Bon, j'accepte de préciser comment le début, Bio-Broly, et tout ça. Un flashback sera nécessaire.
CHAPITRE 1 :Le noir, puis la lumière, vive, omniprésente. Voilà ce que ressentaient Goten, fils de Goku, et Broly, celui soit-disant désigné comme étant le Super Saiyajin légendaire. Deux êtres que presque tout opposait, rien ne prédestinait à se rencontrer et plus, nageaient dans un espace de lumière. L'un d'eux voulait tant le rejeter, fuir ce monstre qui lui avait tant fait de mal pour rien. Il se souvenait d'être tombé d'une passerelle à moitié détruite, très instable, puis avoir atterri sur le torse de ce clone. Puis cette chose mouvante, visqueuse, et vivante, se mît à les recouvrir. Sa peau commença alors à brûler, et il avait l'impression de se la faire arracher, lambeaux par lambeaux. Si la chaleur était peu supportable lorsque Broly comptait détruire la planète avec son énorme boule de feu, mais là, c'était pire. Il craignait d'être dissous, de n'être plus rien, sinon des restes de cellules perdues a milieux de nulle part pour aller ailleurs.
Malheureusement, il était inexorablement attiré vers son ennemi qui demeurait inconscient entre les fils de ce liquide issu des stocks de culture usagée. Alors que tout deux furent de plus en plus liés par ces fils et nageant ensemble dans cet espace vide, cerné par des parois de diamants couleur vert, le clone ouvra les yeux, et pointa un étrange regard. Ses yeux ne contenaient aucune malice, aucune vindicte, ni une seule trace de haine ou de bestialité. Pas plus que de joie, d'ailleurs, car le sourire était contenu, totalement quelconque. L'air un peu perdu, le mastodonte avait un regard d'incompréhension, d'interrogation. Et puis, tout à coup, le visage de Broly prît un autre éclat : il était magnifique, détendu, se mariant automatiquement avec le visage enfantin de Goten. Mais alors que le petit demi-Saiyen se fît prendre dans le bras du Saiyen, ils virent une perturbation, puis un grondement, laissant apparaître, au loin, un autre visage, plus agressif. Un large sourire, dents dehors et deux yeux fous, se mît à pousser un éclat de rire statique.
Le fils de Végéta était totalement perdu, effondré. Son meilleure ami, qu'il avait joyeusement battu au terme d'un match haletant, venait de mourir, probablement, de la façon la plus malchanceuse et stupide possible. Et c'était en partie de sa faute : ne jamais relâcher son attention en situation dangereuse, garder la situation toujours dans un main de fer. Il ne devait pas laisser son père en savoir davantage, car sa colère serait terrible. À supposer, d'ailleurs, qu'il pourrait le garder de son vivant, tant il était désespéré. Au fur et à mesure que le résultat terrifiant des expériences génétiques douteuses se rapprochait de lui, Trunks était non pas de plus en plus effrayé, mais de plus en plus résigné. Il souhaitait mourir, et son regard, pourtant inhabituel, anormal chez un enfant choyé par une mère attentionnée. Dépression, folie, suicide, désespoir, solitude, tout cela se noyait dan son regard, puis disparut tout d'un coup, voyant le monstre biologique tendre les muscles, déplier le bras pour diriger la main vers la sienne.
« A-t-us mal, enfant ? »
Ces paroles... Trunks n'avait pas rêvé : était-ce vraiment Broly, ce monstre qui exécrait Goku au plus point, à celui même de massacrer tout ce qui se trouvait autour de sa cible pour savourer le plaisir de le tuer plus facilement, qui venait de parler ? D'ailleurs, il l'entendait dire d'autres mots que «Kakarotto», le nom Saiyen de Goku, d'après son père.
Cet être osait lui comment cela allait, alors que, pas plus tard que quelques minutes interminables, il allait leur sauter à la gorge et en faire un tas de viande grillées ? Dans un réflexe vif et suintant la peur, Trunks rejeta la main tendue et lui envoya un direct à la mâchoire. Mais cette fois, la tête ne bougea même pas, et le petit saiyen ressentît une douleur aux articulations de son poignet. Mais cela ne le dérangeait pas poutre-mesure, et il réitéra plusieurs fois ce geste vindicatif, hurlant par moments. Mais rien à faire : Broly restait indestructible, et il s'acharnait à avancer sans riposter. C'était à n'y rien comprendre : on aurait dis que cet être voulait lui parler, le réconforter ? Il avait atteins la paroxysme du n'importe quoi là, pensait le petit Trunks.
