Franchement, nul.
Ça ne m'arrive pas souvent d'appliquer cette étiquette à DBM, et je suis loin d'être un kikoolol rageux, mais non, nul.
On peut me dire ce qu'on veut sur les contraintes de temps et d'espace, dont j'ai bien conscience.
Mais là, c'est bien trop résumé, sans compter que la force de Kakarotto à cette période de la timeline me paraît bien exagérée (oh mon dieu, Kame Sennin s'est cogné le crâne, donc il était affaibli !!!! Naze)
Et la faiblesse du récit n'est pas sauvée par les dessins.
Apprendre des informations sur les passés des univers ne suffit pas. Il y a aussi comment on les apprend, et comment elles sont mises en scène. Ce qui est tout aussi important, voire parfois plus important. Là, ça tombe à plat.
Je pensais que Salagir avait appris les leçons de certains spéciaux passés. A tort, apparemment....

Déçu.