Créez-y votre topic personnel ! Il vous servira de message de présentation, de galerie d'exposition pour vos créations non dragon ball... Voir explications plus détaillées en post-it.
Antarka a écrit:Batroux G taime. Komme 1 pla de tagiatelle Sof ke g sé pa si on peu te mangé Mais ds t oeils on pourré se noyé
Antarka tu résonnes comme la Samba Tu enclenches le pas et je suis là: "Wouha" Mon petit chômeur, c'est ta kassdédi ! Je regrette de répondre ce vendredi Mais tu sais que chez moi les vents sont violents Comme la gueule d'Inikisha-ChAN.
TADAAAAM !!!
J'ai plus de scanner j'ai donc été contraint de le prendre en photo, du coup les défauts sont encore plus flag, jambes de Buu mais c'était un dessin intéressant à faire ^^
Spoiler
EDIT: Dessin extrêmement long à faire puisque sur A3 mais je suis content du résultat, je suis parvenu à peu de choses à avoir le rendu que je voulais ^^
Et Grâce à Monsieur Inikisha ! Vous pouvez écouter "Batroux fait du silence l'ironie de ses propos !" Le tube de l'Union sacrée de l'année dernière, sans limite de temps, sans avoir à le télécharger ! Sauf s'il la supprime, ce qui est fort probable juste pour me faire chier. Je tiens à rappeler pour mon égo que c'est une chanson 100% Originale Made in Batroux. Approuvé par Tonton Mazzu et Frère Inikisha.
EDIT: Je sais que vous l'attendiez tous et c'est avec un plaisir non dissimulé que je vous apprends que le Tube de l'union Sacrée Summer 2013 est arrivé, tout nouveau, tout beau, tout chaud. Grâce à mon producteur, Universal Inikisha: Music in your Ass qui approuve ce morceau, vous pouvez l'écouter en ligne sans avoir besoin de le télécharger sous certaine bécane (Pour moi sous Windows 8, je peux écouter en ligne par exemple). Elle est pas belle la vie ? Alors le voici: Batroux - L'enfoiré
Et voici le texte:
Spoiler
Début 2007, Les membres ont afflué 2008, Antarka est arrivé Sur l'Union Sacrée, et il a commencé Tel le chat noir dont tout le monde se foutait Inikisha criait du coeur mais pas le Phoenix Violet Il faut sauver du malheur le ptit ambulancier Derrière nos écrans, il nous fait souffrir. Sauf les moments où on est Mort de rire Et J'ai ris ! L'enfoiré
Il a raconté, et beaucoup de monde a fuit Blems de Tafs, de meufs, aléas de la vie De quoi rester sous une couette au fond du lit Il nous a rien épargné, la petite taille aussi. Il a dit qu'il tabasse la Bac alors le faites pas chier Il provoque à des distances des AVC Seul au monde, Robinson Crusoé Sauf qu'il peut te prendre la tête même si t'es pas à côté Je me suis dit L'enfoiré !
Aujourd'hui il veut être infirmier Il a craqué son slip et a tout lâché On aurait bien aimé qu'il devienne astronaute Cela aurait pu être notre nouvel antidote Qu'il se mange une comète dans l'obscurité Prenant de l'âge, car fatigué, ce serait mérité Dans un cercueil, retraite anticipée Mais il n'aurait pas de quoi se le payer... Je me suis dit
L'enfoiré !
Crédits: Composition de la musique: Jean-Jacques Goldman Texte, arrangement, interprétation: Batroux Caméos dans le texte de la chanson: Inikisha, San999 La vie de merde d'Antarka
Voici une nouvelle sur Batman que j'avais envie d'écrire depuis un moment, elle sera composée de plusieurs parties, combien je ne sais pas encore, sûrement moins d'une dizaine. Je n'essaye pas d'être raccord avec une quelconque histoire, je pioche un peu des idées de background dans les divers supports Batman même s'il y a une prédominance dans ceux de Nolan. Elle n'a pas de titre et n'en aura probablement pas.
