Vos rêves et leurs significations.

[goten-kun]

Génial ce récit !

C'est une histoire de dingue que tu nous as raconté !! N'empêche, j'imagine dans quel état tu as du être quand tu as découvert, après tant d'années ce fameux livre !!

[Heika]

Rooh, j'ai eu un livre de cette édition, je crois !
Bé dis donc, quand tu as une idée dans le subconscient, tu ne l'as pas ailleurs !! ^^

[RMR]

J'ai fait un rêve cette nuit... Hmmm... Frustrant.

Je suis avec une fille qui me plaît, je ne sais pas où, je ne sais pas ce qu'on fait. Elle est assez menue et a les cheveux très noirs, c'est tout ce dont je me souviens de son apparence. En faisant un mouvement un peu calculé, je touche sa main avec la mienne. Elle ne la retire pas, alors je caresse doucement sa main. Elle me sourit et me demande si je veux l'embrasser, ce à quoi je répond en l'embrassant. Elle a l'air un peu perplexe. Je lui demande si c'est ce qu'elle voulait, elle me répond que oui, elle espérait ça, mais je la sens toujours gênée. L'interrogeant du regard, elle finit par me dire qu'il y a une fille qui craque sur elle et que cette fille, Isabelle, est un peu particulière, un peu... excessive. Qu'il va bien falloir qu'elle lui dise si elle se met avec moi et que ça va être chaud à gérer. Je sens son inquiétude, je lui demande si elle veut que je l'accompagne. Elle sourit à nouveau. Elle hausse les épaules, l'air de penser "j'aimerais bien que tu viennes" mais de ne pas pouvoir formuler la demande parce qu'elle veut pas m'embarquer dans un truc qui pourrait être dangereux (apparemment, Isabelle pourrait être un peu psychopathe). Cette fois, j'affirme que je l'accompagne, pour lui éviter le dilemme moral (et parce qu'Isabelle ne me fait pas très peur, aussi, malgré l'angoisse apparente de ma nouvelle petite-amie). Mais elle semble tenir à ce que je ne prenne pas ce risque et, pour concrétiser ça, part en courant (pour me semer et régler le problème seule). Je cours après elle. On entre en ville, elle passe par un trou dans une clôture et poursuit sa course sur un terrain privé. Naïf, je contourne en me disant que je la rattraperai de l'autre côté de la propriété privée. Dès qu'elle voit que je la course depuis la rue, elle s'enfonce dans la propriété privée. Ni une ni deux, je grimpe prestement la clôture pour ne pas la perdre. Et là, ça commence à devenir un peu délirant et... génial. Elle passe absolument partout, un peu comme ceux qui pratiquent le parkour, rien qui n'exige de capacité surhumaine, mais des bonds, des sprints et des grimpettes vraiment pas ordinaire. Moi, je la suis à la trace, réalisant le même parcours. Je sens une exaltation me gagner en même temps que je réalise à quelle point cette fille sort de la norme. Pour elle aussi, c'est devenu un jeu, elle est manifestement hilare en me jetant des coups d’œil et voyant que je fais tout comme elle. Je sens aussi qu'elle est en train de me mettre à l'épreuve. On voit des gens par des baies vitrées qui n'ont pas le temps de réagir, elle puis moi sommes déjà loin. À un moment, gagné par l'exaltation, je lui crie même que je l'aime, même si je sens confusément que c'est un peu exagéré. Je ne sais pas si je serais capable de la rattraper, mais je n'essaie pas, je m'épuiserais en forçant plus, alors que là je sens que je peux tenir sur la durée, et mon seul but est d'être là quand elle arrivera à Isabelle, pas de me prouver que je suis plus rapide qu'elle (rien à fiche). À un moment donné, on arrive à une promenade circulaire de jardin, un genre de rond-point de parc naturel, mais dans un creux. Elle s'est arrêtée. Elle me dit en souriant qu'elle s'est perdue, et aussi que ce n'était que le premier round sur trois (ce qui me réjouit au plus haut point). Sans transition, nous sommes dans une pièce souterraine. Elle et moi, nous faisons partie d'une bande dont se trouve ici un équivalent de "base secrète". Il y a des petits couloirs qui partent de la pièce, une pour chaque membre de la bande, avec un animal totémique pour chacun (je ne sais pas quel est le mien, ni quel est celui de ma petite-amie, ni même combien il y a de couloirs). Il se trouve qu'un des couloirs a pour animal totémique un... Carabaffe. Un Pokémon quoi... Mais je tilte pas (n'empêche que ce sera le seul dont je me souviendrai au réveil). En fait, je ne sais pas exactement où est ma petite-amie, mais je vois que je suis hors d'état de combattre, même si je n'arrive pas bien à savoir si c'est par blessure ou par épuisement. Une fille de la bande, dont l'animal totémique est le Phénix, nous rejoint. Elle me régénère avec un air condescendant, genre "'pouvait pas attendre beaucoup mieux de toi". Mais ma petite-amie que je sais pas loin sans pouvoir la localiser ne semble pas partager ce pessimisme (m'envoie des ondes positives).

