Merci beaucoup omurah et pensyves vos compliment me vont droit au coeur même si visiblement omurah n'arrive toujours pas a se faire à l'idée que le fils de Goku s'appelle Goten

en attendant le prochain chapitre qui avance je propose un jeux au lecteur qui s'interessent encore à ma fanfic.
Chapitre 22 : trouvez moi le film qui m'a inspiré pour le dialogue entre Goten et Raditz je vous fait un rappel:
- Mais mon papa il ne tuait personne, dit l’enfant, les larmes aux yeux.
- Et tu as vu où ça la mené? Il n’a même pas été capable de protéger son fils.
Les larmes commencèrent à monter au yeux du fils de Son Goku. Après avoir poussé un soupir, le saiya-jiin chevelu s’agenouilla devant son élève.
- Il n’a pas voulu me sauver.
- Il n’a pas pu te sauver.
- Ben il n’a rien fait, il était plus fort que toi, il aurait pu te battre et il n’a même pas essayé.
- Il ne pourra plus… mais la question que je me pose est « est-ce que toi, tu veux être sauvé? »
Le petit garçon réfléchit, son père l’avait abandonné, il n’avait pas levé le petit doigt lorsque Raditzu l’avait enlevé. Il s’était évanoui au moment où c’est arrivé mais si son père avait tenté quoi que ce soit il serai encore chez lui aujourd’hui. Il était le fils d’un lâche, qui n’avait pas su protéger son propre enfant.
- Tu n’es pas obligé de me répondre mon garçon, mais si c’est de la colère que tu ressens, qu’elle soit contre moi ou contre ton père, c’est le moment de la sortir.
Séchant ses pleurs, l’enfant hocha la tête de haut en bas.
Alors ce n'est pas un copié coller mais il y a une forte ressemblance et l'idée du dialogue est la même alors le premier qui trouvera le titre du film qui m'a inspiré ce dialogue gagnera un cameo dans un chapitre (oui j'ai piqué l'idée à Rebel) envoyez moi vos réponse par MP Indice : Un film de spielberg
En attendant vos réponses (si elles viennent) voici le nouveau chapitre
Chapitre 24: Le super Saiya-jiin
- Kakka…rotto…
- Euh… t’es sûr que ça va ? demanda Bulma à son meilleur ami.
Ce dernier ne lui prêta aucune attention et ne lâchait pas le saiya-jiin du regard.
- Mon nom est Tullece, je sais pas ce qu’il a votre ami mais il se trompe de personne.
Son Goku n’écoutait plus personne, il se souvint de ces hurlements qui émanaient du berceau situé à coté du sien.
- L’enfant de Paragusu est vraiment impressionnant il vient à peine de naitre et pourtant sa force de combat est déjà de dix mille unités. constata un médecin de la nurserie.
A coté du bébé aux cheveux longs un autre s’agitait, il hurlait à plein poumons. Ne pouvant supporter ça, le fils de Paragusu se recroquevilla sur lui-même.
- Regarde ça, fit un autre médecin, le fils de Baddack vient de le faire pleurer bien que sa puissance ne soit que de deux unités.
- Ah oui le dénommé Kakkarotto, sa force de combat est faible mais quel courage il a !
- TU AS FAILLI ME RENDRE FOU ! Hurla Son Goku à l’autre saiya-jiin.
Tullece vit son regard de dément, de toute évidence il était bel est bien fou.
- On se connait peut-être ?
- TU N’ARRÊTAIS PAS DE HURLER !
- Ça me ressemble pas vraiment.
- TAIS-TOI, KAKKAROTTO !
- Ce mec est complètement barjot, attaquez vous autres, fit-il à l’adresse de ses hommes.
Alors que juste une demi-douzaine d’aliens étaient visibles, une dizaine d’autres sortirent de nulle part et se jetèrent sur Son Goku.
- Arrêtez, on va le calmer, intervint Kuririn en saisissant la queue de son meilleur ami. Celui-ci se calma aussitôt. Le saiya-jiin remarqua alors ce détail qui faisait de ce malade, un membre de son espèce.