Partie 1: La lune éclairait une partie du domaine. Devant une fenêtre se tenait Alfred droit et immobile. C'était une autre lumière dans le ciel qui mit Alfred dans cet état de catatonie : une immense chauve-souris rudimentaire. Un symbole provenant d'un projecteur que le Batman avait offert à la police de Gotham-City. Une image qui frappait le ciel presque tous les soirs et ce depuis de nombreuses et longues années. La regardant avec une profonde fierté au début, Alfred ne pouvait s'empêcher de maudire intérieurement ces appels à l'aide réguliers depuis plusieurs années. Le symbole lumineux s'éclata dans les vitres du manoir. L'intérieur de la pièce n'avait plus qu'une zone d'ombre sur le sol et remontant sur des rangements muraux : celle de la carrure d'un homme vieillissant, fatigué et probablement malade d'inquiétude. Le père de substitution de Bruce sortit de cette apparente paralysie. Il serra son poing avec vigueur du moins avec autant de vigueur qu'un homme de son âge pouvait le faire. L'homme âgé se retourna et vit un lit vide, des draps à peine froissés. Un lit à peine défait qui en disait long sur la qualité du sommeil de son fils adoptif. Bruce était une fois de plus sorti mais dans quel état renterait-il cette fois-ci ? Beaucoup de parents ont eu droit et auront droit avec leurs enfants à des crises d'adolescence douloureuses, violentes et dramatiques, souvent une de ces étapes à la fois et dans de plus rares cas les trois à la fois. C'était horrible de perdre un enfant, de le voir corrompu par les vices et les tourments d'une ville. Dans le meilleur des cas ces enfants pouvaient revenir à un état normal, normal aux yeux de parents dépassés. Dans d'autres cas, ils finissaient en prison mais la justice de Gotham était assez laxiste pour les laisser sortir quelques mois plus tard sans que de réels changements ne se soient opérés. Et dans le pire des scénarios, ces jeunes adultes mourraient abattus comme des chiens, voire même pire. Règlement de comptes avec des armes à feu, avec des armes blanches, des cadavres retrouvés avec des membres arrachés. Ces parents étaient à plaindre et Alfred les plaignait jusqu'à ce que son fils montre son vrai visage : celui du Batman. Une crise d'adolescence qui ne se termina pas à l'âge adulte. Une psychose, un trouble de schizophrénie, un dédoublement de la personnalité la réponse était sûrement dans ces troubles psychologiques. Bruce changeait d'années en années. Il devenait un meilleur Batman, conscient de ses capacités, conscient de ses erreurs, il n'avait de cesse de s'améliorer dans les techniques d'arts-martiaux, d'investigation, dans l’appréhension des psychologies pathologiques mais en contre-partie il devenait un Bruce beaucoup plus difficile à cerner, difficile à vivre. Bruce laissait peu à peu Batman prendre le dessus. Alfred était persuadé que l'enfant qu'il était, jovial, heureux existait encore dans les méandres, dans les ténèbres qu'avait créée le Batman en apparaissant. Mais aujourd'hui n'était-il pas trop tard pour faire réapparaître le côté humain de Bruce ? Dans ces moment où Gotham avait le plus besoin du Batman, n'était-ce pas un vœux, un souhait égoïste de la part d'Alfred que de revoir l'enfant qu'il choyait tant alors que ses parents étaient encore vivants. Bruce lui tiendrait assurément ce discours. Le maître de maison se contenta alors depuis plusieurs années de s'inquiéter silencieusement devant une fenêtre, devant un paysage magnifique mais qui ne reflétait plus rien aux yeux du majordome. Il se contenta d'être présent pour son fils adoptif, de panser ses blessures physiques, de tenter de lui faire une quelconque morale sur le bien-fondé de sa croisade contre la vermine indestructible de Gotham-City, souvent sans que les mots n'aient un quelconque impact si ce n'est de brouiller les deux hommes pendant quelques jours. L'horloge de la chambre principale sonna les vingt-deux heures. Le majordome perdu dans ses pensées, dans ses élucubrations se retourna finalement. La nuit ne faisait que commencer et il était persuadé que Batman ne rentrerait qu'au petit matin. Son corps lui faisait comprendre que le sommeil était de rigueur mais sa psyché ne lui laisserait pas assez de répit pour trouver Morphée. Il descendit dans les cuisines et prépara une cafetière rempli à ras bord. L'homme versa dans un thermos le café qui allait être son compagnon d'infortune encore une fois. Il se dirigea vers la salle de musique du manoir Wayne et pianota une mélodie dissonante sur le gigantesque piano à queue. Une porte s'ouvrit et il s'y engouffra. Appuyant sur un bouton, il descendit alors à la batcave.
