voulais laisser le mystère du personnage même à travers le dessin.
Enfin, pour ta fic, je vais y jeter un coup d'oeil (voir donner un avis constructif), promis.
Shinogu a écrit:Je te remercie de l'attention que tu porte à ma fic Cavaren. Alors oui j'ai modifié le synopsis en donnant une petite partie de mon histoire, à savoir une anomalie temporelle, ayant crée ce monde alternatif. Il sera donc différent de DBM et de l'Univers 16 pour ceux qui connaissent.
De rien et oui je connais DBM
Après pour répondre au titre, au départ cela devait s'appeler " L'épopée des Dieux" mais je l'ai finalement appelé comme ça car au fil de ma fanfic nous assisterons à l'ascension d'un (des ?) personnage(s) clé(s) de l'histoire, je n'en dis pas plus.
OK je suis curieux, j'attends la suite. J'espère que tu vas la publié plus vite si je fais sa
Ensuite pour l'histoire de qui est avec qui, tout sera expliquée dans le chapitre 1 encore en écriture (que je compte posté avant la fin des vacances). Mais je te dis pas le casse-tête pour arranger quelque chose de cohérent En plus, de toute façon, que ça soit une des deux ne change pas vraiment le cours de l'histoire.
OK bonne chance et sinon je te conseil de faire un truck du genre Bulma fusionne avec Chichi grâce aux potalas comme sa tu es tranquille. ou tu le met avec Bulma et tu explique que Chichi de toute façon a l'habitude que Sangoku ne soit pas là et en plus elle aime pas Végéta alors que Goku lui est le meilleur ami de Bulma. J'espère que mes conseils t'auront aidé!
Et merci pour le dessin, j'y suis allé au feeling. Je voulais laisser le mystère du personnage même à travers le dessin.
Et bien c'est réussis!!!
Enfin, pour ta fic, je vais y jeter un coup d'oeil (voir donner un avis constructif), promis.
Merci j'espère qu'elle te plaira!
Bonne continuations !!!
Dernière édition par Cavaren le Lun Avr 20, 2015 1:37, édité 1 fois.
J'attendrai les prochains chapitres et de nouvelles informations pour juger le fond. Là je vais juger le style et la forme
Déjà pas de fautes d'orthographe (enfin il me semble ne pas en avoir vu) +1 Par contre la concordance des temps disparait de temps en temps. (Bien relire son texte "à froid" avant de poster)
Ensuite je rejoins ce qu'a dit Inikisha, certaines formulations ne sont pas naturelles du tout. Par exemple:
"On pouvait d’ailleurs y distinguer une silhouette masculine faisait acte de présence dans cette pièce.
L'incandescence de ce brasier solaire venait alors éclairer le visage de nos personnages"
N'essaye pas d'en faire trop, surtout dès le début. Le style est trop étouffant par rapport à la simplicité de l'action en cours. Il faudrait donner plus d'informations sur l'univers mis en place dans les premiers chapitres, quitte à délaisser un peu ton style d'écriture chargé, et le reprendre dans les moments forts de la fic pour qu'il ait plus d'impact. Pour bien se rendre compte il faut surtout relire quelques heures après avoir écrit pour être sûr de bien être sorti du bain de l'écriture et reprendre un avis objectif sur son texte
Voilà, malgré mon commentaire, fait comme tu le sens, si tu t'accroche bien ça va s'améliorer, je suis confiant courage
Je suis d'accord avec Potofeux tu pourrais faire plus simple a certains s'endroits mais bon on comprend le sens et moi cela me convient bonne continuation j'attends impatiament la suite Bonne chance pour qui est avec qui. Je te conseille aussi pour ta fanfiction que Trunk et Sangoten reprennent l'entraînement car je trouve cela dommage qu'ils aient arrêté de se battre une fois ados. Après c'est toi qui décide j'espère que mes commentaires t'auront étaient utiles et n’hésite pas a commenter ma fic bonne continuation!
A aussi Bou et pas Buu enfin je crois, dans ta phrase au début 8 ans après Buu. A non en fait on peut dire Bou, Buu ou Boo. Du coup c'est bon! Bonne continuation !!!
Je te conseille aussi la fanfiction Goku et Èrena à elle est très bien et elle a été crée 1 semaine après la tienne .