Je me réveille. Je ne me souviens que du début du rêve d'abord. Je réalise que ma petite-amie merveilleuse n'existe pas. "'chier..." Me rappelle pas m'être jamais senti si frustré à un réveil...

[Heika]

Zut, j'ai été réveillée par le monsieur de la compagnie de l'eau avant terme de mon rêve. T__T En plein mystère, zut et rezut !

Dans ce rêve, je me suis retrouvée scolarisée (oui, les jeunes, sachez qu'à presque 40 ans on continue de rêver de cela...) dans une classe de remise à niveau ou classe spéciale, dans un village du cercle polaire. (rien que ça, hein...)
Les cours s'y déroulent de façon plus décontracte et bien moins formelle qu'en classe normale. Ça, encore, c'est plutôt normal. Ce n'est pas dispensé dans une salle de classe, mais dans un chalet de classe. Ça, c'est moins commun.
A l'entre-deux cours, je m'installe dans l'allée menant au garage pour tenter de lire un peu un livre, tout en étant assez ensommeillée. J'ai dû m'assoupir cinq minutes, puis une de mes amies (tu fiches quoi, toi aussi, au cercle polaire ??) me retrouve et me demande où j'étais durant ces dernières 24h !! Mais... ?
J'ai encore sommeil... (avoir envie de dormir dans un rêve, c'est bizarre.)
Et là, je suis sur une plaine un peu montagneuse, avec un groupe de personnes non loin que je sais être les Z-Soldiers. Ils hésitent, ne sont pas sûrs de la marche à suivre, alors qu'il y a urgence. Décidée, je prends la main de Gohan (version arrivée des Cyborgs) et je l'emmène, parce qu'il est celui qu'il faut absolument emmener vers Cell. Mon mode de déplacement est entre le vol et le saut à très longue portée, mais avec dégagement d'aura blanche. (je pense que je vole, mais sans avoir ce sentiment de "Ouiiii ! Je voooole !!" Qu'on peut avoir dans les rêves où on vole. Voler, c'est normal, autant que courir, chez moi, là.) Et en cours de route, je me retrouve de nouveau à côté de la cabane de classe.
Je suis assez choquée, sur le coup.
Je change d'univers ?? D'où mes disparitions ces dernières heures... Et cette fois, je me souviens d'où j'étais, contrairement aux disparitions précédentes où je n'avais même pas eu conscience d'avoir disparue...
Ici, je dois vivre ma vie normalement, que j'aille en cours. Comme le prof a l'air assez contrarié, j'attends une coupure pour aller lui parler et m'excuser de mes absences inexpliquées -et inexplicables. Excuses acceptées, je reviens en cours. Mais je suis inquiète : il ne me reste que quelques pages avant la fin de mon livre... Une fois ce dernier terminé, je ne devrais plus disparaître de façon intempestive, mais... Et si je disparaissais en plein cours ?

Et là, la sonnerie d'entrée me réveille. =__=



Je suis super contente de ce rêve mais aussi assez dépitée : cela fait tellement longtemps que je n'ai pas rêvé d'EUX, je ne peux que me réjouir de les avoir ENFIN revus ! (de loin pour à peu près tous, de près pour Gohan) Par contre, là où je suis moins joyeuse, c'est de constater que je ne sens plus leurs présences comme autrefois, quand je les croisais dans mes rêves, il y a des années de cela.
Mais au moins, cela montre que ma porte intérieure s'est de nouveau entrebâillée, et ça, c'est chouette.
Punaise, on dirait un remake de ma fic, ce rêve... ^^'

[Ewi]

J'ai lu, j'ai aimé. Ca me fait un peu penser à mes rêves qui sont souvent sans queue ni tête et où je passe d'un univers à autre.

J'ai rarement rêvé des personnages de DBZ, par contre la semaine dernière j'ai rêvé deux fois de Vegeta... Oui... De Vegeta...