La pénombre s'était emparée de la ville de Gotham, la pleine lune visible du manoir Wayne semblait disparaître au plus la bat-mobile se rapprochait de la cité. Passé les remparts, les buildings hauts de plusieurs centaines de mètres ne laissaient aucune place à la lumière naturelle. Seuls les éclairages publics offraient une clarté, poussiéreuse, macabre, cachant les méfaits de malfrats dans les petites ruelles sombres. Malheureusement, ce soir là Batman ne pouvait s'arrêter à chaque coin de rue pour sauver une femme sur le point de se faire violer, pour défendre un sans domicile fixe qui se faisait tabasser pour le plaisir de quelques mecs alcoolisés. La mission était autre et bien qu'il s'en soit voulu de le penser, elle était autrement plus importante. Batman espérait comme bien souvent que la vue de la bat-mobile soit un déclencheur dissuasif. Après tout ces petites frappes de bas étage ne savaient pas si Batman arpentait les rues pour eux ou pour une toute autre raison. Et bien souvent, juste cette simple présence avait les effets escomptés. Gordon avait mis le bat-signal en route pour une bonne raison. A peine le chevalier noir était rentré dans son bolide qu'il appela le fonctionnaire le plus intègre de la ville pour avoir un briefing sur la situation. Jim Gordon avait été tant décrie à ses débuts dans la police de Gotham. On ne graissait pas la patte de Jim Gordon. Ce flic aimait se lever le matin et pouvoir se regarder dans une glace, il aimait se sentir à l'aise dans ses chaussures. Cependant les aléas de la vie et de la ville, les différents coups du sort on fait qu'à un moment donné, le commissaire n'était plus aussi blanc que neige au soleil. Cette putain d'histoire avec Dent, le kidnapping de sa famille. Si Batman n'était pas intervenu, le pire se serait produit et il aurait été possible que Jim passe une barrière. Il avait failli la franchir d'ailleurs. Batman l'en empêcha. En quête de vengeance, le flic était parti à la recherche de Dent, il le retrouva. Dent se foutait de son sort, la pièce l'avait déclaré mort, il attendait juste que cela se passe. Batman sauva Dent et Gordon par la même occasion. Dent fut finalement enfermé précieusement dans l'aile isolation de l'asile d'Arkham. Comment un homme aussi bon que Dent avait pu perdre toute raison ? Son accident était dramatique, la perte de sa fiancée encore plus. Dent avait littéralement pété les plombs, refusant toute aide extérieure, tout traitement pour ses brûlures. Gordon pouvait comprendre cet accès de folie, il ne comprenait cependant pas pourquoi Dent s'était fermé à ses amis, à ses collègues, à ses médecins... Ce jour-là, le Joker avait frappé fort. Il avait su mettre à profit son génie, trop souvent sous-estimé par ses accès de folie, à contribution pour enrayer la percée faramineuse d'une justice implacable et qui semblait ne plus avoir peur de la pègre. Le trio composé de Gordon, de Dent et de Batman se voyait amputé d'un des membres les plus brillants et influents. Découragés au départ, Gordon et Batman se ressaisirent face à une moralité grandissante dans certaines parties de la magistrature, face à des nouvelles recrues de la police qui avaient pu voir et admirer les exploits de Batman, juste assez grands et matures pour s'en faire un code de conduite. Pour beaucoup d'entre eux, Batman était là, c'était un héros, le plus grand sûrement mais combien de temps pourrait-il continuer ? Il était temps que la jeunesse prenne en quelques sortes les armes et défendent les valeurs qu'ils partageaient avec le chevalier noir d'une manière légale. La communication avait été enfin établie avec Gordon. Sans réelle ligne privée, Gordon ne répondait pas de suite. En tant que commissaire de la ville il gérait tant bien que mal les problèmes qui s'accumulaient en situation de crise. Comme un standard téléphonique, il devait gérer l'arrivée des forces de polices, des groupes d'escouades et les tempéraments des hommes impulsifs, violents peut-être parfois même plus que les bandits qu'ils devaient neutraliser, la presse bien qu'il envoyait allègrement sur les roses celle-ci. La situation était dramatique expliqua-t-il enfin. Une classe était sortie en visite de musée. Arrivée à l'heure prévue et repartie à l'heure imposée par le bus et le rythme scolaire mais le bus n'était jamais revenu à l'école. Le vrai car attendait toujours devant le musée. Face à une attente insupportable, le conducteur appela sa compagnie de transport qui contacta à son tour l'école. Aucun élève n'était revenu, l'enseignante était restée injoignable durant deux bonnes heures. Le directeur d'école parvint enfin à établir un contact sur le téléphone portable de la jeune femme et tout son être se retrouva enivré de frissons et d'effrois quand une voix d'homme, aiguë lui répondit et lui tint des propos qu'il n'aurait