Mystic_Gohan a écrit:Vraiment une des meilleurs fanfictions , elle aurait pu être imaginé pour un univers dans DBM

C'est un peu pour ça que j'ai fait DBM vs Fanfics
Slyver-Bejita a écrit:Je suis nouveau je lu ta fic et franchement j'ai surkiffé!!!
Par contre je comprend pas si personne n'est mort pendant le combat contre Cell ça veut dire que on aura pas pas de Kakarotto ou Baddack en SSJ3 pour affronter Buu!! :O
ah, ça, j'ai prévu quelque chose de très différent
Bien, voici la fin de l'arc Bojack. J'ai vraiment eu du mal pour celui là, mais je pense que pour Buu, j'aurais plus d'inspiration( j'au déjà les grandes lignes)
Chapitre 91: Les mercenaires de l'espace, dernière partie. Raditz regardait Gokua et Bidoh s'approcher de lui. Il avait vu l'état de ses amis, et doutait de pouvoir vraiment faire quelque chose seul.
— Raditz ! » Cria Kakarotto. Mais ce n'était pas une mise en garde, ni un avertissement. Il regardait quelque chose de précis, que l'interpellé regarda aussi, avant que son frère ne rajoute. « La fille a une capsule, détruis-là !
— Compris !
Il fonça sur Zangya, qui se mis en garde, mais fut intercepté pas Bidoh qui le dévia d'un coup de pied.
— N'y pense même pas.
Raditz toucha le sol de ses mains pour se donner une poussée qui l'envoya à une dizaine de mètres au dessus du sol. De là il envoya un kikoha vers la femme du groupe. Mais Bojack s'interposa et dévia l'attaque d'un simple revers.
— Donne-moi ça. Dit-il en prenant l'objet dans la main de sa complice, avant de la mettre dans sa poche.
Raditz esquivait désormais avec peine les attaque des deux autres. Il envoya deux sphères d'énergie sur eux, et profitant du fait qu'ils paraient, s'écarta et fonça sur Bojack en concentrant l'énergie dans ses deux mains.
Ce dernier eu un sourire narquois et se prépara à la riposte, mais juste avant d'arriver au contact, Raditz tira sur le côté, se propulsant droit sur Bujin, toujours assis en tailleur, et le percuta violemment. Le magicien perdit par là même sa concentration et les fils qui emprisonnaient les autres se dissipèrent.
Tous tombèrent au sol, et Kakarotto se releva en marmonnant, puis dit :
— Bien joué, grand frère.
Alors que Bujin et zangya achevaient Raditz au sol, son jeune frère se transforma et fonça sur Bojack.
— Tu perds ton temps, minable. Dit celui-ci en l'accueillant d'un coup de poing au visage. Bidoh et Gokua attrapèrent chacun un de ses bras et leur chef commença à le frapper au ventre.
Piccolo regardait la scène sans bouger, Kakarotto lui avait dit de faire quelque chose en toute discrétion. Il plaça sa paume sur le dos de Goku, toujours inconscient. Il ne pouvait pas le soigner comme Dendé pouvait le faire, mais en lui transmettant toute l'énergie qui lui restait, il lui assènerait un choc suffisant pour le réveiller.
Goku pris une grosse inspiration. Encore à moitié groggy, il se leva, la main sur le visage.
— Nappa, espèce d'idiot.
Puis il vit ce qui se passait. Son père immobilisé et en train d'être frappé, son oncle massacré au sol, Végéta la figure en sang, Piccolo inconscient à ses côtés, et ses amis tout autour, eux aussi sans connaissance.
Sans prendre le temps d'essayer de comprendre, il se transforma au maximum et fonça sur Bojack, lui assénant un uppercut qui l'envoya à travers l'immeuble proche. Puis il écarta les bras et, profitant de la stupéfaction des deux qui maintenant son père, les éjecta violemment grâce à son ki.
L'immeuble d'en face s'effondra que Bojack en sorti, hors de lui.
— Capturez ce morveux, je vais l'étriper avant de tuer les autres et de pulvériser cette putain de planète!
Quatre faisceaux de fils partirent simultanément pour enserrer le métis.
Le garçon regarda les fils de lumière dorée qui sortaient des doigts des quatre sbires puis écarta les bras, les brisant sans effort. Il attrapa ceux de Bidoh et Gokua et tira avec force, les attirant vers lui, mais avant le choc, il attrapa les fils de Bujin et recula rapidement.
Les deux guerriers percutèrent le magicien dont le corps se disloqua dans un craquement ignoble.