Et sinon, dans mon rêve de la veille il y avait :

- moi
- la rue de chez mes parents (mes songes se déroulent souvent là bas)
- un ours géant
- Rick de Walking Dead
- une fuite

Il y a souvent une notion de fuite dans mes rêves, qu'est ce que ça peut bien vouloir dire hein ???

Voilà voilà... Et sinon Heika, je ne doute pas que la brèche reste toujours ouverte, peu importe notre âge

[Lenidem]

La course-poursuite sur les toits de RMR, ça fait un peu Batman poursuivant Catwoman, je trouve... Et ça me rappelle ce fameux poème de Verlaine, Mon rêve familier.

Heika, j'ai aussi rêvé d'école cette nuit, sauf que j'étais de l'autre côté... Faut savoir qu'il y a plusieurs années, j'ai donné cours à deux classes de troisième année (14-15 ans), et ça se passait super mal. Ils étaient pas vraiment méchants dans l'ensemble, mais devenaient ingérables en groupe pour le prof débutant que j'étais. C'était un remplacement qui a duré quatre mois et qui a bien failli me détourner pour de bon de l'enseignement (je me suis finalement tourné vers l'enseignement à des adultes, et ça se passe super bien). Bref. Cette nuit, j'ai rêvé que je retournais donner cours dans l'enseignement secondaire, pour des raisons pratiques (bien plus confortable niveau salaire et sécurisant que la promotion sociale), et qu'on m'avait attribué des classe de quatrième. Je me dis que c'est cool, parce que les 4e sont réputés bien plus faciles et mûrs que les 3e, et j'entre dans ma classe avec un grand sourire... avant de me rendre compte que les élèves ne sont autres que ces anciens fameux élèves de troisième. Malgré mes efforts, c'est déjà le bordel après cinq minutes, et je me dis que le préfet, le sous-directeur, ou un prof des classes voisines ne tardera pas à débarquer parce que le raffut perturbe son propre boulot. Heureusement, à la scène suivante, on se retrouve tous dans un donjon obscur genre temple de l'ombre d'Ocarina of Time dont on va devoir essayer de ressortir vivants, et je me dis que là au moins je suis déjà plus dans mon élément...

Mais c'est pas pour ça que je venais poster. Me suis rendu compte que j'avais oublié de vous raconter ceci :

La nuit du vendredi 5 au samedi 6 mai, j'ai rêvé que j'allais voter. Je me trouvais dans un bureau de vote à Bruxelles qui ressemblait à la fois à une cave et à l'endroit où je vote d'habitude. J'étais le tout premier dans la file, et les organisateurs étaient à la bourre : l'endroit était entièrement vide à l'exception des barrières pour organiser la file. Finalement, je peux aller dans l'isoloir, et au moment de remplir mon bulletin, je me rends compte tout à coup que c'est bizarre qu'on me laisse voter, étant donné que je ne suis pas français : ni mon père ni ma mère ne le sont. Je crois alors me souvenir d'une histoire comme quoi je serais né en France et aurais donc la double nationalité, ce qui est carrément faux (en revanche on est quasiment sûr qu'aux alentours de 1200, mes ancêtres étaient français - la question de ma généalogie est pas mal venue sur le tapis ces derniers temps.) Je chasse cette question de ma tête et m'apprête à voter... mais pour qui ? J'hésite entre "blanc" et "Macron". Puis (et c'est une réminiscence d'une blague de Batroux), je suis pris d'une illumination !! Si un jour un candidat a la présence d'esprit de changer officiellement son nom en "Donald Duck" ou "Dark Vador", par exemple, il obtiendra sûrement un super score parce que des tas de gens seraient prêts à voter pour lui rien que pour le délire. Mon bulletin de vote se transforme alors par magie, et en plus des choix Le Pen, Macron, et blanc, je peux désormais voter pour Donald Duck ou Dark Vador... Et je me réveille.

De l'influence du topic "politique" sur mon subconscient...

