Désolé pour l’absence, la période n'est pas très bonne pour moi, et l'inspiration me fuit.
voici quand même le nouveau chapitre.
Chapitre 85 – les mercenaires de l’espace. Deuxième partie
Une annonce avait été faite, priant les participants de se diriger vers les plateformes.
Krilin s’approcha de Baddack et lui parla à voix basse.
— Au fait, merci.
— Mmh ?
— De n’avoir rien dit aux autres.
— Ah ! C’est pas à moi de le faire. Mais tu pourras pas garder le secret éternellement.
— Je… je n’en ai pas l’intention, mais… Il faut un peu de temps pour préparer… commença Krilin, un peu gêné.
— Je comprends. Dit le moi s’il y’a un problème, je t’aiderai.
— Heu…merci.
— Alors c’est ça, le paradis ? C’est génial ! S’extasia Kakarotto.
— J’ai dû insister auprès de Daï Kaio, mon supérieur, pour que tu puisses avoir l’autorisation de venir. Normalement, les vivants ne sont pas admis, mais là, la situation est grave.
— Ah ? Que se passe-t-il ?
—Nous sommes arrivés. Kaio de l’est va t’expliquer.
Non loin, un trio se disputait avec véhémence. Une foule les observait.
— Grand-père ? Dit Kakarotto en voyant un vieil homme qui regardait la dispute d’un air consterné.
— Kakarotto ! Quel plaisir de te voir. Et vous aussi, maitre Kaio.
— Bonjour, Son Gohan. Désolé, mais nous sommes assez pressés. Viens, Kakarotto, voici mes, disons, collègues.
Les trois personnes qui se disputaient se retournèrent. Tous avaient un air de ressemblance avec Kaio.
— Comment ça, disons ?! dirent-ils de concert.
— Oh, ça va ! Voici Kakarotto, qui va nous aider. Kakarotto, voici Kaio de l’est et Kaio du sud. Ah, oui, et Kaio de l’ouest.
— Espèce d’idiot ! » Hurla Kaio de l’ouest, qui se différenciait de Kaio du nord par son monocle et son chapeau à pointe. « Tu cherches toujours à me ridiculiser.
— Tu n’as pas besoin de moi pour ça, imbécile.
— Ça suffit ! » Cria d’un ton impérieux Kaio du sud, le plus grand des quatre. « Puisque nous sommes réunis, autant commencer.
— Et c’est lui qui doit nous aider ? » Demanda Kaio de l’ouest. « Il n’arriverait même pas à la cheville de Paikuan.
Kaio du nord serra les dents.
— Et alors ? De toute façon, ton soi-disant prodige ne peut pas quitter le paradis, et même s’il pouvait, il n’aurait pas le droit d’agir pour changer le destin des vivants ! Je suis le seul à avoir des disciples encore en vie, et Kakarotto est le meilleur d’entre eux !
— Ce qui ne doit pas être énorme. Railla Ouest.
— Remarque, si c’est bien le fils de l’homme de l’autre fois, il peut valoir le coup. » Dit Sud. « Raconte-lui ton histoire, Est.
— Non ! Dit Kaio de L’est, seule femme du groupe, qui portait un chapeau à large bord sur ses cheveux roux.
— Quoi ? Mais tu es vraiment… Commença Kaio du nord.
— Je veux d’abord qu’il me prouve qu’il est à la hauteur !
— Non mais tu croix que le moment est bien choisi ??!! Hurla Kaio du nord de plus belle. Mais Kaio de l’est l’ignora et s’adressa au saiyan.
— Bat-moi à la course, toi à pied et moi en moto, et je t’explique tout.
Krilin regardait fixement Piccolo. Il était trop fort pour lui, même s’il avait fait de gros progrès. Mais il devait tenter. Il se mit en garde.
— Piccolo, bat-toi !
Le namek le regarda. Il avait les bras croisés.
— C’est sans intérêt.
— Quoi ?
— Je ne parle pas pour toi, je parle de ce tournoi. Baddack a insisté pour que je participe, et si ça avait été un tournoi classique, je serais resté. Mais là, cette mêlée générale, c’est ridicule. C’est une insulte aux arts martiaux. » Il fit voler sa cape et s’approcha du bord. « Je te laisse la victoire.
Il s’envola, laissant Krilin perplexe.
— Mais alors… Je suis qualifié ! Hahahahaha ! Génial !
— Tu t’avances un peu trrrop, petit homme !
Le disciple de Tortue Géniale se retourna et vit un homme barbu de très grande taille, à la carrure imposante. Son corps musclé et velu était couvert de cicatrices, visibles car il ne portait qu’un slip rouge maintenu avec un ceinture dorée, ainsi que des bottes et des protège-poignets des même couleurs.
Derrière lui se trouvaient un grand nombre de concurrents, tous à terre.
Krilin secoua la tête.
— Non, je ne crois pas.
— Pourrr qui te prrrends-tu, micrrrobe ? Je suis celui qui battrrra Satan !
Il fonça vers Krilin, voulant l’attraper, mais celui-ci se saisit de l’index de son adversaire, aussi gros que son propre bras, et d’un geste nonchalant, le jeta hors des limites du ring.
— Nieeeeeeet ! hurla le géant avant de heurter l’eau.
Sur la plateforme, tous les participants avait vu ce qui s’était passé.
Les plus malins choisirent de sauter dans l’eau. Les autres attaquèrent Krilin, qui les attendait avec un grand sourire.
Sur la plateforme A, le sumo Doskoï avait éjecté tous ses adversaires et fut déclaré vainqueur de son groupe.
Sur la plateforme D, seuls trois combattants étaient encore en lice après avoir éjecté tous les autres.
Nappa s’approcha de Raditz et lui murmura à l’oreille.
— Qu’est-ce qu’on fait, on l’attaque à deux ?
— Pas vraiment fair-play.
— Shhhh ! Moins fort, il va t’entendre. Tu sais bien qu’on a aucune chance contre lui, faut le battre avant qu’il se transforme.
— Non-sens. Il suffit de lui demander. » Raditz s’avança vers son neveu. « Goku, je te propose quelque chose. On ne se transforme pas pour ce match. Qu’en dis-tu ?
Le garçon regarda ses deux compagnons. Il sourit.
— Ça me va.
Baddack et Ten Shin Han échangeaient quelques coups sur la plateforme C, ignorant les autres concurrents qui se battaient autour d’eux.
— … Franchement, je suis sûr de ne pas pouvoir te battre.
— Ne te sous-estime pas.
— Je ne me sous-estime pas. J’ai toujours été considéré comme un génie du combat. Mais je n’ai pas votre capacité d’évolution. Parfois, vous en êtes presque écœurants. Sans vos transformation, je pourrais être votre égal, et Krilin aussi.
— je vois ce que tu veux dire. Avec ton niveau actuel, tu aurais battu un des cyborg 20 et plus. Tu aurais même pausé des problèmes à C17 où C18 en un contre un.
Ten se figeât un instant.
— Tu le penses vraiment ?
— Oui.
— Mais tu me battrais sans effort en super-saiyan.
— Oui. Mais je suis pas là pour gagner. Juste pour me battre, et faire un peu d’exercice.
L’homme aux trois yeux regarda le saiyan.
— Alors battons-nous sérieusement, je voudrais voir mes limites.
Il lança un kaïoken.
Baddack développa son énergie mais ne se transforma pas.
La puissance soudaine des deux combattants éjecta les autres participants à la mer.
À suivre…>>>