N'essaye pas d'en faire trop, surtout dès le début. Le style est trop étouffant par rapport à la simplicité de l'action en cours. Il faudrait donner plus d'informations sur l'univers mis en place dans les premiers chapitres, quitte à délaisser un peu ton style d'écriture chargé, et le reprendre dans les moments forts de la fic pour qu'il ait plus d'impact. Pour bien se rendre compte il faut surtout relire quelques heures après avoir écrit pour être sûr de bien être sorti du bain de l'écriture et reprendre un avis objectif sur son texte
Voilà, malgré mon commentaire, fait comme tu le sens, si tu t'accroche bien ça va s'améliorer, je suis confiant courage
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par Cavaren le Lun Avr 20, 2015 1:29
Je suis d'accord avec Potofeux tu pourrais faire plus simple a certains s'endroits mais bon on comprend le sens et moi cela me convient bonne continuation j'attends impatiemment la suite.
--> D'accord je vais essayer. Mais le problème dans tout type de réalisation scénaristique c'est que l'on prend les moments de la vie (ou d'une histoire invitée) les plus marquants. Donc je pense qu'à chaque chapitre de ma fic, il y aura des moments importants. Je vais essayer de faire le plus naturel possible, mais je veux également marquer le lecteur. Donc c'est dur de faire un parti pris, mais je vais essayer.
Bonjour à tous ! Bon ça faisait deux mois que je n'avais pas posté (merci le bac) mais à présent je suis en mesure de vous montrer le premier chapitre de mon histoire. Je remercie d'avance ceux qui lieront. Et si vous avez des conseils et avis à me donner, je suis preneur.(orthographe,découpage, ponctuation, description, histoire,...)
Chapitre 1 : Enfin de nouveau réunis.
Partie 1 : Le passé d’un simple inconnu.
L’enfant venait de parler à son père. Ce petit garçon accroché à la jupe de sa mère était bien la descendance de Vegeto.
Il se tenait face à son père, du haut de ses sept ans. Ses cheveux noirs étaient clairsemés et hérissés sur les pointes, où certaines de ces mèches venaient retomber sur son front. Mais le plus anodin était ses yeux : sombre et profond, ils nous figeaient à l’instant où nous les croisions, nous emportant aux portes de l’obscurité, plus noire que ses yeux eux-mêmes. Plus nous nous plongerons dans son regard, plus nous nous noierons dans un gigantesque trou noir impossible à s'en échapper. Ce regard peut librement changer d’intensité : passant d’un regard dur nous glaçant le sang à un regard plus doux, nous réchauffant le cœur. Ce changement d’état transforme son regard transcendant en un simple regard innocent. Le regard de l'enfant venait d'ailleurs d'entrecroiser celui de son père. Mais il ne fallait qu'une seule seconde pour qu'il le détourne aussitôt. Le charisme de Vegeto y était pour quelque chose, mais était-ce seulement cette raison ? Voyant que son fils n'était pas enclin à démarrer la discussion, c'est Vegeto qui s'en occupa :
— Ah fiston ! Tu t'es habillé d'un kimono semblable au mien à ce que je vois ! Tu comptes également venir au kaméhouse avec nous ? demanda Vegeto à son fils.
— Oui... je crois... murmura le jeune garçon, d’un ton maussade.
Vegeto avait perçu un malaise chez l'enfant. Il n'était pas simplement intimidé par son charisme, mais quelque chose d’autre le faisait réagir ainsi. Vegeto avait beau chercher dans tous les recoins de sa mémoire, il ne semblait pas avoir fait quelque chose de mal ; à moins que...
— Dis-moi Chichi, pourquoi se comporte-t-il étrangement ? Questionna Vegeto.
Chichi s'attendait à cette question. À vrai dire, c'était aussi l'une des raisons de sa visite :
— Tu sais, cela ne m'étonne pas de lui ce comportement avec toi. Il t'aperçoit de moins en moins à la maison. Avant tu prenais plaisir à l’entraîner chaque jour dans la capsule spatiale de Bulma. Mais maintenant, tu nous rends beaucoup moins visite, à moi et à ton fils. Je ne sais pas ce qu'il t'arrive, mais tu t'obstines de plus en plus à ne pas sortir de ta machine et à t'entraîner seul. Tu nous fais du mal à toi et à nous deux tu sais...
Elle avait touché un point sensible. Il savait bien qu'il ne s'occupait que rarement de sa famille et plus particulièrement de son fils. Il savait la raison de cet isolement de tout contact extérieur. Mais il ne devait surtout pas en parler. Il doit se débrouiller tout seul, comme il l'a toujours fait. Il n'y peut rien, il est comme ça...