[Heika]

La France dirigée par Donald Duck ou Dark Vador... (Donald Vador, selon les dernières productions Disney ? XD )

J'ai survécu à ma nuit (cf poste dans Blablabla), et quand ce n'est pas le type de l'eau qui sonne, mon chat à 4h50/5h11/6h et quelques, les voix de ma mère et de mon frère qui s'énervent dans la cuisine qui me réveillent, c'est mon frère, vilement, qui vient ouvrir ma porte "Bah alors, Socket, il sort pas, aujourd'hui ?"
Mon chat, il DORMAIT jusqu'à ce que tu viennes nous réveiller. Pour une fois qu'il me fichait la paix le matin... T^T

Et évidemment, j'étais avec un rêve intéressant. Et interrompu.
Blablabla sur ce qui se passait avant, je n'ai pas réussi à retenir.
Mais il y a un tournoi d'organisé, pour pouvoir s'en sortir. (oui, la transition est brutale, désolée...) Et Son Gokû me rejoint, assez ennuyé, parce qu'on ne sera pas suffisamment nombreux pour y participer... (Oui, j'ai regardé l'épisode de DBS peu avant d'aller dormir. Qui a dit "influence" ??)
Cependant Beerus ne veut pas nous laisser une totale liberté d'actions, et avec l'aide de Whis, il met au point la règle de "vous n'avez pas le droit d'aller derrière les papiers avec un smiley qui tire la langue". Et il colle une grande feuille blanche à l'entrée du couloir, chez moi, ainsi qu'à l'entrée de la cuisine. Avec dessus le smiley qui tire la langue, bien sûr.
On est assez ennuyés, avec Gokû : non seulement on n'a pas toutes les personnes qui faut pour le tournoi, mais en plus Beerus nous met des bâtons dans les roues en nous empêchant de nous rendre dans les chambres (puisqu'il faut passer par le couloir pour les atteindre) ! Et il faut absolument qu'on aille mettre quelqu'un dans ma chambre, parce qu'il a été frappé d'un sort qui l'a changé en pierre ! On doit l'allonger sur mon lit, pour qu'il se remette. (il est en pierre, mais on peut bouger ses articulations pour l'allonger, no comment)
Au début, Gokû et moi pensions "il a mis le papier sur l'entrée du couloir, ça interdit donc jusqu'aux chambres", mais après réflexion, j'ai dit à Gokû : "Ca nous prive du couloir, mais ça ne veut pas dire que ça englobe les chambres ! Ce sont des pièces indépendantes, en toute logique !
-Oui, mais pour les atteindre, on doit passer par le couloir, ça revient donc au même... On ne peut pas y aller...
-Il suffit de se téléporter, Gokû !
-Mais je ne peux pas, il n'y a personne, là-bas !
-Ne t'en fais pas! C'est moi qui vais nous téléporter !"
Je visualise ma chambre, et plouf, on y est. Gokû est super étonné.
"C'est parce que en tant que Sychéenne, je fais une téléportation basée sur les lieux, pas sur les gens !
-Pourvu que Beerus ne nous surprenne pas ici quand même... Il ne peut pas te détruire, mais moi..."

Et mon frère est arrivé à peu près à ce moment-là. >.<*
Je n'ai actuellement pas prévu de faire apparaître Beerus dans mon histoire ! XD

:edit du 13/06/2017:
j'en rajoute une couche.

Il y a eu une première partie sur je ne sais quoi, mais quand je me suis réveillée pour ouvrir la porte à mon chat, je e suis dit "faut que je me rappelle qu'il y avait cet acteur de James Bond, le type de la pub de café et XXXXX qui étaient mes mentors et parrains !"
Alors vous constatez que j'ai un peu raté, parce que je ne sais plus quel acteur incarnant Bond c'était, entre Sean Connery, Pierce Brosnan, Roger Moore et Timothy Dalton. Par contre merci Google pour me rappeler que le 2e c'était George Clooney. Mais le 3e... C'était un "vieux beau", comme pour les 2 autres, célèbre. C'est tout ce que je peux dire. '__'

Mais plus intéressant !!
Une fois rendormie, après divers événements, je me suis retrouvée au bord d'une vaste étendue d'eau parsemée de piliers de bien 3 mètres de diamètre soutenant une plaque énorme, sur laquelle repose une ville.
Quelque chose fait que je me mets soudainement en colère, mais une rage folle, et je me transforme en SSJLégendaire. Rien que ça, oui. XD
Et je m'envole au dessus de l'eau.
Grand bien m'a pris, car j'ai ainsi pu me cacher derrière un pilier lorsque deux SSJ sont arrivés, attirés par mon aura. Je n'ai dû avoir qu'un court passage de rage, car là j'étais de nouveau consciente, surtout du fait qu'ils étaient là pour éliminer la menace que je représentais...
Quand ils n'étaient plus très loin de moi, je me suis détransformée en étant au ras de l'eau, et, pour cacher au maximum mon ki, j'ai plongé et je suis retournée sur le bord du lac en nageant en apnée. Une fois mêlée à la populace qui s'y trouvait, ils n'auraient pas pu savoir qui s'était transformé...

