par Foenidis le Lun Mai 04, 2015 23:03
C'est clair qu'il y a infiniment plus pénible !
Eux, ils sont debout, mais ils marchent, bougent, se déplacent, varient les travaux... et sont quand même encore bien souvent assis dans les véhicules.
Celui qui est au cul d'une machine en usine, il est vraiment piqué pendant huit à douze heures d'affilées à répéter les mêmes gestes encore et toujours, et pour couronner le tout, c'est parfois lourd ou il faut forcer comme un bœuf.
Alors, non, je ne plains pas les employés communaux.
Côté conditions météorologiques, je pense aussi que les charpentiers sont plus à plaindre qu'eux, par exemple.
Le futur me donne un peu trop souvent l'impression d'avoir les mots de Dante « Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance » gravés en lettres sombres sur son fronton.