Max44a5 a écrit:Hypothèse1
Ben, ce qui compte, c'est les gènes. Et les gènes, c'est pas divisible comme ça. On peut supposer que dans un métis, 80% des gènes sont saiyans et 20% terriens comme l'inverse, mais je suis dans l'optique que les gènes terriens complètent ceux extraterrestres.
Si on admet que le génome de Gohan est parfait, Pan "prendra" majoritairement les gènes saiyan de Gohan et sera aussi 80%/20%.
Hypothèse 2
Ou alors, on peut dire que les gènes saiyan sont dominants et se transmettent toujours et sont toujours dominants. En d'autre terme, la proportion reste la même à chaque fois.
Hypothèse 3
Après, si les gènes S ne sont pas dominant et se transmettent de manière équivalentes aux T. Dans ce cas, Pan pourra avoir aussi bien 44% que 3,3% de caractères saiyajin. Et au bout de quelques générations, adieu, SSJ.
Bref, tout ça reste inconnu. Il faudrait savoir si Pan avait une queue à la naissance.
On en a pas mal parlé sur le topic de Bra, quelques mises au point sur la génétique et la transmission:
viewtopic.php?f=33&t=6426&hilit=g%C3%A8nes&start=15#p204944
Edit: je pense que ça a aussi sa place dans la FAQ pour recherche ultérieure:
Chaque enfant de métis possède entre 0 et 50% d'ADN Sayen, prenons un exemple:
Gohan a 50% de chromosomes de son père et 50% de sa mère, soit 50% de chromosomes sayens (jusqu'ici ça va)
Pan a 50% de chromosomes humains de sa mère et 50% de chromosomes de son père pris au hasard.
si le hasard prends les 50% de chromosomes sayens du père ça reste du 50-50, si le hasard prends les 50% de chromosomes humains, Pan est 100% humaine
statistiquement on est autour des 25% sayen mais on ne sait jamais
à la génération suivante on a au moins 50% de chromosomes humains du père et pareil, entre 0 et 50% de chromosome sayens de la mère, mais statistiquement on est autour de 12,5%, et l'enfant ne peut pas avoir plus de chromosomes sayens que sa mère, donc si elle avait 10% de sayen, on se retrouve entre 0 et 10% pour l'enfant avec plus de cahnces d'être à 5%.
Bref la proportion de chromosomes sayens va décroitre avec les générations, inéluctablement, les calculs peuvent changer si les lignées de sayens se recroisent bien sûr, mais le sang sayen est voué à se diluer dans le sang humain.
Le calcul peut paraître plus clair avec le nombre de chromosomes:
Gohan: chacune des 24 paires possède 1 chromosome sayen et 1 chromosome humain
Pan: la moitié de chaque paire est humaine, l'autre moitié est à 50% de probabilité pour chaque paire. ce qui fait statistiquement 12 paires totalement humaines, et 12 paires à moitié sayennes. Mais on peut encore avoir 24 paires humaines ou 24 humains/sayens
enfant de Pan: le moitié de chaque paire est forcément humaine, l'autre moitié est staitstiquement répartie d'après l'adn de Pan, soit entre 0 et 24 chromosomes de sayen, mais statistiquement plus proche de sayen et 18 humains.
Génération suivante la première moitié est humaine, la deuxième est entre 0 et la quantité du parent d'origine sayenne, statiquement centrée autour de 3 chromosomes
etc...
Après je ne sais pas si c'est juste un gène ou une combinaison de chromosomes qui permet de se transformer, on ne sait même pas si Pan est née avec une queue...
Et bien sûr, je ne parle pas des saut de gènes entre chromosomes, sinon on est pas rendus.
Derniers points complémentaires:
1) On est totalement sûrs que Pan n'a pas autant de chromosomes sayens que Gohan, vu que c'est uen fille, et que du coup elle possède le chromosome X de son père, chromosome que lui même tient de Chichi.
2) Avec le même raisonnement, la descendance masculine de Gohan, Goten et Trunks possèdera toujours au moins le chromosome Y d'un vrai sayen.
3) Dans le cas des hommes, il est probable que des spermatozoïde avec plus de matériel génétique de sayen soient plus performants, augmentant les chances de transmission des gènes responsables de la puissance physique.
Enfin, tout ceci peut ne servir absolument à rien dans la mesure des puissances si ce sont juste les mytochondires qui sont impliquées, et si le nombre de celles de sayen croit à chaque zpu. Dans ce cas, le puissance seule se transmettrait presque sans dilution au fil des générations (même si le père n'en donne que quelques unes, c'est amplement suffisant pour que ces mitochondires supérieures prennent le pas sur celles humaines)