— C’était censé faire quoi ?
Bujin tomba au sol et, étrangement, se vaporisa en une brume colorée.
Les deux autres, pris dan le nuage, l’inhalèrent. Ils devinrent fous furieux quand leurs muscles augmentèrent et la couleur de leur peau changea.
Puis ils attaquèrent.
Mais Goku para sans difficulté leurs assauts mais s'éloigna quand même de ses compagnons, pour ne pas mettre leurs vies plus en danger qu’elles ne l’étaient déjà.
Bojack et Zangya partirent eux aussi à sa poursuite.
Le métis estima quand même plus prudent d'en finir vite avec ses deux premiers adversaires. Il enfonça son poing dans le ventre de Gokua et cueillit Bidoh d'un coup de pied au menton. Il évita le poing de Bojack qui creusa un cratère et fonça sur la femme et la frappa du plat de la main au visage, avec assez de violence pour la sonner.
Mais il reçut un coup de Bidoh, et para de justesse un coup en traître de Gokua. La brume que leur complice était devenu en mourant semblait les avoir mis dans un état de folie qui les rendait insensible à la douleur.
— Dans ce cas...
Le garçon n'aimait pas ça, mais vu la menace qui pesait sur le monde, il préféra mettre ses scrupules de côté.
Il sauta au-dessus de Gokua et attrapa son cou en descendant et tira vers le bas, lui brisant la colonne.
Puis il se tourna vers Bidoh.
— Burning phalanx !
L'attaque perfora le buste de l'extra-terrestre.
Goku recula alors que les corps se dissolvaient, préférant ne pas se retrouver dans cette brume étrange.
Mais Zangya était, elle aux premières loges, et absorba l'essence des deux autres.
Elle hurla puis se mis à rire.
— Ha ha ha ha ! C'est génial, chef, j'ai l'impression que ma force a décuplé ! Je vais le pulvériser, tu vas voir !
Goku se mis en garde. La situation commençait à sentir mauvais.
— Attends ! Dit Bojack en se plaçant à ses côtés.
— Quoi ?
— Une seconde.
Il posa une main sur son épaule passa l'autre dans ses cheveux.
— Mais ! Qu’est-ce qu…
Et avant qu'elle ait pu finir sa phrase, il lui arracha la tête sous le regard horrifié du jeune garçon.
Les muscles du dernier membre du gang gonflèrent, déchirant sa chemise, alors que sa peau virait au vert.
Bojack regarda Goku qui tremblait.
— T'as raison d'avoir peur.
— Tu... tu es un monstre !
La rage du métis monta à son paroxysme devant la barbarie et l’absence de tout sentiment de son adversaire.
Il attaqua, visant le visage, mais Bojack bloqua et riposta d'un coup de genou aux côtes. Puis il attaqua, enchaînant les coups de poing que Goku paraît, les bras en croix. Bojack cassa la garde du garçon d'un coup de genou, et l'envoya au sol.
Puis le bandit frappa vers le garçon de toutes ses forces et creusa un cratère à l'impact. Mais il ne frappa personne et reçu à la place un coup de genou au menton. Goku enchaîna par un coup des deux poings sur le crane suivit d'un coup de pied qui envoya Bojack au sol, plus loin.
Ce dernier hurla de rage et envoya une bordée de kikoha vers son jeune adversaire.
Mais le garçon les intercepta tous par ses propres décharges d'énergie.
Bojack commença une nouvelle attaque, mais il n’eut pas le temps de la finir, car Goku fonça sur lui à pleine vitesse, les pieds en avant, qu'il enfonça dans le ventre de son adversaire qui se plia en deux. Il tenta un revers, mais le métis l'évita sans problème.
— Tu n'es pas devenu plus fort, juste plus violent.
Bojack écumait.
— Tais-toi ! Je suis le plus fort, il me l'a promis !
— Qui ça, il ?
Mais pour toute réponse, l'irulien s'envola et concentra de l'énergie verte dans ses mains, les bras écartés.
— Je vais pulvériser cette planète !
Sentant la puissance de la future attaque, Goku mit l'index et le majeur sur son front et se concentra.
Satan tremblait de tout son corps, caché dans un cagibi des vestiaires. Il hurla de terreur quand un rayon d'énergie traversa le sol et le plafond.
La sphère d'énergie fonça sur Goku, malgré le makankôsappô. Le garçon concentra toute son énergie dans ses mains et attrapa l'attaque. Sa puissance était monstrueuse. Si elle explosait, s'en serait fini de la Terre.
