

On verra bien le moment venu. En fait, je posterai deux ou trois fins alternatives, car j’avais pas mal d’idée au sujet de Broly.
CHAPITRE 12 :
« Kakarotto, c’est merveilleux que tu ait gardé cette force, cette virtuosité. Allez, viens dans mes bras et entre dans ma musique. Ce jour, ce soir, et bien plus, nous allons doubler l’intensité de cette pièce tragi-comique !
_ Tu crois vraiment que ce serait intéressant un opéra à deux acteurs ? Interrompit Végéta. Cette fois, le prince des Saiyens ne te laissera aucune chance. »
Son Goku et Bêjita se jetèrent des deux côtés pour écarteler la défense de Broly et l’empêcher de récupérer pendant l’assaut. Les coups partirent tous sur le torse et le visage du monstre qui ne cherchait même plus à esquiver aussi aisément que lorsqu’il était un Super Saiyen : cette transformation l’avait rendu plus brutal et surtout un peu plus primitif. Trunks s’était joint à ce lynchage total, de même que l’autre métis. Mais Broly finit par parer tous les coups et en donna soudain un à Trunks qui lui fît cracher énormément de sang, et lui brisa des côtes. Puis il lui prit la jambe et le jeta vers un pan du stade qui ne tint plus debout. Gohan était horrifié : cette fois, il lui avait suffi d’un seul coup pour mettre Trunks K.O . Il ne se laissa pas décourager pour autant et lança un Kaméhaméha sur le colosse fou, qui, à la surprise de tous, fonça dessus sans chercher à esquiver. L’impact fût assourdissant et l’explosion aveuglante. La fumée se dispersa lentement, mais Le Super Saiyajin légendaire ,n’atte dit pas cela pour attaquer : il s’en était sorti sans égratignure ni rien du tout. Il en profita pour lancer un violent coup de pied dans le ventre de Gohan, qui subît la même douleur, sauf que Broly s’acharna d’avantage sur lui en jouant des coudes et des pieds. Il était un véritable marionnettiste avec un pantin dont il pouvait faire une danse frénétique. Goku ne supporta pas plus cette vision, et se lança en donnant un coup de pied à Broly qui recula sous le coup. Il lui vît une blessure au menton, mais rien de vraiment grave.
Bêjita se lança sur le monstre furieux et donnait de tous son corps pour écraser Broly : les coups partaient fans tout les sens. Le Saiyajin fou remarqua que la façon de faire était meilleure et qu’il y donnait tout son cœur. Il en était aux anges, car le prince des Saiyens avait gagné en humilité et était devenu, à côté de cela, beaucoup plus fort. Le Saiyajin de sang royal continuait de bombarder le colosse qui esquivait de manière plus gracieuse. Cette vision surprenait Goku :même sous cette forme, Broly restait toujours aussi maitre de lui, et restait un redoutable combattant. En fait, il était resté le tueur parfait : il utilisait les meilleures méthodes pour contrer leurs attaques, et la meilleures parade restait le bouclier vert. Et lorsque l’on cherchait le corps-à-corps, Broly utilisait les boules de feu qui se fixaient sur son torse et qui explosaient dès le contact avec son torse massif.
Soudain, Gohan attaqua dans le dos, puis frappait à la tête, avant de basculer à l’avant pour le matraquer de coups de poings qui, hélas, commençaient à lui faire souffrir. Puis il tomba de nouveau sur Goku. Ce fut alors qu’il se mît à parler :
« Je ne sais pas vous, mais je me sens à l’étroit ici. Comment voulez-vous que l’on jour dans de telles conditions. Allez, je vais faire un peu de place. Poussez vous !!!!! »
Le démon leva la main, vers le ciel, puis relâcha une décharge ver s la porte menant vers le cocon de Boo. La porte explosa, puis soudain, un vive lumière envahît tout l’endroit. Goku ne vit plus rien si ce n’était la porte exploser. A l’extérieur du vaisseau, Babidi et Dabura s’étaient téléportés avec Boo pour pas qu’il ne détruise le vaisseau. Ce dernier, malheureusement, éclata en mille morceaux, expulsant tous le combattants et les cadavres de pilotes et autres occupants carbonisés par le souffle. Babidi fut terrifié : son seul moyen de transport était parti en fumée, et à cause de ce mastodonte qui avait osé se jouer de lui, le maitre des démon. Babidi s’énerva et se retourna vers Boo :
« Majin Boo, écoutes-moi : je suis le fils de ton créateur, Bibidi, et mon nom est Babidi. tu vois ces êtres : je suis sûr qu’ils pensent du mal de toi. Tu ne vas pas te laisser insulter même à voix basse ?
_ Grmph, et j’aurai quoi en échange ?
_ Quoi ? Je t’ordonnes de m’obéir !! Vas tuer ce monstre vert : il a osé se moquer de moi, et je suis sûr que tu pourras t’amuser avec lui. Et si tu me désobéis, je te renferme dans le cocon, je connais la formule. »
Boo dût se résigner et se prépara. Mais Broly était déjà remis et se jeta sur Goku qu’il massacra de coups de poings. Son adversaire répliqua par un double coup de pieds : en fait, ils n’arrêtaient pas de se fendre coups sur coups. Pendant ce temps, Gohan se remit pour voir Dabura à côté de lui qui le toisait :
« Cette fois, j’en finirai avec toi? Et maintenant que je connais tes limites, ce ne sera plus aussi simple pour toi. »
Alors que les deux se lancèrent dans le ciel et commencèrent à se battre, le Saiyajin fou s’aperçut de l’incrustation et dégagea le Saiyen de sang pour attaquer Dabura :
« Dis donc toi : je ne me souviens pas t’avoir retenu au casting. Et puis de toute façon, ton talent n’est pas assez développé, alors tu reviendra dans 10 ans.
_ Ah oui ? Je ne vois pas où tu veux en venir avec cette histoire d’acteur, mais c’est toi qui va mordre la poussière, et payer pour l’affront à maitre Babidi. !! »
Le démon se jeta sur le monstre musculeux et frappa de toute se forces. Malheureusement, les coups de poings et de pieds ne faisaient absolument aucun effet de douleur, ni de plaisir à ce dément,. Ce dernier commençait à s’impatienter et déclara :
« C’est bien ce que je disais : même pas de quoi jouer dans un mauvais film. Et maintenant, CRÈVE !!!! »
Joignant le geste à la parole, Broly donna un violent coup de poings sur la cage thoracique de Dabura, qui soudain, explosa en deux, puis se transforma en u mélange terrifiant de sang et d’os fracturé en mille morceaux. Cette vision d’horreur fît frissonner les Saiyens : ce monstre avait écrasé ce démon qui égalait Cell en un éclair, sans crier gare. Gohan remarqua le sourire crispé de Broly : il était donc partagé entre deux sentiments. Le premier devait l’épanouissement de jouir de ce pouvoir et d’avoir réalisé un magnifique dégradé de couleur rouge et de blanc. L’autre était un sentiment de dégout : Broly n’aimait pas tellement cette transformation, au premier abord, car elle faisait de lui, un colosse couvert de muscles et il risquait que son merveilleux requiem ne tourne à la cacophonie. Il se disait aussi que c’était de nouveau la faute de Kakarotto si il devait se transformer ainsi : maintenant il devait se retenir pour que la musique continue. Ils le faisait exprès, décidément, songea Broly. Ils ignoraient qu’il se foutait complètement de l’univers, ce n’était rien d’autre qu’un décor, un lieu de tournage pour les plus belles fresques de guerre, de sang, de catastrophe et de visions d’Apocalypse. Il reprit la parole :
« les acteurs qui n’auront qu’un petit rôle seront au moins sujet à une expérience unique dans le domaine des spectacles. Ok arrivent, je le sues, et comme ça, ils auront à la fois une entrée et une entrée . Et je sens que cela sera valable pour la machin rose qui s’avance vers nous, là-bas.
_ De quoi ? Demanda Bêjita en se retournant. K… Kaio Shin, cet être serait… Boo ?
_ Oui, je crois, mais la dernière fois que je l’ai vu, il avait l’air d’un bébé obèse au dernier stade. En fait, il avait eu cette apparence en absorbant deux des Kaoi Shin. J’ignore ce qui a pu lui arriver, mais il est beaucoup plus fort, on dirait. »
Babidi était dans un état de paralysie, de terreur : son garde du corps, son meilleur combattant fût pulvérisé en un clin d’œil par ce monstre. Mais il lui restait Boo, et cette créature, Kaio Shin, tous allaient payer pour avoir cherché à contrecarrer ses plans et l’avoir humilié. Furibond, il hurla à son nouveau serviteur :
« Bien, voilà ton premier ordre : tu vas aller supprimer Kaio Shin, ainsi que ceux qui sont avec lui, et n’oublies pas le colosse vert comme on avait prévu. »
A cet ordre, le monstre rose réagit immédiatement et attaqua Végéta, car il était le plus proche de lui. Le prince était totalement impuissant : son nouvel adversaire se déchainait sur li, et abattait des coup de pieds allongé de plusieurs dizaines de mètres. Son corps était excessivement souple et élastique, et il pouvait même utiliser tout son corps comme une arme. Trunks et Gohan arrivèrent à la rescousse et réussirent à dégager le prince du monstre rose. Mais celui-ci en profita pour attaquer les deux autres arrivants et les écrasa à leur tour. Il prenait un plaisir sadique )à les balancer à tout va dans le décor, comme un enfant jouerait à faire rebondir son ballon sur les murs. Kaio shin, de son côté, n’en menait pas large : il avait à quel point Boo était dangereux,, mais comment le stopper avec ce démon Saiyen qui venait de montrer toute sa cruauté et une partie seulement de sa puissance . En fin de compte, la priorité était de combattre Broly, et Boo devrait attendre.
Pendant ce temps, Goku et Broly avaient repris leur combat. Et celui-ci devin t plus intense encore et plus bruital. Le démon continuait de s’acharner tout en se protégeant des coups de son adversaire qui avait avalé un senzu. Curieusement, il sentait qu’il en aurait moins besoin que la dernière fois. Sa nouvelle force obtenue gaspillait moins d’énergie au fur et à mesure qu’il s’entrainait pour s’y habituer. Il attrapa la jambe du monstre et le fit expédier dans une colline. Le réflexe suivant allait être une évidence : Goku bombarda la zone de Kikoha puis trembla par un Kaméhaméha surpuissant lancé sur la zone. Mais le monstre répliqua :
« Un jeu de lumières ? D’accord !!! ERASER CANNON !!!! »
La boule de feu verte fonça comme une fusée sur la vague déferlante, et prit le dessus sur l’attaque de Goku, qui vît la chose venir. Aussi, il décida de se téléporter afin de ne pas être pris dans la bombe d’énergie légendaire. Celle-ci fonça vers l’espace, détruisant des champs d’astéroïde, endommageant plusieurs planètes, avant de rétrécir au fur et à mesure. Broly fût surpris de voir Kakarotto être capable de disparaitre et de réapparaitre toutes les trois secondes. Le coquin, il lui cachait ses capacités et peut-être comptait-il le surprendre, songea-t-il le psychopathe millénaire. En tout cas, cette performance avait droit à toute son estime, et les scènes suivantes allaient être plus que palpitantes. Goku réapparut pile devant lui et infligea une rafale de coups de poings très directes et rapides dans les pectoraux qui commençaient à souffrir du combat. Heureusement que cette résistance extrême lui permettait de ne pas être trop blessé. Mais il fallait que cela ne s’éternise pas, car le monstre Boo était entrain de foutre son scénario en l’air, avec ses manières de se battre, à la limite du grotesque. On aurait carrément dit un One-man-show. Le Saiyajin fou n’eut d’autre choix que de repousser vers une zone de montagne, puis de jeter une rafale de lasers vers la zone du crash. Il se retourna ensuite vers les autres Saiyens qui avaient beaucoup de mal avec Boo.
En effet, ce dernier menait la vie assez dure aux trois combattants. Pourtant, Gohan arrivait à faire jeu égala avec lui, grâce à cet entrainement de 7 ans. Mais à chaque fois qu’il le détruisait, son corps se régénérait de suite. Le pire, c’était qu’il ne ressentait pas la fatigue, et il continuait de se moquer d’eux. Soudain, il sentit un énorme douleur dans le dos, puis il se fit écraser au dol. Bêjita vît alors Broly se déchainer sur le monstre rose, et ensuite l’expulser vers les montagnes, au désespoir de Babidi, qui voulait que ce colosse vert soit rapidement mis hors corse. Le dément s’expliqua :
« Je ne comprends pas : pourquoi perdez-vous votre temps à vous acharner sur cette créature si vulgaire et si irrespectueuse envers la mort ? Venez avec moi, revenez danser, chanter et jouer comme lors du premier acte, si beau ( Broly parlait comme si il rêvait éveillé, d’une voix suave ).