jamais pensé entendre en appelant Noémie Watson, l'enseignante. Le directeur tétanisé raccrocha le téléphone, restant statique derrière son bureau, les yeux grands ouverts face à son assistante qui insista pour en savoir plus. L'assistante se perdit elle aussi dans la terreur le temps que l'autorité de l'école lui explique la situation. Ils appelèrent tous les deux les forces de l'ordre qui menèrent une enquête aussi rapide que précise. Le téléphone de l'institutrice était toujours allumé et donc en activité, ils repérèrent rapidement l'endroit d'émission des zones du téléphone. Un entrepôt désaffecté dans la zone industrielle de Gotham. Ils ne tardèrent pas à joindre toute la concentration de policiers à cet endroit. L'intervention du S.W.A.T se retrouvait compromise par des gardes postés à chaque ouverture de l'entrepôt : portes, fenêtres, toit et bouches d’égouts. Les hommes étaient bien armés. Des fusils mitrailleurs automatiques mais le S.W.A.T aurait pu gérer une telle prise d'otage si les ravisseurs s'étaient contentés que d'armes à feux mais ce n'était pas le cas. Les hommes étaient en plus ceinturés d'explosifs, puissants et dévastateurs. La situation était gravissime. Les masques de clowns qu'ils portaient ne rassurait pas du tout le commissaire Gordon. Cette prise d'otages était l’œuvre du Joker, l'inquiétude était d'autant plus grandissante qu'il s'agissait d'un rapt d'une trentaine d'enfants. Cela aurait été n'importe quelle autre figure du crime de Gotham-City, Gordon aurait pu établir un plan tout seul mais face au Joker, les choses devenaient encore plus compliquées. L'homme au sourire était un être avec un intellect supérieur à la moyenne mais son apparente instabilité le rendait plus dangereux qu'une organisation de malfaiteurs, tous génies qu'ils pouvaient être... Gordon n'essaya même pas de rentrer en contact avec le génie du crime, il n'essaya même pas de faire appel à des négociateurs pourtant présents. Il savait que ce qu'il pouvait faire habituellement était impossible, il savait que même sans respecter les ordres et l'éthique de la police il n'arriverait à rien, seul. Face à ce dilemme, face à l'impuissance des forces mises à disposition, Gordon ordonna l'envoi du bat-signal dans les cieux de Gotham. Un seul être était capable de mettre fin à cette crise en limitant les dégâts collatéraux et c'était Batman. Bien sûr les quelques hommes du S.W.A.T avides de sang et d'action râlèrent et enragèrent face aux ordres de Gordon. Le commissaire attendait patiemment l'arrivée de Batman comme celle du messie et de ce fait, faisait passer les troupes d'élites pour des incompétents. Batman était enfin arrivé sur les lieux. Il fit passer un message à Gordon. Le commissaire comprit et s'éloigna du gigantesque attroupement de flics présents. Le chevalier noir joua avec l'obscurité, une fois n'était pas coutume il surprit Gordon : -Quelle est la situation, Jim ? Demanda Batman. -De nombreux hommes, au moins une vingtaine postés devant toutes les issues possibles. Armés jusqu'aux dents et habillés d'une ceinture d'explosifs et visiblement prêts à se faire sauter à la moindre tentative d'intrusion. Le rapport du S.W.A.T dans les égouts nous dit qu'ils ont mis en place une barrière visuelle. Quand mes hommes se sont approchés, ces salopards ont menacé de se faire sauter, faisant exploser la structure du bâtiment et donc tuer tout les enfants à l'intérieur, répondit Gordon sur un ton peu rassuré. -Je vois... Gordon se retourna vers le bâtiment visible de là où se trouvaient les deux hommes et tout en le pointa du bras se mit à déblatérer. -Comment faire pour franchir les lignes ennemis sans se faire tirer comme des lapins ? ! Sans mettre en jeu la vie des enfants ?! Nous sommes bloqués ! -Je m'en charge, soyez prêts à réceptionner les enfants. -Mais...
Gordon se retourna vers Batman mais celui-ci avait disparu. Il remonta ses lunettes d'un doigt avant de dire, sans savoir s'il était entendu par l'intéressé : -Je compte sur vous...et merci...
Dernière édition par Batroux le Jeu Août 22, 2013 20:57, édité 1 fois.
Début 2007, Les membres ont afflué 2008, Antarka est arrivé Sur l'Union Sacrée, et il a commencé Tel le chat noir dont tout le monde se foutait Inikisha criait du coeur mais pas le Phoenix Violet Il faut sauver du malheur le ptit ambulancier Derrière nos écrans, il nous fait souffrir. Sauf les moments où on est Mort de rire Et J'ai ris ! L'enfoiré
Il a raconté, et beaucoup de monde a fuit Blems de Tafs, de meufs, aléas de la vie De quoi rester sous une couette au fond du lit Il nous a rien épargné, la petite taille aussi. Il a dit qu'il tabasse la Bac alors le faites pas chier Il provoque à des distances des AVC Seul au monde, Robinson Crusoé Sauf qu'il peut te prendre la tête même si t'es pas à côté Je me suis dit L'enfoiré !
