A elles seules elle ne suffisent pas mais plutôt que simplement les détruire, rajoutons une plaque pour explique le conteste de leur construction et de la personne qu'elle représentent, ou on utilise les officice du tourisme, ou on les transfère dans des musées.
Quant aux livres les progressistes ne les brulent pas, il les modifie principalement ceux servant aux programmes d'Histoire comme ce qu'as fait une certaine Najat Vallaud-Belkacem.
Histoire
La réforme des programmes donne lieu à une intense polémique mettant en cause la version des programmes d’histoire soumise à la consultation des enseignants113. Analysant les nouveaux programmes d’histoire, Pierre Nora y voit « une forme de culpabilité nationale qui fait la part belle à l’Islam, aux traites négrières, à l’esclavage et qui tend à réinterpréter l’ensemble du développement de l’Occident et de la France à travers le prisme du colonialisme et de ses crimes »114. Toutefois, la civilisation islamique était déjà de manière obligatoire au programme en cinquième, alors que les nouveaux programmes prévoient l'étude du christianisme en classe de sixième et du rôle de l’Église dans plusieurs cours relatifs à l’histoire de la France115.
Au-delà de la polémique, le débat oppose, selon les défenseurs de la réforme, les tenants d'un enseignement de l'Histoire sous la forme d'un « roman national »116, et ceux qui souhaiteraient l'enseignement d'un « récit national », une discipline savante réaliste sans cesse renouvelée et ouverte sur le monde actuel117,118.
En réalité, la critique de la réforme, certes pour des motifs différents, rassemble une large partie de la droite mais également des parlementaires, des intellectuels et des historiens de gauche ainsi que des syndicats. Après avoir réuni les protagonistes du débat119 et consulté les enseignants, Najat Vallaud-Belkacem adopte une version définitive des programmes en septembre 2015.
(J'ai chopée ça sur Wikipédia)