par kouki le Mer Mars 26, 2014 21:25
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La planète Vegeta était une plutôt belle planète, selon les Cafards. Sur leur planète d’origine étaient le paysage pouvait être défiguré à n’importe quel instant pas des geysers de laves. L’atmosphère était difficile à supporter, avec très peu d’oxygène, et beaucoup de souffre. L’odeur de brûler était la norme et leur race était barbare; ils étaient l'unique exception. A peine avaient-ils vu le jour que leur mère avait tenté de les manger, et il n’avait survécu que de justesse. Ils avaient le profil psychologique pour devenir de futurs génocidaires, ce qu’ils furent pendant une période, avant la rencontre avec les Tsufuls, il y a tant d’années, et pourtant, ils avaient l’impression que ce n’était qu’hier.
• Prince, on a un signal de la sentinelle quarante deux.
Le petit Cafard ne daigna pas se lever de son siège, bénissant la science d’avoir inventé le siège à roulette, pagayant au moyen de ses pieds. Il prit le casque des mains de son grand frère Harry, le posant sur sa tête.
• Radio Prince, j’écoute, c’est la radio des petites gens, que vous soyez basse classe, une créature unicellulaire, ou un terrien, on vous écoute !
• A l’aide !
Les antennes du Cafards se redressèrent sur sa tête. Ce n’était pas quelque chose de nouveau, qu’ils reçoivent un appel à l’aide. En général, il faisait passer, selon le type d’appel, à divers responsable. Non, ce qui le troubla était le fait que c’était une petite fille, du moins, la voix. Une petite voix fluette, celle d’un enfant.
• Bon, identifiez vous, et pourquoi avez-vous besoin d’aide ?
• Je m’appelle Neila, et j’ai cinq ans.
Bingo. Harry remarqua l’air un peu plus sérieux sur le visage de son frère. Il n’était qu’en de très rares occasions sérieux, et s’il l’était, c’était en général un sujet à prendre au sérieux.
• Bien, Neila. Écoute petite, on va faire en sorte d'intervenir rapidement.
• Oui, monsieur. Des messieurs, ils m’ont pris à mon papa, et ils m’ont envoyée sur une gigantesque tour spatiale. Selon eux, j’avais des pouvoirs que les autres n’avaient pas.
• C’est normal petite. C’est le cas pour la grande partie des mutants qui naissent dans l’alliance intergalactique.
Les sentinelles étaient de gigantesques tours qui se situait a chaque point stratégique de l’alliance intergalactique. Lors qu’un mutant est signalé, que ce soit par le centre d’information des planètes ou un autre moyen, il était déplacé dans l’une des sentinelles, pour être étudié, l'aide à contrôler ses pouvoirs et à les développer.
• Je sais, monsieur, mais quelque chose nous a attaqués. C’était horrible, et elle a fait du mal aux scientifiques. Il ne reste que moi.
• D’accord petite, on va faire vite et t'envoyer des secours. Cache-toi, et ne bouge pas. Tu as des réserves de nourriture ? De quoi tenir un jour ou deux ?
• Oui, le vaisseau contient une réserve de nourriture.
• Alors, reste là, petite.
• Merci, faites vite, j’ai peur, et c’est qu’une question de jours pour qu’elle trouve ma trace.
Prince se leva de son siège, se dirigeant vers le palais du roi. Si cette créature était dangereuse, peut être un mutant psychopathe, il devait prévenir le roi de vive voix. Si Rafikotto avait été là, il l’aurait envoyé directe, vu qu’ils étaient en quelque sorte responsables de lui, et qu’il était leur agent spécial, au vu de sa nature particulière. Le Cafard avait cependant d’autres agents à sa disposition. En générale, les basses classes étaient des chairs à canon, mais avec une bonne excuse, ils pouvaient avoir de la part du roi la permission d’en faire ses agents personnels lors des missions sans bagarres. Par chance, il avait une idée de qui appeler.