_ Avec ce Boo dans nos pattes, ce ne sera pas facile. Objecta Gohan . Mais pourquoi parles-t-u de musique, de théâtre ou je ne sais quoi quand tu tues ? Depuis quand la mort est un art ?
_ La mort va avec la vie, c’est quelque chose que nul insouciant voudrait comprendre. Elle rend les êtres vivants si paisibles, si beaux à regarder, car ils sont comme accablés par le sommeil, ce qu‘on nomme, après tout, le repos éternel. Mais la vie éternelle est un fantasme parmi les plus stupides qui existent. Combien de vies sacrifiées, combien de crimes commises pour chercher ce qui ne peut exister en ce moment, dans ce monde ? D’ailleurs, vous allez répondre à une de mes questions. Mais d’abord, je vais nous débarrasser de cet importun, si grossier. »
Il se tourna vers Boo qui préparait ,des salves de lasers téléguidées pour les anéantir. Il ouvrit le feu, mais elles n’atteignirent jamais leurs cible, car le Saiyajin fou avait étendu son bouclier autour d’eux. Ils étaient protégés par ce psychotique qui les avait terrorisés, avait presque traumatisé Gohan et atrocement massacré le garçon du futur lors d’une sorte de meurtre rituel. Trucks était très mal à l’aise, mais il préférait cela que de voir le monstre rose les attaquer, car son niveau semblait être égal, peut-être plus que celui de Broly. Quant à Bêjita, il enrageait devant ce comportement. Quand allait-il comprendre que cela n’était pas un jeu ? Depuis quand un artiste était obligé de tuer pour se réalisations ? Soudain, Broly eut un sourire sardonique, et mit la main droit devant lui, l’autre posée sur le bras. Il annonça :
« Voilà comment je me débarrasse de ceux qui se croient immortels ! Graaahhhhhh !!!! »
Boo, à l’écoute de l’attaque, arracha sa main et l’envoya ailleurs. Ensuite, l’espace se colora de vert, puis rétrécit dans la main de Broly. Mais étrangement, non seulement, le phénomène peinait à se réaliser, mais Broly ne comptait pas faire cela pour lancer une énième boule de feu. En effet, l’énergie se concentra dans les deux bras, ses deux poings. Végéta, lui, avait plus ou moins saisi la chose : Broly comptait frapper avec toute la forces de ses muscles, et profiter de l’impact pour pulvériser Boo. Broly se jeta sur Boo et lui lança :
« Sois heureux, que je daigne t’offrir une entrée et u ne sortie en même temps ! Maintenant, casses-toi de mon œuvre ! COSMOS GRINDER !!!!!!!!! »
Broly fonça à une vitesse ahurissante et abattît son bras puissant sur le démon rose en lui assenant un e corde à linge. Sous l’impact, la tête vola en plusieurs morceaux microscopiques, et le corps en fût défoncé. Mais l’attaque n’était pas encore terminé alors que le monstre rose commençait à se reconstituer. Le dément décida utiliser son autre bras, dont la poigne fît exploser le corps du démon de Babidi. Ensuite, il s’acharna sur les jambes, puis réduisit le reste en poudre en utilisant un Kikoha. Broly n‘aimait pas cette manière, mais il ne pouvait pas se permettre d’utiliser son attaque ultime, pour l’instant. Le moment, dans cet opéra, n’était pas encore venu, et cela enlèverait tout le suspense. Il se retourna vers le sorcier qui était à genoux et aux bord de la crise de nerfs. Il n’eut aucun parole pour lui, puis il lui fonça dessus, et l’écrasa d’un coup de pied, avant de s’essuyer sur une pierre. Cette formalité devait être faite, songea -t-il : il s’occupait de la mise en scène, de la musique et de la sécurité. Il était hors de question que des intrus aussi vulgaire et indigne de jouer dans un orchestre même pour deux notes. Aussi, il se retourna vers ses adversaires puis parla :
« Et surtout, pour cette question, je vous interdis de me prendre pour un imbécile. J’ai reconnu la force du garçon de Bêjita. Je l’avais pourtant tué et de façon si merveilleuse, et comme pour une fresque. Alors vous avez trois secondes pour me dire comment il a fait pour réapparaitre !
_ Je vais te le dire, puisque tu aurait torturé un de nous pour que je parles. Intervint Goku. Je vais te le dire : il existe sur cette planète ce qu’on appelle les Dragon Ball, au nombre de 7. Lorsqu’elles sont réunies, un dragon nommé Shenron apparait et est capable, à l’heure actuelle, d’exaucer trois vœux et pas un de plus. Et si on en croit la légende, ce qui est notre cas, les Dragon Balls s’éparpillent partout sur Terre, elles sont ensuite réduites à l’état de pierre, et donc inutilisables pendant un an. C’est grâce à ces dragon balls que nous avons ressuscité nombre de tes victimes, y compris Trunks.
_ Vous avez fait ça ???!!! Hurla Broly, hors de lui. Misérables ingrats, vous n’avez donc aucun respect pour les morts ?? Comme si de rien n’était, vous les ramenez sans cesse dans un monde fait de guerre, et ils repartent ensuite pour l’autre monde, et ainsi de suite. Et vous ne les laissez pas gouter au repos éternel, ne serait-ce que quelques années. Si vous m’aviez laissé faire sur l’ancienne planète Végéta, j’airais rendu le corps de Trunks un peu plus présentable. Mais maintenant, puisque vous avez trouvé, et vraiment bravo pour cela, un excellent moyen de me mettre en colère, et de foutre en l’air la gracieuseté de notre représentation, même sans public, je vais devoir vous mettre en pièces. Et j’irais à l’ancienne, puisque apparemment, vous aimez ça : JE VOUS DEMOLIERAIS A COUPS DE PIEDS ET DE CHARGE DE TAUREAUX DANS VOTRE SALE TRRONCHE !!!!!!!!!!!!!! »
Mais alors que Broly entra sans une rage folle et qu’il s’apprêtait à massacrer Gohan et Mirai Trunks, puisqu’ils étaient tout près de lui, Goku entendit et vit deux petits enfants les rejoindre et se mettre en première ligne. Ce fût là qu‘il eut un frisson d’angoisse et de surprise en les voyant : il voyait son deuxième enfant, Son Goten, et l’autre Trunks. Même si il vît Krilin et Picclo, libérés du sortilège de Dabura, il hurla aux deux enfants :
« Goten ! Trunks !! Reculez, ce monstre vous détruirait en un instant, vous n’êtes pas à la hauteur.
_ Et l’entrainement n’aurait servi à rien ? Reprocha Trunks. Papa, je suis content que tu ait tenu face à lui. Si on s’y met tous ensemble, on pourra lui faire sa fête. Surtout si je me mes aux côtés de mon autre moi.
_ Tiens donc, aurait-on un petit prodige parmi nous. Intervînt Broly. Enfin, espérons que ce génie précoce ne tourne pas à la névrose. Mais vous feriez mieux de l’écouter : il a de bons conseils pour son âge. Mais je vais arrêter la castagne pour l’instant, puisque je sais que le travail sera bâclé si vous chercherez à les protéger. Je vais proposer autre chose : je vais me cacher dans cette planète, quelque part. je vous propose ce jeu de pistes selon MES règles, car avant, c’était mon père qui les fixait. Je vais ensuite capturer vos épouse et amis, car je suis certains que vous en avez. Après quoi, si vous êtes incapable de de me trouver, je chercherai à vous massacrer et je détruirai ces Dragon Balls. Ces aberrations ne doivent pas exister, et le moment sera venu pour ces vermines de terriens de vénérer leurs morts. Oui, je leur imposerai le culte de la mort, les rituels funéraires, car ainsi, ils auront un peu plus de considération pour la vie, qui n‘est là que pour une seule fois. Le jeu est simple, n’est-ce-pas ? Je vais d’ailleurs commencer de suite à fixer le cadre. »
Sur ce, il fonça et assomma Krillin d’un claquement de doigts sur le crâne, puis s’occupa de Mirai Trunks qu’il mit au tapis d’un seul coup. Il commença à prendre de l’envol puis s’en alla, tout en ayant démoli à coups de pieds Végéta qui tentai quelque chose. Il se mit à s’enfuir au loin et prévint qu’il massacrerait de nombreux terriens si on ne le laissait pas kidnapper leurs femmes et amis. Bêjita ety Trunks s’effondrèrent à terre, à genoux, et sur le point de pleurer. Même dieu ignorait ce que Broily comptait réserver à ses hôtes une fois qu’il les aura capturé. Maos béjiya se releva tout de suite et fit signe à son fils de faire de même. Kaio shin les rejoignît et parla :
« J ‘ai compris que ce broly était plus dangereux que boo, mêmes si celui-ci réapparaitrait. Car si il reste même une seule cellule, il pourrait se reconstituer, et je pense que Broly a prévu dans son « scénario » quelque chose pour ce monstre qui me hantait. En tout cas, il est encore heureux qu’il ignore que Piccolo est lié aux Dragon Balls, et qu’il en existe ailleurs, sur Namek. J’ai pensé à un moyen pour le blesser sérieusement, il s’agit de la Z-Sword. Je dois prendre Son Gohan et l’emmener dans le KaioShin Kai, là où il devra s’entrainer.
_ Moi aussi, j’ai une idée, nous allons apprendre aux garçons la fusion. C’est une technique qu’un habitant de l’autre monde m’a communiqué : lorsque deux êtres de tailles identiques et avec leur ki au même niveau s ‘unissent, ils en deviennent un être largement plus forts, deux fois plus au minimum. Et je pense que Goten et Trunks seront destinés à apprendre cette technique. »
Tous acquiescèrent fermement, et surtout Bêjitza, qui avait hâte devoir son fils être en action contre un puissant ennemi. Il jeta un regard sur Goku qui comprit le geste : le même phénomène entre eux deux serait envisageable au cas où l’être fusionné ne parviendrait pas à éliminer Broly, ou Boo. En effet, Kaio Shin sentait que les restes et la main amputée se reformaient. Mais grâce à Gohan et un entrainement spécial, ils étaient certains de gérer les deux monstres en même temps.
Pendant ce temps, Bulma se réveilla dans une chambre luxueuse, mais plein de poussière de toile d’araignée. Cela semblait être une résidence de star abandonnée, songea-t-elle. Elle vît Chichi dans une autre chambre après être sorti, et elle chercha à se remémorer ce qui s’était passé. Elle se souvint : un colosse, le même que lorsque leurs amis de Goku étaient revenus comma par enchantement au stade. Il l’avait attrapé avec d’autres personnes, dont Kame Sennin et Yamcha, qui, hélas, ayant voulu résister, fût tué avec Plume par un rayon laser. Elle vît que en dehors de ce manoir, il n’y avait que les fôrets et la montagne. Elle entendit du bruit , puis :
« Ne cherche pas à t’enfuir, c’est cuit d’avance( elle vit Broly qui avait repris sa forme normale, en s’étant frappé fort lui-même. ). Cette résidence était habitée par un riche amoureux de l’air frais des montagnes. Toi et tes amis allez rester bien sagement ici et m’obéir sans discuter, peu importe ce que je ferais de vous. En fait, vous srz heureux à mes côtés, et vous oublierez le reste. »
Cette phrase fuit oponce sur un ton doux comme du miel, et Broly la regardait d’un air béat. Bêjita en avait de la chance, songea-t-il, elle était d’une grande beauté. Il ,imaginait ce que cela donnerait lorsque son heure sera venue. Son corps mort serait d’une beauté hors norme.
Fin du chapitre. Vous avez un nouvel aspect de la multiple personnalité de Broly et un aperçu de sa puissance. D’ailleurs, d’autres surprises, aussi incroyables que, parfois, malsaines, seront montrées sans aucune concession. Pas de musique, désormais, ce sera à vous de les imaginer pour chaque scène, vu que les musiques sont sur YouTube : il suffit de taper DBZ BGM parte.
A vos commentaires et à plus.
Voilà
On repart.
ATTENTION : certaines scènes de ce chapitres et du suivant sont inspirées du film choc de Pasolini : « Salo ou les 120 Journées de Sodome ». Les âmes sensibles sont priés de regarder autre chose.