Aujourd'hui il veut être infirmier Il a craqué son slip et a tout lâché On aurait bien aimé qu'il devienne astronaute Cela aurait pu être notre nouvel antidote Qu'il se mange une comète dans l'obscurité Prenant de l'âge, car fatigué, ce serait mérité Dans un cercueil, retraite anticipée Mais il n'aurait pas de quoi se le payer... Je me suis dit
L'enfoiré !
Keep on Rouckin Broth' !
Ce tube de l'été déchire grave ^^. T'es vraiment un bon guitariste Bat' , et tu chantes bien aussi Tu devrais participer à The Voice
Excellent chapitre sur l'un des héros les plus emblématique, Batman. J'apprécie ton style d'écriture, et l'ambiance sombre est bien retranscrite. Rien a dire de plus que : Vive la suite \o/ !
Crédits AVS :
Spoiler
Merci à Anaunsa pour la superbe bannière ! Merci à Bushido et niic pour l'aide-scénaristique. Merci à niic, Tiguor et goget pour l'aide au niveau des fautes. Et un grand merci à tous les lecteurs !
Début 2007, Les membres ont afflué 2008, Antarka est arrivé Sur l'Union Sacrée, et il a commencé Tel le chat noir dont tout le monde se foutait Inikisha criait du coeur mais pas le Phoenix Violet Il faut sauver du malheur le ptit ambulancier Derrière nos écrans, il nous fait souffrir. Sauf les moments où on est Mort de rire Et J'ai ris ! L'enfoiré
Il a raconté, et beaucoup de monde a fuit Blems de Tafs, de meufs, aléas de la vie De quoi rester sous une couette au fond du lit Il nous a rien épargné, la petite taille aussi. Il a dit qu'il tabasse la Bac alors le faites pas chier Il provoque à des distances des AVC Seul au monde, Robinson Crusoé Sauf qu'il peut te prendre la tête même si t'es pas à côté Je me suis dit L'enfoiré !
Aujourd'hui il veut être infirmier Il a craqué son slip et a tout lâché On aurait bien aimé qu'il devienne astronaute Cela aurait pu être notre nouvel antidote Qu'il se mange une comète dans l'obscurité Prenant de l'âge, car fatigué, ce serait mérité Dans un cercueil, retraite anticipée Mais il n'aurait pas de quoi se le payer... Je me suis dit
L'enfoiré !
Keep on Rouckin Broth' !
Ce tube de l'été déchire grave ^^. T'es vraiment un bon guitariste Bat' , et tu chantes bien aussi Tu devrais participer à The Voice
Chanter bien pas encore mais j'y travaille ! Bon guitariste, je connais un morceau qui te dirait le contraire en ce moment mais j'y travaille aussi ! Je suis pas fana des télécrochets quels qu'ils soient ! Merci en tout cas Gakin !
Lalilalo a écrit:Bonne entrée en matière. Attention cependant aux répétitions (ex: Batman "joue avec l'obscurité" dans deux phrases se suivant).
J'ai édité pour la répétition. En fait je l'avais écrit au début et je trouvais que ça allait mieux dans l'autre phrase et j'ai oublié de l'enlever ^^ Merci en tout cas Lalilalo !
kouki a écrit:Excellent chapitre sur l'un des héros les plus emblématique, Batman. J'apprécie ton style d'écriture, et l'ambiance sombre est bien retranscrite. Rien a dire de plus que : Vive la suite \o/ !
Merci Kouki !
Et Voici la partie 2 de ma petite nouvelle sur Batman.