Alors qu'il lui décocha deux boules de feu, Broly les dévia puis s'arrêta d'un coup. Se tenant la tête entre les mains, il ne cessait se hurler des paroles incompréhensibles, décousues, puis, se retournant, il attaqua. Donnant des coups volontairement diminués, il be cessait de rigoler comme un fou.
« Ha ha ha ha !!!!! Je m'en vais te faire un twist à te dévisser le crâne : connais-t-us l'effet de cinq heures de tango non stop ? »
Tout en faisant des pirouettes, dansant et marchant sur la pointe de super saiyen légendaire reproduit mena la vie dure à Trunks, jusqu'à ce qu'une main ne le repoussa. C-18 aida le garçon à se relever et le porta sur une de ses épaules. Le combat dût reprendre car Broly n'était toujours pas calmé. Semblant aller dans tout les sens comme un hystérique, il envoyait des boules de feu à tout-va lorsque la cyborg lui envoyait des vagues, il était d'une précision chirurgicale lorsque le corps à corps s'imposait. Le monstre frappa la femme de Krillin au bras, puis remarqua quelque chose : un circuit métallique.
« Mmmm... Un robot, hein ? Toi et moi, nous sommes finalement l'œuvre d'un savant fou. Mais tu n'es qu'un pantin : tu ne survivras pas à la danse. »
Aussitôt, il l'expulsa vers les appartements luxueux du bâtiment puis la retrouva pour continuer le carnage. Le petit Saiyen rejoignit aussitôt la zone pour la soutenir, mais en vain. Les deux adversaires frappaient dans l'air alors qu'ils avaient bougé avant lui. Le petit Trunks poussa sa puissance au maximum, et le repoussa vers la zone de combat où ils avaient mois à terre les autres créatures génétiques. Le combat reprît, mais Trunks avait curieusement l'avantage : le clone de Broly était submergé de coups de poings rageur. Il répliqua et ses attaques restaient dépourvues de passion, comme un scalpel impitoyable qui tranchait la chair pour trouver une faille et l'extraire. Dans ce cas, il s'agissait de la creuser, mais la victime était moyennement convaincu : froideur ? Non, c'était autre chose, mais ce rire sinistre, forcé, presque crispé, cachait une sensation difficile à discerner. Il devait cette faculté à son père, qui avait pris le temps de lui apprendre à déchiffrer les humeurs des adversaires afin d'espérer, d'aventures, anticiper toute réaction et offensive. Mais il devait s'en servir pour les cas d'urgence. Il était prévenu, d'ailleurs.
« Je te préviens Trunks, que chercher à lire derrière l'expression du visage, est extrêmement périlleux : rien n'est pire que de vouloir se mettre dans la tête que l'ennemi. On peut facilement perdre pied face à un esprit dérangé, et puis il pourrait te piéger. Mais si ton esprit combatif a le dessus, ton adversaire aura perdu avant d'avoir engagé les hostilités. »Tout en se concentrant, le petit garçon aux cheveux dorés scruta ce sourire grand et ces yeux soi-disant menaçants. Il trouva autre chose : de la... tristesse ? Impossible, car il ne devait sans doute même pas savoir ce qu'était la pitié, l'amour, ou la compassion. C'était juste une machine à tuer qui avait aspiré son meilleur ami, qui détestait toit le monde. On lui avait raconté qu'il avait même tué son père et aucune raison n'aurait ou le justifier. Non, en fait, le mot raison ne signifiait rien pour lui, car il était le seul à pouvoir prendre des risques. Trunks fût interrompu par un dégagement, et il vît alors une chose monstrueuse : Broly commença à concentrer une énergie oscillant entre le vert et le jaune au niveau de la couleur. Horrifié fût son ressentiment lorsque lui et C-18 VIRENT sortir du torse une partie d'un corps humanoïde : Goten ouvra ses deux bras, prêt à tirer. Le fis de Végéta remarqua que son ami, devenu un organisme biologique, se mît à pleurer des larmes de sang. Puis il disparût après avoir permis au clone de lancer l'attaque :
« Ça fait comment déjà ? Ah oui, c'est cela :
Kamehameha, non ? »
Sitôt après avoir prononcé le nom de l'attaque, le rayon partît, et le pauvre garçon aurait pu se faire emporter et tuer si la femme et Yamcha n'étaient pas intervenus. Mais il en resta prostré : ce monstre avait pu utiliser la technique de Goten et en augmenter la puissance à un niveau considérable. De plus, le liquide qui avait recouvert les deux Saiyajins il y a peu coulait, par moments, de son corps. Il ne pût s'empêcher de laisser couler larmes et sang, en voyant ce qu'était devenu Son Goten.