CHAPITRE 13 :
Le fameux entrainement commença pour Gohan, qui fût emmené au KaioShin Kai. Il y vît une scène idyllique, de magnifiques champs de fleurs à perte de vue. Les montagnes se mariaient harmonieusement avec les chutes d’une eau pure, qui pourrait laver n’importe quelle puanteur si un être vivant s’y baignait. La prairie était toute fraiche quand il la touchait, et il entendait des champ d’oiseau. Il était largement émerveillé par de tableau de paradis, et il se mit à rêver : si seulement, cet endroit était le paradis réservé aux cœurs purs après le post frontière. D’ailleurs, le dieu lui offrit d’autres vêtements, comme le sien : précaution routinière dès l‘entrée. Mais il eut des larmes, et se ressaisit : il devait s’entrainer pour délivrer Videl ,sa mère et les autres des griffes insalubres de ce monstre de Broly. Et il se sentait devant un effroyable gâchis : alors qu’il pouvait entrer dans cet Eden des dieux, ses proches semblaient, en ce moment, connaitre pire que l’enfer. Même Dieu ignorait ce que le Saiyajin fou réservait comme perversions et tortures. Kaio Shin se dirigea vers lui et lui fît signe d’aller vers un grand pic rocheux. Arrivés là-bas, ils virent une épée plantée dans la roche, la fameuse Z-Sword. Kaio Shin lui parla :
« il faut la retirer, mais je te préviens : tu auras sans doute besoin de ton pouvoir, même si la préscience de Broly te localise. »
Gohan obéit aussitôt : il passa en Super Saiyaijn et prit le pommeau de l’épée. Ce fût vrai qu’elle était solidement pris dans la roche, mais elle ne résista que peu. Finalement, Gohan la sortit de la roche et avait plutôt l’air de bien la tenir. En restant Super Saiyen, bien sûr, car en mode normal, il se pourrait qu‘elle soit aussi lourd que plusieurs billes de plombs dans la main d’un homme. Maintenant, il s’agissait de s’initier au combat de l’épée.
Il commença par chercher à trouver des combinaisons d’attaque et chercher à anticiper la réaction que le Saiyajin fou pourrait avoir devant de genre d’arme. Kaio shin utilisa ses pouvoirs télépathiques et télékinésiques afin de lancer se rochers sur lui, et qu’il puisse les découper en un temps record. En fait, il s’inspira des techniques de spadassin de Mirai Trunks, lorsqu’il avait tué Freezer et qu’il attaquait les cyborgs. En même temps, il en profitait pour s’améliorer au combat et augmenter encore sa puissance. Pourtant, il ne parvenait pas à devenir plus fort que le SSJ 3 de son père. Cela l’énervait : aurait-il atteins ses limites ? En fait, il pensait que non, mais quelque chose le bloquait avant de se surpasser. Instinctivement, il était sûr que seule une aide particulière pourrait intervenir sur ce sujet. Mais il préférait maitriser cette épée en même temps, en espérant qu’elle pouvait entailler le corps indestructible de Broly. Après plusieurs passes et techniques d‘armes, il maitrisait enfin cette épée et pouvait devenir un redoutable spadassin, en même temps qu’un combattant de premier ordre. Il lui tardait de pouvoir combattre avec cette épée. Kaio Shin passa aux choses sérieuses et proposa de tenter de trancher les métaux les plus résistants dans l’univers. L’entrainement continua de plus en plus rude, mais Gohan devenait de plus en plus fort. Soudain, sa force cessa d’augmenter, alors il en profita pour améliorer ses réflexes et sa rapidité.
Pendant ce temps, sur le champ de bataille, quelque chose remuait. C’était quelque chose de rose, une main, et des morceaux. Soudain, ils se rassemblèrent, et une énorme consistance rose se forma comme un nuage ? Le nuage se tordit, puis un bras, une jambe, apparurent. Le phénomène ne se reproduisit une seule fois, et trois secondes plus tard, un être rose et l’air cruel et essoufflé fît son entrée. Il se mit par terre, et tenta de reprendre son souffle. Bien qu’il se savait dur à cuire, il avait du utiliser énormément d’énergie pour se régénérer. La force de l’attaque lui avait coupé la respiration nette et pour un moment, avant d’exploser d’un seul coup. Cela l’avait effrayé de savoir que des êtres pouvaient utiliser des techniques pareilles. D’ailleurs, il ne trouvait pas cela très cool.? Ce colosse vert lui avait parlé de scène et de casting et qu’il était mauvais. Il voulait juste s’amuser, lui, et on le traitait de tous lex noms. Le démon rose chercha Babidi lorsqu’il le trouva, ou ce qui en restait. Broly l’avait changé en marre verte, et grisâtre, et puis rouge aussi. Boo eut un réflexe : il transforma tout ça en sorbet à la fraise et vida la coupe d’un trait. Puis il se mit à parler :
« He Hé ! Quand je te disais que je ne reçois pas les ordres et que je n‘y obéis pas. Bon, maintenant, il s’agit de retrouver ce salaud qui a osé se moquer de moi. Je lui en foutrai, moi, des pièces de thé^zatres, il ne sera pas déçu du voyage. »
Mais il se savait en dessous du niveau : Broly l’avait devancé et sa puissance semblait être inépuisable. Il fallait trouver une solution rapide afin de se rattraper. Il s’intéressa à ces guerriers qui l’avaient affrontés : peut-être qu’avec eux, il aurait l’avantage. Et d’ailleurs, quelque chose se répétait inlassablement dans sa tête, comme une obsession : parfait, perfection. Il devait se perfectionner ? Drôle d’idée, mais il préféra se fier à son idée : retrouver ces guerriers et les utiliser pour détruire l’autre monstre qui s’était moqué de lui. Au passage, il transformait certains passants en chocolat, ou en bonbon de tous les parfums possibles : chocolat, vanille, caramel, etc.
Dans la résidence qui servait de refuge à Broly, les captifs subissaient un véritable calvaire. Il leur avait dicté des règles à ne pas transgresser sous peine d’être puni de mort. D’abord, il le prenait un par un et cherchait à aiguiser leurs instincts les plus pervers et les soumettait à ses plaisirs sadiques. De son côté, il se préparait à recevoir les futures hôtes. Mirai Trunks était donc mis à l’écart des autres, dans la montagne et les forêts. L’entrainement consistait en ne méthode simple : il relâchait son prisonnier fort ( Tien-Shin-Han viendrait ensuite ) et devait le traquer et l’affronter. Interdiction de s’enfuir ou d’attirer l’attention. Le métis fût le premier à passer, mais Broly lui ordonna quelques formalités après l’avoir trainé dehors :
« Allez, debout, pauvre figurant inutile. Tu vas servir à quelque chose, et dans tous les sens du terme. Enlève ton blouson, et ce débardeur noir.
_ Que comptes-t-u faire de moi ?
_ Fermes-là et enlève les, avant que je ne détruise tout ton squelette !! »
Trunks obéit en enlevant blouson et le marcel noir. Le saiyajin fou reprit :
« les chaussures aussi. Non, tu vas tout enlever. Déshabille-toi, et rassures-toi : je ne suis pas gêné par la nudité, et puis il n’y a plis personne par ici : les villages sont vides depuis mon arrivée dans le coin. »
Le fils de Bulma n’eut d’autre choix que de tout enlever. Lorsque son corps fut à découvert, Broly eut une pensée : il devrait avoir du succès auprès des femmes avec ce physique de concours. Puis l’ordre fût donné :
« Main tenant, cours !!! Le plus loin possible, et quand je t-aurais trouvé, tu pourras voler et te battre à fond. Même si l’issue ne fait aucun doute.
_ Non, objecta Trunks, tu ne peut faire une chose si abjecte. Comment peux-t-us ?
_ Crois-t-u que c’est le moment de me poser ce genre de questions ? COURS !!!!!!!!
Trunks sprinta aussitôt, et Broly lui laissa 5 minutes d’avance avant de courir à son tour. C’était une chasse à l’homme destinée à renforcer les réflexes, l’intuition, et mettre les 5 sens, ainsi que le système nerveux à rude épreuve. Trucks courait à une vitesse effrénée, puis chercha à se cacher. Il se mit dans une grotte et attendit que Broly aille chercher dans un autre coin des montagnes. Puis il chercha à manger, car il mourrait de faim. En fait, la désertion du coin après les terriens lui facilitait la tâche pour trouver des animaux qu’il dût tuer à mains nues. Cela ne lui plaisait pas de régresser à l’état primitif, mais il n’avait pas d’autre choix. Et il émit soudain une hypothèse : Broly semblait le traquer et l’empêcher de s’échapper ou même de sortir d’une cachette afin d’exacerber en lui des sentiments néfastes. Après tout, son règlement faisait d’eux des esclaves de sa folie. Le lendemain, il sortit et courra de nouveau. Soudain, il entendît des bruits. La sueur inondait totalement son visage, et le rythme cardiaque s’accélérait. Recroquevillé et en position presque fœtale, il avait peur, et risquait de perdre la tête : Broly pouvait être n’importe où. Il courra encore plus vite, et les bruits devenaient plus oppressants et présents. Il trouva une grande rivière venant d ’une cascade gigantesque, et finalement, il se trouva que c’était des biches qui couraient ainsi. Il poussa un soupire de soulagement, avant de frissonner de peur : si elles couraient de façon aussi frénétique , c’était sans doute qu’elles fuyaient quelque chose. Ou peut-être quelqu’un, ou alors elles quittaient cet endroit pour chercher un autre endroit plus confortable. Ces idées se bousculaient dans sa tête de façon effrénée : il sombrait peu à peu dans la paranoïa. Cet endroit devenait très oppressant, même si il avait l’habitude de voir des humains se cacher dans des souterrains. Sauf que cette fois, il avait l’impression que Broly le surveillait en permanence. Il ne pouvait même pas se cacher, c’était inutile, alors chercher à le repousser, le rejeter était la solution. Il comprenait que le Saiyajin fou cherchait à faire monter le besoin de survivre et tuer pour en faire un esprit vide, et malléable. Il se sentait soudain écrasé et tétanisé lorsqu’il LE vît. Il le regardait avec un sourire tendre et des yeux doux, mais cet aire mielleux reflétait toute sa cruauté et sa folie. Trunks était désemparé : ce monstre était tout le temps à côté de lui, depuis le début, ou il était vraiment loin, et c’était lui qui devenait fou ? Le psychotique lui parla :
« Alors, tu t’es bien amusé avec ce footing. Maintenant, viens te battre, et si tu t’écroules, je te ramène et j’aurais besoin de toi. »
Le combat commença aussitôt, et il était équilibré. Broly était déjà en Super Saiyajin et Trunks passa rapidement niveau 2. Les coups partaient dans tous les sens, dans un fracas assourdissant : les deux adversaires se battaient avec acharnement. Trunks se lâchait car il voulait en finir le plus vite possible et s’enfuir. Pour les autres, sa mère, il n’avait pas le choix : il ne pourra sauver qu’une seule personne, et subir plus de dégâts, soit il s’en sortait, mais seul. Un choix qui le déstabilisait, songea-t-il tandis qu’il esquiva les vagues successives de ki tirées par son adversaire terrifiant. Broly utilisa l’hypertrophie de ses nerfs et devint plus rapide. Il ne cessait de lui tourner autour et le frapper sans relâche ? Malgré sa capacité à anticiper les coups et sentir le sifflement du vent et dans l’air, il n’échappait pas aux attaques du monstre. Il fît grossir ses muscles, comme contre Cell, pour encaisser et attendre qu’il soit suffisamment près pour frapper le plis fort. Il aurait voulu attaquer le cou pour le briser net, mais rencontra le ventre et son ennemi limita la casse. Il se releva aussitôt : l’attaque lui avait fait moins mal que prévu, son mental surmontant de plus en plus le physique. Broly repartit à l’attaque et lança d’autres rafales de coups, et il l’accablait si peu qu’il le poussait à réagir et chercher à se débattre. N’importe quoi, du moment, qu’il reparte à l’assaut ou lui échappe. Il donna de coups de tête mais le démon ne réagissait que peu, alors une autre idée lui vint e n tête. Pourtant, elle lui procurait horriblement de dégout, et ce serait jouer le jeu de ce fou furieux. Mais il n’avait rien pour le tenir à distance, et ses amis ignoraient où il se trouvait. Et puis Broly exterminerait, de son côté, des humains si on tenterait quoi que ce soit contre lui. Il était au fond, et n’eut d’autre choix que de mordre très fort au bras du Super Saiyajin légendaire. Il enfonça les dents jusqu’au sang et Broly vit cela , puis relâcha sa proie. Il surmonta la douleur qui se changea soudainement en picotement très agréable. Cela l’excitait de savoir que ce garçon qu’il avait offert en sacrifice était devenu plus fort depuis. Finalement, peut-être que les Dragon Balls serviront à quelque chose avant de les détruire, mais pas à ressusciter qui que ce soit. Il décida de l’attaquer dans le dos, mais Trunks s’en doutait et se retourna et, grâce à son épée, espéra l’empaler en la faisant basculer vers son nemi. Mais la lame ne toucha que le vide : c’était une image rémanente. Broly en profita pour mitrailler le dos, puis jambes et torses, dont le sang coulait de plus en plus. Enfin, il décida de l’assommer et de le ramener à la résidence.
