Paulemile a écrit:Ah ce sera une fic très courte ? Dommage, j'aimais bien le point de divergence avec le manga et j'imaginais déjà un scénario qui pouvait aller très loin
C'est bien écrit malgré quelques fautes, les émotions et descriptions sont très bien rendues. Dommage que ce soit court, donc
Hélas oui, pour plusieurs raisons. La principale étant que cette fic est comme un "test" donc que je n'ai pas prolongé. Le scénario, j'ai tenté de le faire court mais intense, et j'ai peur de perdre justement cette intensité sur la longueur, ou justement de perdre le plaisir que j'ai eu à écrire cette fiction.
Bon voilà le chapitre 2. ça passe, ou ça casse ce coup ci.

Malédiction - Arc 2
-Malédiction-
L’ancien se réveilla en sueur dans son lit en baldaquin. Il venait de faire un affreux rêve... ou plutôt un horrible cauchemar. Son peuple allait encore souffrir, à cause de ça. Cette chose, qui remontais à l’origine de leur histoire.
En tant que sorcier et chef du peuple Malta, il avait obtenu certains pouvoirs de son prédécesseur. Il ne pouvait pas laisser son village, le plus grand de la planète, celui qui fédérait les autres et connaissais les secrets essentiels à leur survie se faire exterminer, même si il devait y laisser sa vie et emporter une partie de ces connaissances dans sa tombe. Il devait essayer de faire quelque chose.
Le décollage se fit en douceur, de même que la sortie de l’atmosphère de Freezer 79.
Avant de passer en stase, une communication du capitaine Ginyu s’afficha.
-Excusez moi de vous déranger, Monsieur Freezer, mais comptez vous détruire la planète ? Je suis certain que mes hommes sont encore en vie, et...
Freezer, dont la patience qui avait été assez grande pour retarder sa quête d’immortalité, ne put s’empêcher de répondre sèchement, exaspéré.
-Si je vous emmène avec moi, c’est évident que nous allons en premier lieu effectuer des recherches ! Utilisez un peu votre tête, Capitaine !
La communication se coupa.
Pourtant Freezer, quelque seconde plus tard, entendit à nouveau la voix du capitaine Ginyu. Elle semblait plus rauque, plus fatiguée, et il y transperçait de légères points d’inquiétudes.
-Seigneur... Je suis vraiment heureux que vous ayez sacrifié de votre temps pour nous aider, moi et mon commando... Je vous en suis extrêmement reconnaissant ! Je n’oublierai jamais ce que vous faîte et vous jure allégeance pour l’éternité !
Freezer trouva bizarre ce dernier élan du capitaine de son commando. Pourquoi tant de sentimentalisme ? Etait-il si affecté de la perte de ses hommes ? Ginyu restait un homme de confiance et son meilleur soldat, de loin. Son commando avait toujours produit de grands résultats.
La stase commença enfin, et après trois jours la navette se crasha sur le sol meuble de la planète inconnue.
La commande d’ouverture se déclencha à la perfection, et la capsule révéla son occupant. Mais avant même d’avoir pu voir quoi que ce soit, Freezer comprit.
Des hurlements stridents lui vrillaient les oreilles et l’agaçait encore plus. Ce qui l’interpellait le plus, c’était les rugissements caractéristiques de kikohas qui touchaient le sol et explosaient.
Freezer réfléchit en un éclair et élabora l’hypothèse la plus probable. Comme le voulait la procédure, ses hommes étaient sortis pour se présenter en rang devant lui. Seulement, à ce moment là, quelqu’un, ou quelque chose les avait attaqués.
Mais comment une puissance d’environ 500 pouvait-elle mettre à mal ses hommes à ce point ? Impossible !
Deux explications s’offraient à lui : soit la créature était capable de cacher sa puissance, soit elle possédait des pouvoirs spéciaux qui lui permettait de maitriser des forces bien plus grandes que la sienne.
Tout cela commençait à lui donner mal au crâne.
Maintenant, peu importe la situation ou les circonstances qui les avaient conduits dans cette situation, il fallait agir !
Le démon du froid s’extirpa de sa capsule avec une vélocité inégalée dans l’univers, et analysa la situation.