Partie 2 : La patience était mère de sûreté, Batman le savait. Les hommes du Joker étaient postés à des endroits stratégiques. Le sombre héros tentait d'analyser la situation : Foncer dans le tas par la première porte ou la première fenêtre était exclu ; Se dissimuler dans les égouts était envisageable à condition qu'ils ne soient pas trop étroits, qu'il puisse se faufiler dans des hauteurs pour surprendre l'ennemi. Il faudrait qu'il n'y ait pas d'eau, le rythme de ses pas tapant le liquide donnerait sa position aux clowns. Le passage dans les égouts étaient finalement exclu face à une trop grande incertitude basée sur des probabilités. Il allait falloir la jouer fine pour pouvoir approcher les hommes de main du Joker sans qu'ils ne se fassent sauter le caisson. Une diversion serait idéale, voire même plusieurs diversions. La Bat-mobile ferait le plus gros du travail tandis que les billes de fumigène du Cape Crusader divertirait les autres. Pendant ce temps là, Batman pourrait s'occuper des clowns postés sur le toit. Le plan était en place, il analysa la structure du bâtiment. Il détecta plusieurs endroits susceptibles de l'abriter des tirs en rafale, certains autres pour monter sans se faire repérer. Il prit le contrôle à distance de son véhicule qui arriva à pleine vitesse à quelques vingtaines de mètres des policiers, écrasant sur son passage les grillages, explosant des murs. La voiture se rapprochait dangereusement de la porte principale de l'usine, elle braqua à gauche et s'éloigna du clown kamikaze. Le cockpit s'ouvrit, dégagea une espèce de fumée et se referma. Le clown visa le véhicule et ses alentours et tira comme un dératé. Batman quant à lui s'approcha d'un mur et se cacha contre un conduit d'aération. Un garde entendit les coups de feu et se rapprocha juste assez pour voir les balles ricocher au loin sur la bat-mobile. Batman se dissimula derrière lui et le saisit par la gorge de son avant bras gauche. De son autre bras, dans un mouvement habile et précis il fit lâcher au terroriste le détonateur. Quelques secondes suffirent à immobiliser l'individu. Batman prit le soin d'attacher le clown et de cacher l'arme et le détonateur. Profitant de la diversion de la bat-mobile, il arracha une grille sans avoir peur de faire trop de bruits et se glissa dans le conduit d'aération. Un espace exigu et difficile à arpenter pour le commun des mortels mais chose relativement facile pour le chevalier noir. En quelques minutes il arriva à monter jusqu'au toit sans se faire prendre. Les clowns s'affolaient : un ordre avait été passé sûrement quelques secondes plus tôt. Serrant avec force leurs armes. Faisant les cent pas de rebords à rebords, visiblement beaucoup moins à l'aise. La frappe devait devenir chirurgicale, immobiliser trois hommes et mettre le quatrième hors d'état de nuire dans le brouillard avant qu'il ne puisse se faire exploser et dévoiler la présence du chevalier noir. N'importe qui aurait eu un doute quant au succès de cette opération mais pas Batman. Trop de vies dépendaient de sa réussite. Il dégoupilla de toutes petites grenades lacrymogènes avant de sortir du conduit d'aération comme un monstre sort d'un placard dans les cauchemars des enfants. En un geste il jeta les 2 lacrymogènes au pieds des trois clowns rassemblés et s'occupa du quatrième désarçonné, sans qu'il n'ait le temps de faire appel à son temps de réaction. Une manchette de la main droite sur la jonction entre la main et le poignet, la télécommande fut lâchée et récupérée par la main gauche du chevalier noir. Et dans un retournement le chevalier noir asséna un coup de coude dans le masque du clown. Le masque se brisa presque en même temps que la joue du terroriste. Avant que l'homme aux intentions douteuses ne tombe au sol, Batman s'était déjà rué sur le groupe qui toussait et s'essuyait les yeux. Encore une fois Batman récupéra les détonateurs, tout en se débarrassant des terroristes. Se servant de leurs armes pour leurs envoyer des coups ravageurs. Appuyant sur le bout du canon violemment pour que l'un se prenne la crosse sous le menton, enchaînant vite une attaque au ras du sol. Il se releva rapidement pour partir à l'assaut de l'avant bras du bonhomme avant que celui-ci dans un réflexe malheureux n'appuie sur le bouton. Un coup de semelle bien senti. Il ne restait plus que le dernier guetteur qui se prit un violent coup de poing dans le plexus et il lâcha alors la télécommande. Les quatre hommes étaient neutralisés sans qu'un coup de feu ne soit tiré. Il les attacha tous ensemble. Du toit, Batman avait maintenant une vue d'ensemble. Il aurait été préférable de rentrer dans le bâtiment mais d'un autre côté, le Joker était imprévisible. Il était fort probable qu'une fois le chevalier noir détecté dans l'usine, il demande à ses hommes de tout faire sauter. Il fallait donc neutraliser le reste des scélérats. Ayant désormais un avantage, ce fut rapide et discret. Sans changer dans le style, il les désorienta, récupéra les télécommandes et neutralisa les hommes de main. En extérieur, le cape crusader était seul. l'effervescence à l'intérieur de la structure se faisait ressentir.