Il augmenta son énergie à son paroxysme, emprisonnant le kikoha vert dans sa propre aura.
La chaleur était intense, la peau de ses paumes le brûlait. Serrant les dent et fermant les yeux, Il mit toute son énergie pour contenir l'explosion imminente, qui se produisit dans une lumière aveuglante.
Goku tomba au sol, perdant sa transformation, épuisé, mais en ayant évité la destruction de la planète.
Il se releva, difficilement, prêt à continuer le combat, coûte que coûte, Bojack étant encore une menace.
Mais il se trompait. Le criminel était au sol à dix mètres de lui, percé de part en part. Le rayon l'avait atteint au flan gauche, sous les côtes, et était ressorti par l'épaule droite.
Il se leva, crachant du sang, et avança vers le garçon.
— J'aurais du... Pas normal… Je…
Puis son corps se désagrégea., sans aucune trace, cette fois, mais en laissant un objet au sol.
Machinalement, Goku le ramassa et parti s'occuper des autres.
Satan osa finalement risquer un œil. Tout était calme, les chocs avaient cessé. C'était le moment pour lui de filer à l'anglaise.
Il se faufila dans le couloir du vestiaire et gagna la porte de derrière.
— Mister Satan ?
— Hiiiiiiiii !
Le champion se retourna, et vit qu'heureusement, ce n'était qu'un des membres du staff.
— Nous vous cherchions partout, où étiez-vous ?
— Où j’étais ? Hé bien, Heu, en fait...
— Ah, j'ai compris, vous vous occupiez des problèmes avec les criminels. C'est pour ça que tout semble rentré dans l'ordre, maintenant.
— Les crim... Oui, oui, c'est ça, bien entendu.
— Venez, monsieur Money voudrait vous parler.
— Ah ? je... oui, je vous suis.
— Tiens, vous avez changé de pantalon ?
— Oui, j'ai, heu, renversé mon café. Voilà, c’est ça.
Satan suivit, à contrecœur, l'employé du milliardaire jusqu'à un attroupement sur l'esplanade principale de l’île où Giosan Money parlait à quelques journalistes.
— … et croyez-moi, toute la lumière sera faite sur ces lâches assassinats.
— Monsieur le directeur, excusez-moi, j'ai retrouvé mister Satan, et il a réglé le problème.
— Vraiment ? C’est parfait, je me doutais bien que l'on pouvait compter sur le grand champion, le vainqueur de Cell.
Il alla à la rencontre du lutteur et lui serra la main, fixant les journalistes dont les flashs fusèrent.
— Ha ! Ha ha ha ! C'est tout naturel, voyons.
— Et comme les autres participants ont disparus, le prix vous revient de droit. Les cent milles zénis sont à vous.
— Ah, Merci, heu... Oui, merci, vraiment.
— En fait, monsieur, ça ne sera sans doute pas aussi simple.
Money se retourna vers son secrétaire qui venait de parler.
— Qu’insinuez-vous ?
— Simple. Pendant que vous vous occupiez du tournoi, Bulma Brief a effectué une OPA hostile sur vos sociétés. Je crains que vous n'ayez perdu 90% de votre empire financier.
— Quoi ! Mais, ce n'est pas possible.
— Hélas, ça l'est. Vous conservez vos usines de meubles de bureau, ainsi que votre fabrique de sabots de décoration.
— Ça ne se passera pas comme ça ! Appelez mes avocats !
— Votre cabinet d'avocat a été acheté aussi.
— Je... Mais j'ai encore ma fortune personnelle, n'est-ce pas ? Engagez d'autres avocats. Les meilleurs !
— Le problème, c'est que cette île est toujours à vous, et que vous n'avez pas encore finit de payer les travaux d'aménagement. Un demi-milliard reste en suspend, ce qui correspond à ce qui vous reste, en fait.
— Ça ne fait rien, trouvez le meilleur avocat du monde, cette …» Money regarda les journalistes qui buvaient chacune de ses paroles.« ...Bulma paiera, alors cherchez...»
— En fait, monsieur, Mademoiselle Brief m'a approché pour m'engager et me charger de reconvertir vos usines d'armement en fabriques de biens de consommation, et au triple de mon salaire actuel. Je vous présente donc ma démission. Et voici pour vous.» L'ancien secrétaire donna à son ex-employeur deux lettres. « Mais il vous reste de quoi vivre confortablement, ne vous inquiétez pas. » Puis il s'en alla.
Money resta bouche bée un instant, puis regarda Satan.