Chichi et Videl étaient dans une chambre à deux lits. Chaque jour était un véritable calvaire : chacun était approché et entouré de son énergie et entendait des histoires censées faire monter le plaisir et la jouissance en eux. Ensuite, ils mangeaient essentiellement des crudités et des féculents. Parfois, il les faisait trébucher et commençait à fouetter et sodomiser celle qui avait le malheur de tomber trop près de lui. Yamcha, Tien-Shin-han et Krillin lui servaient d’esclave et les obligeait à déshabiller les prisonnières le moment venu. Ils étaient parfois tenus en laisse, comme des félins , et celui ou celle qui faisait la fine bouche se faisait gifler à pleine volée. Chichi fût la première à être trainée dans l’orgie : elle devait faire des danses pour ce fou qui lui insufflait son pouvoir pour flatter les plaisirs les plus malsains. Lorsqu’il sûr qu’elle savait se battre, il lui faisait faire des exercices éprouvants, et la fouettait chaque fois qu‘elle rechignait. Mais un jour, alors qu’il entraina Lunch dans une danse bacchanale, et que tous deux se faisaient une partie de « ça va-ça vient », il la gifla trop fort et sa tête se retourna sur-elle-même. Il en profita pour remettre le cou en place, et la traina vers un autel construit et aménagé par ses soins. Le cadavre fût placé sur l’autel, comme en train de dormir. Sauf, que Broly eut soudain un orgasme, et les papilles qui le torturèrent. Sans hésiter, il ouvrit doucement le ventre, et prit le cœur qu’il transposa dans un vase, non sans avoir arraché un morceau.
Il revint vers ses « hôtes », puis annonça :
« Une enfant est arrivé auprès de votre seigneur, dans le ciel. La mort aura eu pitié d’elle, comme elle vous serrera tendrement da ns ses bras à l’heure sonnée.
_ Lunch est donc morte, résuma Tien Shin Han, mais nous reviendrons, grâce aux Dragon Balls. Ne t’en fais pas, Bulma.
_ Laissez tomber !!! Rétorqua Broly, furieux. Je vous interdis de faire ça !! ( il envoya Tien Shin Han dans le décor d’une pichenette, puis se tourna vers Chichi et Bulma ) Elle est morte, vous comprenez, alors mettez vous ça dans le crane de piaf, une bonne fois pour toutes. Elle restera au paradis, en enfer, ou je ne sais où, mais elle est morte !! MORTE, MORTE, MORTE !!!!!!!
Broly était en colère dès que quelqu’un parlait de résurrection, ou d’immoralité. Les épouses des Saiyajins avaient vu que leur geôlier était fasciné et entouré par la mort. Furibond, il prit Chichi et la traina par les cheveux vers la salle des orgies. Derrière les portes, les prisonniers entendaient des cris brefs et saccadés, puis des insulte venant d’une voix forte, grondant comme le tonnerre. Broly insultait Kakarotto, donc Goku, selon Bulma, de tous les mots le plus grossiers et imaginables. Il avait une certaine rancune envers lui, mais par moments, la voix se cassait et partait dans des sanglots. Ce Saiyen fou était persuadé que la mort était quelque chose de magnifique, mais il avait peur de régresser à l’état d’un primate, d’une montagne de muscles sans cervelles. Il voulait que lui et les autres Saiyens, qui étaient des musiciens à ses yeux, continuent de jouer les partitions jusqu’au bout. Mais soudain, ils entendirent quelque chose se déchirer : du tissu. Ils comprirent que le monstre allait violer Chichi et la molester. Les bruits suivants ne démentirent pas cette pensée, puis un rire hystérique se fît entendre : Chichi avait craqué sous la domination de ce pervers sado-maso. Mais un autre sentiment entrava le cœur de Bulma envers ce démon qui, pourtant, semblait se délecter de leur souffrance. Elle semblait avoir de la pitié par rapport à son attachement au repos éternel, et effectivement, elle sentait que par moments, les Dragon Balls avaient été plutôt utilisé de façon abusive. Et elle avait même dis, une fois, à Goku qu’il attirait des menaces. Elle faillit maudire Goku car ce devait être de sa faute si Broly les avait entrainé dans cette spirale de tortures à cause de lui. Pourtant, elle se reprit, et espérait au mieux que son mari viendrait, et au pire, elle attendrait que la grande faucheuse, ne vienne la chercher.
Dans la salle, Broly en avait presque terminé et ordonna à Chichi de se faire une petite saignée. Elle n’eut d’autre choix que d’obéir et prit un petit canif. Le Saiyajin fou se coucha par terre, et se mit à boire le sang, puis à sucer la plaie. Les lèvres étaient douces à sentir sur la peau, puis la blessure fût désinfectée. Puis il vint voir Bulma et lui tendit un morceau de viande cuite, et à point. Elle la dégusta et ça lui rappela les steaks à cheval. Elle dit que c’était bon, puis Broly lui répliqua :
« Cela voudrait dire que tu l’aimais beaucoup, ce Trunks. ( le ton était doucereux ) »
Elle exorbita les yeux, et recracha le morceau : il avait arraché un morceau de chair de Mirai Trunk et l’avait cuisiné pour elle et pour lui. Il les humiliait, les écrasait et les poussait dans les pire bassesses, dont l’envie de tuer et le cannibalisme. Mais il lui ordonna de continuer de manger et de ne rien laisser dans l’assiette. Elle dût obéir et pardonner ce geste : Broly devait souffrir devant tant de vulgarité et d’obscénité. Elle voyait en lui une grande schizophrénie, une personnalité cherchant en vain à être polyvalente. Et cette soumission avait donc pour but de faire perdurer le culte de la mort. De son côté, le Saiyajin fou était ravi de voir que son opéra se déroulait merveilles : bientôt, la dernière scène sera jouée, et il fera un malheur dans cette planète. Réunir les dernier Saiyens en vie, et mettre les terriens à leurs bottes le temps du dernier mouvement de ce requiem, était le décor idéal pour cette vaste comédie d’un jour comme d’un soir. Trucks vît sa jambe régénérée car il fût entouré de l’énergie toute puissante du Super Saiyen légendaire. Torturé dehors, il perdait de plus en plus la tête, sans être l’esclave docile de Broly.
L’entrainement des deux enfants saiyen était tout aussi rude que celui de Gohan, car il fût décidé de ne pas faire de cadeaux à Goten et à Trunks. Tous deux se rapprochaient du niveau 2 et devenaient de plus en plus fort. Bêjita, de son côté, voulut assimiler la technique qu’utilisait Broly pour augmenter, de façon vertigineuse, sa vitesse. Piccolo et Kaio l’aidaient dans cette tâche plis qu’harassante, tandis que Goku s’adaptait de mieux en mieux au SSJ 3 qui consommait pas mal d’énergie. Il fût décidé d’enseigner la fusion et le prince des saiyens fût invitée à y participer, au cas où. Goku se mit à parler :
« Bien, nous devons commencer. Cette technique va créer un être d’une puissance insoupçonnée, mais la moindre erreur fera naitre un résultat pitoyable : l’être sera trop faible et Broly l’exploserait d’une gifle. D’abord, vous devez être bien en ligne, et vous devez mettre vos forces au même niveau, et les tailles doivent être les mêmes. Ensuite, vous levez les bras, de façon à former un angle droit avec le torse. Fuuu-( il fît trois pas en crabe ) vous ne devrez pas faire plus de trois pas, et mettre vos bras de l’autre côté. Siooon !! ( Goku rabattit les bras, et se tint sur un pied ) Soyez attentif à la position de ma jambe, puis vous terminez ainsi : Haaa ! ( Goku tendît sa jambe et desserra le poings ) Vos doigts doivent alors se frôler de façon à concrétiser l’union de vos forces. Le talon ne doit pas toucher le sol, et il faut bien desserrer le poing, car même un écart ou un mouvement mal placé ferait échouer la fusion ou créer un être faiblard. Je ne vois pas d’autre choses, sauf que cette fusion ne dure que 30 minutes. Etes-vous prêt ? »
Les deux garçons l’affirmèrent avec fermeté, mais Végéta ne put s’empêcher de faire uned légère grimace : faire ces pas de danse ridicule était non seulement ridicule, mais accentuerait la colère de Broly par le ridicule de la chose. Mais il ne rechignera pas le moment venu, car il se décida à faire tout le possible pout reprendre son épouse et le double du futur des griffes du psychopathe.
Soudain, Goku laissa le reste à Piccolo et Bêjita car il irait voir si Gohan faisait bien son entrainement. Arrivé au Kaio Shin Kai, il vît son fils s’entrainer ardument, et il fût décidé de corser encore plus les choses : essayer de trancher le métal le plus résistant : le Katchin. Mais devant le bloc, l’épée ne résista pas au choc et elle se brisa. Goku n’en fût pas effrayé : de toute façon, il se pourrait que le corps de Broly ait la même résistance. Ce fût là qu’ils furent au comble de la surprise : un vieux Kaio Shin, fît son apparition. Il se présenta :
« Je suis heureux d’être sorti de cette épée. Permettez moi de me présenter : je suis le Ro Kaio Shin, doyen des dieux enfermé dans cette Z-Sword, il y a des millénaires et des millénaires de cela. »
Le Kaio Shin de la zone Ouest salua le doyen comme il se devait, et ce dieu annonça que Boo pouvait être vaincu si un puissant guerrier verrait son véritable potentiel être révélé, et ainsi surpasserait toutes les limites. Mais il fût mis au courant que le vrai, danger était le Super Saiyen légendaire, et là, il se mît à frissonner. Ce démon était donc réapparu comme le prévoyait la légende, ou la malédiction, plutôt.
Mais pendant ce temps, Piccolo sentit une très puissante et malfaisante énergie, mais moins palpable que celle de Broly. Goten, lui, reconnut Boo qui arriva et les toisait d’un air cruel, en rigolant. Il s’avança devant les occupants du palais qui tremblaient de tout leurs membres. Il se mit à parler :
« Ne me regardez pas comme ça : je ne comptes pas vous manger, même si je le peux, et que j’en aurai bien envie.
_ Tu as survécu, alors. Mais, demanda le grand Namek , que nous veux-t-us ?
_ Je comptes bien me venger de de gros balourd vert qui a osé se moquer de moi et qui m’a écrasé à plate couture. Mais cette fois, il me le paiera et… Eh, vous aussi, vous l’affrontez, je crois.
_ On n’a pas besoin de ton aide, rétorqua Trunks . Et puis qui nous dit que tu ne tenteras pas de nous jouer un tour dans le dos ?!
_ Rien n’est garanti, en fait. Et ne m’accusez pas de trahison si cela arrive ou que je fasse quelque chose qui vous dégoute, car je dis et je répète que je ne promets rien, vu que vous êtes avec Kaio Shin que je comptes bien éliminer. Et puis, je crains que vous n’ayez pas trop le choix, vu que deux fronts, ce serait ingérable. »
Finalement, Goku fût contacté et les Kaio Shin donnèrent l’accord, à condition que Boo soit surveillé. Goku et Bêjita décidèrent en, secret de traquer les deux démons et de supprimer Majin Buu en cas de débordement.
Fin du chapitre.
Si j’ai décidé de faire ce passage hard, c’est pour souligner le caractère de dominateur sadique, et la perversité de Broly. J’en fais un monstre à plusieurs visages, avec le chef d’orchestre, le tueur parfait, le pervers sadique, le cannibale raffiné. Et le film de référence est marquant à ce sujet, sur la soumission de l’homme par l’homme. Bon, au chapitre suivant, ce sera bastonnade et une scène bien gore. A vos commentaires et à plus.
