Buu : La quête d'un nouveau destin | Arc 2 : Chapitre 29 |

[Masenko]

S’il vous ait arrivé cette mésaventure -> est


Sinon je suis super contente de la tournure des choses ! on en apprend tout plein sur cet univers des Majin et c'est vraiment intéressant et bien mis en place ! Bravo !

Le prince me plait beaucoup ! j'espère qu'on le verra régulièrement !


Hâte également de voir cette confrontation entre magie et force énergétique !


Et vivement la suite, donc !

[Lyne]

S’il vous ait arrivé cette mésaventure -> est

Oo... merci, erreur corrigée !

Sinon je suis super contente de la tournure des choses ! on en apprend tout plein sur cet univers des Majin et c'est vraiment intéressant et bien mis en place ! Bravo !

Eh bien, ça me fait super plaisir de lire ça, sachant que tu semblais quelque peu sceptique au début. ^^ c'est cool. j'espère que la suite te plairas davantage!

Le prince me plait beaucoup ! j'espère qu'on le verra régulièrement !

Ah oui ? C'est marrant ça, je pensais pas qu'il te plairais autant. Comme quoi... :p



Hâte également de voir cette confrontation entre magie et force énergétique !


Et vivement la suite, donc ! [/quote]

[Point]

Je suis là !
On m'appelle Zaagaan, ou Point, et je viens en ami.

Parlons de ta fic:

Alors que j'avais du mal au début parce que l'univers décrit me semblait trop différent de celui habituel - enfin, je fut désorienté - j'ai finalement appris à le comprendre au fur et à mesure des chapitres, qui justement sont de très bonne qualité, aussi bien en terme d'écriture que de fluidité. Les personnages me semblent respectés dans la mesure du possible, et les nouveaux - c'est à dire Maelyss, Genïe et Tayrun ainsi que JaÏ - me semblent intéressants. J'ai un petit feeling avec JaÏ chépapourkwa. J'ai rien de plus à ajouter si ce n'est qu'on se prend au jeu. Enfin, l'omniprésence de la magie n'est pas là pour me déplaire, même si l'apparente - ou relative - impuissance du ki et de la force guerrière me font me poser des questions.

Tu gagnes un lecteur supplémentaire, et un commentateur de chaque chapitre posté. GG !

[Lyne]

Je suis là !
On m'appelle Zaagaan, ou Point, et je viens en ami.

Parlons de ta fic:

Alors que j'avais du mal au début parce que l'univers décrit me semblait trop différent de celui habituel - enfin, je fut désorienté - j'ai finalement appris à le comprendre au fur et à mesure des chapitres, qui justement sont de très bonne qualité, aussi bien en terme d'écriture que de fluidité. Les personnages me semblent respectés dans la mesure du possible, et les nouveaux - c'est à dire Maelyss, Genïe et Tayrun ainsi que JaÏ - me semblent intéressants. J'ai un petit feeling avec JaÏ chépapourkwa. J'ai rien de plus à ajouter si ce n'est qu'on se prend au jeu. Enfin, l'omniprésence de la magie n'est pas là pour me déplaire, même si l'apparente - ou relative - impuissance du ki et de la force guerrière me font me poser des questions.

Tu gagnes un lecteur supplémentaire, et un commentateur de chaque chapitre posté. GG !

Tout d'abord, bienvenue à toi sur le topic Zaagaan!

Oui, je peux tout à fait concevoir que le décalage de cette fic par rapport à ce qu'on voit d'accoutumée -en général- peut perturber. Mais je suis contente que tu aies pu dépasser cela!

J'ai un petit feeling avec JaÏ chépapourkwa.

Décidément, je ne pensais pas que ce personnage serait autant apprécié. Je ne m'y attendais vraiment pas o_o mais c'est bon ça !
J'espère que la suite continuera de te séduire !

Merci pour ton retour ^^

[Lyne]

Voilà le chapitre 6! Merci à Omurah et Xela pour leur précieuse aide!

Bonne lecture!
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Mon visage tournait d’un quart vers la gauche tandis que j’émergeais peu à peu de mon sommeil. Je tentais d’ouvrir les yeux mais mes paupières, résolument lourdes, ne parvenaient pas à se soulever. Je somnolais. Mon esprit était embrumé. Je me sentais comme flotter sur un nuage, perdue dans l’immensité du ciel. Lorsqu’après plusieurs tentatives infructueuses je réussis -non péniblement- à ouvrir les yeux, je découvris avec étonnement le plafond vert anis de ma chambre à coucher. Un léger sourire se dessina sur mes fines lèvres.

Cette couleur... C’était Genïe qui l’avait choisie quand nous avions refait la peinture des trois chambres à coucher de la maison. Elle prétextait qu’elle se mariait très bien avec mes yeux, verts eux aussi. Mais je savais que ce n’était pas la seule raison. Cette couleur m’apaisait. Et Genïe était la seule à l’avoir découvert…

Je me redressai lentement, péniblement. Je m'efforçai de garder les yeux ouverts avant d'observer ce petit cocon familier qui était le mien. Celui que Genïe avait recréé afin que je me sente en sécurité. Mes membres étaient engourdis et une atroce migraine me martelait le crâne à l'image d'un marteau piqueur. Soudain, la pièce se mit à tourner autour de moi. Une grimace de dégoût s'imprima sur mon visage alors qu'un haut le coeur me prenait d'assaut. Je me rallongeais et fermais les yeux pour ne pas tourner de l'oeil.

Je me sentais comme un radeau en perdition, baladé par la tempête de vagues, sans espoir de regagner le rivage. Chuter du haut d'un précipice sans pouvoir me rattraper. Signe manifeste que le pouvoir de sédation de Genïe faisait encore effet... Ma poitrine se soulevait doucement au rythme lent de ma respiration. Depuis quand étais-je dans ma chambre ? Et combien de temps étais-je restée inconsciente ?

Plusieurs minutes s'écoulèrent sans que ce mal ne daigne me quitter. Puis peu à peu, les effets du pouvoir commencèrent à se dissiper. Je me redressai une nouvelle fois et observai mon environnement. Un vent traversa la fenêtre semi ouverte de ma chambre et se mit à jouer avec les fins rideaux violets de mon lit à baldaquin en acier. Un frisson me parcourut l'échine. Tout à coup, la porte de la chambre s'écarta laissant apparaître Genïe.

— Lylyss, je suis désolée...

— Désolée pourquoi ? Pour m’avoir endormie ainsi ou pour avoir fait ce que je t’avais précisément demandé de ne pas faire ?

— Si je l’ai fait, c’est pour ton bien, s’exclama la Majin les bras croisés, accolée à l’encadrement de la porte de la chambre.

— Vraiment ? C’était pour mon bien de me mettre sur le fait accompli en m’obligeant à leur parler alors que je n’en avais pas envie ? C’était à moi de décider du moment propice pour le faire, et non à toi !

— Je ne suis pas d’accord ! Je te rappelle qu’en tant que Gardienne, j’ai aussi mon mot à dire sur la question ! Ça fait quatre ans que je vis à tes côtés. Que je partage et ressens tes joies, tes crises de larmes et de colères. Que je suis tout le chemin que tu entreprends pour t’en sortir. Tayrun m’a assignée auprès de toi pour te protéger et surtout, t’aider à te reconstruire. Il est de mon devoir de veiller à ce que cela soit fait. Et cela passe également par cette douloureuse étape, que tu le veuilles ou non ! Et si pour que tu ailles mieux il faut que je te traîne par la peau des fesses pour que tu leur dises enfin la vérité, je le ferai sans aucun regret ! s’exclama la Gardienne avant de prendre place sur le lit aux côtés de son amie. Lylyss... il est temps que tu prennes les choses en mains et que tu te libères de ce poids. Tu ne pourras jamais trouver la paix si tu ne le fais pas, tu comprends ? Tu dois le faire, tu n’as plus le choix !