Le clone esquivait tout leur coups avec une aisance insupportable, mais une chose frappa l'esprit du prodige de Végéta : il semble attaquer parce que C-18 et lui l'auraient rejeté. D'ordinaire, Broly attaquait sans raison, ou alors pour le plaisir de détruire, de tuer, de fracasser un visage détestable. Il n'arrivait pas à comprendre la logique chez ce clone. Sa réflexion fût interrompue lorsque la femme-machine fut jetée contre lui et que tout deux allèrent s'écraser deux étages plus bas. Les deux combattants remarquèrent enfin que ce château était un véritable labyrinthe : ils étaient tout simplement revenus au laboratoire. Au bout d'un moment, en voyant la créature sourire méchamment, figée devant eux, Trunks décida de ne plus bouger. Puis il le vît s'avancer, semblant ne refléter aucune agressivité, ni aucun rictus sardonique. Peu à peu, chaque membre de leurs corps se mît à se détendre, puis l'un d'eux ouvrît la bouche :
« Où est mon ami ? Rends-le moi tout de suite !! Comment a-t-us osé me dire si j'allais bien ? Bien sûr que ça fait mal : ces morceaux, et quand tu l'as assimilé. J'ai souffert de tes coups il y a quelques mois, et tu as détruit une belle montagne. Et tu reviens dans ce corps trafiqué pour tendre la main ???!!!( la voix s'enroua de plus en plus, rongée par des sanglots ) Tu n'es qu'une horreur de la nature, une aberration, un monstre !!!! »
Les mots fusèrent tels des poignards affutés et acérés jusqu'à l'épuisement de l'aiguiseur. Mais alors que l'ancien bandit et le cyborg cherchèrent à le soutenir dans la douleur, ils entendirent un autre bruit : le liquide avait commencé à se retirer de la zone et les scientifiques, sauf le professeur Kori, s'étaient arrêtés de s'enfuir. Le chef de l'équipe et le baron étaient restés à assister aux scènes de combat, sans que Mr Satan ait été touché. Le baron, énervé, éructa :
« Alors ???!!!! qu'est-ce que tu attends ?? J'exige que tu massacres Satan, et tout de suite ! Je n'ai autorisé et financé ta création que pour cela, et pas autre chose. »
L'être fusionné ne répondît pas et jeta un regard désapprobateur vers celui qui était intervenu. Puis il se retourna vers le garçon, puis autre chose se produisît : ses yeux commencèrent à se remplir d'un liquide clair comme une eau pure, argenté, très scintillant. Trunks voulut se pincer à s'arracher la peau pour s'assurer que cela n'était pas un cauchemar : ce monstre était en train de pleurer, après lui avoir demandé si tout allait bien, et après toutes les horreurs commises.
« Pourquoi ? Je ne suis pas cet être être que tu sembles conspuer comme le pire des criminels !! Je l'ai senti dans ma tête, je l'ai vu rire, se moquer de nous, éructer comme un sauvage. Mais de moi, tu n'as rien à craindre, je le jure. Je ne suis qu'une reproduction physique et...