Voilà
Raté, Sonluffy : Boo s’allie avec eux. Pour l’absorption, on verra. Allez, chapitre suivant :
CHAPITRE 14 :
L’entrainement comptait donc un nouveau participant, à la surprise de tout le monde. Boo était avec les deux enfants et Bêjita, avec la Salle de l’esprit et du temps comme lieu. Le prince des Saiyens voulut d’abord regarder les progrès de Goten et de Trunks, avant de voir ce que la fusion donnerait. Le monstre rose avait toutefois prévenu : il serait sans pitié au cours des entrainements et combats, et que des dégâts collatéraux devaient être à prévoir. Végéta ne s’en soucia que peu : ce qui l’intriguait, c’était plutôt les pouvoirs de cette créature, car Broly ne lui avait pas laissé beaucoup de temps pour montrer ce qu’il savait faire. Aussi il demanda à Boo de montrer ses capacités au combat au cours de l’entrainement. Les deux métis se mirent chacun à un côté di monstre, et le combat commença. Il fût très intense, car Goten et Trunks étaient passés directement en Super Saiyen de niveau 2. Un seul n’aurait rien pu faire, mais contre deux, le démon n’en menait pas large : ses adversaires devenaient de plus en plus complémentaires. Bêjita souriait à cette pensée : il avouait que lui aussi était passé par là avec Kakarotto. Mais en tout cas, ce n’était en aucun cas des manières amicales, pas encore. Il repassa sur le combat : Goten et Trunks continuaient de s’acharner et de faire tourner en rond et en bourrique le démon rose. Soudain, ils s’en sortirent grâce à une image rémanente et se mirent chacun d’un côté et crièrent :
« KA…ME...HA…ME…HAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
L’explosion fût assourdissante et très imposante, à tel point qu’elle fut ressentie à l’extérieur. Mais le monstre rose, malgré son état déplorable de par la perte de sa tête, et la fonte de ses bras et son torse mit un peu de temps à se régénérer. Végéta avait vu juste : Bibidi avait créé un monstre presque immortel, car elle était irrationnelle. A défaut de ne pouvoir mourir, Boo était un dur à cuire, très difficile de s’en débarrasser définitivement. Le combat devint toujouec plus intense, mais la cadence était trop forte : les deux garçons donnaient des signes de fatigue, alors que Boo récupérait à une vitesse ahurissante. Et en plus, il se régénérait à chaque fois, et repartait à l’attaque plus vite. Bêjita stoppa, ce qui faisait soupir Boo d’agacement, car ces enfants étaient peu solides. Le prince, de son côté s’énervait devant ce comportement capricieux, mais il se garda de le dire à voix haute : il devait être aussi susceptible que Broly.
« Bon, annonça Végéta, il est temps de passer à la vitesse supérieure. Goten, Trunks, vous allez fusionner et passer, avant, en Super Saiyen.
_ D’accord !! Répondirent les deux métis. Il faut passer aux choses sérieuses. Fuu-Sion ! Ha !! »
Les deux doigts touchèrent du premier coup, et un être, croisement parfait entre les deux garçons, apparût : il portait un pantalon bouffi blanc, une ceinture, et une étrange armure. Très élégant, il en profita pour attaquer Boo qui essuya un violent coup de pied dans le ventre. Bien qu’il pouvait se régénérer, cela lui coupa le souffle un moment. Végéta fût agréablement surpris de voir à quel point un être fusionné pouvait être si puissant. Il se jura aussitôt de surpasser cet état, tout seul, lorsque la bataille contre Broly sera terminée. Pour l’instant, il ferait mieux de réserver la fusion pour au cas où, puis chassa cette pensée pour observer. Le démon était, à son tour, largement distancé : malgré ses efforts pour lancer de rafales suffisamment importantes de boules de feu, Gotenks esquivait tout avec une facilité déconcertante. Et les coups portés faisaient beaucoup moins de dégâts contre ce nouveaux guerrier. Celui-ci semblait s’amuser : ce devait être trop tordant de jouer avec un chewing gum vivant, et ce serait amusant d’inventer des techniques pour en mettre plein la vue à tout le monde. Finalement, Gotenks se concentra et :
« Attention les yeux, je vais créer un super feu d’artifice : KAMEHAMEHA !!!!!!!!!!! »
La décharge, était ainsi, inutile de le préciser, deux fois plus importante, mais Boo trouva la parade : apparemment, une technique ne marchait qu’une fois contre lui. Pourtant, le guerrier semblait avoir anticipé la chose et dévia le Kaméhaméha pour le séparer en deux. Les deux rayons tournèrent autour de Boo pour le prendre en tenaille et le détruire. Gotenks attendit patiemment que le monstre se régénère pour que le combat reparte de plus belle. Boo et son adversaire se battaient à armes égales en vérité, l’un étant difficilement fatigable, et l’autre étant surpuissant. Le guerrier de la fusion se dégagea puis :
« Bien, je vais te défoncer la tête telle une noix et comme ça, ce sera dans la poche contre Brocoly !! Prends ça : GALACTICA DONUGTS !!!!!!!!!!!!!!!!!! »
Aussitôt, des halos de lumières se formèrent autour de Boo qui s’inquiéta peu à peu, et soudain, ils se refermèrent sur lui, puis il fût compressé comme dans un ballon. Végéta était tiqué : les êtres de la fusion étaient donc si joueurs au point de sortir de nulle part des techniques ridicules, que même un clown trouverait nul ? Mais ça marchait à merveilles, et Gotenks frappa aussi fort qu’il le pouvait dessus avant de le jeter par terre et de lâcher la prise. Boo fût un brin irrité : ça, ce n’était pas drôle, et il allait lui rendre la monnaie de sa pièce. Il lança :
« Bien , je te propose de corser les choses en te montrant un moyen d’augmenter tes capacités d’esquive. Ainsi, l’autre mastodonte vert ne pourra plus te toucher : HUMAN GENOCIDE ATTACK !!!!! »
Aussitôt, Buu leva le bras et des rafales de laser en sortirent vers le ciel pour retomber sur Gotenks. Surpris par la première vague, le guerrier esquiva la première, mais les autres le traquaient. Alors il bougea dans tous les sens, et eut une autre idée :
« Ce n’est pas mon genre, mais : KAMIKAZE GHOST ATTACK !!!! »
Il se concentra, et à la surprise et la consternation de Végéta, des fantômes à son effigie sortirent de sa bouche. Ils se jetèrent sur les rafales successives de rayons tueurs, et tout explosa. Gotenks en profita pour attaquer Boo et le bombarder de coups de poings destructeurs qui déformèrent son corps à volonté. Boo se dégagea, en serrant son corps autour de Gotenks, et repartit à l’assaut. Le combat était presque équilibré, mais Gotenks voulut relancer une attaque dite « cool ». Le démon utilisa alors sa crête et :
« Tu vas te changer en bonbon au caramel !! »
Le rayon se dirigea vers le guerrier qui fût changé instantanément en bonbon. Le prince aurait rigolé devant une situation aussi grotesque, ce combat de clowns. Mais pour la préparation du combat contre le Saiyajin fou, mieux valait rester sérieux. D’ailleurs, il fût irrité que son fils et le dernier rejeton d Kakarotto se soit fait prendre aussi facilement. Et ces techniques étaient d’un ridicule aberrant : cela risquait de renforcer la colère de Broly qui ne supportait pas de telles singeries. Boo ramassa le bonbon et le lança vers Végéta.
« Je me demande si tu as vraiment appris le discernement à ton rejeton, lança le monstre rose. En tout cas, ces deux abrutis se sont laissés avoir trop vite. Mais tu as pu voir mon pouvoir : je peux changer n’importe quoi en sucrerie. C’est bon à savoir, pas vrai ? Bon, redeviens comme avant. »
La friandise redevint Gotenks, et la fusion avait atteins ses limites. Goten et Trunks étant réapparu aussitôt, Bêjita en profita pour leur faire une petite savonnette. Conscients qu’ils ont fait un peu n’importe quoi, ils se laissèrent faire et ne dirent plus un mot par la suite, lors du sermon. Et Végéta conclut ainsi :
« Si vous adorez faire des blagues, Broly a un tout autre humour, et n’aura aucune pitié à vous écraser. Il sera même ivre de rage, ou prendra un plaisir sadique, selon votre comportement. Alors un peu de sérieux quand votre création utilise ses techniques. »
Trunks et Goten acquiescèrent respectueusement, et le monstre rose les suivit docilement. Au sortir de la Salle du temps, ils virent Goku de retour et un ait dubitatif. Piccolo lui répeta quelque chose :
« Son Goku, ce n’est pas dans son intérêt de devoir supporter Broly et nous en même temps, et c’est la même chose pour nous. Alors je pense que lorsque le dément sera tué, le combat reprendra avec Boo comme convenu. »
Les entrainement continuèrent et Gohan, pendant ce temps, sentait monter la force en lui. Le Ro Kaio Shin continuait la cérémonie pour révéler le potentiel du jeune guerrier, et il imaginait un résultat prometteur. Kaio Shin, lui, espérait surtout que Gohan soit assez fort pour tuer rapidement Broly avant que sa force ne devienne trop forte. En effet, le Super Saiyajin légendaire était le combattant ultime en ce sens qu’il était évolutif et relatif. Son corps était impossible à blesser, à moins de ne laisser aucun répit aux endroits où ce fût déjà bombardé de coups. De plus, les Guerriers millénaires semblaient régresser de génération en génération. Le premier était un héros charismatique et généreux envers son peuple, et ce Broly avait du charisme, mais dans l’autre sens. En effet, il était un monstre abominable, pervers et assoiffé de fantasmes inavoués et d’une obscénité innommable. Et pourtant, il y avait un certain style dans son vocabulaire, et il pouvait ainsi séduire ses victimes, et leur faire préférer la mort que de vivre entre ses mains. Le dieu ressentait la force de Broly et un sentiment d’écœurement à la sentir. Quelque chose de malsain se dégageait, comme une odeur de mort. Et surtout, il sentait que deux de ses prisonniers agonisaient, et souffraient à se pieds. Les hommes qu’il avait pris n’étaient pas en meilleur état, et l’un d’eux perdait le contrôle, peu à peu, sur lui-même. Tout cela, il ne préféra pas le dire à Gohan, en espérant que sa colère ne le subjugue pas une seconde, comme il l’avait observé lors de la première manche. Gohan fût interpellé par le doyen divin qui lui fît un signe :
« Même si c’était terminé depuis 30 minutes, je crois que j’ai poissé un peu plus que ce qui était prévu. »
Gohan fût irrité de n’avoir pas eu plus d’information à ce sujet, puis se calma. Alors il se leva et entreprît une grande concentration. Puis toute l’énergie explosa, le propulsant au-delà de tout : il était devenu plus fort qu’un Super Saiyajin 3, et espérait tuer Broly en un rien de temps. Et peut-être ce dernier n’aurait pas le temps de dévoiler sa transformation ultime, et devenir indestructible. Il lui tardait de voler au secours de ceux encore en vie. En effet, il sentait qu’une vie diminuait atrocement et s’était éteinte. Le Saiyen fou avait donc fait une première victime au cours des supplices qu’il devait encore, en ce moment sans doute, imposer à leurs proches. Aussi il décida de se rendre vite au palais afin de tester sa puissance sur Boo qui, il en fût informé il y a peu, avait conclu une semi-alliance. Arrivé, il montra sa force qui bluffa tout le monde, sauf Goku et Végéta qui étaient fiers pour l’un et énervé pour l’autre. C’était bien la preuve que les métis pouvaient devenir plus fort que les Saiyajins classiques. Bêjita et Boo participèrent pou tester la puissance de Gohan et s’aperçurent qu’il avait distancé tout le monde.
Gotenks et Gohan se concentrèrent : il leur fût demandé de savoir où Broly se cachait en sondant la Terre. Pour l’instant, ils ne surent rien : le monstre avait masqué sa force et devait être dissimulé parmi d’autres formes de vie. Toute fois, ils réussirent à déceler un force assez importante, quoique très affaiblie, errer dans des plaines, à quelques kilomètres d’une chaine de montagne et de dense forêt, situées au Nord de la planète. Goku la reconnu : c’était celle de Krillin. Végéta objecta alors : il était fort possible que Broly leur ait tendu un piège. Mais Piccolo rétorqua :
« Quand bien même il serait logique pour Broly de nous piéger, sa personnalité lui interdit de faire cela. Je pense qu’il a simplement relâché Krillin pour les besoins de son histoire. Donc, mieux vaut aller le chercher : ce sera le seul moyen pour trouver le Saiyen millénaire. »
Il fût décidé que Goku aille le chercher, aussi celui-ci passa en SSJ. Il se dirigea vers la zone indiquée avec une pointe d’inquiétude. En effet, il sentait que son ami de longue date ne périsse en chemin car le dément devait lui avoir fait passer un très mauvais quart d’heure. Lorsqu’il arriva sur place, il vît Krillin marcher avec un air hébété. Ses vêtements étaient déchirés, et malgré que les plaies ne saignaient plus, son corps était parsemé de cicatrices de tailles très diverses. Ses yeux étaient vides, ils regardaient le fond : il était peut-être inconscient de ce qu’il faisait. Lorsque Son Goku passa tout près de lui, Krillin sentit l’odeur de la peau, et, pris d’hallucinations, se jeta sur le Saiyen et lui mordît la main. Goku l’assomma aussitôt et le ramena à la Capsule Corporation, là où il fixa rendez-vous aux autres avant de leur prendre la main et de les y téléporte, y compris Boo. Tous examinèrent Krillin qui avait été affamé pendant sa captivité, puis molesté, et torturée. Boo s’avança puis :
« Vu comment il est, on sent qu’il est en état de choc. Je vais lire ses pensées pour voir ce qui l’a conduit à être échappé. »
Il s’exécuta, et les images commencèrent à affluer. Mais au bout de deux minutes, le démon rose ressentit un haut-le-cœur, et une envie de vomir. On lui indiqua la direction de toilettes. Il s’exécuta et évacua tout, dégageant une odeur pestilentielle. Heureusement, les appareils de ventilations firent leur besogne aussi efficacement que d’habitude. Lorsque Boo sortit, il leur fît un résumé de ce qu’il avait vu : Broly avait fait subir les pires humiliations, sévices sexuels, mutilations, et Trunks avait été écrasé, humilié et largué dans la nature sauvage jusqu’à en perdre la raison. Une femme nommée Lunch avait déjà succombé, et c’était presque le tour de Chichi et de Bulma, qui connurent les mêmes supplices, surtout pervers. Tous furent écœurés devant ce résumé qui , pourtant, était dépouillé de détails. Végéta bouillonna de colère et sa puissance faillit demeurer hors de contrôle, mais Goku l’arrêta et lui demanda de se calmer et de ne pas entrer dans le jeu de Broly. Le prince sentit les larmes lui monter aux yeux : à croire qu’il était maudit. Et il sentait que Paragas devait jubiler en enfer : après tout, il avait juré de se venger de la famille royale, même si le roi avait été tué. Soudain, le téléphone se mit à sonner : il semblerait que Broly ait trouvé le numéro de la Capsule Corporation grâce aux aveux de Bulma. Le prince des Saiyajins décrocha et mit le haut-parleur afin que tour le monde suive la conversation. Une voix doucereuse répondit au « Allo » de Végéta :
( musique : http://www.youtube.com/watch?v=y-IBe32T ... age#t=237s ). ).