— ... C’est bien plus facile à dire qu’à faire.

— Je le sais.

— Non, tu ne le sais pas ! rétorqua Maelyss en se levant d’un bon pour rejoindre la fenêtre se situant en face du lit. Tu ignores ce que c’est d'avoir eu une mère constamment sur le dos qui juge tes moindres faits et gestes ! Un père égoïste qui préfère s'entraîner plutôt que de se préoccuper de sa famille ! ajouta-t-elle en fixant la vitre alors qu’une maman oiseau traversait le jardin de la maison pour regagner son nid dans l’un des arbres de la propriété. De ressembler à un moucheron à coté de ton petit frère ultra puissant à qui ta mère a laissé tout faire ! Qu'elle m'obligeait à rester à la maison pour l'aider à faire la cuisine ou le ménage pendant que Goten s'amusait dehors ou quand Gohan partait à la pêche avec mon père. D'avoir l’impression de n’avoir aucune valeur dû au fait que la magie faisant partie de toi n'intéresse personne ! D'avoir juré pendant toute ton enfance par un père qui au moment où tu le revois, fait comme si tu n’existais pas ! Il y en avait que pour Gohan et Goten ! fulmina-t-elle en se retournant pour faire face à son amie. 

— Si je me souviens bien, tu n’as pas non plus beaucoup insisté pour qu’il s’intéresse à toi, je me trompe ?

— Je l’ai fait. J’ai essayé d’insister ! Mais lorsque j’ai fait allusion à la promesse qu’il m’avait faite, il m’a regardée avec un air niais et ahuri ! Il aurait dû se rappeler… Il aurait dû se souvenir qu’il m’avait dit qu’il m’entraînerait ! Il me l’avait promis…

— Je le sais tout ça, mais ce que je n’arriverai jamais à comprendre c’est pourquoi tu ne lui as pas dit ? Peut-être que si tu…

— Parce que j’étais blessée !! répliqua furieusement la Saiyanne. Et puis… Gohan était dans la course depuis longtemps et Goten suivait le même chemin avec Trunks, ajouta-t-elle en se calmant un peu avant de se rassoir sur son lit. Une simple Super Saiyan ne pouvait rivaliser avec eux. Alors, je me suis effacée peu à peu sans demander mon reste. Puisque de toute manière on ne me voyait pas. Quand je pense… quand je pense que mes frères ne sont même pas passionnés de combat et que c’est eux qui ont reçu toute l’attention… ÇA ME REND MALADE !! explosa-t-elle une nouvelle fois en se prenant la tête entre les mains.

— Lylyss, je t’en pries, ne mélange pas tout ! tempéra Genïe. Tes frères n’y sont pour rien dans cette histoire. S’ils ont été le centre d’attention c’est parce qu’il fallait sauver votre planète rien de plus.

— Merci, je ne suis pas idiote ! Je sais très bien qu’il était bien plus facile et normal pour mon père de s’attarder sur mes frères plus puissants que sur moi ! J’aurais fait pareil à sa place. Mais sept ans se sont écoulés depuis la défaite de Buu, et rien n’a changé… Traite-moi de capricieuse ou d'ingrate si tu le veux ! Mais je maintiens que ce n’est pas juste.

— Rien n’a changé car tu n’as rien fait pour que ça change, Lylyss. Si tu avais osé un peu plus t’affirmer au lieu de te draper dans ta colère, ta tristesse et ton orgueil, les choses seraient sans doutes différentes aujourd’hui… Tu ne peux pas continuer à leur en vouloir pour une situation dont tu es toi-même en partie responsable.

— Je sais. Mais si tu crois que c’est facile lorsqu’on est…

— Ah non ! Ça suffit le couplet sur la fierté Saiyanne, hein ! Elle ne te mènera nul part ta fichue fierté ! Elle ne te sert qu’à te mettre des barrières et t’empêche d’avancer.

— ... Je sais.

— J’ai conscience que c’est très difficile après tout ce que tu as vécu. Mais il ne tient qu’à toi que les choses changent. Tu ne pourras jamais aller mieux et te refaire une nouvelle vie si tu t’obstines à agir et penser de cette façon.

La métisse ne répondit pas et détourna le regard alors que des larmes perlaient ses joues.

— Et puis, il te faut à tout prix oublier tout ce que t’a dit Darkon, sinon il continuera à avoir de l’emprise sur toi ! acheva Genïe en caressant le dos de sa maîtresse.

— Tout ce qu’a dit Darkon était vrai ! objecta Maelyss. Il n’a rien inventé de ce qui s’est passé avec ma famille. Il n’a fait que remonter ces événements enfouis en moi. Je n'ai jamais demandé ou même voulu que les choses se passent ainsi. Si tu crois que ça me plaît d'être comme ça tu te trompes...

Je regardai ma meilleure amie la mine sombre sans dire un mot. Sa tristesse et son désespoir m’heurtaient au plus profond de mon être. Je voulais tant la réconforter, mais aucun son ne trouva le chemin de mes lèvres. J’étais dépitée, en colère ! Contre moi-même d'être incapable de l'aider comme je le souhaitais. Contre sa famille de ne pas lui avoir donné l'attention qu'elle méritait et de pas l'avoir traitée comme ses frères. Contre Darkon. Darkon... Ce maudit Mage avait vraiment fait de sacrés dégâts avec Maelyss. Et malgré mes nombreux efforts je n’étais toujours pas parvenue à annuler son emprise. Encore moins l’impact que cela avait eu sur ma maîtresse… Il avait profité d’elle comme un vulgaire pantin. S’était servit de sa naïveté et de sa peine refoulée pour l'inciter à le rejoindre. L'avait torturée, humiliée, rabaissée pour assoir son emprise sur elle. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il avait réussi ! Si bien, que cela a finit par altérer ses perceptions et ses ressentiments face à la réalité... 

Et le pire dans tout ça, c'est que je ne peux rien y changer. Le combat, c'était elle qui devait trouver la force pour le mener. Moi je ne suis que la béquille qui l'aide à se maintenir debout. Enfin, j'étais quand même plus que ça... Je n'étais pas que spectatrice de sa lutte acharnée, j'en suis également souvent l'actrice...

Être une Majin a en réalité beaucoup d’avantages. Notre corps peut se modifier, s’étirer, se dédoubler, se soigner, se régénérer, absorber à l’infini. Nous pouvons rester plusieurs semaines consécutives sans manger, boire et dormir. Aucun problème de pilosité ! -Très pratique ! Cela nous économise les frais d’instituts de beauté, rasoirs privés et autres ustensiles de torture, brrr ! Ça doit faire mal !- et en plus de ça, nous possédons des pouvoirs magiques phénoménaux !

Maelyss s’extasie souvent devant mes nombreuses facultés. Mais ce qu’elle et beaucoup d’humains ignorent c’est qu’il n’est pas toujours facile d’être un Majin… Notre perception des émotions, des ressentis, de la parole vraie et fausse, et quelquefois même de la pensée d’autrui est si aiguisée que cela peut nous faire défaut. En particulier lorsque nous sommes Gardien et que l’on doit « travailler » pour un humain.