« Mon détecteur affichait un million d’unités, pensa-t-il, et il semblait encore bien loin de son maximum. Je me demande si… bon sang, si c’est le cas il faut s’en débarrasser »
- Ecartez-vous de lui, déclara-t-il, il faut absolument l’abattre.
- QUOI ?! firent en choeur les amis de Goku.
- Ce saiya-jiin est dangereux, il pourrait détruire l’univers.
- On ne te laissera pas tuer notre meilleur ami ! lui cria Kuririn.
- Alors, mourez avec lui si ça vous chante, répondit Tullece avant de tirer un Kikoha qui explosa.
Il attendit que la fumée se dissipa et se figea d’horreur. Le petit chauve et le grand balafré avaient écarté la femelle de l’explosion qui avait fait un cratère. Mais ce qu’il craignait le plus semblait sortir de du cratère. Une aura dorée y brillait de mille feux. Quelques secondes plus tard, le grand saiya-jiin se tenait devant lui, sa musculature semblait avoir légèrement augmenté, ses yeux étaient passés du noir, couleur des yeux de tous les saiya-jiins, au bleu azur. Mais le plus grand changement fut sa chevelure redressés en épis et à la couleur or.
Les disciples de Kamé Sennin n’en croyaient pas leurs yeux, ils n’avaient jamais rien vu d’aussi effrayant, ce n’était pas la nouvelle apparence de leur ami qui les inquiétait mais plutôt l’effroyable puissance qu’il dégageait.
- Détruisez-le ! ordonna Tullece à ses sous-fifres. Ils se jetèrent tous sur lui et tous périrent sans qu’il n’ait eu à faire le moindre mouvement.
- KAKKAROTTO!
Tullece réfléchit vite, il n’avait aucune chance de le vaincre ainsi, il allait devoir se transformer. Par chance le nabot, plutôt que de lui lâcher la queue, la lui avait arrachée, il ne pourrait donc pas faire comme lui.
Le saiya-jiin aux cheveux enmélés concentra son énergie dans sa main droite et y fit apparaitre une sphère blanche qu’il lança dans les airs.
Quelques secondes plus tard il se mit à grandir, des poils lui poussèrent sur le visage et sa puissance décupla. Au bout d’une minute, il était devenu un singe géant, comme celui que Goku devenait lors des nuits de pleine lune.
- Maintenant, le combat sera plus équitable, déclara le monstre.
- KAKKAROTTO ! rugit le super-saiya-jiin en se jetant sur son adversaire.
Alors que l’ancien bandit tentait de rassurer Bulma, totalement sous le choc d’avoir frôlé la mort, Kuririn observait son meilleur ami. La différence de taille ne semblait pas être un problème, bien au contraire, il était même plus rapide que le primate, de plus sans son point faible, le combat était gagné d’avance. Ce qu’il l’inquiétait le plus c’est que Goku n’était plus lui-même. Qui sait comment il réagira après avoir terrassé son adversaire. Allait-il se calmer et baisser sa puissance ? Rien n’était moins sûr.
Le singe géant n’en revenait pas, comment avait-il pu le mettre dans cet état en seulement quelques coups ?
- Tu vas me le payer, hurla-t-il avant de le frapper au visage, ou plutôt, vue la taille de son poing, sur tout le corps. Son Goku ne bougea pas pour prouver son invulnérabilité. La constatant, Tullece s’envola et cracha un jet d’énergie, que Son Goku contra par un gigantesque Kaméhaméha. Comprennant qu’il serait tué s’il prenait les deux attaques de plein fouet, Tullece évita la charge et chercha son ennemi des yeux, mais il ne le trouva pas. Il sentit alors ses forces l’abandonner. Il tourna la tête et vit Son Goku qui lui maintenait la queue. Ce dernier lui lança un sourire sadique avant de le faire tourner autour de lui.
- LACHE-MOI ! suppliait le primate qui commençait à avoir le tournis.