« Finalement, vous êtes de vrais virtuoses et c’est tant mieux. Ça m’arrange que vous improvisez, comme ça, on gagnera du temps. Au fait, je dois t’avouer que ces femmes sont très belles à regarder quand elles dorment si paisiblement. Bientôt, je pourrais conserver, par tous les moyens, leurs beauté de façon éternelle.
_ Sale monstre dégénéré !!!! J’espère pour toi qu’elle est encore en vie, et si tu t’es arrangé pour la faire jouir, je…
_ Doucement la voix basse, petit prince, reprit Broly, irrité. Je suis le compositeur, le chef d’orchestre, et revenir sur des détails, surtout importants, est absolument hors de question. N’oublies pas que tout, ici, n’est que pure inspiration. Et puis, je n’aimerai vraiment pas à leur écraser la tête sur une contrariété, ce serait salissant.
_ Broly, laisses-nous parler à, au moins, l’une d’entre elles. Ou alors à Trunks.
_ Kakarotto, renchérit Broly sur un ton de reproche infiniment tendre, les musiciens, en travaillant ensemble, sont censés se faire confiance. Alors certes, il peut y avoir des couak mais au moins vous ne jouez pas la partition de façon mécanique. Mais puisque je dois te mettre en condition physique, je vais exaucer ton souhait. »
Ils entendirent un bruit d’escalier, puis de porte. Ils entendirent un gémissement et une vois casssée en millze morceaux, hésitante, s’éleva :
« Go…han… j’ai froid, mal, ne me laisse pas dans la souffrance. Je veux partir avant de régresser, au secours… papa.
_ Ma Videeel, hurla Mr Satan. Hé, Mengele de quartier ! Tu vas me rendre ma bien aimée avant que je ne te fasse une savonnette, et que tu goutes à te super techniques et…
_ Ta gueule, sous-personnage, figurant inutile !! ( Mr Satan blêmît de peur devant une telle hargne ) En tout cas, si certains meurent, j’espère pour vous que vous ne songerez pas à utiliser les Dragon Balls. Maintenant, le programme va changer un peu : la dernière scène de notre tragédie faustienne sera apocalyptique, et le monde deviendra une orgie. Vous viendrez danser sur, et chanter la mélopée, vers le fleuve de la mort. Sinon, j’écrase les cadavres, je vous tues et je mets la Terre à feu et à sang. Et comme l’opéra sera bâclé à cause de vous, ce sera de votre faute, si l’univers subira le même sort. Alors ? Que choisissez-vous ?
_ Comment et où devons nous rendre ? Demanda Bêjita.
_ Le nain que j’ai laissé trainer va vous conduire : il doit connaitre le chemin, du moins instinctivement. Mais attention : il faudra monter crescendo, allegro. Et alors, nous conclurons en beauté cet opéra de façon la plus magistrale. Autrement, cela se réduira à la boucherie, et les petits enfants dormiront comme des anges pour l’éternité. »
Le silence revint, car Broly avait raccroché, et il s’alourdit sur les amis des captifs : si ils ne se dépêchaient pas de sauver leurs amis et leurs épouses, leur déchéance sera telle qu‘il ne les reconnaitront plus. Il fallait donc faire vite : deux équipes furent constituées. La première comprenait Piccolo, Goten, Trunks et Goku, puis la seconde, de Végéta, de Gohan, de Krillin et de Buu. Il s’agissait de protéger le vieil ami du Saiyajin de sang, jusqu’à ce que le repaire du Saiyajin fou eut été trouvé. Ils n’oublièrent pas les senzus, et Dendé contacta ses congénères sur Namek, leur demandant de réunir les Dragon Balls, puisque le Super Saiyen légendaire ignorait que ces boules existaient ailleurs que sur la Terre.
Ils s’élancèrent, et l’ancien élève de Kame Senin, parfois l’air hagard, montra la direction à prendre de façon mécanique et hésitante : il se remettait à peine du choc subi durant le « séjour ». Ils arrivèrent vers une forêt très dense avec une chaine de montagne en guise d’arrière plan. Ce devait être le décor parfait aux yeux de Broly, songea Végéta. Lorsqu’ils virent un bâtiment ressemblant à une villa, et que Krillin était reparti vers le palais de Kami-sama, un kikoha très vif explosa près d’eux. Bêjita fût décontenancé quand il vît Trunks : l’air fou, horriblement maigre, il ne distinguait plus les amis des ennemis, car il était devenu totalement paranoïaque. Il attaqua les deux enfants qui étaient passés au niveau 2 et le combat devint extrêmement violent. Malgré toute sa rage, Mirai Trunks ne faisait pas le poids contre deux SS2, vu sa grande faiblesse. En plus, il attaquait n’importe comment : hurlant et prenant de grandes inspirations, tel un taureau furieux, il fonçait et dès qu’il avait pris un adversaire, il s’acharnait. Et c’était cela qui le rendait encore dangereux : il était telle un animal sauvage, chercha t seulement un peu de nourriture. Goku était écœuré devant tant de régression, et se jura que Broly allait payer pour cela. Goten et Trunks lancèrent un double pied au visage, puis Goten se mit au dessus et décoha un puissant Kaméhaméha. Le double du futur en fût déstabilisé et Végéta l’assomma pour le jeter au sol. Piccolo s’approcha et lui tendit une poignée de senzus. Trunks se jeta dessus et manqua de mordre la main du grand Namek.
( musique d’ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=vQVeaIHW ... detailpage ou : http://www.youtube.com/watch?v=m_qoOhos ... age#t=156s, à vous de voir ).
).
Finalement, ils arrivèrent dans le repaire du démon et virent des visions d’horreur : il avait amené avec lui ses « créations » depuis qu’il était en capacité de les faire. On trouvait des têtes empalées, propres et souriantes avec les yeux clos. D’autres œuvres étaient des peintures faites avec du sang, et des sculptures avec des corps d’êtres vivants conservés grâce à une substance dont seul le Saiyajin fou devait avoir le secret. Bêjita et Goku sentaient une oppression, une sensation de mort : ils pensaient avoir pénétré dans un caveau communautaire, un cimetière. Tien Shin Han fut trouvé par les deux Trunks et Piccolo : il avait succombé à la fin et Broly en avait profité pour lui arracher les jambes. Les combattants eurent des légers malaises et se sentaient dans un écœurement continu,, devant ces horreurs. Bêjita et les autres virent une plus grande pièce et la tristesse remplaça les haut-le-cœur : un autel était placé au fond de la pièce, avec la grande faucheuse dans un corps de femme, dont le visage était voilée. La mort trônait sur un tas d’os et de corps enlacés entre eux, ou d’autres assis en tailleur. En fait c’était une toile, mais devant, se trouvait Lunch, assise sur un trône de style ancien. Les yeux, en robe noire et un demi-sourire aux lèvres, elle semblait dormir. Toutefois, elle était pale comme un fantôme, et , en fait, le cœur ne battait déjà plus. Et Goku découvrit avec horreur qu’il en était de même avec Chichi et Bulma : elles étaient allongés dans deux magnifiques cercueils, richement décorés. Elles, elles étaient vêtues aussi de robes noirs, et avec des manches aux bras, sauf que les épaules étaient à nues. Les mains croisées, elles semblaient prier pour leur propre repos, et elles tenaient chacun, dans leurs mains, un pendentif avec un croix en or. Bêjita était bé de contemplation pour ce corps : c’était vrai qu’ elle était belle et douce, si fragile dans cet état. Mais elles étaient mortes, et leur beauté serait figée à travers les âges. Et pourtant, ils ne pure t s’empêcher de les voir toutes les trois comme enb train de dormir en paix.
Des pas le tirèrent de sa transe, alors que la musique sortant des hauts parleurs passait en play-back : le résident avait arrêté de jouer. Ils le virent, les yeux pleins de douceur, mais renfermant une cruauté sans borne, et le demi-sourire était une façade : Broly était tout simplement une Abomination, dans tous les sens du terme. Cela en restait terrifiant qu’il puisse pousser ses victimes à accepter la mort, et demander leur part, songea Goku. Puis le Saiyajin fou parla :
« Regardez comme c’est merveilleux. Nous allons à présent jouer des notes dignes d’un requiem pour ces trois belles créatures. Vois comme j’avais raison : elles sont heureuse là-haut, à errer dans u endroit préservé des guerres; des futilités et des injustices. Et leur corps est à présent magnifique : la mort nous aide, elle doit recevoir notre respect. J’avais toujours voulu être un artiste, puis j’ai vu la grande faucheuse ( ses yeux regardaient vers le ciel, puis descendirent, plein de folie ). J’ai su que les opéras tragiques étaient faits pour moi ( lorsqu’il leva les yeux vers Boo, il se mit en colère ). Et j’aimes bien, quand mes pièces, se déroulent… SANS QU’UN CLOWN VULGAIRE NE VIENNE TOUS GACHER !!!!! »
Broly hypertrophia ses nerfs et éjecta tout le monde dehors en détruisant la façade gauche de la villa. Le combat allait reprendre, et bientôt, leur symphonie allait trouver ses dernières notes, les plus implacable.
Fin du chapitre.
Bon, au prochain, je crois que je mettrai une idée que j’avais eu, puis quand elle sera finie, je mettrais les chapitres bis, et les fins alternatives ensuite.
Mais cela ne s’arrêtera pas là : j’écrirais des mini-cross-over avec Naruto ( Sasuke morflera le plus ), Yu Yu Hakusho ( ce serait marrant Mazoku vs Saiyen légendaire ), et Saint Seiya, peut-être ( voir mon topic personnel pour voir comment je gèrerais le truc ).
A vos commentaires et à plus.
Voilà
On repart. Là, ne cherchez plus à comprendre, il ne vous reste qu’à savourer de voir la Z-team se faire pilonner, bastonner, massacrer, etc. Et affronter Broly, bien sûr
CHAPITRE 15 :
( musique d’ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=oAB4jWbR ... detailpage puis : http://www.youtube.com/watch?v=oESpHG-Z ... detailpage )
Bêjita était plutôt intrigué : il avait arrêté de compter le nombre de fois où ce Saiyen fou utilisait cette technique pour augmenter sa vitesse de façon hallucinante, et ainsi rendre inutile toute anticipation de se attaques. Mais ce fût en regardant Boo et les deux garçons qu’il comprit : il comptait se débarrasser d’eux en premier. Il fallait donc protéger Goten et Trunks en priorité pour qu’il fassent la fusion. Quant à Boo, il pouvait s’en tirer plus facilement, vu son incroyable endurance. Soudain, Broly s’élança, pour se retrouver juste en dessous de Boo, prêt à frapper avec un coup de pied circulaire. Le monstre rose était totalement ébahi : comment ce type avait- il réussi à détruire la distance qui les éparait, en une seule seconde ? Il ne put se poser d’autre questions, car il se prit le coup en plein menton, qui explosa d’un coup. Sous le choc, les dents avaient sautées et la mâchoire basse était en piteux état. Projeté à une cinquantaine de mètres, la création de Bibidi se redressa aussitôt, reconstituant son visage.