Bien sûr, nous avons appris à gérer tout ce flux de sensations et d’énergie pour ne pas les laisser nous envahir afin de nous préserver ! Mais bien souvent, notre don d’empathie prend le pas sur tout le reste une fois le lien magique établi entre nous et l’humain, Nous « vivons » dans le corps et l’esprit de la personne. Notre âme est connectée en permanence à la sienne et cela crée parfois des situations conflictuelles et souvent délicates.

Sans compter que nous devons, de par notre métier, être à l’écoute de l’autre sans se montrer intrusif tout en apprenant à manier ses diverses émotions sans oublier les nôtres… Si pour la plupart des Majins, il est plus facile de se prémunir contre ces vagues d’émotions et de ressentiments, pour d’autre, la tâche est bien moins aisée…

Et c’était le cas pour moi. J’ai beau avoir appris à me protéger et à canaliser mes émotions afin de faire au mieux mon travail, mais maîtriser ma sensibilité a toujours été quelque peu difficile pour moi. Et ce fait s’est accentué au moment où j’ai rencontré Maelyss… Son histoire me touche au plus profond ! Je lis en elle comme dans un livre ouvert. Je ressens sa souffrance comme si c’était mois qui souffrais. Je vis le combat qu’elle se livre à elle-même depuis quatre ans. Les petites victoires accomplies jusqu’ici. Mais surtout : je me rends compte que malgré les efforts fournis et le chemin qu’elle tentait tant bien que mal d’emprunter pour guérir, demeurait encore incertain et parsemé d’embuches dont j’ignore si elle parviendra un jour à les surmonter…

 
 
Buu observa les deux Kikoha fuser sur son adversaire quand soudain, ses yeux s’arrondirent comme des soucoupes lorsque ses clones modifièrent leur angle d’attaque avant de se projeter mutuellement les boules d’énergie qui les réduisirent en miettes.
 
— Tes attaques sont inutiles. Nous avons été formés aux duels de magie. Si tu veux gagner ce combat, je te suggère de faire mieux que des attaques énergétiques…
 
 
 
Un grognement s’échappa des lèvres de Buu. En une fraction de seconde, il  pivota sa crête, laissant apparaître un rayon de couleur rose qui se rua sur son opposant. Mais à peine fut-il à mi-chemin de sa cible que le faisceau s'arrêta subitement avant de changer de trajectoire pour foncer sur son expéditeur qui l’esquiva sans difficulté.
 
Korn fixa son adversaire foncer sur lui. Il semblait fou de rage et arma un puissant coup de poing qu'il lui asséna en pleine face. Korn se protéga en interposant ses avant bras mais sous la puissance de l'impact, il fut propulsé violemment en arrière, traversant le mur du fond du palais avant d’atterrir lourdement sur le sol. Le Gardien se releva le corps complètement déformé. Mais plus pour très longtemps car une fraction de seconde plus tard, ce dernier reprit sa forme initiale au même titre que le mur du palais qui se reconstitua à son tour.

 
« Quelle puissance… je n’ai jamais vu ça ! » pensa Korn, les yeux rivés sur Buu.
 
Le Gardien fixa un instant son adversaire, troublé. Où avait-il acquis une force pareille ? Il devait sûrement avoir suivi une formation spéciale dans son univers. Il ne voyait pas d’autres explications. Mais pourquoi avait-il autant délaissé la magie ? Un choix délibéré de son créateur ? De lui ? Dans tous les cas, cette erreur allait lui coûter cher...
 
Buu serra les poings, puis se propulsa en direction de son opposant quand tout à coup, ses jambes gonflèrent subitement, le stoppant dans son élan. Buu observa ses membres enfler sans pouvoir les arrêter. Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’une de ses jambes se dressa d’elle-même avant de le frapper violemment au visage. Buu écarquilla les yeux. Que lui arrivait-il ? Pourquoi son corps ne lui obéissait-il plus ? Le Djinn tenta de reprendre le contrôle de son membre, en vain.
 
— Tu ne peux rien contre moi, abandonne !

— Pff, tu rêves !

— Allez, rends-toi ! Cela t’évitera de te de rendre encore plus ridicule…
 
Buu lâcha un grognement. Et en plus il le narguait ? Ce microbe ne perdait rien pour attendre !
 
Plusieurs secondes s’écoulèrent. Une éternité pour Buu qui subissait la violence et la puissance de son propre corps totalement déformé par les coups qu’il ne pouvait esquiver.
 
Puis soudain, la délivrance.
 
Buu reprit peu à peu ses esprits avant de jeter regard noir à son adversaire. Il avait du mal à l’admettre, mais il avait raison. Il avait affronté les guerriers les plus puissants de l’univers, mais jamais il n’avait été confronté à un Majin. Et son bref combat contre son double lorsqu’il s’en était séparé était une pâle comparaison avec le duel qu’il était en train de mener. La créature rose fronça les arcades. Ces Djinns n’étaient peut-être pas très puissants, mais leurs pouvoirs magiques compensaient largement cette faiblesse. D’ailleurs, où avaient-ils acquis de tels pouvoirs ? Les avaient-il eut d’office ? Par absorption ? Et surtout : de quelle manière allait-il le vaincre ? Sa magie était sans cesse contrecarrée et user de la force brute et des attaques énergétiques ne servirait à rien face à ce Majin…
 
Devenir plus fort. Toujours plus fort ! Telle était devenue sa lubie depuis son combat contre Gotenks où il avait subit le pire des affronts. Du moins c'est ce qu'il avait toujours cru... jusqu'à aujourd'hui. Une envie qui tourna presque à l’obsession au point d’en négliger la magie. À tort ? Nul ne saurait vraiment le dire. Mais grâce aux guerriers qu’il avait absorbés et au petit cadeau que lui avait fait Tayrun, il était à présent l’être le plus fort de l’univers et il comptait bien le rester ! Face à ce Majin, Buu réalisa que cette quête de puissance absolue lui avait fait perdre conscience qu'une humiliation résumait pas qu'à la force physique. Et qu'à ce niveau-là, la magie pouvait causer bien plus de ravages. Depuis qu'il s'était débarrassé de Babidi, il s'était juré de ne plus se laisser dominer par qui que se soit. Surtout pas par un Mage. Et voilà que le cauchemar recommençait... Avec des Majins plus faibles que lui qui plus est ! Buu serra les poings. Il n'était pas question qu'il se laisse faire par cette magie cette fois-ci. S'il en était arrivé jusqu'ici, ce n'était certainement pas pour se faire voler la vedette par ces moucherons ! Aussi, il était temps de prendre les choses en mains et d’inverser quelque peu la tendance...
 
Se hisser dans le haut du peloton des combattants invincibles lui plaisait énormément, mais l'idée d'être un guerrier magicien possédant de puissants pouvoirs magiques, lui plaisait encore plus ! Mais pour cela, il fallait qu'il acquière plus de magie. Et ces Djinns allaient l’aider à parvenir à ses fins…

— Tu as gagné, je m’incline, annonça-t-il finalement.

— Hein ? fit Korn les yeux écarquillés.
 
— Enfin une décision censée, lâcha Doorge, les bras croisés.
 
— Tu es vraiment très fort. Beaucoup plus que je ne le pensais je dois le reconnaître. Tu as dû travailler très dur pour acquérir un tel niveau, fit remarquer Buu.
 