• Ça doit être une bonne cachette, histoire de se cacher d’une bande de harpies en chaleur, nan ?
• Non.
Rafikotto et Velecro avaient retrouvaient une grotte, où ils s'étaient cachés; une grotte reliée à une galerie souterraine. Selon lui, la profondeur de la cavité et l’humidité cacheraient leurs odeurs, mais le Zamaronien ne partageait pas sa joie d’avoir trouvé la cachette. Ils n’étaient pas les seule à avoir eu cette idée, et lorsque l’odeur d’un mâle, un guerrier d’une race d’élite de surcroît, était hors de leurs champs de détection, elles comprenaient avec rapidité la raison. Le guerrier arqua un sourcil, remarquant la présence de griffures sur les murs de la grotte.
• Quand vont-elles venir à ton avis ?
• Un jour, ou deux. Ce n’est pas la seule grotte de la planète.
• T’as l’air de t’y connaitre.
• Parce que le précédent qui a essayé de se cacher ici, c’était moi.
• Je croyais que vous ne voyiez le jour que lors de cette période.
• Oui, mais il arrive que certaines gardes ne fassent pas attention, et que j’arrive à retrouver ma liberté.
• Garde ? Tu peux expliquer, je ne suis pas d’ici, et je voudrais bien avoir un aperçu des lieux.
• En dehors de la saison des amours, on est confinés dans des lieux exigus, avec le strict minimum pour survivre. Nourriture dégueulasse, de l’eau croupie et le pire, ce n’était pas ça.
• C’est quoi ?
• Les bains.
Le guerrier le regarda, étonné. Il avait l’impression de parler avec les Cafards, et leurs tendances à exagérer des situations anodines, se souvenant de la fois ou ils avaient étés plongés dans un état catatonique parce qu’il n’y avait plus de flan à la cantine.
• C’est ça le pire ?
• Ça a l’air ridicule vu de cette façon, mais il faut voir ce qu’on subit.
• C'est-à-dire ?
• Elles nous soulèvent, s’envolent, et à peine on est plongés, qu’elles nous ressortent pour nous replonger à nouveau. Il faut avoir un cœur solide.
• Du coup, ça dure depuis l’apparition de votre race, la domination des Zamaroniennes ?
• Non, avant, nous étions une race vivant en paix. Les mâles étaient les chefs, les patriarches, dirigeant la planète. Le conseil des quatre, et au dessus, il y avait le grand patriarche. Les Zamaroniennes, elles, étaient les guerrières du peuples. Du moins, jusqu’à ce que Zama se soulève.
• Zama ?
• La reine de la planète. Sans raison, elle s’est soulevée, et a réussi à soulever le peuple contre nous.
• Du coup, vous êtes dans le caca intégral.
• C’est un point de vu qui se tient.
• Du coup, si on bat la reine, on peut pourrai peut être retourner la situation.
Le Zamaronien eu un maigre sourire. Il n’était pas le seul a s’être écrasé ici, et il y’en a eu des plus fort, des braves qui étaient venu dans le noble but de rétablir la situation, et qui étaient devenus leurs esclaves.
• Pourquoi pas, mais tu ne risques pas d’en venir a bout. Quel est ta puissance ?
• Quatre mille.
• Elle est a vingt milles. Cinq fois plus forte que toi.
• J’ai peut être une idée.
• Laquelle ?
Rafikotto se tourna vers lui, arborant un sourire effrayant, sa main frôlant les murs de la caverne. Il avait une idée assez dangereuse, mais qui, si elle marchait, pouvait vaincre, ou au pire, notablement affaiblir la reine.
Niveau de force :
La reine de Zamarone : 20.000 Unités.
Les chefs de clans : de 10.000 a 15.000 Unités.
Zamaronienne soldats de base : 1000-2000 Unités.
Ikary : 16.000 Unités.
Rafikotto : 4000 Unités.
Velecro : 50 Unités.
Dernière édition par
kouki le Mer Juin 25, 2014 18:03, édité 1 fois.