goget a écrit:Là, c'est sur une question de méchant:
Je veux faire un méchant, son design, sa manière de parler, ses techniques, armes, etc... J'ai tout... ! Sauf son objectif
Au début, j'ai pensé à en faire un esclavagiste surpuissant qui vient sur Terre après avoir repéré des forces supérieures à la moyenne et pouvoir les vendre en tant qu'esclaves. Les forces (la Z-team bien sur) sont impuissantes face au gars (cliché quand tu me tiens...).
Ensuite, j'ai pensé à en faire un robot qui peut tout absorber dans un rayon de 100 000 années-lumières (trop abusay ça ). Vous vous doutez bien de la raison qui m'a poussé à abandonner ce typer de méchant.
Du coup, ma meilleur option reste l'esclavagiste, mais j'ai l'impression que ça fait trop cliché.
Tiguor a écrit:Perso, je dirais : a-t-il vraiment besoin d'un but recherché, pour être un bon méchant ?
Pourquoi ne pas en faire un anarchiste convaincu (genre le Joker) par exemple ? Ou simplement un mec qui fait ça pour se marrer, pour ses tester.
Ça peut être pas mal
Perso c'est ce qui me gêne avec les personnages de roi ou d'empereur qui butent un soldat à chaque contrariété (comme dans CFC) : mais pourquoi ? Ça sert à rien, le mec n'a rien fait si ce n'est t'apporter la mauvaise nouvelle et tout ce que ça t'apporte, c'est que tes hommes ont peur de toi mais ne te respectent pas, en plus de supprimer des hommes de ta propre armée. C'est comme beaucoup de choses, ça passe une fois mais quand ça arrive régulièrement...
La confiance c'est vraiment quelque chose d'extrêmement important dans une fiction. Ouvrir un chapitre en se disant par avance que ça va être quelque chose de singulier. Voilà ce que devrait chercher à cultiver chaque auteur chez ses lecteurs. Et cette confiance vient avec l'imprévu et les contrepieds. En bonus les belles phrases, les phrases qui font réfléchir, les traits d'esprit ou la littérature. La maîtrise de l'intrigue, l'intrication... l'anticipation. Et la confiance colore la lecture, de fait, elle sublime sans cause, gratuitement. Elle permet de faire sauter le verrou de l'objectivité. En bref, c'est de l'or en barre, mais faut creuser.
niicfromlozane a écrit:Sinon, je pense pas non plus que ce qu'on a appelé "narration linéaire" avec omurah dans nos MPs soit un mal en soi, bien au contraire, d'ailleurs je maîtrise tellement mal le procédé -moi personnellement je- que j'en oublie, au contraire, très souvent de l'utiliser à des moments où il serait clairement profitable. Mais je pense qu'il est nécessaire de pouvoir passer de l'un à l'autre pour se permettre de "cadrer" la mise en scène correctement, ou du moins de pouvoir la diversifier.
omurah a écrit:Moi qui jusqu’ici était plutôt partisan du « osef de la littérature, du moment que les idées sont là ». Déçu pour les mêmes raisons, car je trouve ça un peu injuste pour ceux dont la plume est un peu plus ‘humble’.
omurah a écrit:Après je marque quand même une différence entre la fic et la littérature plus classique (mais sans tomber dans le « c’est que de la fic, je cherche pas à être publié, pas besoin de se casser la tête » ; loin s’en faut).
À partir de là, on doit prendre en compte que quelqu'un va lire, lui rendre l'expérience la plus agréable possible...
On peut tous arriver à la qualité d'écriture de Tierts ou de Glados par exemple, et c'est même pas dur.
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