Ils avaient atterris dans une petite clairière naturelle couverte d’herbe sauvage, et entourée d’une large forêt. La faune semblait très présente, les hurlements ayant fait fuir des petits animaux qui fuyaient dans la lisière des arbres. Des oiseaux volaient également dans la direction opposée à la sienne.
Mais à peine Freezer posa-il un pied sur le sol que sa petite migraine évolua en terrible douleur qui le terrassa. Sa vision se troubla, il tomba à genoux, un gout de fer dans la bouche.
Un sifflement aigu lui vrillait les oreilles et le déconcentrait, il était incapable de concentrer le moindre rayon mortel. Bien entendu, il aurai pu se déchainer et envoyer des boules d’énergie sans logique ou directions fixes, mais il ne voyait même pas l’ennemi et ses subordonnés risquaient de mourir dans l’opération.
Se faisant violence pour ignorer son corps et la terrible douleur qui menaçait de le mettre à terre, le génocidaire appuya frénétiquement sur son détecteur. Il devait connaitre la force de ses opposants, et leur nombre, au plus vite. Il ne savait pas quelle force diabolique était à l’oeuvre, mais l’être qui en était l’origine allait regretter et souffrir mille morts. Il le découperai en morceau, il ferait couler son sang ! Cette douleur était insupportable ! Il existait donc un être capable de le faire souffrir lui, le grand Freezer !
Mais la machine ne détecta rien, mis à part les forces de combat très fluctuantes de ses alliés, qui sombraient dans l’inconscience.
-Maudits soyez vous ! Lâches ! Osez donc m’attaquer de face ! Eructa le tyran, en proie à de violents spasmes. Quand je vous retrouverai, vous allez tellement souffrir que l’enfer vous paraîtra doux en comparaison ! Je...
Le Nihilien d’effondra sur le sol, mais tenta de résister à la pression de l’attaque qui lui infligeait ce supplice. Il ne pouvait pas tomber inconscient et abandonner autant ses soldats que lui même à la merci de n’importe qui, en particulier de la chose qui les attaquait.
Il tenta de se concentrer pour passer en seconde forme. Il fit exploser sa tenue de combat. Mais il fut incapable de mobiliser les ressources de son corps et donc de se transformer.
Il parvint toutefois à surpasser la douleur et à rester conscient. Mais cela ne dura pas, et il s'évanouit également, non sans laisser sa marque sur cette terre d’un coup de poing d’une puissance incroyable.
Peu après sa perte de conscience, son détecteur émis un son caractéristique, signe que des gens s’approchaient.
Des indigènes de la planète. D’une puissance d’environ 150, ils étaient armés de lances primitives. Ils avisèrent les corps inconscients, abandonnèrent leurs armes rapidement, et portèrent secours aux représentants de l’Empire.
Quand il ouvrit les yeux, le seigneur de l’univers se trouvait dans une tente.Le lieu était plutôt sobre et avec une faible luminosité, il ne remarqua pas au premier abord l’espèce inconnue le regardait et tenait une compresse dans la main.
De forme humanoïde, elle avait la peau bien plus sombre qu’un humain ou qu’un Sayan.
Elle était vêtu de cuir peu travaillé et les morceaux de sa tenue semblaient n’être liés entre eux que par des sortes de plantes tressées. Ses cheveux était noirs et ses yeux aussi sombres que sa peau.
Probablement une femelle, elle semblait ridée et fripée, même si elle ne paraissait pourtant pas vieille. Elle souriait et murmurait des paroles dans une langue inconnue.
Elle posa finalement sa compresse froide sur le front du tyran, qui sembla sortir de sa torpeur avec cette action.
Il s’abstint de faire tout geste violent. Ses compagnons étaient peut-être fait prisonniers et il ignorait de quelle manière ils avaient été vaincus. L’humiliation de cette défaite face à un ennemi invisible resterai gravé en lui à jamais, mais le plus important était de trouver ses soldats, le commando Ginyu et de partir de cette planète. Une fois dans l’espace, il la ferai exploser sans prendre de risque, éliminant toute possibilité de danger pour lui.
Ignorant l’indigène, il sortit de la tente en peau, découvrant un petit village plein d’indigènes comme celui qui se trouvait dans la pièce qu’il venait de quitter.