Mais il vît que ce dément s’était déjà rué sur Gohan pour le massacrer de tous les côtés. Celui-ci n’arrivait pas à suivre correctement les mouvements, malgré son incroyable préscience. Il pouvait anticiper ses mouvements et les parer, mais la vitesse était telle, qu’il ne pouvait pas les bloquer longtemps et l’ennemi enchainait déjà avec ses jambes. Le métis se faisait repousser toujours violement, et son adversaire en profitait pour le matraquer à nouveau. Et la force augmentait aussi en continu, car Broly était de plus en plus excité devant tous ces combattants faisaient front. Le fils de Goku se prit une nouvelle torgnole et tomba vers la forêt. A peine ils se redressa qu’il sentit un sifflement. Il sentit que le Saiyajin fou allait l’attaquer par la gauche. Alors il chercha à faire barrage avec toute sa force, mais il se fit éjecter de nouveau par un double-pied de Broly qui le prit ensuite par le col pour le plaquer au sol. Là, il recommença le massacre : il continuait de le marteler à une vitesse hallucinante, et Gohan avait du mal à se dégager de cette violente averse de coups. Il faillit perdre courage, à l’idée que cet entrainement, serait inutile : il était plus fort que Broly, mais celui-ci devenait naturellement plus fort et plus rapide.
Soudain, le maniaque sentit un violent choc dans le dos : il vît que les deux métis voulurent en découdre et qu’ils étaient en Super Saiyen 2. Il sourit à cette vision : ces deux prodiges se débrouillaient bien. Il espérait seulement que le génie précoce ne ferait pas d’eux des névrosés. Il se rua sur Goten et Trunks qui fonctionnèrent en binôme lors du combat. L’harmonie était parfaite dans leurs mouvements, et leur adversaire était pourtant le plus rapide dans cette bataille. Les coups partaient dans tous les sens, et pourtant ils étaient maitrisés et précis dans les deux camps. Ils arrivaient, à deux, à submerger ce monstre de leurs attaques, physiques ou de ki. Mais le colosse à l’aura verte était plus résistant : même si les coups le poussaient et qu’il pouvait être blessé, son mental était supérieur au physique. Le deux garçons avaient beau savoir où il attaquait, ils éraient écrasés par sa brutalité et ses mouvements souples et fluides. De plus, mouvements qui étaient trop rapides pour eux, et ils perdirent leur transformation après que le fou ait prit l‘un pour frapper l‘autre. Heureusement, alors que Broly saisît Goten pour lui écraser le cou, Goku passa rapidement en Super Saiyajin 3 et lui envoya un surpuissant coup de pied en pleine mâchoire. Il en profita pour lancer le signal aux deux enfants :
« Il vous faut fusionner !! Végéta, Boo et moi on va retenir Broly assez longtemps pour que vous vous concentrez. »
Goten jeta un regard à son ami et tout deux se mirent en ligne avant de repasser en SSJ2. Puis la danse se déroula à merveille. Le guerrier de la fusion réapparut, plus fort que jamais, puis il fît soigne à Boo et Mirai Trunks qui avait repris ses esprits :
« Trunks, Boo, allons-y à fond, et pas de quartiers !!! »
De leur côté, les trois guerriers n’en menaient pas larges : malgré toute leur puissance, aucune blessure sérieuse n’était à déplorer chez Broly, et celui-ci était aussi rapide que Goku et Végéta réunis. En fait, complètement envahi par ses propres instincts de tueurs, et par sa folie, il devenait facile pour lui d’encaisser. De plus, son SSJ 1 allait rattraper le SSJ 3 de Goku, ce qui voulait que dans cet état, sa force se nourrissait de sa colère, et vice-versa. Le démon était enfermé dans un univers de fantasmes innommables qui s’étendait et détruisait les personnalités d’autrui, un cycle interminable. Mais Gohan se servit de toute sa puissance et la tendance commença alors à s’inverser. Il submergeait complètement le Super Saiyajin légendaire qui subissait à son tour ce à quoi il réduisait ses victimes. Mais il se relevait, doucement, et son vidage se déformait de plus en plus, noyé dans sa démence. Gohan devait avouer qu’il était increvable, et qu’à chaque fois qu’il devenait plus fort, Broly prouvait qu’ il était toujours le plus fort, sans apport extérieur, ni rien du tout. Ailleurs le Kaio Shin de l’Est suivait le même raisonnement : tout cela n’avait rien de logique, seule la violence régnait en maitresse absolue dans ce combat. Le Super Saiyajin légendaire ne tuait pas pour être le plus fort, ou par fierté : il le faisait par pur nécessité, come une fatalité contre laquelle aucune explication ne tenait la route, si ce n’était qu’un plaisir cru et malsain devant cette sauvagerie.
Broly vît Gotenks, Boo et Trunks l’attaquer et en profita pour s’entourer du bouclier vert indestructible. Il lança son attaque sur Boo qui utilisait, en fait, presque la même :
« HUMAN GENOCIDE ATTACK !!!!!!!!!!!!!!!!!!
_ Tu veux jouer à un feu d’artifice ? Pourquoi pas, cela va rajouter un décor merveilleux ! SPREAD THE MAYHEM !!!!!!! »
Les lasers se rencontrèrent pour exploser en même temps, mais d’autres touchaient les deux flingueurs, qui résistaient. Le monstre gluant de rose se déformait et se faisait trouer la peau en permanence, tandis que le colosse Saiyen, aux nerfs saillants sous sa peau, voyait les projectiles glisser sur la bulle verte comme de la pluie. Cependant, le bouclier commençait à se fissurer, tandis que Boo fatiguait à se régénérer tout le temps. Les attaques volèrent ailleurs, vers deux villes situées à plusieurs dizaines de kilomètres de la capitale Nord. Les voitures, avions et petits immeubles étaient transformés en gruyère carbonisé, et les morts s’accumulaient. Ils étaient transpercés par les rayons roses ou explosaient dès le contact des lasers verts qui arrachaient les deux jambes de certaines victimes. Les villes voyaient les maisons repeintes au rouge sang, et les véhicules brulaient les uns après les autres. Devant une telle vision de cauchemar, Goku hurla :
« Boo, stop !!! Broly ne ressent pas ces lasers, et il va t’attaquer, alors arrêtes.
_ Je vous avais pourtant dis qu’il y aurait du dégât collatéral, répondit l’intéressé. »
Mais Gotenks n’en avait cure de ce genre de disputes : Broly restait le danger. Aussi, il lui fonça dessus et lui fît passer un sale quart d’heure. Le fou avait beau être rapide, et pouvoir repérer son adversaire n’importe où, Gotenks était très fort, surtout quand il s’agissait d’utiliser ses attaques puissantes, comme :
« KAMEHAMEHA !!!!!!! »
La décharge de ki explosa sur Broly qui vit son bouclier, déjà endommagé, voler en éclats, mais cela restait suffisant pour l’empêcher de mourir. Gohan était satisfait : les êtres fusionnés devenaient extrêmement forts, et des génies du combat. Goten et Trunks, dans un même corps, lancèrent leur attaque favorite :
« Pas question de rigoler davantage. Je vais te tuer tout de suite : KAMIKAZE GHOST ATTACK !!!!! »
Aussitôt, il fît apparaitre cinq fantômes à son effigie, pour les faire s’exploser en même temps sur le Super Saiyen légendaire. Lorsque celui-ci revint à lui et qu’il vît ses fantômes grotesques, il explosa de colère, faisant réapparaitre les nerfs :
« MAIS VOUS ALLEZ ARRETER DE FAIRE LES CLOWNS ?????!!!!! »
Broly fonça et réussit à esquiver les fantômes juste à temps, et ces derniers explosèrent entre eux. Alors que le monstre allait fracasser le crâne de Gotenks en, fonçant comme une torpille la tête la première, Mirai Trunks s’interposa, et en SSJ 2, lança son « Burning Attack ». Mais son ennemi ignorait la douleur grâce à ses nerfs et sa folie, et repoussa Trunks en deux coups. Le combat reprit contre Gotenks et Gohan qui avait rejoint la tempête. Mais cette fois, le Saiyajin fou était submergé et réduit à se mettre en garde, ou de chercher à esquiver le plus de coups. Et il fallait avouer qu’il s’en sortait bien : il était effectivement le plus rapide et le plus résistant. Grâce à une inattention, Broly atteignit l’être fusionné et lui lança deux ou trois salves meurtrières de coups qui fatiguèrent de plus en plus la cible : l’être gaspillait trop d’énergie pour résister le plus longtemps possible, alors que l’adversaire restait inépuisable. Mais le métis au potentiel révélé du plus profond de lui, asséna une autre pluie de coup au Saiyen qui s’effondra. Gotenks espérait que cette fois, il ne s’en relèverait pas.
Mais cette pensée n’était pas permise pour le Super Saiyen, du moins tant que le moment final ne serait pas terminé. Il répéta « j’ai mal », « je souffre enfin », puis se releva, peu à peu. Enfin debout, à peu près, il balbutia :
« Finalement, je retire ce que j’ai dit : tu es un être magnifique, l’osmose parfaite entre deux petits prodiges. Cela me réjouirait magnifiquement de pouvoir gouter à ton essence. Alors le dernier acte sera le plus extravaguent, le plus inoubliable. Oui, c’est magnifique, de savoir que tu réussis, avec l’autre garçon que j’avais affronté 7 ans auparavant. Il s’agit du frère de l’un de vous deux. »
Avec les yeux doux, mais un sourire énigmatique, il porta ses mains à sa bouche, et un crissement infernal, se fit entendre alors. Puis cessa de faire souffrir des oreilles, et Broly garda la bouche fermée. Puis il se rua sur le guerrier de la fusion. Ce fût un combat silencieux, mais toujours aussi violent qui débuta. Broly frappa aux jambes, et son adversaire voulut massacrer ses côtes. Mais soudain, sans que quiconque ne s’y attende, le Saiyajin fou se cabra, et attrapa les bras de Gotenks. Il sembla lui murmurer quelque chose à l’oreille :
« Je veux ton essence, dors et tout ce passera agréablement. J’ai besoin de cette scène pour surprendre. »
Puis, sans crier gare, il referma ses mâchoires sur le bras de Gotenks. Végéta , surpris, espérait que Broly ne morde pas jusqu’au sang, mais il découvrit le pourquoi du bruit avec les mains et les dents : celles-ci avaient été de nouveau limées. Les dents s’enfoncèrent facilement pour arracher un morceau de chair que le monstre dégusta tendrement et passionnément, puis il s’attaqua aux jambes qu‘il déchiqueta à mains nues, tout en buvant le sang, et dévorant la peau et la chair. Mirai Trunks vît la scène et se rappela les sinistres traitements que ce psychopathe lui avait infligé : mutilations, cannibalisme, décapitation, traque dans la forêt et autres humiliations. Déterminé à exorciser ces visions d’horreur, il se rua comme un fou furieux sur Broly qui relâcha sa proie, pour se jeter sur le nouvel arrivant, qu’il massacra de nouveau à coups de poings et de pied. Les bras et les jambes se tordirent, et un os sortit un peu. Puis il l’allongea sur le sol, pour lacérer son bras, sur lequel il suça du sang peu à peu. Sans crier gare, il saisît la gorge et insuffla son énergie dans le système circulatoire. Ainsi, il pouvait contrôlait la respiration, et il pouvait stopper les battements du cœur à tout moments. Sauf que cette fois, Bêjita ne le laissa pas faire et donna un violent coup de pied au visage de Broly qui s’en remit aussitôt : la douleur ne signifiait plus rien pour lui, et sa force augmenta soudainement. Et ce fût trop tard pour Mirai Trunks : le cœur cessa de se battre. Ce fût là que le monstre lava le corps et le déposa délicatement au sol. Trunks devint comme les autres victimes : un cadavre magnifique, semblant avoir été accablé par le sommeil. C’en fût trop pour le prince qui fonça sur le démon pour le massacrer : le coups étaient tous meurtriers et Broly était incapable de se défendre. Mais il était plutôt irrité cette fois-ci, et se dégagea :
« C’est étrange : tu manques de professionnalisme en ce moment. Tu a intérêt à rehausser le niveau si tu ne veux pas que je détruise négligemment ton cadavre. Même si je ne sais pas encore si tu dois mourir, vu que notre opéra s’écrit et se déroule au fur et à mesure. Mon imaginaire est réel, mais pas inversement. Du moins pas encore. »
Sur ce, il recommença de massacrer Bêjita de coups et lance de kikohas. Le corps se tordait sous les coups sauvages de l’attaquant. Puis il recula et :
« Et maintenant, je vais mettre un ballet sorti de l’enfer : SPREAD THE MAYHEM !!!!!!!!!!!!! »
Les lasers verts fusillaient à répétition le prince qui voltigeait dans le ciel, sous les assauts destructeurs. Végéta dansait dans le ciel et ne dût sa survie qu’à son endurance car autrement, il serait mort dès la première vague. Boo intervint soudain, et fit lâcher prise en envoya nt ses deux bras élastiques sur le fou. Guérissant les parties de Gotenks, qui disparait au terme de la fusion décida de prendre les choses en main, et s’avança :
« Ok, j’ai compris. Je ne vois pas d’autre solution, on dirait. J’aurai préféré que tu ne te mettes pas en travers de mon chemin, mais tu m’obliges à mourir pour d’autres que je veux tuer. Tssss, tu es détestable.
