Désolé pour le silence radio, mais je suis assez occupé ces temps-ci. J'ai commencé à modder pour Skyrim, et ça prend du temps. J'en dirais plus sur mon topic perso prochainement.
En attendant, voici la suite.
Chapitre 71 – le Cell game commence.Cell se tourna vers les saiyans.
— Bien, qui commence ?
— J’y vais. Dit Kakarotto.
À côté, son fils murmura.
— Pourquoi ? Inutile de perdre du temps, je peux y aller.
Son ton était amer. Son père se retourna pour lui répondre, mais une voix retentit.
— Hé, ne décidez pas entre vous !
Satan s’approcha à grand pas.
— J’ai comme l’impression que vous n’avez toujours pas comprit qui est le grand champion, ici ! C’est moi qui vais affronter ce tricheur, et vous, contentez-vous de regarder ! Hurla-t’il, l’index pointé sur le visage de Kakarotto.
— Mais tu vas te faire tuer. Ne risque pas ta vie inutilement.
Le soi-disant champion regarda le saiyan un instant, les yeux exorbités. Derrière lui, le reporter éclatait de rire.
— Pff ! Ces paysans ne savent pas rester à leur place. Dit le chef des gardes.
Il était aux côté du roi qui regardait le combat à la télévision.
— Vous croyez ? Cet homme, c’est le dénommé Kakarotto, celui qui a combattu le soldat de l’armée du ruban rouge il y’a quelques jours. Je le reconnais, malgré l’étrange couleur de ses cheveux. Mais le plus étrange, c’est cet homme, derrière lui. Il ressemble au démon Piccolo.
Satan était monté sur le ring. Après avoir sorti une capsule pleine de tuile et en avoir cassé quatorze d’un coup, il pointa Cell du doigt et hurla.
— Tu as utilisé des bombes contre l’armée, mais tu ignorais qu’un homme aussi fort que moi existait.
Il sauta soudainement sur le clone, toujours immobile, les bras croisés, et le roua de coups de pied au visage.
— Ça suffit !
Cell l’envoya au loin d’une gifle.
— En fait, j’étais plutôt pour Cell. Murmura Krilin à l’oreille de Goku.
— Il est encore en vie. » Dit Piccolo. « Même Cell ne s’abaisse pas à tuer un type comme lui.
— Bon, qui commence ? Toujours Kakarotto ?
— Oui. Dit le saiyan en montant sur le ring.
Le clone le regarda. Il connaissait son plan, mais il allait jouer le jeu, ça ne les plongera que plus dans le désespoir.
Kakarotto attaqua d’un coup de pied au visage que Cell para. Un coup de poing suivit qui fut bloqué aussi. Cell riposta mais Kakarotto se baissa pour éviter le coup. Ils échangèrent des coups de plus en plus vite jusqu’à ce que la saiyan se désengage puis pare le clone qui fonçait sur lui et l’envoie en l’air d’un double coup de pied.
Il sauta à sa poursuite.
— Kaméhaméha !
Cell dévia l’attaque d’un revers mais Kakarotto en profita pour passer derrière et pour le frapper au dos. Grimaçant, Cell réplica qu’un coup au visage puis renvoya Kakarotto au sol d’un double coup de poing.
Celui-ci se rattrapa et atterrit sur ses pieds et ses mains, fissurant le sol. Cell se posa devant lui.
— Ça suffit pour l’échauffement.
— Que pensez-vous de la technique de cet inconnu, Satan ?
— Hein ? Euh, c‘est pas mal, il est moins nul que je croyais. Mais il a l’air d’avoir tout donné, c’est fini pour lui, maintenant. Ha. Ha. Ha.
— Bien !
Kakarotto déploya toute sa puissance.
Le vent causé par son aura fit reculer ses amis et projeta Satan et les deux journalistes au sol.
Végéta le regardait, incrédule.
Cell eu un sourire en coin et déploya sa puissance à son tour.
Ils combattirent un moment, Cell allant même jusqu’à faire un kaméhaméha que Kakarotto n’évita que de justesse grâce au transfert instantané.
Après un échange en l’air, cent mètres au-dessus du ring, les spectateurs entendirent Kakarotto hurler.
— ÉLOIGNEZ-VOUS TOUS DU RING !
À ce moment, Cell envoya une puissante décharge d’énergie vers le sol. Tout explosa.
Quand la poussière retomba, Krilin, qui avait juste eu le temps de fuir avec les autres, dit : « Pfiou, c’était juste !
Baddack avait transporté les trois humains à l’abri.
— Vous ne devriez pas rester, vous nous gênez.
— Nous ne pouvons pas partir, Mister Satan va se battre de nouveau après. N’est-ce pas ?
— Ha. Ha. Ha. Bien sûr ! Si on allait regarder de plus loin ?
Baddack retournait vers les autres. Il sentait au fond de lui que cet idiot avait encore un rôle à jouer.
— Bien. La planète entière est notre ring, maintenant.
— Tu veux vraiment aller jusqu’au bout, hein ?
Le combat reprit de plus belle.
…
Kakarotto était à bout. Il pensait avoir gagné en utilisant une combinaison du Kaméhaméha et du transfert instantané mais le monstre s’était régénéré. Il ne croyait pas ça possible.
Cell avait été blessé par la deuxième grosse attaque du saiyan et avait dû se protéger derrière un champ de force. Mais il était encore capable de se battre, et Kakarotto non.
Il décida de passer à la suite.
— J’abandonne. Je reconnais ma défaite, tu es plus fort que moi. J’ai assez vu ta puissance, j’arrête.
— Nous y voilà. Pensa Cell. Mais il continua à jouer le jeu.
— Tu sais ce que ça veut dire ? Il n’y a plus de combattant valable, la Terre est finie.
— Il y’a encore un adversaire qui peut te battre.
— Satan, c’est à vous !
— Bien entendu ! Je vais le finir… Aïe ! Mon ventre ! J’ai trop mal, je n’y arriverais pas. Alors que ce n’est qu’un minable. Quel dommage.
— C’est à toi, Son Goku !
Il alla vers le groupe et se posa devant son fils.
— Tu es déjà au courant, je le sais, mais j’en ai acquis la certitude. Tu peux le battre, il ne t’arrive pas à la cheville.
Le garçon regarda son père d’un air blasé. Il retira ses épaulettes et s’envola pour atterrir non loin de Cell.
— Piccolo, tu as des senzus ? Tu m’en donnes un ?
— Tiens !
Kakarotto se releva et regarda Cell.
— Ne fait pas ça !
Baddack s’était placé devant lui.
—Hein ? De quoi tu parles ?
— Tu trouves que Goku ne nous déteste pas assez ?
Kakarotto regarda le senzu dans sa main.
— C’est… pour que le combat soit équitable.
Son père lui prit les épaules.
— Écoute ! Je suis le premier à dire qu’il faut se battre avec honneur, mais crois-moi, il n’y a rien d’équitable dans ce combat !
Kakarotto regarda son père dans les yeux. Son état semblait s’était détérioré, depuis quelques jours. Il s’inquiétait pour lui mais n’avait aucune raison de douter de lui.
— Je… Tu as raison.
Il mangea le haricot magique.
Cell, de loin, avait observé la scène.
Il serait les dents.
— Maudit Baddack !
À suivre…>>>