— Des siècles de formation et des décennies d’entraînement, répondit Korn qui relâcha quelque peu sa garde.
 
— Je vois. Et est-ce que tes copains sont aussi forts que toi ?
 
— Bien sûr qu’ils le sont ! Mais notre Prince l’est encore plus !
 
— Vraiment ? Intéressant… pensa Buu, ravi de la réponse du Djinn. J’aimerai bien que vous me donniez quelque cours, Prince.
 
— Tu te fiches de nous ou quoi ? Tu tues des innocents, tu insultes notre souverain et tu as le culot de demander qu’on t’aide ?
 
— Ne t’en fais pas Korn, fit Doorge. Avec ce qu’on a vu, cela va prendre des siècles avant qu’il atteigne un niveau acceptable. Il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter, ajouta-t-il d’un ton railleur.
 
Buu accusa la remarque non sans difficulté. Si extérieurement son visage arborait une impassibilité déconcertante, à l’intérieur, la rage l’avait emporté depuis bien longtemps. Encore plus insolant que l’autre ! Décidément il avait gagné le gros lot… Mais il n’avait pas dit son dernier mot. Et pour l’heure, pas question de se démonter face à ces microbes ! Il avait peut-être perdu cette petite bataille, mais la guerre était encore à sa portée. Rira bien qui rira le dernier !
 
— Cela suffit, Doorge, cesse de persifler, intervint Jaï. Je te rappelle que tu es toujours en service et je ne tolère pas ce genre de comportement en ces lieux, est-ce clair ?
 
— Oui, votre majesté, répondit le concerné.
 
— Il est vrai que notre invité a commis un grave délit. Mais étant donné qu’il n’appartient pas à notre monde, il ne m’appartient pas de statuer sur son sort. Cette responsabilité revint à maître Tayrun. Après tout, c’est lui qu’il l’a fait venir ici. « Et je commence à comprendre pourquoi… » pensa-t-il, le regard fixé sur Buu.

Mais ce qu’il ne saisissait pas en revanche, c’était pour quelle raison le Vergassien ne l’avait-il pas mis au courant des lois qui régissaient leur univers ? Un fait plutôt étrange… Surtout de la part du dirigeant suprême de la planète. N’en avait-il eu pas le temps ? Ou était-ce Buu qui n’avait rien écouté. Une hypothèse tout à fait envisageable lorsque l’on connaissait un tant soit peu le personnage aux traits désinvoltes.
 
— Cela étant, poursuivit le Prince. On ne doit jamais refuser d’aider son prochain. Surtout lorsqu’il nous le demande. Alors, si Tayrun décide de te garder ici, j’accepterai de te donner quelques cours, annonça-t-il en souriant.
 
— Merci beaucoup, c’est très généreux de ta part.
 
— Le plaisir est pour moi. Et puis tu verras, je suis certain que tu apprendras très vite.
 
— Heh, vous ne croyez pas si bien dire votre altesse, lâcha Buu avec un sourire diabolique.

Une fraction de seconde plus tard, il anima le minuscule bout de chair de l’un de ses clones gisant sur le sol, puis le projeta sur Korn pour l’engloutir avant de l’amener à lui d’un bref mouvement de l’index de sa main droite sous le regard choqué des cinq démons.

— Waaaahhh ! Je me sens beaucoup mieux tout à coup, lança Buu dont le sourire élargi dévoilait à présent l’intégralité de ses dents. Oh, j’ai pris quelques cours d’avance, cela ne te dérange pas j’espère ?! fit-il à l’intention de Jaï.
 
Le crime de trop.
 
Les Gardiens se figèrent sur place, frappé de stupeur. Chacun tentait de faire face à l’infâme sacrilège qui avait été commis sous leurs yeux. La tension avait atteint son paroxysme. Effroi, tristesse, indignation… les émotions se bousculaient. Mais pour tous, un sentiment dominait plus que les autres :

 
La colère.

Le Prince bondit hors de son siège les poings serrés, les yeux rivés sur Buu qui ne semblait pas plus perturbé par le regard haineux que lui lançaient ses comparses...

[xela26]

Ah merde!

Je voulais revenir sur l'avant dernier chapitre, mais tu as déjà posté, tant pis !
Juste pour dire que j'aime vraiment la tournure que prennent les choses.
La plupart des fanfics avec Buu, en tout cas celles que j'ai lu en font rapidement un être ultra balaise, si ce n'est quasiment indépassable, ce qui amoindrit l'interêt que l'on peut porter puisque le Majin, vu sa puissance et les qualités de son corps, n'a que peu de chances d'être mis en danger.
Mais la, voir un Buu totalement dominé par d'autres Majins nous prends à contre pieds, en plus d'ouvrir de larges possibilités pour l'avenir de Buu (enfin s'il en a un!). Et c'est fait avec Brio.

J'attends avec impatience la réaction du Prince Jai face à cette absorption rondement menée!

[Lyne]

Ah merde!


Juste pour dire que j'aime vraiment la tournure que prennent les choses.

C'est bon ça !

La plupart des fanfics avec Buu, en tout cas celles que j'ai lu en font rapidement un être ultra balaise, si ce n'est quasiment indépassable, ce qui amoindrit l'interêt que l'on peut porter puisque le Majin, vu sa puissance et les qualités de son corps, n'a que peu de chances d'être mis en danger.

C'est aussi mon sentiment vis à vis des autres fics. Et c'est pour cette raison que j'ai voulu faire différemment. Du moins, j'essaie

Mais la, voir un Buu totalement dominé par d'autres Majins nous prends à contre pieds, en plus d'ouvrir de larges possibilités pour l'avenir de Buu (enfin s'il en a un!). Et c'est fait avec Brio.

Pour moi, Buu est clairement le personnage avec lequel tu peux quasi tout faire. Un diamant brute qui cherche des petits tailleurs pour le sculpter. Et personnellement, je trouve que se limiter à un aspect de sa personnalité ou de se focaliser sur un attrait comme la quête de la badassitude est clairement dommage tant tu peux faire de choses avec. Donc j'espère vous surprendre avec cette version du personnage !

J'attends avec impatience la réaction du Prince Jai face à cette absorption rondement menée!

Merci pour ton retour Xela! Et aussi ton aide qui je l'ai déjà dit, m'est très précieuse ^^

[Masenko]

Hello !

Voilà, j'ai lu ton chapiiitre !!

Je suis bien d'accord avec les autres, ça fait plaisir de voir Buu dans une situation pareille... Et en même temps, j'le trouve fidèle à lui-même ! J'ai hâte de voir la suiiite !

Pour Maelyss, les choses se précisent... La scène avec sa gardienne était plaisante à lire mais j'espère qu'elle va rapidement passer au-dessus de son orgueil pour s'expliquer avec sa famille !

Bref, au niveau du fond, j'aime de plus en plus !


Mon point noir ira donc sur la forme...
Je ne pense pas que c'était pareil dans les autres chapitres mais ici j'ai du mal avec tes changements de point de vie narratif... Passer de la 1ère à la 3e personne pourrait encore passer (et encore, je pense que très peu d'entre nous, "fiqueurs", seraient capable de parfaitement le gérer...) mais alors passer de deux points de vue à la première personne + troisième personne sur un seul chapitre... ça fait un peu un drôle de mélange...