— Écoutez, je n'ai pas besoin de ce prix, je vous laisse l'argent, je ne vais pas vous ennuyer plus longtemps.
— Attendez. Vous, tout le monde vous écoutera. Si vous accusez la société de la Capsule, elle sera discréditée.
Satan se tortilla, gêné.
— Écoutez... La division médicale de la Capsule Corp a soigné ma femme, dont le cancer était déclaré incurable par la médecine. Désolé, je ne peux pas faire ça. Bonne chance. Et adieu.
Puis le champion fila sans demander son reste.
Les journalistes partirent aussi, pressés de transmettre le scoop à leurs médias respectifs.
Money resta sel et abasordit de longues minutess avant de regarder les lettres. La première était la lettre de démission de son secrétaire. La deuxième portait le logo de la Capsule.
Money l'ouvrit et lu : « De la part de la fille à papa bricoleuse du dimanche. »
Dendé finissait de soigner Végéta. Le prince des saiyans était furieux de ne pas avoir pu se venger.
— Calme-toi ! » dit Baddack. « Aucun d'entre nous ne faisait le poids.
— Parle pour toi.
— Ça va, c'est moi qui les ai sous-estimés. » commença Kakarotto. « Je vais dire à maître Kaio que tout est réglé.
Après quelques secondes de concentration, la liaison télépathique fut établie entre le dieu et tous les combattants présents dans le sanctuaire.
— Kakarotto, je m'inquiétais. Alors, vous les avez capturés ?— En fait, non, c'est eux qui nous ont capturés. Mais Goku leur a réglé leur compte.
— Réglé, réglé ? C'est ennuyeux ?— Ah bon, pourquoi ?
— Ils avaient vendu leurs âmes à un démon. C'est pour ça qu'il ne fallait pas les tuer.— Je vois. » intervint Piccolo. « Maintenant qu'ils sont morts, leur puissance est retournée vers ce démon, et il risque de poser des problèmes.
— Donc on aura un adversaire encore plus puissant ? Demanda Végéta, un sourire aux lèvres ?
— Non. C'est là le problème. Les démons, nous savons comment les gérer. Mais celui-là est mort il y'a quelques mois.— Mort comment ?
— Tué par un démon plus puissant. Mais ça n'est pas ça qui importe. Cette force, ce fléau qui animait Bojack et sa bande existe encore. Et Nous ne savons pas où elle est passée.— Vous m'aviez parlé d'un magicien qui les avait libérés, c'est ça ?
— Oui, c'était sûrement quelque chose de planifié. Il faut retrouver cet homme, mais pour ça, il nous faudra du temps, et c'est ce qui peut causer notre perte.Baddack intervint.
— J'ai peut-être une solution. Je suis déjà allé sur leur planète d'origine, j’y connais quelqu'un qui pourra nous aider.
— Tu es allé sur Héra ?— Héra ? Je croyais qu'ils venaient d'Irul.
— C'est ça. Cette bande était tellement abjecte, et a commis tellement de crimes qu'ils ont changé le nom de leur planète pour ne plus être associés à eux.— Raison de plus pour leur dire qu'ils n'ont plus à s'en soucier.
— Ça vaut le coup d'essayer. Nous allons chercher de notre côté. Je vous tiens au courant.
La liaison prit fin.
— Végéta, tu peux me prêter ton vaisseau ?
— Je ne l'ai plus, ces vermines me l'ont pris.
— Est-ce que c'est ça ? » Demanda Goku en lui tendant une capsule. « C’est tombé quand Bojack est mort.
Végéta la pris et l'activa.
— C'est ça. Il faut remplir la réserve de nourriture, mais à part ça, il semble intact.
— Je m'en occupe. Dit Popo pendant que Baddack, à l’intérieur, cherchait les coordonnées de la planète.
— La planète est à un mois de voyage.
— C'est long. Tu ne peux pas utiliser le transfert instantané ? Demanda Kakarotto ?
— Non, je savais pas encore détecter les auras, à l'époque, je saurais pas les retrouver comme ça. Mais je le ferais pour le retour, si y'a un communicateur dans le vaisseau.
— Il y'a. Et tu ferais bien de passer ce mois à t’entraîner, tu m'a vraiment fait pitié, tout à l'heure. Railla Végéta.
— Pff ! J'ai pas besoin de tes conseils.
Après quelques préparatifs rapides, le vaisseau décolla Et le reste du groupe quitta le sanctuaire divin.
Alors que le système solaire était déjà loin, Baddack s’approcha de la console.
— Bon, 100 G, ça devrait le faire pour l'échauffement.
À suivre...>>>