"Philosopher", c'était plus ironique qu'autre chose, en fait.
Et je suis désolé, mais je maintiens que dans le chapitre précédant, Kakarotto paraissait quand même moins "limité" que ça. Il suffit de lire quelques unes de ces autres lignes de texte: "C'est gentil de venir me voir... !", "Hum, de la chère tendre..." , "Cet humain était à moi !" . Ca ne se resumait pas à " Toi gentil mais toi mourrir", "J'ai faim" ou bien "Humain était le mien !"

Après, c'est sans doute un choix de revirement voulu, mais dans ce cas là, je n'aime pas vraiment ce choix, nope. Le rendre de plus en plus primitif ne le rend pas vraiment plus charismatique, au contraire... ! Pour moi, il était nickel dans le chapitre 27. Il est pas completement débile et tête à claque, mais il a quand même ses élans d'aggressivité et son coté bestial sans qu'il ait l'air ridicule.
Enfin, si ca se trouve, ce n'est que temporaire et il se remettra à parler plus ou moins normalement dans les prochaines pages, j'espère en tout cas.
Cela dit, j'aime vraiment bien le Radditz posé et réfléchit de DBM. Ce n'est pas exactement celui qu'on voit dans le manga je trouve, mais justement, je le trouve bien plus interessant comme traité ici. Dans le manga, au final, c'est vrai qu'il ressemble à une espèce d'ébauche arrogante de Vegeta sans réelle personnalité, c'est chouette d'approfondir le personnage de cette manière là.