Alors je commence par ça:
RMR a écrit: À contrario de mon objectif d'origine, mon intervention semble t'énerver ("comme on ne peut pas y couper")
Pas du tout! Je la juge inutile et ce, même à l'issue de ton pavé, parce qu'à mon sens un problème de math est juste un problème qui nécessite une notion de mathématique dans sa résolution, ni plus ni moins. C'est la flemme de m'étendre là dessus que j'ai exprimé par deux fois!
Donc t'inquiètes, on est cool
Ensuite:
RMR a écrit: personne ne pourra te donner une réponse satisfaisante, une démonstration (mathématique) exclusivement en faveur du 18 ou du 12 et excluant définitivement l'autre est impossible. Désolé...
Oui enfin je vais pas en mourir (c'est quand même un débat d'alcoolo que j'ai ramené sur le forum à la base hein), et de toute façon je considère avoir la bonne réponse depuis (le doute du début est levé quoi), même si je n'exclus jamais la possibilité d'être a coté de la plaque et d'être une victime tombé dans le piège (et qui s'enfonce encore plus donc, mais je suis loin d'être convaincu).
Et donc:
RMR a écrit: Tu ne peux pas dire à quelqu'un favorisant l'approche perceptive que "s'il y a 6-7-8-9 alors il y a forcément 4−5 avant, et si le 90 indique un mombre au-dessus de 9, alors il y en a forcément entre 3 et 6", car il n'y a aucune nécessité à déduire ça.
Pas pour lui dire qu'il à tord oui, mais pour lui expliquer 12, en justifiant se résultat par l'application d'une même règle sur tous les chiffres du test, de 9 à 3!
RMR a écrit:tu prends un terme, tu le multiplies par le terme au-dessus et tu obtiens le terme à droite, peu importe quels termes sont présentés dans le tableau de départ tant qu'ils ont tous respectés cette règle. Et cette approche n'est prise nulle part en défaut dans tout l'énoncé de l'énigme telle qu'elle est présentée (c'est volontaire de la part de l'auteur, pas un hasard).
Je considère l'absence de chiffre au dessus de 9, et la présence de 90 comme un défaut de cette approche oui. Mais plus que ça, je considère l'existence d'une réponse permettant d'appliquer une même règle à tous les chiffres comme un défaut de l'approche que tu appels perspectives, sachant qu'entre les deux approches il y en a une qui applique vigoureusement une même règle à tous les chiffre pendant que l'autre s'appuie sur du floue qui ne peut être réfuté parce que pour elle tout est possible.