_ TAIS-TOI, hurla le demi-Saiyen !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
La haine et le chagrin au cœur, il se déchaina sur le monstre qui ne pût que répliquer, surpris par tant d'agressivité. Au bout d'un moment, les yeux rougis par les larmes et après avoir épuisé toute son, énergie en vain, le guerrier s'écroula, larmoyant, dans les bras de celui qui aurait pu le tuer. Ayant observé toute la scène, Kori exultait :
« De mieux en mieux... Ce clone est non seulement déductif, intelligent, mais a, en plus, conscience de n'être qu'une reproduction de l'original grâce aux souvenirs de la mort de ce dernier. Magnifique ce que l'on vient de faire là, mes chers collègues : nous avons créé une toute nouvelle forme de vie, supérieurement intelligente, compréhensive, et épurée de toute toxine existante. Après tant de temps et de recherche, c'est la victoire de la science et... ».
Mais il ne pût terminer son monologue d'auto-satisfaction : il vît le baron Jagger lui jeter en pleine face un regard extrêmement désappointé.
« Seriez-vous en train de me dire que ce que je vous ai donné a été en partie jeté par la fenêtre pour vos talents d'apprenti-sorcier ???!!! c'en est trop !!!! Je vous avais pourtant commandé des combattants toit simples, des gorilles, des tueurs, pas des Einstein génétiques !!! Vous avez dépassé les bornes : quatre-vingts dix millions de zenis qui partent bêtement en fumée !!!!!
_ Je pense qu'il est temps, dans ce cas, de réduire les frais et de changer de stratégie ! »
À ces mots, et contre toute attente, le docteur sortit une arme de poing, de petit calibre, et la pointa sur son ancien employeur. Après avoir émis un rire gras, le milliardaire fît un geste à son garde du corps qui tenta d'utiliser son arme pour éliminer le savant fou, mais il sous-estima la détresse de ce dernier.
« BANG !!!!!! BANG !!! »
L'assistante de Kori dût se détourner afin de ne pas voir l'opposé de ses convictions : son mentor avait été jusqu'à tuer pour ses recherches, méprisant les vies humaines. Comblée de chagrin et de dégout, l'experte en bio-technologie avant-gardiste dût partir. Ses pas firent l'écho avec des sanglots saccadés, étouffés. Effrayé par la détermination de son employé, le baron le supplia de ne pas tirer. Tout ce qu'entendirent Broly et Trunks, c'était des hurlements d'effroi et de supplique, parlant d'argent, de sommes astronomiques ou mirobolantes, de chèques en blanc, de matériel, mais le savant n'écoutait plus rien. Ce misérable radin, à ses yeux, n'était qu'un ignorant grincheux, comme la plupart des humains lambdas, d'ailleurs. Leurs calomnies passées lui avaient laissé un goût amer, mais là c'était pire. Il décida de le tuer, le faire taire, lui et toutes les sources de frustration. Plus personne ne pourrait contredire son génie incontestable, car il avait créé une entité capable, potentiellement, de multiplier une nouvelle forme de vie, une des plus abouties dans l'histoire de la génétique, de l'évolution, et autres sciences de la vie. Mais l'instant libérateur n'eut pas lieu : son pistolet valsa de se mains, avant de tomber en miettes. Le clone l'avait détruit par la pensée La terreur fût telle que Jagger en tomba sur le sol, sous le choc. Énervé, le scientifique se détourna rageusement et prit tout les documents relatifs aux opérations entreprises jusqu'à ce jour. Mais il fut intercepté par la reproduction de Broly, qui le toisa après avoir déposé Trunks au sol, délicatement.