Les enfants commençaient à gigoter, un peu trop aux yeux de l'enseignante qui pensait à sa survie mais aussi dans une moindre mesure à celle des enfants. Le Joker prostré sur un trône de fortune, construit sûrement à la va vite pour une mise en scène royale, remarqua ces petits mouvements, ces petits cris, ces pleurs. Et sur le moment il s'en délecta. Il se décida quand même à bouger. Se rapprochant des enfants tous assis en groupe. Il les montra du doigt tout en avançant de quelques pas : -Mmmh pas toi ! Pas toi ! Hmmm pas toi, non plus. Il regarda un enfant qui le fixait avec un air méchant. L'enfant fronçait les sourcils et grimaçait en le voyant. Et les ordres de la maîtresse qui demandait au petit Tommy de s'arrêter n'y faisait rien. -Eh bien pourquoi fais-tu cette tête ? Demanda le Joker. -Je ne t'aime pas du tout ! Mon papa est policier et il va te battre ! Cria le petit Tommy. -Eh bien, tu en as du courage ! Tu es amusant gamin. Le Joker se retourna vers un de ses hommes. -Donne-moi ton détonateur ! -Hein?! Pourquoi faire ?! Le Joker sortit son revolver au canon totalement démesuré et le pointa vers son homme. -Donne-moi ton détonateur ! Ordonna-t-il, avant de lever la tête vers le plafond, il prit un air pensif et finit par dire dans un sourire, S'il te plaît. L'homme s'exécuta. Le Joker se rapprocha du petit Tommy, l'attrapa par le col de son vêtement et le tira violemment vers lui. -Ouvre ta main ! -Non ! -Ouvre ta main ! -Je vous ai dit non ! Le Joker perdit vite patience et cogna une autre enfant assise près de ses jambes d'un coup de revolver, la petite décolla de quelques mètres sur le sol. -Ouvre ta main ! Répéta-t-il avec une voix plus rauque et beaucoup plus agressive. L'enfant vit sa petite montée de courage redescendre rapidement. Il ouvrit sa main et le Joker y déposa le détonateur dedans. -Appuie sur le bouton, dit le Joker sur un ton moins oppressant. -Mais... mais... mais... tentait de parler l'enfant qui se mit à pleurer. -Regarde comment on fait. Le Joker prit l'index du garçon de ses doigts et le ramena vers le bouton. Le petit Tommy ferma les yeux, tourna la tête vers l'arrière. Il avait comprit ce que voulait lui faire faire ce type. -Mais Boss ! Faites pas ça ! Hurla l'homme dont la vie dépendait d'une pression sur un bouton. -Une fois que tu auras appuyé sur le bouton, tu crois que ton père te battra, Tommy ? Demanda le Joker. Un grand silence s'installa et on entendit :« Clic ».
-Hahahaha ! Je t'ai bien eu hein petit ! Avoue, c'était marrant ?! Hein ! Moi j'ai bien rigolé en tout cas ! L'enfant ne répondit pas, terrifié à l'idée de ce que la pression sur ce bouton aurait pu déclenché. Il ouvrit un œil et vit le Joker entrain de s'esclaffer en se tenant le ventre. Le Joker s'essuya une larme qui tombait de son œil. Il mit son autre main à l'intérieur de sa veste et en sortit une télécommande. -Dis-moi, t'es bien le numéro seize ? Demanda le Joker à cet homme qui lui avait donné son détonateur. Et sans attendre la réponse il appuya sur la télécommande qui contenait presque une vingtaine de bouton. Un homme près de la grande porte explosa. -Ah beh non, t'étais pas le numéro seize ! Dommage ! Une prochaine fois peut-être... HAHAHAHAHAHA ! Le petit Tommy resta paralysé par ce qui lui semblait être le mal à l'état pur. L'enseignante se rapprocha et attrapa le petit garçon dans ses bras et le garda. Le Joker le vit mais ne releva pas le geste. Il retourna s'asseoir sur son trône, tapotant de son index sur un rebord du siège.