- Comme tu voudras, Kakkarotto, répondit le super saiya-jiin avant de donner un accoup qui arracha la queue au postérieur du singe qui alla s’écraser un peu plus loin.
- Ça devient n’importe quoi, il prend ce type pour un autre, fit Kuririn à ses amis.
- Et alors, c’est un saiya-jiin, dit Bulma. Il n’hésitera pas à nous tuer s’il le peut.
- Peut-être mais j’ai bien peur que Goku ait complètement perdu le contrôle.
- Si c’est le cas il pourrait bien nous tuer, répliqua l’ancien bandit.
En entendant son petit ami, la jeune femme aux cheveux bleu paniqua et se mit a crier :
- Naaaann, tout mais pas ça, je suis trop belle pour mourir!
Sans prêter attention à ses plaintes, le jeune moine se tourna vers son camarade d’entrainement.
- Si une personne ici peu le calmer c’est moi.
L’ancien bandit approuva d’un signe de tête
- Par contre s’il s’en prend à moi quittez immédiatement cette planète.
Ceci dit il s’envola.
Tullece avait retrouvé sa forme humaine, fixé au sol par le pied de son adversaire, il regardait ce dernier, terrifié.
- Maintenant, Kakkarotto dis-moi où est ton frère.
- Je ne suis pas le frère de Raditzu, répondit-il tant bien que mal.
- Ne ments pas, je n’étais peut-être qu’un bébé mais je reconnaitrais ta face entre mille!
Ils marchaient tous les deux vers le spatioport, ils avaient hâte d’être arrivés à destination. Bientôt ils allaient pouvoir purger leur première planète.
- Alors, ça te fait quoi d’être grand frère?
- Je sais pas, j’espère qu’il saura m’obéir…
- Tu trouves pas qu’il me ressemble ?
- Et alors ? Ça arrive chez les basses classes. Regarde Brasca il me ressemble et on est pas de la même famille.
Ils arrivèrent devant un enfant de leur âge, il avait les cheveux mi-long et portait un Bandana. - Je… ne… suis… pas Kakkarotto, répondit difficilement le saiya-jiin. Il a été envoyé sur la planète terre.
- Non c’est moi qui y ait été envoyé.
- Alors… comment ?….
- C’EST MOI QUI POSE LES QUESTIONS !
Tullece réfléchit très vite, il savait que le frère de Raditzu devait être envoyé sur la terre, il savait également que le saiya-jiin légendaire devait être exécuté par le roi. Si le saiya-jiin millénaire avait fini sur la terre il était probable que le père de ce dernier ait interverti les nouveaux-nés.
- ALORS ?!
- Tu aurais dû être exécuté à ta naissance, réussi à répondre le malheureux entre deux quintes de toux, si tu as été envoyé sur une planète à la place de Kakkarotto, il est probable qu’il soit mort à ta place. Le roi a du vous confondre. S’il ne portait pas de détecteur à ce moment là c’est bien possible.
En entendant cela, Goku relâcha la pression et commença à se calmer.
- Continue ton histoire, ordonna-t-il d’une voix plus calme.
- Je suppose que ton père a voulu te sauver et qu’il s’est débrouillé pour échanger vos berceau. Si le roi ne portait pas de détecteur il n’a pas pu voir la différence de force entre vous deux et il a dû prendre le bébé dont le berceau était marqué « fils de Paragusu ».
Cette fois, Son Goku se calma complètement et perdit sa transformation. Il n’avait pas connu ce père et il avait été sûrement aussi malfaisant que les autres saiya-jiins. Pourtant il l’avait sauvé et il ne put s’empêcher de penser « merci, mon père ».
Il entendit un bruit, il se retourna pour voir Kuririn qui l’observait, visiblement soulagé.
- Allez, Kuririn on quitte la planète.
Ce dernier approuva avant de se figer d’horreur. Le saiya-jiin s’était relevé il préparait un Kikoha. Goku avait complètement baissé sa puissance, il était donc vulnérable. Le jeune moine n’hésita pas une seconde de plus, il leva la main vers le ciel et hurla:
- KIENZA !