Si tu as vraiment envie de "jouer" avec ça, tu devrais le faire avec parcimonie, du genre mettre en italique un petit paragraphe des pensées de Genie... Et choisir le point de vue et le garder pour le reste ! a priori je préférerais la 3e personne pour tout parce que si tu choisis Maelyss comme narrateur, ça signifie qu'elle est au courant de ce qui se passe avec Buu au même moment alors dans ce cas-la il faut spécifier pourquoi ! (et surtout qu'elle soit la narratrice depuis le début...)
Là, je ne vois encore aucune bonne raison prouvant qu'elle sache... Ou alors tu peux encore opter pour le changement de narrateur d'un chapitre à l'autre mais pas d'un paragraphe à l'autre, je pense...

D'autant plus que j'ai remarqué plus de problèmes de conjugaison dans ce chapitre également, tu passes plus souvent du présent au passé et vice-versa. C'est normal, la manière d'écrire dans un passage narratif se traite différemment qu'une "parole" qu'on peut légitimement mettre au présent... Mais il ne faut pas confondre les deux. Voici un exemple, tu utilises le passé tout le temps sauf là où j'ai mis en couleurs

Je regardai ma meilleure amie la mine sombre sans dire un mot. Sa tristesse et son désespoir m’heurtaient au plus profond de mon être. Je voulais tant la réconforter, mais aucun son ne trouva le chemin de mes lèvres. J’étais dépitée, en colère ! Contre moi-même d'être incapable de l'aider comme je le souhaitais. Contre sa famille de ne pas lui avoir donné l'attention qu'elle méritait et de pas l'avoir traitée comme ses frères. Contre Darkon. Darkon... Ce maudit Mage avait vraiment fait de sacrés dégâts avec Maelyss. Et malgré mes nombreux efforts je n’étais toujours pas parvenue à annuler son emprise. Encore moins l’impact que cela avait eu sur ma maîtresse… Il avait profité d’elle comme un vulgaire pantin. S’était servit de sa naïveté et de sa peine refoulée pour l'inciter à le rejoindre. L'avait torturée, humiliée, rabaissée pour assoir son emprise sur elle. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il avait réussi ! Si bien, que cela a finit par altérer ses perceptions et ses ressentiments face à la réalité...

Et le pire dans tout ça, c'est que je ne peux rien y changer. Le combat, c'était elle qui devait trouver la force pour le mener. Moi je ne suis que la béquille qui l'aide à se maintenir debout. Enfin, j'étais quand même plus que ça... Je n'étais pas que spectatrice de sa lutte acharnée, j'en suis également souvent l'actrice... (rouge = passé)

Être une Majin a en réalité beaucoup d’avantages. Notre corps peut se modifier, s’étirer, se dédoubler, se soigner, se régénérer, absorber à l’infini. Nous pouvons rester plusieurs semaines consécutives sans manger, boire et dormir. Aucun problème de pilosité ! -Très pratique ! Cela nous économise les frais d’instituts de beauté, rasoirs privés et autres ustensiles de torture, brrr ! Ça doit faire mal !- et en plus de ça, nous possédons des pouvoirs magiques phénoménaux !

Ce passage-ci peut s'expliquer au présent (même si il serait aussi bien au passé ! ) si on considère que c'est un fait "intemporel" qu'elle exprime... mais en aucun cas les autres passages ! Tu dois choisir entre présent et passé... Perso, je te conseille le passé, moins de temps compliqués à respecter

Voilà, je suis sûre que tu feras le bon choix pour la bonne ambiance de ton histoire et que tu sauras bien le respecter !


Je lirai évidemment la suite avec attention !!! Merci pour ton histoire originale et fraîche !

[Lyne]

Mon point noir ira donc sur la forme...
Je ne pense pas que c'était pareil dans les autres chapitres mais ici j'ai du mal avec tes changements de point de vie narratif... Passer de la 1ère à la 3e personne pourrait encore passer (et encore, je pense que très peu d'entre nous, "fiqueurs", seraient capable de parfaitement le gérer...) mais alors passer de deux points de vue à la première personne + troisième personne sur un seul chapitre... ça fait un peu un drôle de mélange...

Aie... ok.

Si tu as vraiment envie de "jouer" avec ça, tu devrais le faire avec parcimonie, du genre mettre en italique un petit paragraphe des pensées de Genie... Et choisir le point de vue et le garder pour le reste ! a priori je préférerais la 3e personne pour tout parce que si tu choisis Maelyss comme narrateur, ça signifie qu'elle est au courant de ce qui se passe avec Buu au même moment alors dans ce cas-la il faut spécifier pourquoi ! (et surtout qu'elle soit la narratrice depuis le début...)
Là, je ne vois encore aucune bonne raison prouvant qu'elle sache... Ou alors tu peux encore opter pour le changement de narrateur d'un chapitre à l'autre mais pas d'un paragraphe à l'autre, je pense...

D'autant plus que j'ai remarqué plus de problèmes de conjugaison dans ce chapitre également, tu passes plus souvent du présent au passé et vice-versa. C'est normal, la manière d'écrire dans un passage narratif se traite différemment qu'une "parole" qu'on peut légitimement mettre au présent... Mais il ne faut pas confondre les deux. Voici un exemple, tu utilises le passé tout le temps sauf là où j'ai mis en couleurs

Je regardai ma meilleure amie la mine sombre sans dire un mot. Sa tristesse et son désespoir m’heurtaient au plus profond de mon être. Je voulais tant la réconforter, mais aucun son ne trouva le chemin de mes lèvres. J’étais dépitée, en colère ! Contre moi-même d'être incapable de l'aider comme je le souhaitais. Contre sa famille de ne pas lui avoir donné l'attention qu'elle méritait et de pas l'avoir traitée comme ses frères. Contre Darkon. Darkon... Ce maudit Mage avait vraiment fait de sacrés dégâts avec Maelyss. Et malgré mes nombreux efforts je n’étais toujours pas parvenue à annuler son emprise. Encore moins l’impact que cela avait eu sur ma maîtresse… Il avait profité d’elle comme un vulgaire pantin. S’était servit de sa naïveté et de sa peine refoulée pour l'inciter à le rejoindre. L'avait torturée, humiliée, rabaissée pour assoir son emprise sur elle. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il avait réussi ! Si bien, que cela a finit par altérer ses perceptions et ses ressentiments face à la réalité...

Et le pire dans tout ça, c'est que je ne peux rien y changer. Le combat, c'était elle qui devait trouver la force pour le mener. Moi je ne suis que la béquille qui l'aide à se maintenir debout. Enfin, j'étais quand même plus que ça... Je n'étais pas que spectatrice de sa lutte acharnée, j'en suis également souvent l'actrice... (rouge = passé)

Être une Majin a en réalité beaucoup d’avantages. Notre corps peut se modifier, s’étirer, se dédoubler, se soigner, se régénérer, absorber à l’infini. Nous pouvons rester plusieurs semaines consécutives sans manger, boire et dormir. Aucun problème de pilosité ! -Très pratique ! Cela nous économise les frais d’instituts de beauté, rasoirs privés et autres ustensiles de torture, brrr ! Ça doit faire mal !- et en plus de ça, nous possédons des pouvoirs magiques phénoménaux !

Ce passage-ci peut s'expliquer au présent (même si il serait aussi bien au passé ! ) si on considère que c'est un fait "intemporel" qu'elle exprime... mais en aucun cas les autres passages ! Tu dois choisir entre présent et passé... Perso, je te conseille le passé, moins de temps compliqués à respecter

Voilà, je suis sûre que tu feras le bon choix pour la bonne ambiance de ton histoire et que tu sauras bien le respecter !