— On en reparlera plus tard Chichi, rendons-nous d'abord au Kaméhouse. Cela fait huit ans depuis cet accident, et nos amis ne me connaissent toujours pas. Je sais que je me suis comporté comme un lâche durant tout ce temps... Et il est temps que je leurs dévoile ce qu'il s'est vraiment passé. Je ne veux plus me cacher. Vegeto prit l’une de ses mains, la posa sur l’épaule de Chichi, puis deux autres doigts furent posés sur le front du guerrier. Il se concentra, visualisa la destination à se rendre, et puis…
* * *
Pendant ce temps, dans un îlot au beau milieu de la mer.
— Une, deux, trois, quatre ♪ ... Une, deux, trois, quatre ♪ ...
Un vieillard exécuta une chorégraphie retranscrite par une chaîne de la télévision du salon. Plusieurs jolies jeunes filles montraient la manœuvre à suivre pour réaliser la chorégraphie reproduite par ce vieillard sénile.
— Voilà comme ça, un peu plus bas, hé hé. Se réjouissait le vieillard, en fixant de très près la télévision.
Durant les gesticulements de ce vieillard sénile, un halo blanc s’immisçait dans la pièce du salon. Cette aura s'intensifia jusqu'à projeter des vaisseaux lumineux sur l'écran de la télévision, empêchant l'ermite de profiter de son petit plaisir.
— Aller, maintenant, on passe à la deuxième éta...
Kamé Sennin avait surpris l'aura phénoménale d'un individu apparaître subitement dans la pièce. Il se retourna immédiatement et vit de ses propres yeux Vegeto en compagnie de sa famille.
— Mais que... Que se passe-t-il ! S’offusqua le vieil homme.
— Salut vieux maître, ça faisait un bail. Répondit Vegeto, familièrement.
L'ermite mit quelques secondes à réaliser ce qu'il venait de se produire. Une personne capable d'utiliser la téléportation, comme le fit Goku auparavant ?
— Go... Gokû ? Non… tu lui ressembles, mais… Qui es-tu ?
Kamé Sennin ne savait pas qui venait de s'introduire dans sa demeure. Ce personnage lui était complètement inconnu, enfin pas exactement... Il scruta l'apparence de l'inconnu de haut en bas pour en tirer une brève conclusion : son aspect lui faisait apparaître celui de Vegeta par ses cheveux, mais celui de Goku par son visage. Sa personnalité lui rappelait celle de Goku, mais son attitude n'était autre que celle de Vegeta, lui qui avait pour habitude de souvent croiser les bras. Un vieux souvenir venait alors de lui apparaître : la fusion qu’avaient exécutée Trunks et Goten huit ans auparavant, donnant les mêmes aspects troublants que ce mystérieux personnage :
— Je ne comprends pas ! Dis-moi qui tu es à la fin ! Tu ressembles trait pour trait à deux personnes que j'eu connus jadis. Questionna l'ermite, troublé par l'incompréhension.
Vegeto avait tant redouté ce discours, mais il ne devait pas reculer, il ne devait plus reculer. Il fallait avouer à son ancien maître son identité. C'est ainsi qu'il racla sa gorge, regarda son maître face à lui, puis sortit ces quelques mots de sa bouche :
— Pour être bref... Je ne suis ni Goku ni Vegeta. Mon nom est Vegeto. Je suis la personne résultant de la fusion de ces deux individus. Goku et Vegeta ne sont donc pas morts il y a de cela huit ans comme Bulma te l'avait annoncé auparavant. Je suis sincèrement désolé de ne pas te l'avoir dit plus tôt, mais je n'en ai jamais eu le courage...
La télécommande lui glissa des mains très facilement, s’effritant contre le parquet de la pièce. Ses mains tremblantes et sa voix grisante montraient l’ampleur du choc de la révélation de cet individu. On lui a donc si longtemps caché un mensonge. Ce discours, il avait du mal à le croire :
— Non... Tu mens… Vegeta et Goku sont morts il y a de cela huit ans pour protéger la Terre du terrible Majin Buu. Je ne te crois pas, tu mens ! Tu n'es que imposteur !