Un disque se forma au- dessus de sa paume, il le lança de toute ses forces vers son ennemi. Vu la faible distance, ce dernier eut juste le temps de comprendre ce qui se passait avant de se retrouver décapité.
………………..
- Vous n’êtes pas le bienvenu !
- Je vous demande pardon ?
- Quittez immédiatement cette planète !
Le tyran regarda son interlocuteur. Jamais personne, en dehors de son père et de son frère ainé, ne s’était permis de lui parler ainsi.
- Je devrais te tuer pour ton manque de respect mais j’ai besoin de toi.
L’impertinent regarda le tyran. C’était étrange, il n’avait pas l’air puissant au premier abord et pourtant l’ aura qui émanait de lui était écrasante. Il le savait, bien qu’étant le namek le plus puissant de la planète, il ne faisait pas le poids. Ce qui voulait dire qu’il ne restait plus qu’une option: la ruse.
- Que voulez vous ?
Le démon fit léviter un objet au dessus de sa main. Le namek le reconnut, bien qu’il fut habitué à une taille supérieure. Il n’y avait pas de doute possible c’était un Dragon Ball.
- Aurais-tu quelque chose qui ressemble à ceci?
« Nail ! Tu m’entends ? Mène-les jusqu’à moi, j’ai un plan. »Le dénommé Nail, se demanda où voulait en venir son père, mais il lui devait obéissance, aussi il fit signe aux visiteurs de le suivre.
………………
- Tu peux nous expliquer ce qui s’est passé ? demanda la jeune femme aux cheveux bleus.
- Pour résumer j’ai pris ce saiya-jiin pour Kakkarotto.
- Attends, comment t’as pu le prendre pour quelqu’un que tu n’as jamais vu? demanda l’ex-bandit.
- Je l’ai vu, je m’en suis rappelé au moment où mon regard à croisé celui de ce Tullece. Kakkarotto et moi on a été élevé ensemble,nos berceaux étaient côte à côte. Il passait son temps à hurler, ça me rendait à moitié fou. Aujourd’hui encore, dans mes pires cauchemars j’entends encore ces cris.
- Tu te souviens de choses que tu a vécues alors que tu venais de naitre ?
- Disons que jusqu’ici c’était par bribe, mais maintenant oui je me rappelle.
Kuririn, qui jusqu’ici n’avait rien dit se rappela du jour où, alors qu’ils étaient allés chasser, ils avaient découvert la capsule spatiale. Au moment même où Son Goku avait entendu « Kakkarotto » il s’était tenu la tête en poussant des cries de douleur. Et tout ce temps il avait été traumatisé par les pleurs d’un nouveau-né ?
- Et sinon pour ta transformation ? fit Bulma.
- J’étais en colère, d’abord parce que je l’avait pris pour Kakkarotto et ensuite parce qu’il avait essayé de nous tuer. D’ailleurs si tu ne m’avais pas lâché Kuririn, on serait tous mort à l’heure qu’il est.
Le jeune moine sourit, il n’avait pas attaqué par folie, en tout cas ce n’était pas la seule raison, il voulai aussi défendre ses amis. C’était la preuve qu’il ne ferait de mal à personne en ces lieux.
- A ce moment là je n’ai pas pu retenir ma force et je me suis transformé. Je vous jure c’est la première fois que ça m’arrive !
- Pas tout à fait, intervint son meilleur ami, en final de notre premier budokai tu t’étais transformé en singe, tu te souviens ?
- Oui bien sûr.
- Juste avant d’arracher ta queue, ta fourrure était passé du brun au doré.
Son goku ne cacha pas son étonnement, jusqu’ici il avait juste pensé qu’un bref instant, sa puissance avait radicalement augmenté. Puis il se rappela des paroles de Tullece.
- Je suis le saiya-jiin légendaire.
- Pardon ? dirent ses amis à l’unisson.
- Tullece me l’a dit avant de mourir… je suis un saiya-jiin surpuissant qui apparaitrait tout les mille ans…
Les autres membres de l’équipage voulaient en savoir plus sur cette histoire de saiya-jiin mais ils comprirent que leur ami ne voulait pas en parler, aussi ils n’insistèrent pas.