Il constata avec soulagement que ses subordonnés étaient non loin, et s’approchaient même rapidement.
Ils mirent un genoux à terre et le capitaine Ginyu prit la parole.
-Maître Freezer, nous sommes prêts à annihiler ce village. Il est plus que probable que le combattant qui nous a pris par surprise se trouve ici.
Rasséréné d’avoir pu récupérer ses sous fifres sans avoir eu à se battre, Freezer prit la parole à son tour.
-Nous allons d’abord leur poser quelques questions. Nous devons savoir ce qui est arrivé à votre commando, et qui est ce mystérieux combattant.
Il devait le tuer de ses propres mains, après réflexion. Il ne connaissait pas ces pouvoirs ni ce a quoi il pouvait survivre. Certaines races pouvaient se téléreporter, alors pourquoi pas ce guerrier spécial ?
-Je veux parler à votre chef ! S’exclama le Démon du froid. Et Immédiatement !
A ces mots, une étrange rumeur monta de la foule qui les regardait. Ils se regroupèrent autours de la hutte centrale, comme pour y former un rempart.
Freezer eu un sourire mauvais.
-Je suis là, Nihilien.
Un vieil humanoïde était apparu au devant des autres. La peau encore plus fripé et ridée, il semblait avoir du mal à tenir debout, même avec sa canne. Il transpirait abondemment.
-Nous n’avons personne de spécial ici. Partez je vous prie. Nous allons vous reconduire à vos vaisseaux.
-Ne me fais pas rire. Tu sais que je pourrai détruire cette planète d’un seul coup ? Rétorqua le tyran. Quelqu’un ici possède des pouvoirs spéciaux ! Je ne partirai pas sans l’avoir vu !
L’ancien frissonna. Comment un Etranger tel que lui pouvait savoir ? A moins qu’il ne parle de cette chose ?
-Vous avez seulement été victime du mal du Dieu de notre planète. Cela disparaitra lorsque vous rentrerez chez vous.
-Oh oh oh un Dieu voyez-vous ça. J’imagine que les membres de mon armée qui se sont posés ici on été victimes du même mal. Ironisa Freezer.
-Je ne sais pas. Répondit l’ancien, plein de tension.
Alors que le fils de Cold s’apprêtait à prendre la vie du vieil indigène, un hurlement retentit.
-Mensonges !
Le capitaine Ginyu venait d’interrompre la conversation, n’en tenant plus. Ses yeux réduits à deux fentes noires, un peu comme celle des chats. Il émanait de lui une aura meurtrière, telle que même Freezer eu un léger mouvement de recul.
-Mensonges ! Répéta-il. Mes hommes ne sont pas du genre à périr sans même combattre ! Un Dieu ? Je sais bien que vous mentez ! Vous voulez à ce point mourir ?
-Ginyu ! Calme toi. Intervint sèchement l’Empereur. Nous avons encore besoin de leurs informations. Nous aviseront de leur sort après.
-Jamais ! Je vais les exterminer sur le champ !
Se rebellant contre son Seigneur et Maître, Ginyu forma une boule d’énergie dévastatrice. Mais à sa grande surprise, il fut victime de terribles maux de tête. Incapable de charger son énergie, il posa un genoux à terre.
C’était le signe de faiblesse qu’attendait Quarad, un guerrier Malta. Cet étranger avait voulu tous les tuer. Il devait absolument s’en débarrasser.
Il saisit sa lance, et d’un coup sec, la projeta en direction du coeur de l’alien.
Le capitaine et ses compagnons, sous-estimant clairement l’assaut de la lance, ne réagirent pas. C’est avec surprise que Ginyu s’écroula, pratiquement tué sur le coup.
Zabon, en réponse à cet attaque, réagit au quart de tour. Il forma la lumière destructrice dans ces mains, et, la rage l’emportant sur la souffrance, pulvérisa le groupe d’indigènes.
Freezer, lui était choqué. D'une part de la désobéissance de son soldat préféré, ainsi que l’impossibilité physique de ce qui venait de se passer. Ginyu, ses 120 000 unité, transpercé par une arme primitive ? Si c’était une blague, elle était de mauvais gout.