Ouais... Bon. En fait, à la base je voulais utiliser cette technique de narration pour changer l'angle d'approche. Et aussi parce que dans certains car, c'est beaucoup plus facile pour moi de le faire ressortir via le personnage qui parle qu'une simple introspection. Mais effectivement j'avais du mal à avec la conjugaison qui est un peu ma bête noire par moment. Et je ne pensais pas non plus que cela perturberait/que cela ne se faisait pas de changer plusieurs fois d'angle d'approche lors d'un chapitre... mon effet tombe à l'eau donc. Je tâcherai de faire plus attention la prochaine fois...

Je suis bien d'accord avec les autres, ça fait plaisir de voir Buu dans une situation pareille... Et en même temps, j'le trouve fidèle à lui-même ! J'ai hâte de voir la suite !!

Pour Maelyss, les choses se précisent... La scène avec sa gardienne était plaisante à lire mais j'espère qu'elle va rapidement passer au-dessus de son orgueil pour s'expliquer avec sa famille !
Bref, au niveau du fond, j'aime de plus en plus ! Je lirai évidemment la suite avec attention !!! Merci pour ton histoire originale et fraîche !

Je suis contente que Buu soit apprécié, car c'est l'une de plus grosses craintes que j'ai au niveau de la fic étant donné qu'il est le personnage principal. Le faire à ma façon tout en le respectant mais qu'il ne soit pas boudé des lecteurs! Pour Maelyss et sa famille, ça va être difficile

Merci pour ton retour! J'espère que la suite te plaira

[Masenko]

Tu seras plus à l'aise et efficace en maîtrisant UNE technique de narration, crois-moi Choisis-en une qui correspondra le mieux à ce que tu veux faire passer de ton histoire et de tes personnages et construits tout autour pour la respecter tout en faisant passer un max de choses. Fais-toi confiance pour arriver à faire passer le ressenti de tes persos même sans les "faire parler" ^^

Biiiizz !

[Lyne]

Voilà le chapitre 7!

Avec la collaboration active d'Omurah ! Alors, un grand merci à toi! Et l'aide précieuse de Xela qui est toujours au taquet! Merci les gars, vous êtes géniaux ! ^^

__________________________________________________________________________________________________________________________________

La mâchoire aussi crispée que ses doigts soudés en un poing de fer, Jaï fulminait intérieurement, définitivement. Depuis l’incident avec ce Majin fou trois millions d’années plus tôt - et sa prise de pouvoir - aucun Djinn n’avait plus utilisé l’absorption de matière. Technique interdite par la loi depuis lors, ce qui avait d’ailleurs fortement contribué à réduire l’usage de l’assimilation de données -pouvoir lié à l’absorption de matière- auprès du peuple Majin. Le prince braqua son regard sur le criminel tandis que la rage déferlait en son esprit. L'infamie perpétrée par l'éructation de Buu après l'assimilation de Korn sonna comme une véritable déclaration de guerre.

En tant que dirigeant, Jaï était responsable de ses sujets ainsi que de leur protection. Et si Korn avait été absorbé c’était entièrement de sa faute ! Comment avait-il pu se laisser berner aussi facilement ? Jamais il n’aurait pensé qu'un Djinn puisse s'abaisser à en absorber un autre. Mais qu'à cela ne tienne ! L’absorption de matière constituait un crime indéfendable et le Djinn coupable d’un tel acte était bon pour un emprisonnement à perpétuité...

— Korn… souffla Doorge encore sous le choc. Comment as-tu osé ?

— Quoi ? Ce combat était inégal. 'Fallait bien que je rééquilibre les forces..., répondit simplement Buu.

Et puis bon, il n'allait quand même pas laisser ces Majins être plus forts que LUI…

— Monstre ! Crois-moi, tu vas payer pour tout ce que tu as fait, siffla Jaï. On ne commet pas d'actes aussi abjects sans être puni !

— Oh, donc tu comptes m’arrêter ? lâcha Buu sur le ton de la provocation.

Un duel de regards débuta dans un silence si cérémonieux que personne n’osa le perturber. Pas même Muun, le garde rapproché du prince, resté silencieux jusqu’alors. Ou encore Doorge qui s’était reculé de quelques pas, réalisant qu’il n’avait absolument pas sa place dans le combat de titans qui allait s’engager d’un instant à l’autre.

Le « combat » s'étirait en longueur sans qu’aucun des deux adversaires ne daigne lancer le premier assaut. D’un côté, le Prince et ses gardes, -le regard froid comme la glace, témoignant de leur hostilité- et de l’autre… Buu, qui affichait une attitude totalement décontractée, lui dont la main droite tressautait régulièrement, à la manière d'une main de cowboy prêt à dégainer.

Soudain, le prince Jaï se para d'une sphère protectrice.

Le coup d’envoi.

Buu fit aussitôt de même. Et puis… plus rien.

Les yeux du camarade de Korn firent l'aller-retour entre le bouclier rose de Buu et celui - vert - de Jaï. Doorge remarqua bien vite que la barrière rose était une barrière anti-magie tandis que la verte était –elle-, une barrière anti-Ki. Manifestement Buu et Jaï se protégeaient des attaques contre lesquelles ils se savaient chacun plus particulièrement vulnérables. Il n'avait échappé à personne que Buu était plus fort que tout le monde en ces lieux, pour ce qui était de la force brute du moins. Mais il n'avait échappé à personne non plus, que Jaï était selon toute vraisemblance largement supérieur à Buu quant à la maîtrise de la magie, absorption de Korn ou pas.

Ne restait plus au destin qu'à jeter sa pierre.

Bien vite, Muun et Doorge s’ornèrent chacun d’un bouclier aussi bien anti-magie que anti-Ki. Les balles perdues étaient si vîtes lâchées… Et elles pouvaient tout aussi bien provenir du Prince que du criminel. La prudence était donc de rigueur.

Le combat s'engagea alors, Buu décochant un poing par étirement du bras gauche jusqu'à la position du prince qui fut littéralement scié en deux par le choc reçu en plein ventre. La protection anti-Ki avait été passée comme du beurre, éclatée comme une cloche en verre. La moitié supérieure du corps de Jaï, plutôt que de retomber lourdement au sol, prit immédiatement la forme complète du prince qui atterrit - des deux pieds - en équilibre sur l'infini bras de Buu, qu'il remonta alors au pas de course, tandis que la moitié inférieure se fendait déjà d'une clé de bras au niveau du membre allongé de Buu, ce à dessein d'immobiliser ce dernier. Le Prince Jaï - fusant le long du bras de Buu en hypervitesse - parvint très vite à portée du majin, qui n'eut que le temps de cligner des yeux. Le Prince fit rougir son poing comme un boulet qu'il abattit droit dans la gorge exposée de Buu.

Une explosion indicible s'en suivit. La chaleur qu'elle dégagea suffit à faire craqueler le bouclier du capitaine Doorge, sur lequel s'écrasa le corps de Buu, projeté en arrière par la violence de la déflagration. Le prince Jaï quant à lui se tranchait déjà le bras ayant frappé l'ex-marionnette de Babidi. Il se le tranchait dès fois que Buu aurait sciemment laissé traîner quelques morceaux microscopiques de sa propre personne. Oui, car plus c'est petit plus c'est vicieux ! Jaï fit repousser le bras tranché, le nouveau membre servant au passage à désintégrer l'ancien avant même que ce dernier n'ait eu le temps de toucher les carreaux.