Bulma se tourna vers le poste de pilotage.
- J’ai sélectionné notre prochaine destination, déclara-t-elle, nous arriverons d’ici quelques heures.
…………………
Le démon regarda l’être qui lui était présenté. Il était gigantesque, de peau reptilienne et paraissait extrêmement âgé.
- Je te souhaite la bienvenu, Freeza.
Ce dernier n’aimait pas la familiarité que ce vieillard avait employé mais il pensait à l’immortalité qui l’attendait. Aussi il décida de passer outre l’impolitesse du doyen des Nameks.
- Je vous remercie.
- Mon fils m’a dit que vous recherchiez les DragonBalls. Seulement celui que vous détenez ne nous appartient pas.
Le tyran grinça des dents.
- Les nôtres sont autrement plus puissantes, continua le géant reptilien avant de faire léviter une sphère géante au dessus de sa main.
Freeza poussa un soupir de soulagement.
- Je ne peux rien faire pour vous empêcher de le prendre, il est donc à vous.
- Merci infiniment, fit le petit être avant de pointer son doigt sur le vieux namek.
- Pèse bien ton geste, démon, intervint le dénommé Nail, si tu le tue les DragonBalls retourneront à l’état de simple pierre.
- Effectivement, en tant que créateur des DragonBalls, leur destin est lié au mien.
Freeza resta quelques instants le doigt pointé sur le namek. Puis il sourit et sortit.
- Pose ta main sur mon torse Nail, ordonna le doyen.
- Mais… père… les DragonBalls.
- Peu importe les DragonBalls quand la survie de notre planète est en jeu. Une fois que nous aurons fusionné tu connaitras la suite de mon plan.
Nail hésita encore quelques secondes puis obéit. Il y eu alors une lumière aveuglantes.
………….
« Ce n’est pas possible, le vieux ne s’est quand même pas suicidé ? » pensa le tyran en s’apercevant que la sphère qu’il tenait entre ses mains s’était tout à coup changée en pierre.
…………..
Nail sentait en lui une puissance des plus impressionnante, son apparence n’avait pas changé en dehors du fait qu’il était plus grand, mais il savait qu’il était très différent. Soudain il eu un mauvais pressentiment, le démon rebroussait chemin. Certes, il était devenu plus fort que lui mais il ne devait prendre aucun risque.
« Mes enfants, c’est votre père qui vous parles. Notre espèce est menacé d’extinction, sortez nos vaisseaux et envoyez les plus jeunes d’entre nous à travers l’univers, ils seront ceux qui perpétueront notre héritage si nous sommes menés à disparaitre ». Ces paroles furent un véritable déchirement, il aurait voulu faire évacuer la totalité de ses congénères mais il savait que, faute d’un nombre suffisamment important de vaisseau, ce n’était pas possible. A peine son message télépathique fut-il fini que la maison dans laquelle il se trouvait explosa. Il se trouva alors face à son ennemi qui bouillonnait de rage.
- Ton rêve n’est maintenant plus réalisable, lui lança-t’il.
…………..
- Bienvenu Bejita-Sama, fit l’alien à tête de tortue.
Le prince ne répondit pas, il était furieux. L’enfant avait beau être très fort, il ne se contrôlait pas lors de sa transformation. Il attaquait tout le monde sans distinction, aussi bien ses alliés que ses ennemies. Le fait qu’il s’en soit pris à Nappa n’avait pas mit la puce à l’oreille de Bejita, car il savait que s’en prendre au doyen des saiya-jiins le démangeait depuis longtemps. En revanche, lorsque Raditzu était intervenu, il l’avait attaqué lui aussi. Il n’y avait à ce moment là plus aucun doute possible, Son Goten n’aurait jamais attaqué son mentor en dehors d’un entrainement, il y avait trop de respect entre eux, voire même un brin d’affection. Le non-contrôle de sa forme de singe géant venait probablement du sang terrien de l’enfant.