Kamé Sénnin ne pouvait retenir ses larmes qui coulaient le long de sa joue. On voyait l’homme abattu, envahi de deux sentiments distincts : la joie de savoir que son élève est quelque part toujours vivant, mais la tristesse de découvrir qu'on lui a menti pendant tout ce temps. Il se sentis trahi. Trahi part un inconnu qui dans une ancienne vie fut son meilleur élève. Il avait toujours douté de la parole de Bulma, qui affirmait que les deux combattants s'étaient sacrifiés lors du combat contre Buu, et ne pouvaient plus ressusciter. Mais il avait gardé un espoir que Goku soit en vie, par ne serait-ce quel miracle, comme il l'a toujours fait. Il savait à présent qu'il ne le reverrait plus jamais. Mais ce sentiment de trahison ne fut présent que pendant quelques instants. Il devait comprendre ce que cet individu a dû endurer tous les jours. La culpabilité de ne pas pouvoir révéler la vérité. Cette culpabilité de décevoir les gens qui auraient préféré que Vegeta et Goku soient encore en vie plutôt qu'un individu sans intérêt aux yeux de tous. Il se calma quelques instants, puis proposa à celui-ci de s'asseoir en attendant l'arrivée de tout le monde. Mais plusieurs choses étaient encore floues dans cette histoire, et il n'hésita pas à le faire savoir :
— Dis-moi mon garçon, je voudrais que tu m'expliques plus en détail sur ce qu'il s'est passé il y a maintenant huit ans. Je veux tout savoir, demanda l'ermite.
— Plus tard, quand tous les autres seront là, répliqua sereinement le guerrier.
* * *
Le soleil ardent avait laissé place à la lune glaciale qui recouvrit le ciel d'un voile sombre.
La lune froide projetait un vent glacé qui s'installait sur tous les recoins de l'île. Un silence régnait sur la plus grande partie de l'océan, et les vagues projetaient de temps à autre les débris de bois de bateaux abandonnés près de l'île. Aujourd'hui, le calme était absolu. Enfin... jusqu'à ce qu'un engin volant atterrisse au bord de l'îlot. Un des premiers individus descendit de l'engin et s'élança dans le sable mouillé, provoqué par la marée haute. Par inattention, il enfonça son pied dans l'un des bouts de bois rescapés de l'île :
— Aïe ! Ce vieillard n'est même pas fichu de faire le rangement dans sa petite île. Pourtant c'est pas le temps qui lui manque à celui-là, s'énerva l'individu de petite taille au crâne chauve.
— Calme toi Krillin, tu as tout le temps de t'énerver contre lui, cela fait bien un sacré moment que notre maître ne nous avaient pas invité dans sa demeure. Tu peux au contraire te réjouir, consola Yamcha en tapotant sur l'épaule de son ami.
— Euh... Oui excuse-moi, je me suis emporté. Mais depuis la tragique disparition de Goku et Vegeta, il n'a plus jamais eu le courage de rassembler à nouveau le groupe en entier, par peur de raviver la tristesse de leur départ.
Sur ces mots, Krillin apaisa sa frustration refoulée depuis ce funeste jour, il tapota trois fois à la porte et entendit la voix de son maître qui l'autorisa à entrer.
— Ah Krillin, tu es le deuxième arrivant, les autres ne devraient plus tarder alors, appréhenda le chauve sénile.
— Oui, ils sont juste à l'entrée. Affirma le second chauve, plus petit.
Tout un groupe entrait dans la maison du vieux sage, venu célébrer les retrouvailles d'une grande famille à nouveau réunie.
— Parfait, vous êtes tous là, j'ai quelqu'un à vous montrer.
Le groupe était intrigué, personne ne semblait manqué à l'appel. Tenshinhan demanda à Bulma l'identité de l'individu, alors que celle-ci, malgré quelques hésitations, divulgua la réponse. Tenshinan n'eut pas le temps de réagir que celui-ci entra dans la pièce : Il avança calmement et sortit de l'obscurité de la chambre. La lumière fit d’abord refléter partiellement une partie de son corps et le groupe commençait à réaliser qu’il n’était pas vraiment un inconnu pour eux. Cette paire de bottes leur rappelait vaguement celle de Vegeta auparavant. Il continua donc d’avancer en direction du salon et c’est alors que toute la lumière fit refléter la personne qu’il représentait : Deux mèches sur le front, les bras croisés, un sourire ineffable, et un kimono bleu et orange.
— Mais... c'est une blague ! clama à l'unisson le groupe.
* * *
— Je n'arrive toujours pas à y croire, on nous a caché cette histoire depuis maintenant presque huit ans... fit Krillin, autant désemparé que heureux par la nouvelle. Son ami est tout compte fait bel et bien vivant, mais dans le même corps que Vegeta, et pour toujours. Il n'a plus que devant lui un parfait inconnu.