Doria, lui, s’était précipité vers le capitaine. Il décelait encore la vie, et son détecteur repérait une puissance émaner du corps du blessé, bien que très faible.
-Il... il est encore vivant. Lâcha -il finalement. Mais il lui faut les premiers soins d’urgence. La constitution du capitaine lui a permit de survivre à ce coup mais il ne tiendra pas éternellement.
Freezer, de son coté, ne parvenait pas à contacter la base. Et ce mal de tête qui empirait ! Pour le moment, ça restait supportable mais ça l’empêchait de réfléchir correctement. Pourquoi c’était toujours dans ces moment là que le matériel ne fonctionnait pas ?
Le commando restait introuvable, malgré le bruit provoqué par l’explosion qui avait vaporisé les étranges natifs.
-Commençons d’abord par chercher les capsules. Doria ! Tu vas vers le sud. Ordonna Freezer. J’irai vers le nord, et Zabon reste auprès de Ginyu pour s’assurer de son état.
Voler ne causait qu’un léger désagrément, rien à voir avec une vague déferlante. Mais ce mal de tête était étrange. Tout comme les autres Nihiliens, il était insensible à tout poison et autres maladie. Pourquoi une telle douleur permanente ? Il commença ses recherches.
Durant la journée, il trouva plusieurs clairières identiques à celle où ils étaient arrivés. Mais aucune trace des pods.
Il tenta de contacter Doria, mais sans succès. Il avait un très mauvais pressentiment.
La forêt semblait recouvrir toute la planète. Toutefois, le village des indigènes était un peu à part, les bois étaient dégagés et le lieu facile à retrouver. Le soleil commençait à décliner , il ne verra bientôt plus rien.
L’état du capitaine avait empiré. A présent, ses yeux étaient révulsés et sa blessure devenait purulente.
-Seigneur. Intervint Doria. Il lui faut des soins imminents. Je crains qu’il ne passe pas une nuit de plus.
-Tiendra-il celle ci ?
-Oui maître. Et il survivra probablement si nous trouvons les pods avant demain midi. Les machines de soi intégrés pourront le garder en vie jusqu’a l’arrivée à Freezer 79.
-Nous reprendrons les recherches demain matin. Il fait trop noir à présent. Décida le Démon du Froid.
Ginyu était vraiment en piteux état. Dire que c’était une simple lance qui l’avais réduit à ça !
Le potentiel ennemi avait probablement été neutralisés en même temps que ces semblables. Une bonne chose de faîte. Ce vieillard lui avait inspiré un curieux sentiment. Il n’était pas normal.
Freezer s’assit en tailleur et perdit conscience rapidement, tombant dans un sommeil régénérateur.
Il fut réveillé par Zabon qui s’approchait de lui.
-Maître ! Mettons nous à la recherche des pods, je pense qu’il ne reste plus beaucoup de temps au capitaine Ginyu. Doria est déjà partit.
Freezer fut surpris d’avoir trop dormi. Il ne releva pas qu’un soldat avait osé le réveiller. Plus vite il quitterai cette planète et mieux ce serait.
Au bout de quelques heures de recherche, un faisceau lumineux s'éleva dans le ciel, le signal pour avertir les autres.
Freezer vola vers l’origine de la lumière et découvrit Zabon, planté devant l’entrée d’une grotte naturelle.
-Maître Freezer ! Les capsules sont à l’intérieur de cette grotte. Je pense que les indigènes les avaient cachées. Il...
Sa voix sembla faiblir.
-Il y a aussi celles du commando Ginyu.
-Parfait. S’avança le frère de Cooler.
Avec l’idée de faire léviter les pods, le Démon s’avança dans la cavité. Mais cette dernière était vide. Ou plutôt, une masse sombre et puante reposait au fond, mais il ne parvenait pas à déterminer ce que c’était.
-Zabon ! Que signifie ce... Commença le génocidaire, en se retournant.
Mais il ne put continuer sa phrase.
Zabon avait un morceau brisé d’une lance dans les mains et lui enfonçait dans le corps, touchant par la même occasion ses points vitaux. Il réitéra le processus plusieurs fois, et le Démon s’effondra, crachant du sang.
Les yeux vitreux, il regarda son assassin.