La population n’avait pas été très puissante et l’ozaru n’était pas une nécessité, mais ils tenait à apprendre à leur jeune recrue comment créer une lune artificielle. Bien entendu, il était maintenant hors de question de recommencer et cela posait de sérieux problèmes à l’exécution de son plan.
Alors qu’ils entraient dans l’appartement, garçon se dirigea vers sa couchette. Il en revint agacé et se tourna vers le géant.
- Je te préviens Nappa, si tu me rend pas tout de suite mon DragonBall, je te casse tes dents.
Les trois saiya-jiins furent surpris de la réaction de leur cadet, puis l’interpellé éclata de rire. Cela ne plut pas à l’enfant qui saisit le vieux saiya-jiin par le col.
- Tu comprends quand je te parle ? Je t’ai dit de me rendre mon DragonBall !
Le colosse tenta de se dégager, sans succès. Bejita avait raison, ce gosse était bien plus fort que lui.
- Lâche-moi sale mioche, je t’ai rien pris.
La gifle qu’il reçut le sonna sérieusement.
- TU VAS ME RENDRE MON DRAGONBALL ?!
- JE SAIS PAS OÙ IL EST TON DRAGONTRUC, JE SAIS PAS CE QUE C’EST!
L’enfant se prépara à frapper à nouveau, mais son poing fut bloqué. Il se tourna pour voir Bejita qui lui tenait le bras.
- Lâche-le mon garçon où c’est toi qui n’aura plus de dents.
Sachant que son chef ne plaisantait pas, le fils de Son Goku obéit.
- Nos chambre sont nettoyées pendant qu’on part en mission, ton DragonBall a du être emporté par un domestique, dit Raditzu à son élève, tu l’avais pas jeté à la poubelle ?
- Oui j’étais en colère contre mon père quand j’ai fait ça. Mais c’était bête, c’est mon oncle qui me l’a offert et c’est mon seul souvenir de la terre.
- Dans ce cas va voir les domestiques ils te renseigneront, conseilla le saiya-jiin chevelu.
L’enfant relâcha Nappa, ou plutôt le jeta contre un mur et quitta la pièce.
- Raditzu, ton petit protégé devient une vraie teigne.
- C’était pas ce que tu voulais, Bejita?
- Je voulais un combattant, pas un taré qui s’en prend à mes hommes.
- Mets-toi un peu à sa place, Nappa lui casse les pieds depuis le début, on lui vole ses affaires, à qui tu veux qu’il pense en premier à par lui?
- A propos qu’est ce qu’on s’en fout de son truc, t’avais besoin de lui parler de ces sales grenouilles? Je te signale qu’on peut repartir en mission d’un moment à l’autre !
- Il n’aurait pas arrêter de nous en parler de son DragonBall, autant qu’il le retrouve tout de suite et qu’il nous lâche avec ça.
- Mouais, tu as peut-être raison.
Le prince réfléchissait, il ne savait pas pourquoi il lui semblait avoir déjà entendu le terme DragonBall quelque part… Il se souvint alors de cette légende dont lui avait parlé son père. C’était le lendemain de la visite d’une divinité à l’apparence féline, le roi de la planète Bejita lui avait alors servit un festin qui aurait suffit à nourrir une vingtaine de ses congénères. Au cours de ce festin, ils avait parlé des différents peuples de l’univers et de ces sphères de cristal qui pouvait faire exhausser n’importe quel voeu.
- Laissons le retrouver ce qu’il cherche… et ensuite partons sur terre.
- Qu’est-ce qui te … commença Nappa.
- T’occupe, Raditzu va préparer nos navettes et surtout ne dit rien au gosse.
- Il va s’en rendre compte une fois arriver là-bas, de plus aucun de nous ne fera le poids face à son père.
- Je sais, et ce sera là l’occasion de lui faire une offre qu’il ne pourra pas refuser, déclara le prince en souriant d’un air mauvais.
- Les DragonBall contre la liberté de son fils ?
- Non… les DragonBalls contre la vie de son fils…
Fin du vingt-quatrième chapitre