— J'y pense, c'est pour ça que Bulma n'était pas autant dramatique au sujet de leurs morts ! rajouta Oolong, qui mettait de plus en plus mal à l'aise le nouveau venu.
— Moi ce que je ne comprends pas, c'est que pourquoi nous l'avons appris que maintenant ! Cela fait quand même plusieurs années qu’on ne s’était pas vu ! fit Yamcha, intrigué.
Les questions au sujet de Vegeto s'enchaînaient les unes après les autres. Chichi ne pouvait plus supporter cela et s'interposa dans la discussion :
— Arrêtez de vous énerver... je vais tout vous expliquer... rétorqua Chichi, autant mal à l'aise que le nouveau venu.
— Non… je me chargerai moi-même de tout vous expliquer, affirma Vegeto à haute voix.
Chichi fut surpris de l'assurance de Vegeto. Il ne l'avait pas vu comme cela depuis plusieurs années. Le guerrier aux boucles d'oreilles s'assied les deux genoux pliés. Tous les regards étaient fixés sur sa personne. Il ne savait pas vraiment comment expliquer cette histoire, ni même s'il en avait vraiment le courage. Il eut donc pour réflexe de regarder Chichi et son fils attendant leur réponse eux aussi. Son courage finit donc par prendre le dessus et il commença alors à tout expliquer auprès du groupe :
— Je tiens avant tout à m'excuser de ne pas vous avoir dit qui j'étais et d'avoir fui pendant tout ce temps. Seulement ma famille et celle de Bulma connaissait ma situation. Pour tout vous dire, je ne suis aucune des deux personnes que vous avez connues auparavant. Même si j'en ai la ressemblance et l'attitude, je suis une autre personne, un inconnu pour vous. La raison de cette lâcheté était dans un sens une honte profonde de ce que je suis. J'appréhendais la déception que cela pourrait vous causer, de ne plus être ni Vegeta, ni Goku. J'ai mis du temps avant de pouvoir réaliser ce que j'étais devenu, et même encore aujourd'hui, j'ai du mal à m'y faire, j'ai du mal à me trouver... Je ne suis pas habitué à m'occuper de ma vie de famille ou même discuter avec des connaissances. Pour Bulma, cela ne la dérange pas puisqu'elle en avait l'habitude avec Vegeta. Mais Chichi se sent seul depuis plusieurs années par ma faute. Elle en souffre chaque jour, tout comme vous tous... Aujourd'hui, je sais que j'ai commis une grave erreur d'avoir caché ce secret depuis tout ce temps. Me cacher à moi-même... à ma famille... à mes amis... Je suis désolé... finit Vegeto, tête baissée.
— Vegeto... murmura Chichi, éprouvant de la compassion à son égard.
Son fils avait – semble-t-il – écouté la discussion assis sur le tapis du salon en jouant avec la tortue de mer. Lui qui attendait la raison de son comportement depuis plusieurs années, n'était qu'à moitié satisfait. Il avait avoué, mais cela ne lui suffit pas. Il faut qu'il change.
Le groupe avait laissé planer un moment de silence après l'aveu du fier guerrier qui accepta d'ouvrir un peu son coeur. Tous commençaient à se rendre compte de la douleur psychologique que devait endurer chaque jour Vegeto. Après la colère fut la compréhension, et enfin le pardon :
— On veut bien te pardonner... mais il nous faudra du temps, ajouta Krillin en réconfortant notre guerrier abattu d'une tape sur l'épaule.
— D'ailleurs… j’aimerais bien comprendre comment cet accident s'est produit, demanda Oolong, intrigué.
Vegeto s'enfouit dans ses pensées les plus profondes, comme un adulte chercherait à se remémorer ses premiers souvenirs lorsqu'il n'était encore qu'inconscient, qu'un simple nourrisson. Mais cela n'était guère compliqué pour lui. Tous ses souvenirs, y compris ceux de Vegeta et de Goku étaient parfaitement en ordre dans sa mémoire. Il était déjà en mesure de répondre.
* * *
Huit ans plus tôt...
Dans le désert rocheux, le sable du temps rendra bientôt son verdict.
Deux individus se tenaient face à face. Deux gouttes d’eau si différentes l’une de l’autre, mais si complémentaires à la fois. L’un des deux individus venait de rechigner la proposition de son rival, mais l’autre ne se résigna pas pour autant : cette boucle d’oreille à la main, c’était l’espoir de l’humanité qu’il tenait en une seule main.