-Imbéciles ! Ahahaha ! Regarde toi maintenant, «Monsieur» Freezer ! Riait au éclat le traître avec une lueur folle dans les yeux, le visage éclaboussé du sang de son maître, ses pupilles jaunes réduites à des fentes.
-Tu... tu n’es pas... Articula le tueur des sayans.
-Exact, espèce d’abruti ! Evidemment que je ne suis pas Zabon !
Le monstre continuait sa flopée d’insultes et de moqueries.
Freezer comprit ce qui c’était passé. Quand Doria et lui était partis chercher les pods, Ginyu avait rassemblé ses dernières forces pour changer de corps. Avec Zabon. La masse au fond de la grotte était sans aucun doute son autre sous-fifre.
Tous ces signes ! Et lui qui n’avait rien vu. Il avait été trop gentil. Etais-ce l’atmosphère de cette planète qui l’avait influencé ? De toute façon, c’était trop tard maintenant. Il allait mourir. Mais il ne partirait pas seul.
Il concentra son énergie dans un dernier rayon oculaire qui perça de part en part la gorge de son meurtrier. Enfin, le génocidaire s’autorisa un dernier sourire et mourut.
Ginyu, dans le corps de Zabon, était fou de rage. Il avait osé ! Juste avant de mourir, il avait osé le blesser !
Eructant sa rage, il s’éloigna en rampant. La perte de sang allait avoir raison de lui. La blessure de son ancien corps s’était infectée rapidement. Il devait trouver les capsules.
Il vit tout à coup un soldat devant lui. Jeece ! Alors qu’il allait se saisir de lui et lui demander de l’aider, son compagnon se volatilisa.
Que ce passait-il ?
Il voyait ses quatre compagnons se dresser devant lui, comme pour lui indiquer un chemin.
Ses oreilles vibraient et ne répondait plus, mais il lisait sur leur lèvres.
«Par ici».
En confiance, le Capitaine continua de ramper. Quand il le ressentit. Un pas. Il n’entendait rien, mais il avait distinctement entendu ce pas.
Il se retourna, mais ne vit rien. Pourtant, son instinct lui hurlait de fuir, de chercher un refuge.
Ses compagnons étaient avec lui. Ensemble, ils s’échapperaient de cet enfer.Ils le guidaient.
Il continua à ramper, ramper et encore ramper, perdant de plus en plus de sang. Il entendait ce fameux pas, derrière lui, toujours plus proche.
Ginyu avait peur de cet être qui le chassait. Infiniment plus peur que de la famille Cold ou de n’importe quel combattant.
Le bruissement des feuilles mortes, le craquement des pas. Il le sentait. Si il ne retournait pas dans la capsule immédiatement...
Il déboucha péniblement sur une clairière et ses compagnons semblèrent se volatiliser encore une fois, lui indiquant une direction. Il la suivit, la peur le faisant avancer malgré la douleur et la perte de sang.
Ses quatre compagnons étaient allongés sur le sol, face à lui. Ils lui souriaient, lui disait que tout allait bien.
Sa vision se troubla.
Guldo. Recoom. Barta. Jeece.
Les quatre le fixait de leur yeux morts, et une forte odeur s'élevait de l’endroit. Les quatre combattants, rongés par la pourriture et les vers, semblaient s’être tous égorgés eux-même avec leurs ongles. Leur sang avait formé une boue nauséabonde.
Ginyu sentit le désespoir l’envahir. Ses yeux se rétrécirent encore une fois.
-Non... non Gémit-il, souriant avec le visage d’un dément.
Il remarqua quelque chose. Les pas s’étaient arrêtés.
Le capitaine de l’escouade trembla violemment. la chose qu’il ressentait derrière lui le prenait bien plus aux tripes que le choc de la mort de ses compagnons et leur cadavre putréfiés.
Le visage pâle, il se retourna.
Encore aujourd'hui, nul dans l'Empire ne connu la vérité sur les évènements derrière la disparition du Seigneur Freezer.
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Chapitre le plus mauvais à mon goût, enfin je pense que vous trouverez pourquoi.
De nombreuses questions restent encore sans réponse, les explications seront données dans le chapitre final

Je suis mauvais pour me relire, n'hésitez pas à me signaler de possibles fautes, dont je m'excuse par avance >.>