« Bon, son bouclier n'est au final qu’un bouclier anti-magie » conclut Jaï, étonné de voir que Buu n'avait pas pris la peine de chercher à se défendre des attaques autres que magiques. À croire que ce dernier ne craignait guère que ça…

Muun et Doorge de leur côté s'étaient déjà éloignés du criminel au pas de course. Jaï observa un instant de flottement. Non pas qu'il perdait en concentration, mais quelque chose clochait définitivement depuis un bon moment déjà. Et le Prince cherchait encore à mettre le doigt sur le quelque chose en question.

Son air examinateur se mua bientôt en air catastrophé lorsqu'il vit la colonne d'or à proximité de Doorge se changer subitement en masse gélatineuse informe. Laquelle recouvrit très vite toute la surface du bouclier de Doorge. Jaï fonça en direction du valeureux capitaine, mais s'arrêta au bout de trois pas à peine, comprenant qu'il arriverait trop tard. Le prince des Majins abattit aussitôt son poing sur la colonne d'or à sa gauche, serrant lourdement les dents, sans mot dire, tandis que son esprit en arrivait à la conclusion qu'il aurait dû tirer beaucoup plus tôt.

« Certains objets meublant la salle du trône ont été remplacés » analysa le Prince, les yeux rivés sur l’ensemble de la pièce.

L'idée de se téléporter au cœur du bouclier de Doorge pour y pêcher l'occupant en question - et ressortir avec - traversa l'esprit de Jaï. Mais c'était beaucoup trop risqué hélas. Et le prince s'en voulut au possible.

La possibilité que Buu prenne la forme des éléments du décor n'avait pas fait partie des plans de Jaï. Ce dernier n'avait pas non plus prévu le fait que le renégat s’approprierait aussi bien les pouvoirs du garde précédemment absorbé. Le pire étant que Jaï ne savait toujours pas quelle partie du mobilier était authentique et quelle ne l'était pas. Il reconnaissait bien là le talent de Korn. L’un des plus redoutables pouvoirs de ce dernier, sans aucun doute.

Jaï s'éloigna prudemment de la colonne d'or sur laquelle son poing rageur s'était écrasé, puis il s'avança vers la position de Buu en lévitant tout en scrutant les carreaux sous leurs pieds…

Lorsque le prince releva un instant la tête pour voir ce que faisait Buu, ce dernier en avait déjà fini avec l'absorption de Doorge qu'il avait “avalé” tout rond, bouclier inclus.

Jaï s’avança encore tout en guettant une modification au niveau de Buu. Mais aucun changement ne se produisit en apparence. Et bientôt les deux Majins se tinrent nez à nez, yeux dans les yeux, le dos bien droit, les poings serrés pour Jaï, flasques pour Buu.

Le prince des Djinns toisa son adversaire tandis que la colère achevait de faire bouillonner son être. Cela ne pouvait pas se passer ainsi. D’ailleurs, cela n’allait pas se passer ainsi ! Jaï haussa brièvement de la tête. Un tourbillon de lumière blanche et violette illumina alors subitement la pièce, qui tournoya à la vitesse du son, avant de s’arrêter brusquement. La lumière s’estompa, laissant apparaître les silhouettes des cinq Djinns, à savoir : Buu, Jaï, Doorge, Muun et enfin Korn.

Les yeux de Jaï s’écarquillèrent d’effroi lorsqu’il vit la colonne d’or à proximité de Doorge se changer subitement en masse gélatineuse informe.

Un clignement des yeux.

La masse ralentit brusquement son mouvement sur la surface du bouclier de Doorge et se figea net avant même d’avoir pu achever son œuvre. Sous la forme d’un courant d’air immatériel Jaï fusa en direction du valeureux Doorge, traversa son bouclier et emporta le gardien avec lui avant de se dévoiler enfin, une cinquantaine de mètres plus loin.

Le rescapé s’éloigna du Prince en lévitant, les sens en alerte, scrutant chaque parcelle de la pièce. Aucune des zones de la salle du trône n’étant plus sécurisée à présent, Muun emboita le pas de Doorge, d’un air tout aussi méfiant. Pas assez. Le pot de fleur se trouvant à proximité de Muun se changea en magma rose avant d’engloutir le démon.

Un nouveau tourbillon de lumière blanche et violette illumina subitement la pièce qui tournoya à la vitesse du son avant de s’arrêter brusquement, dévoilant la silhouette des cinq Djinns. Doorge s’éloigna du Prince en lévitant, les sens en alerte, scrutant chaque parcelle de la pièce, aucune des zones de la salle du trône n’étant plus sécurisée à présent, Muun emboita le pas de Doorge, d’un air tout aussi méfiant.

Ce duel s’annonçait plus serré que Jaï ne l’avait pensé. Et manifestement Buu avait décidé de tous les impliquer dans le combat. Voilà qui rendait les choses encore plus compliquées pour Jaï. Modifier le temps à volonté présentait de très nombreux avantages, mais remonter le temps – comme le prince venait de le faire par deux fois - était une action bien délicate dont les conséquences demeuraient incertaines…

Mais la plaisanterie avait assez duré, et il n’était pas question pour Jaï de perdre un gardien de plus. D’un clignement des yeux, le prince fit apparaître une sphère magique bleue autour de ses Gardes, afin de les mettre à l’abri et hors de portée de Buu. Jaï fixa son adversaire d’un air pensif. Quelque chose clochait définitivement. Jusqu’ici Buu n’avait rien fait d’autre qu’attaquer ses hommes… Soudain, la vérité apparut aux yeux du prince comme le nez au milieu du visage.

Le Prince porta son regard au niveau du carreau rose sur lequel il se tenait. Jaï écarquilla les yeux lorsqu’il vit une lumière jaune surgir brusquement du carreau en question, pour aussitôt se muer en masse gélatineuse. Mais à peine la gélatine eut-elle le temps de recouvrir le Prince, qu’un cri sonique émanant de Doorge la détruisit. Jaï profita de l’effet de surprise pour se téléporter plusieurs mètres en arrière.

— Raté, lança le Prince d'une voix morne.

— J'aurais essayé, sourit Buu.

— Alors, tes nouveaux pouvoirs magiques ? s'enquit Jaï sur le ton de la conversation.

— Gé-ni-aux ! assura Buu d’un air guilleret, toutes dents dehors.

Le Prince tiqua :

— Tu m’en vois ravi. Quel dommage cependant que tu doives t’en séparer aussi rapidement.

— Quoi ?

— Tayrun arrive.

Le sourire euphorique de Buu s’effaça aussitôt, laissant entrevoir une pointe d’inquiétude.

— ...Dans combien de temps sera-t-il là ?

— Maintenant ! résonna la voix du Mage avant de surgir brusquement dans la salle du trône.

Tel que le voulait la tradition, le prince et sa garde s'inclinèrent légèrement pour témoigner de leur respect envers leur créateur. Une lumière rose illumina subitement la pièce, perçant à jour chacun des bouts du corps de Buu qui s'étaient dissimulés dans la salle. Alors que les meubles reprenaient leur place originelle, les particules restantes de Buu éclatèrent en mille morceaux avant de s'évaporer.

— Buu, je suis très contrarié de constater que tu n’as pas suivi les consignes que je t’ai données lors de ta venue ici, déclara le Vergassien d'une voix calme mais ferme.