Batman avait assisté dans l'un des bureaux à la scène. Impuissant, il serra les poings avec conviction. Il devait mettre un terme à cette folie au plus vite. Le Joker mettait en danger l'avenir de Gotham en s'en prenant aux enfants mais aussi à l'intégrité de cet avenir. Encore une fois, il réfléchissait à la manière d'agir la plus efficace et la moins dangereuse pour tous. Il pouvait se montrer mais il n'était pas sûr de la réaction du Joker. Visiblement ses hommes n'étaient pas maîtres de leurs vies. Les détonateurs qu'ils avaient n'étaient que des leurres. La véritable machine de mort était dans la jaquette de l'homme au sourire. Sur une impulsion il pourrait décider de tout faire sauter. Cependant l'usine était un espace ouvert, neutraliser les ennemis un à un serait long et dévoilerait sa présence d'ailleurs le Joker devait déjà se doutait de la présence du chevalier noir. Était-ce pour cela qu'il tapotait frénétiquement sur son siège ? Attendait-il la confrontation ? Et qu'en espérait-il ? Batman prit finalement le risque et se lança sur un des hommes les deux pieds joints et repartit dans la pénombre presque aussi rapidement. Les hommes de main s'affolèrent : « Il est rentré ! » « Montre-toi enfoiré ! ». Guettant la moindre poussière qui tomberait des poutres en métal. Batman savait être sournois. Il se glissa derrière le plus isolé. Une balayette du pied et une manchette puissante sur la nuque suffit à l'assommer pour de longues heures. Les autres hommes commencèrent à tirer dans le tas quitte à blesser leurs compagnons. Une bille tomba à leurs pieds et une épaisse fumée se dispersa. Plus personne ne distinguait quoi que ce soit. Juste des bruits de poings choquant des joues, des nez et des ventres résonnaient dans l'usine désaffectée. En deux minutes tout au plus, il ne restait plus que le Joker qui s'était relevé et qui clamait tout son émerveillement dans des tapements de main. Son sourire naturel avait disparut pour laisser la place à un autre plus conséquent, plus inquiétant, la bouche grande ouverte laissant apparaître des dents jaunis, abîmées et très peu gracieuses. Il mit la main au niveau de sa taille et en sortit le revolver au canon démesuré. Il commença à tirer en l'air dans tous les sens. Il rechargea son barillet et visa les enfants. -Je ne pourrais pas tous les tuer, Batou ! Mais je peux faire un joli carton ! En visant bien, je suis sûr que je peux en avoir deux ou trois d'un coup !
L'enseignante s'affola, les enfants aussi, ils se mirent à pleurer tout en hurlant. Batman apparut d'un saut devant le canon du Joker. Il l'abaissa rapidement mais le Joker sortit une lame de sa poche de son autre main et planta l'épaule gauche de Batman. Surmontant la vive douleur, il colla un revers de la main droite au Joker et dans un autre mouvement attrapa la jaquette. Le Joker tombant en arrière et Batman tirant sur la veste, celle-ci se déchira. Le chevalier noir posa un genoux au sol, le bras gauche ballant, la main droite serrant avec conviction le morceau de tissu arraché et contenant le détonateur, si dangereux. -Vite sortez ! Hurla Batman en direction de l'enseignante et des enfants. Gordon préparez-vous à réceptionner les enfants !
Le Joker était étendu au sol, se passant le dos de la main sur sa joue enflammée. Un énième coup qu'il reçut dans le visage. Un peu de sang coulait le long sa lèvre. Il avait perdu une dent. Il regarda près de lui, la vit, la ramassa et la mit devant son œil, il ria. Batman était debout prêt à cogner et il cogna. Le Joker glissa d'un mètre en arrière. -Oh non ! Ma dent ! Batou, tu n'as pas vu ma dent ?! Je l'ai perdu ! -Joker, Tu es allé trop loin ! Encore ! -Mais je suis revenu Batou ! C'est l'essentiel ! Ma dent, elle... Le Joker tourna le dos au chevalier noir et chercha sa dent. Batman tenta de comprendre quelques secondes mais se ravisa. Il fallait neutraliser le Joker. Il l'attrapa par l'épaule et le retourna. Le Joker se laissa faire bien trop facilement. Alors que Batman le tirait, le Joker lui asséna un violent coup dans la tête à l'aide d'une barre en fer. Batman recula, se passant la main au niveau de la tempe. Sa vision se faisait trouble, comme si ses yeux vibraient, comme deux métaux qui s'entrechoquaient. Il recula par instinct. Le Joker aurait pu le frapper encore une fois et avec une lame. Il l'entendait rire, c'était les deux seules choses qui pouvaient faire : entendre et écouter. -Oh ma dent ! Super ! Batou, je vais partir là, on se rejoint bientôt, hein ? Tu me suis ?
Batman recouvrait la vue petit à petit et il voyait une masse violette et verte s'éloignait de lui vers le fond de la pièce. Elle s'arrêta et ouvrit une sorte de trappe dans le sol qui fit beaucoup de bruit quand elle chuta. Le Joker s'y engouffra. Ce n'était plus qu'une question de minutes avant que Batman ne perde sa trace. Clairement pas au meilleur de ses capacités, il décida tout de même de le poursuivre.