_ Toi, renchérit Broly. J’aurai aimé un meilleur jeu de ta part pour mon opéra, mais tu n’es qu’une bestiole grotesque, avec un clown qui invente des techniques bison. Ça suffit, je vais me transformer afin de t’éjecter de mon scénario !!!!!!!!!!! »
Sur ce, le démon commença à s’entourer du cercler vert, et ses pupilles commençaient à se flouter : il allait redevenir le titan assoiffé de mort et de désolation. Les corps de défunts furent évacués de suite, et Boo avertit :
« Il va falloir que vous vous cachez quelque part. Je vais tenter de le faire exploser avec mon pouvoir. Ainsi, il sera mort avant la fin de sa métamorphose. Allez, cassez-vous !! »
Obéissant sans trop savoir pourquoi, les guerriers protecteurs de la Terre quittèrent la zone de combat pour ne pas être affecté par l’explosion. Tandis que le Super Saiyajin légendaire vît ses muscles grossir, et l’aura passer du verdâtre au vert fluo, dans les cheveux, Boo vît se veines saillir sous sa peau. Tant de puissance commençaient à lui faire perdre la tête.
« Je n’admets pas tes moqueries, et tu ne dois pas être plus fort : c’et MOI le plus fort !!!! Moi, moi, et encore MOOOIIIIII !!!!!! GGRRRRRRRRRRRRRAAAAAAHHHHHHHHHH !!!!!! »
En voyant cette orage rose et le monstre qui allait faire monter son aura de flammes roses qui dansaient grossièrement, Broly augmenta la taille de son cercle vert, et accéléra sa métamorphose. Soudain, le souffler emporta tout sur son passage : les forêts, les montagnes se déchiquetèrent et furent simplement soufflés comme de simples fétus de paillers. Le dôme de lumière caractérisant une explosion, se forma et fût bleu clair. Puis vint le champignon, et les ondes de choc qui ravagèrent le reste, ne laissant que le désert lorsque tout se dissipera. Les spectateurs furent effrayés devant tant de puissance : même si Boo était capable de plus destructeur que cela, il avait dû s’assurer de ne rien détruire autour, en espérant revenir grâce à sa régénération. Gohan revint le premier pour examiner l’étendue des dégâts : tout était ravagé, et la Terre avait tremblé, avec deux séismes vers l’Est. Et les dégât collatéraux avaient du avoir lieu, songea le fils de Goku. En tout cas, il ne restait plus rien, surtout de la villa : elle avait disparu, simplement. Les montagnes se résidaient à des dunes de pierre, et la forêt avait été entièrement réduit en cendres : il ne restait aucune trace du décor que Broly avait utilisé. Si il était encore vivant, sa haine en deviendrait impossible à égaler. Végéta vît une forme énorme sur le sol, droit devant lui. Ce fût là qu’il était terrifié : Broly se tenait là, l’air hagard, les yeux morts, et son teint de mort. Les muscles avaient repris leur forme surdimensionnée et il avait ses cheveux verts. Il redressa la tête et attendit, simplement. Il voulait que Boo revienne pour lui appliquer le traitement qui correspondait à ceux qui étaient indignes de faire partie de son opéra. Intérieurement, il bouillait de rage : ses propres musiciens s’étaient abaissés à faire confiance à ce bonbon collant et élastique sur pattes, à cet être si vulgaire, et agissant comme un gosse capricieux, sans cervelle et agaçant ? Il voyait Kakarotto avec incrédulité : il avait accepté l’aide d’un clown tueur complètement ridicule, et avait permis la création d’un guerrier d’une arrogance et d’une bouffonnerie indescriptible. Puis il se ravisa, laissant croire à ses acteurs la première pensée. Il cacha que le déferlement de violence qui allait suivre devrait être un contre-pied inattendu dans sac mise en scène. Finalement, autant se contenter de cet évènement inattendu : ce sera un rebondissement intéressant. Soudain, ce qui devait arriver arriva. Boo était réapparu pour constater son échec : Broly avait déclenché une grande vague explosive et une onde choc pour limiter la casse et permettre de se transformer. Il fût terrifié de voir ce que le Saiyajin fou lui réservait :
« Bien, maintenant que tu as bien assouvi te caprices, tu vas me faire le plaisir de quitter le spectacle côté jardin sans faire de scandale. Car c’est un rôle, que l’on ne joue que rarement, et pour ainsi, dire pas du tout, deux fois !!!!!!!!! Maintenant disparais de ma vue et de ma vie : INCARNATED EXCTINCTION !!!!!! »
Sur ces mots, Broly tendit a main droit devant lui, et fît apparaitre de nouveau un cercle rétrécissant, mais qui se dirigeait vers Boo. Le monstre vert avait tendu sa main et posé son bras dessus, comme pour braquer son adversaire. Puis il se concentra alors que le cercle rétrécissait difficilement, pour enfermer Boo. Le dôme vert avait deux fois la dimension du démon issu de la folie de Bibidi, et était parsemé d’éclairs. La concentration terminée, Broly relâcha toute l’énergie dont il avait besoin pour tuer Boo pour de bon, dans la sphère. Elle se remplit de ki, et Boo se tordait de douleur, puis il fût comme électrocuté, puis désintégré, molécule par molécule. Les acteurs/spectateurs étaient terrifiés devant cette vision : Broly avait donc toujours la méthode adéquate pour tuer son ennemi, et avec, ici, une arme capable de désintégrer n’importe quelle chose, n’importe quel être vivant avec une bonne concentration. Mais cela dépendait de la cible qui pouvait demander énormément d’énergie, ou rien du tout. Il pouvait donc annihiler toute sorte de chose et toute forme de vie. Il était donc un véritable fléau impossible à stopper. Peu à peu, Boo disparut et le cercle s’aplatit pour laisser un trait s’effaçant dans un sifflement. Puis Broly s’essouffla, avant de se reprendre quelque minutes plus tard, puis :
« Comme c’est les dernières notes de l’opéra, je ne demande, n’exige plus rien de très compliqué. A part ceci : il est temps de vous déchainer, de ne plus rien comprendre. Seule une chose compte : battre, frapper, tuer, détruire. Je vais prendre à contre-pied en créant une vision de l’Apocalypse. Maintenant, que je vous ai libéré de ce fardeau plus qu’énervant, et d’une situation embarrassante, tout le monde est enfin réuni, malgré quelqu’un qui manque à l’appel. Vous pourrez le ressusciter si ça vous chante, et si vous êtes encore en vie. J’ai fais une erreur de scénario, et c‘est de ma faute. Mais maintenant, venez, chantez de vos belles voix, les chœurs de la mort, du destin funeste. »
Aussi, il fonça sur ses ennemis, et Gotenks était réapparu lors de l’explosion de Boo. Il avait soudain atteins le SSJ 3 devant tant de cruauté de la part de ce monstre sanguinaire. Mais le combat jouait encore en leur défaveur : ils avaient beau s’entrainer, se surpasser par tous les moyens, Broly avait toujours le dessus. En fait, il était le plus fort depuis toujours, mais ce ne serait pas amusant de les tuer tout de suite. Et puis il était totalement fou, une folie qui surpassait tous les autres cas de démence. C’était plutôt abstrait, un autre niveau de cruauté, de violence, bien, qu’elle était sans égal. Gohan fût la première victime : le Saiyajin fou se déchainait sur lui, jouant de tous ses membres pour le frapper. Gohan hurlait de douleur, et ses cris de souffrance étaient entrecoupés par des coupures de souffle. Et le sang coulait abondamment, avec les contorsions, qui se multipliaient sur son corps. Tombé à Terre, le métis était effondré devant tant d’impuissance : Mirai Trunks avait été de nouveau tué, et Boo mourut pour rien. Il fût interrompu de la façon la plus brutale possible : il le jeta de nouveau dans le décor, et le matraqua encore plus. Il chercha à écarteler les jambes, et à arracher les bras d’un cul sec, mais Gohan tenait bon malgré son infériorité face à Broly. Malgré la barbarie apparente, Broly ne frappait pas n’importe comment et gardait toute sa tête. Pourtant, il continuait d’éprouver ce plaisir sadique à mutiler ses adversaires et les humilier jusqu’à la perte de la personnalité. Gohan doutait, en effet : il perdait peu à peu sa combativité, écrasé devant ce monstre légendaire. Gotenks arriva à son secours et tenta de dégager Broly de la zone. Pendant ce temps, Goku et Bêjita étaient tétanisés devant l’invincibilité de ce Saiyajin. La légende s ’était concrétisée, et la nature avait décidé de condamner l’univers à disparaitre dans le néant .
« Broly est de loin le plus puissant et le plus effroyable ennemi que j’ai eu à combattre. Plus aucune comparaison n’est possible avec les autres adversaires. Mais il existe encore un moyen de lui faire perdre cette transformation et peut-être le tuer. Tu dois savoir de quoi je veux parler.
_ Surement, Kakarotto. Et si tu ne l’avais pas suggéré tout de suite, c’était moi qui te l’aurais proposé en premier. »
Le guerrier issu de la fusion avait vu la chose : les pères allaient également fusionner pour vaincre Broly. Et il fallait se dépêcher : le monstre était en train d’envoyer des rafales de ki vertes contre le métis qui souffrait le martyr. Il l’encadra dans une montagne ai moyen d’une corde à linge, puis se mit à le piétiner en sautant un pied sur l’autre sur sa victime, tout en le matraquant de coups de poings. Puis il l’envoya en l’air, prêt à le broyer. Mais ce fût Gotenks qui se prit lz charge :
« Encore plus inattendu et grandiose : le coup du sacrifice ? D’accord !!! COSMOS GRINDER !!!!! »
Broly concentra sa force dans le bras droit qu’il abattît sur Gotenks. Alors que la fusion était terminée chez Goku et Végéta, le guerrier apparut pour voir Gotenks se faire défoncer le torse, dont la cage thoracique explosa d’un seul coup, puis le visage en fût à moitié déformé. Il ne restait pas grand chose, les dents étaient rentrés dans la cervelle, et les yeux ne tenaient plus en place. La cage thoracique avait éclaté en morceaux, et les bras s’étaient arrachés sous la pression. La fusion s’estompa, le guerrier était de toues les façons, mourant. Trunks et Goten réapparurent, avec quelques minutes à vivre encore. Gohan vît les deux enfants agoniser, puis rendre leur dernier souffle.
Devant cette vision d’horreur, Gogéta et Gohan hurlèrent leur désespoir, puis versèrent de chaudes larmes. Broly vint vers eux et nettoya les corps puis les transporta par la force de son esprit tordu vers un abri. Le Saiyajin fou se retourna et :
« Bien, il est temps de conclure ce magnifique opéra, avec le dernières notes. De symphonie, nous avons fait un opéra, un requiem. A présent, nous allons renforcer tout, quitte à ce que cela devienne une cacophonie inaudible : tout n’est qu’expérimental. «
Mais sans que quiconque ne s’en aperçoive, un grand dragon se forma sur Namek, et Dendé, qui y fût téléporté, formula le premier vœu : faire ressusciter Goten et Trunks. Mais il fallait attendre qu’ils soient arrivés au paradis : si il les ressuscitait trop vite, la colère du Saiyajin légendaire serait trop grande, malgré l’apparition d’un deuxième être fusionné. Alors il fallait mieux voir comment Gohan, et Gogéta s’en sortiraient.
Fin du chapitre.
Vous vous direz que c’est curieux, de la part d’un fan de Mirai Trunks, de le faire mourir deux fois : et bien je pense que tout le monde doit souffrir et mourir contre Broly.
Et l’attaque ultime de Broly est là : une arme enfermant la victime dans la Bulle Verte qu’utilise Broly pour se protéger, et qui désintègre l’adversaire, totalement. Voilà la force de Broly : sans limites, elle augmente sans cesse, quelque soit sa forme. En SSJ1, il se nourrit de l’excitation qu’il aura à massacrer l’ennemi qui a réussi à le blesser et lui tenir tête. Et en LSSJ, c’est sans apport, ça monte, c’est tout. Et c’est largement plus fort que Mystic Gohan.
Ici, je vais faire peser le suspens sur une éventuelle résurrection des deux garçons ( désolé Teen gohan : c’est Gohan ou Goten, pas les deux ) . Réponse au prochain et dernier chapitre de la fic. A vos commentaires et à plus.
Voilà