« Je ne suis pas ingrat, car je ne peux que vous remercier de m'avoir fait diverger de mon sujet d'origine. J'ai sa mémoire, et un peu plus que sa force brute. Mais je ne peux pas vous laisser m'utiliser pour votre prestige : même je suis sans doute un être révolutionnaire, je refuse d'être un phénomène de foire. D'autant que je suppose que vous ne vous attendiez pas à ce que je sois doté d'une personnalité propre et d'un libre arbitre ( une impression de terreur se dessina sur le visage du savant, tandis que Broly eut une pointe d'ironie. ). cela vous effraye ? Alors montrez moi donc le contraire, essayez de prouver que vois êtes attentionné et prévisible. Discutez donc ( mais l'homme de science se tut, couvert de honte. ). Pft, vous êtes comme les autres : le père de mon «modèle» avait utilisé la chair de sa chair comme un jouet de guerre, alors que vous aviez créé un miracle de la vie, mais vous l'avez gâché. L'humanité n'aura pas besoin de vous, alors adieu . »
C-18 entendit un bruit peu ragoutant, un râle, des hoquets et puis plus rien. Le vieil homme avait succombé à une crise cardiaque à cause de l'énergie insufflée dans son système respiratoire. Mais la cyborg comprit : semblable à l'insignifiant et ignoble Dr.Gero, ce docteur Kori venait de s'ajouter à une trop longue et inconnue liste de savants morts sur l'autel sacrificiel de du génie scientifique. Des hommes morts par la science et pour la science, qui se réduisait, par leur faute, à une fabrication effrénée d'engins de mort, de folie et d'horreurs. Les protagonistes de cet instant violent et tragique, comprirent, hormis Mr Satan, que ce Broly allait être différent de ce monstre qui allait semer la terreur sur Terre, sept ans après Cell. Le clone revint vers Trunks et se mît à sa hauteur.
« Trunks, si tel est ton nom, saches que je suis conscient d'être une reproduction génétique du Super Saiyajin légendaire. Je refuses d'être considéré comme une aberration. Cet être avait dix mille unités à sa naissance, mais un enfant, Goku, ou Kakarotto, est devenu une gêne et il a fait une fixation obsessionnelle sur lui. Il est devenu le Destructeur de Mondes, se délectant de massacres, de violence. Il a même tué son propre père, et n'aurait pas hésité à effacer toute image et tout souvenir de Kakarotto en ruant des innocents. Tues moi si tu veux, mais je refuse d'endosser les crimes d'un mort. »
Trunks chercha à frapper encore le torse du clone, mais, trop épuisé, et dévoré par le doute, il s'effondra contre la poitrine du cobaye, qui le serra doucement dans ses bras puissants. Il murmura des paroles incompréhensibles, les yeux rougis par les larmes, puis un flot de liquide vert le recouvra sous les regards terrifiés des deux époux. Le phénomène se reproduisît, et le clone devînt largement plus puissant. Une couleur harmonieuse monta au ciel oscillant entre le vert et le jaune doré. La puissance fût telle que deux guerriers rivaux la ressentirent.
« Tu as senti ? En plus de la sortie imminente de Boo, une énergie est colossale vient d'apparaitre, et elle m'est bizarrement familière. Le plus étrange est qu'une autre vient de disparaître, assimilée.
_ Et alors ? Tu crois que je vais te laisser te dérober ? même si une armée de Cell sur-développée ferait son apparition, ou si Broly venait à ressusciter plus fort, je tient à ma vengeance sur cette humiliation qui ne cesse de me hanter.
_ Ton hypocrisie me taper sur les nerfs, Végéta. »
Dans le laboratoire, les terriens furent figés devant ce clone puissant et semblant compatissant. Son pouvoir en devint inimaginable, entre mais autre chose le gagna. Les larmes se remirent à couler de ses yeux, au fur et à mesure que son âme et celle de deux garçons complémentaires. Il regarda le ciel, l'air doux.
« Je me demande ce que cela donnerait si l'original connaitrait la même chose que moi. »
Aussitôt après, Bio-Broly sortît du laboratoire, qui s'effondra sur lui-même. Puis de fût le tour du château, dont peu de personne en sortirent. Ce que personne ne sût, c'était que la rancœur entre Satan et Jagger ne connaitrait plus de fin, et elle se poursuivrait dans l'au-delà.
FIN du chapitre.Flashback au prochain, chapitre, promis juré. Dites-le si c'est mal engagé, j'arrête.
Bon, là, vous allez vous dire que j'ai été hypnotisé par Ace. Pas exactement : vu que c'est du crypto-frankenstein, pourquoi s'en priver ? Et puis comme j'en ai marre d'attendre la suite de DBAF et au vu de ma frustration de ne pas avoir vu Broly parler dans DBM ni guérir dans «Litchi...», je prends les devants. Non mais sans blague.
A vos commentaires et à plus.
Voilà