— Vegeta, je t'en supplie, Buu va arriver d'une minute à l'autre, il faut fusionner ! Supplia Goku en joignant les deux mains collées l'une à l'autre, priant d'obtenir satisfaction.
— Mais tu rêves, jamais je ne fusionnerai avec mon rival, n'osant même pas se battre à fond lors d'un combat. Tu m’as pris en pitié, et ça je ne le supporte pas !
— Dépêche-toi Vegeta, Buu ne va pas tarder, nous devons fusionner, c'est le seul moyen !
Vegeta demeurait hésitant. Fusionner avec son pire rival, quelle humiliation de sa part ; lui qui en avait subi depuis de nombreuses années. Sa plus mémorable etait d'ailleurs leur premier affrontement. Il ne pouvait oublier l'humiliation qu'il subit ce jour-là. Et la pitié de Kakarrotto qui lui laissa la vie sauve fut à jamais la plus humiliante. Les poings refermés, Vegeta n'eu pas le temps de refuser une dernière fois que le saiyan de basse classe lui avancait des arguments qu'on ne peut refuser pour un père de famille : Sa femme, son enfant, tout deux absorbés par ce monstre infâme qui prenait plaisir à faire souffrir. Il eut pour réflexe d'écraser ses doigts sur la paume de sa main. Cette pression sur ses doigts avait fait jaillir du sang de sa main, le sang du prince Vegeta. Son coeur avait rarement ressenti une telle haine envers un individu : se jouer de sa famille de la sorte, c'en était trop pour lui. Il devait répondre vengeance, même si pour cela il devait se résigner à fusionner avec celui qui l'eut jadis humilié. Le Prince des saiyans se résigna, il tendit sa main ouverte, signifiant son accord pour fusionner. Goku éprouvait à cet instant une grande satisfaction, car rares sont les fois où Vegeta accepte une condition de son rival. Sourires aux lèvres, il donna la boucle d'oreille divine à Vegeta. Tous deux l'accrochèrent respectivement à l'oreille droite et gauche, c'est alors que pour le moins étonnant, une attraction entre les deux corps se mit en place, semblable à deux aimants ne pouvant plus se séparer.
— Je te remercie Vegeta ! Prononça Goku, qui fut sa dernière parole.
Une lumière étincelante jaillit de cette union et toutes les parties du corps prirent forment. Tous furent équitablement répartis entre les deux saiyans : le visage de Goku, les cheveux de Vegeta, et la tenue des deux saiyans réunis, à laquelle on ajoutait la personnalité de Vegeta à première abord dominante. Ce nouveau saiyan découvrit les facettes de son corps encore peu familier pour lui, comme un nouveau-né qui devra s'habituer à marcher et à penser. Mais la vision d'un agréable moment qu'il allait passer face à Buu lui fit retrouver ses origines : un saiyan dont la fierté n'a pas d'égale. Un saiyan dont la force n'a pas d'égale.
C'est ainsi que Vegeto naquit...
Dernière édition par Shinogu le Sam Juin 13, 2015 15:55, édité 6 fois.
Merci de ton avis, mais je ne suis pas encore satisfait de mon prologue et ma première partie. Je ferais une réédition très prochainement car j'ai plusieurs idées à mettre en place dans ma fic. D'ailleurs le nom de la fic à changé car celui-ci me paraît plus original et s'adapte à l'avancée de l'histoire : le nom aura une signification différente à chaque partie de l'histoire.
Il me semblais avoir commenter mais visiblement non alors je vais le faire déjà la nouvelle manière dont c'est fait est excellente ! Le fait de mettre les parties du chapitre et tout je trouve ça une très bonne idée ! Sinon une petite faute ou c'est moi qui ai mal compris.
Shinogu a écrit:
L'histoire se passe huit ans après la défaite de Buu. Cependant, l'histoire est différente de celle d'origine : Vegeto n'a pas dé-fusionné et l'histoire est totalement chamboulée par cette événement. Pourquoi Vegeto est n'a pas dé-fusionné ? Que s'est t-il passé en huit ans, mais surtout, que se produira t-il dans cette histoire ?
Moi aussi dans ma fanfiction je n'ai pas beaucoup avancé mais je compte bien faire la suite 
. J’espère que tu vas faire une fanfiction plutôt longue j'attends la suite. Regarde un petit peu ma fanfiction stp voir si c'est bien. Bonne continuation 
Sinon j'aime bien ton dessin 
:
