Ce qui ne veut pas dire que craquer sur un.e ami.e n'arrive pas (y compris chez les personnes LGBT+ et y compris quand l'ami.e en question n'est même pas de la bonne orientation sexuelle). Juste que c'est pas du tout une fatalité.
Ce n'est pas une fatalité, mais le risque existe bel et bien.
C'est ça finalement la vraie question, c'est la question du risque, que je mentionne bien dans mon premier message.
Il se trouve qu'il y a beaucoup de situations où lorsqu'une amitié entre une fille et un garçon commence, au fil du temps l'un s'attache à l'autre parce que leurs échanges a révélé des signes d'intérêts suffisamment évidents pour que des sentiments forts se développent d'un côté ou de l'autre (l'attention de l'autre, sa réceptivité, prise de nouvelle régulière, l'enthousiasme, l'affection, etc.) mais qu'au final l'un des deux était en fait déjà en couple, par exemple. Ce qui causera forcément une terrible désillusion d'un côté ou de l'autre malgré les signes qu'il y a pu avoir.
Dans ce genre de relation, l'amitié homme-femme n'est-elle pas malsaine étant donné les dégâts psychologiques qu'elle peut induire ?
Du coup, ma question initiale était un peu mal posée.
Pour reformuler, je dirais est-ce que toutes les amitiés homme-femme sont vraiment bienveillantes ?