Le démon fixa le Mage d’abord impassible, puis éclata d’un rire sonore :

— Parce que tu croyais vraiment que j'allais t'écouter ? Tu ne sais pas à qui tu as affaire !

— Il me semblait pourtant avoir été suffisamment clair à ce sujet.

— Maître, ce Majin s'est rendu coupable de crimes inqualifiables ! déclara Jaï, les poings serrés. Il a tué un Vergassien pour le manger et a absorbé Korn, termina le Prince. J'ai essayé de l'arrêter, mais...

— Korn ? répéta Tayrun. « Très bon choix ! Il n'a pas perdu de temps... Espérons que le manque de rapidité d'exécution de sorts de son nouvel hôte ne lui porte pas trop préjudice », pensa le Mage. Je ne puis décidément pas te laisser seul un instant sans que tu ne fasses de bêtises...

— Heh, fallait bien que je m'occupe ! sourit Buu à la manière d'une pub Colgate.

L'œillade haineuse des trois Majins s'abattit sur le criminel telle une pluie de météorites sur une planète infortunée. Mais Buu n'y prêta aucune attention, trop occupé à défier le Mage du regard.

— As-tu réfléchi à notre petite conversation de tout à l’heure ?

— Ton offre ne m'intéresse pas, désolé. Trouve-toi quelqu'un d'autre !

— Dois-je en conclure que tu refuses ?

— T'es pas si bête que ça finalement...

— Très bien. Je ne voulais pas en arriver là, mais tu ne me laisses pas le choix.

Buu arqua les arcades, perplexe.

D'un bref mouvement de la main droit, Tayrun fit apparaître une Lampe magique noire aux bordures dorées, ornées de pierres précieuses sur laquelle un « M » était gravé.

— Je ne pense pas que tu te rappelles de ceci. Mais elle a été créée le jour de ta naissance sur cette planète, expliqua Tayrun d’une voix calme et posée.

Les yeux du démon s’écarquillèrent. Il était né ici ? Comment était-ce possible ? Il n’avait strictement aucun souvenir de cet endroit. Sa mémoire lui faisait-elle défaut ? Une sensation étrange s’empara du Djinn. Ce Mage semblait en savoir beaucoup plus à son propre sujet que lui-même. Etait-il un complice de Bibidi et de son fils ? Non. Il paraissait même dérisoire de penser que les deux Mages aient pu collaborer un jour ensemble. Jusqu’à présent, Buu ne s’était jamais réellement posé de questions sur son passé. Il n'en avait d’ailleurs jamais vu l’intérêt. Il avait même sciemment laissé de côté tout ce qui se rapportait à ses anciens lui et à ses précédents maîtres… Comment ce Vergassien pouvait-il savoir tout ça ?

— Et ? Que veux-tu que ça me fasse ?

— Rien. Mais tu as encore beaucoup de choses à connaître. Et puisque tu ne sembles pas disposer à les apprendre, je me vois contraint de t'y obliger.

Buu fronça à nouveau les arcades, perplexe. De quoi Tayrun parlait-il ? Et où voulait-il en venir exactement ? Les yeux du Majin s'écarquillèrent subitement alors qu'un flash lui traversait l'esprit.

L'objet magique !

Le Djinn rose fit instinctivement un pas en arrière, une goutte de sueur perlant sur sa tempe. D'après les souvenirs de Korn, le Vergassien se servait de ces artefacts pour emprisonner les Djinns criminels ou récalcitrants... La mâchoire et les dents, -toutes deux serrées- Buu fixa l'objet alors que la colère affleurait son esprit. Non, il ne pouvait pas laisser une chose pareille se produire ! Cette Lampe lui rappelait trop son ancienne prison. Et sa liberté lui était bien trop précieuse pour permettre à ce Mage arrogant de l'enfermer à nouveau. Mais que faire ? Buu réfléchit à toute vitesse et fouilla dans la mémoire de Korn dans l'espoir de se ménager une sortie. Sans succès.

Ce qui devait arriver, arriva.

Le Vergassien orienta l’objet magique en direction du Majin qui eut un nouveau mouvement de recul avant d’être attiré par le sceau qui l’aspira à l’intérieur sans qu’il ne puisse faire quoi que ce soit.

« J’espère que ces quelques jours passés là-dedans suffiront à te faire reprendre tes esprits… » pensa Tayrun les yeux rivés sur l’objet. Enfin, il l’espérait, car connaissant Buu, rien n’était gagné d'avance. Mais il était confiant. Cela devait marcher !

Et d'un bref battement de paupières, le Vergassien fit disparaître la Lampe.

[Point]

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Vazy je suis pas déçu.
Je savais pas comment t'allais te débrouiller avec des combats de magie, et le rendu dans ce chapitre plait, presque autant que la mise en scène travaillée, les stratégies employées au cours du fight, et surtout, l'arrivée finale et god mode de Tayrun. D'ailleurs, bien le gars qui est presque content que Bou aie absorbé un pote ou...? Le salaud ~~
Niveau défauts, j'ai trouvé pas mal de répétitions c'est moi qui dit ça un problème ? mais rien de choquant ! J'aime bien cette fic malgré le départ " perturbant " et j'espère qu'elle sera dans la continuité de ce chapitre !

[Lyne]

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Vazy je suis pas déçu.

C'est bon ça !

Je savais pas comment t'allais te débrouiller avec des combats de magie, et le rendu dans ce chapitre plait, presque autant que la mise en scène travaillée, les stratégies employées au cours du fight, et surtout, l'arrivée finale et god mode de Tayrun. D'ailleurs, bien le gars qui est presque content que Bou aie absorbé un pote ou...? Le salaud ~~

C'EST BON ÇA !! Mais le mérite ne me reviens pas totalement. A vrai dire, c'est Omurah qui a fait une grosse partie du travail avec la matière que je lui ai donnée. Donc les compliments lui reviennent de droits, plus qu'à moi pour le coup. Même si j'ai aussi écris de mon côté.

Niveau défauts, j'ai trouvé pas mal de répétitions c'est moi qui dit ça un problème ? mais rien de choquant ! J'aime bien cette fic malgré le départ " perturbant " et j'espère qu'elle sera dans la continuité de ce chapitre !

Oh... J'espère vraiment que j'arriverai un jour à vous faire oublier ce départ déroutant... Merci pour ton retour, en espérant que la suite de déroutera pas davantage

[xela26]

Niveau défauts, j'ai trouvé pas mal de répétitions

Ah merde, on a mal fait not'boulot

Sinon J'ai bien aimé la gestion du combat avec le sorts, les "jutsu" temporels de Jai. C'est toujours chaud bouill-bouill de manipuler ce genre de pouvoirs et tu t'en sors bien.

[Lyne]

Niveau défauts, j'ai trouvé pas mal de répétitions

Ah merde, on a mal fait not'boulot [:quote]
C'est pas grave, le monde s'est pas écroulé pour autant, :€

Sinon J'ai bien aimé la gestion du combat avec le sorts, les "jutsu" temporels de Jai. C'est toujours chaud bouill-bouill de manipuler ce genre de pouvoirs et tu t'en sors bien.

Comme je l'ai dit plus haut, c'est Omurah qui a fait le plus gros du travail. Si ce n'est .. la totalité!
Donc tout le mérite lui revient!

Mais je dois avouer effectivement que les passages des rembons temporels n'étaient pas faciles à mettre en place! Contentente que ça t'aies plu ^^