Analyse post-réveil :
*les deux Saiyens ne sont pas connus. Ils ne sont pas vraiment méchants pour autant, ils font juste partie d'une sorte de police un peu radicale. "T'es une menace, on t'élimine."
*je ne crois finalement pas que c'était du Légendaire, ma transformation. Par contre c'était bien différent des transformations des Saiyens. Je penche pour une transformation spécifique à mon personnage de fanfic. Ouais, encore. Noraj, comme on dit ici.

[Anaunsa]

Tiens, j'ai croisé mon pote Jackie Chan cette nuit. On se tape la bise, on prend des nouvelles de la famille, puis je lui demande sur quel projet il travaille en ce moment.
Là, il me répond le plus sérieusement du monde qu'il va bientôt être à l'affiche du film Tekken 4 qui sera l'adaptation fidèle... du jeu Tekken 2. De loin, l'épisode le plus dark de la série, me précise-t-il.
- Ah oui ! Tu tiendras sans doute le rôle de...
- Bis.
- Euh... "Bis" pour "M.Bison" ?
- Oui, évidemment !

Pourquoi pas.

[Batroux]

J'ai fait une espèce de cauchemar qui m'a filé une drôle d'angoisse au réveil.

Je rentre chez moi après le travail et je vois que ma vitre de salon a été forcée mais est à peine ouverte, et d'un coup ça me frappe: "Les bâtards m'ont tiré toutes mes guitares, mon pedalboard, mes amplis, ma batterie, le micro, le pupitre, le pied de micro, les cables (même ceux défectueux)."

Avant d'aller chez les flics, je m'aperçois que les voleurs m'ont tiré aussi les factures. Les gentils policiers me disent que l'assurance va me rembourser intégralement, aux prix d'achats du moment que j'ai les factures, je leur dis que je veux pas être remboursé que je veux juste qu'ils fassent leur boulot pour récupérer mes guitares, juste mes guitares, parce que j'ai un affect particulier pour chacune d'entre elles. Le mec me rit au nez en me disant: "Vous croyez que j'ai que ça à faire ? Trainer sur le bon coin, pour flairer la contre-bande de guitares de M. Tout le monde ?"
Du coup, je sens les nerfs me gagner, je me mets à chialer et je lui colle une grosse droite dans la mâchoire.
Je me suis réveillé les dents et le poing serrés.

:/

J'aime pas ses rêves de merde, heureusement que je n'en fais pas beaucoup.
Je ne me pense pas matérialiste mais qu'est-ce que j'aime mes guitares !

[Antarka]

Non mais une guitare c'est au dela d'un objet. C'est comme une énorme madeleine de Proust. Sauf qu'avec tu peux jouer des patisseries de Proust auditives pour encore plus plonger dans la Prousterie. On ne peut pas lutter contre l'affect que procure un instrument auquel on est habitué depuis longtemps. C'est presque comparable à l'amour que j'ai pu éprouver pour mes animaux, sauf que c'est plus facile de prolonger l'esperance de vie d'une guitare...

Des grattes, j'en ait eu pas mal (m'en reste 3 la), même si la plupart étaient un peu pourries et que je les revendais vite. Mais je prefere qu'on me crame ma caisse que mon electro acoustique qui vaut le sixième de son prix (une Cort type CEC7, mais le modèle d'il y a 20 ans). Achetée en 2001 pour un prix pas ouf (550€ je crois, ma guitare la plus chère pourtant, et la plus ancienne des 3 aussi), je la chéris totalement, et même si parfois je la délaisse quelques semaines/mois j'y reviens toujours, et j'ai l'impression de la tromper quand je joue sur la Maton EMS6 de mon frangin (qui vaut plusieurs fois le prix de la mienne), sans compter que j'aime moins, voila

Tout ça pour dire qu'un tel rêve m'aurait momentanement bouleversé. Si on était dans le monde d'Harry Potter, ça fait un moment que j'aurais fait de ma gratte un horcruxe (quoi de mieux pour acceuillir un bout de mon âme ?).

Réaliste ton rêve quand même. Ton entrevue au commissariat se serait sans doute passé en gros de cette façon dans la réalité (en esperant que tu t'arretes avant la patate dans la face).

[Lenidem]

J'ai fait plusieurs rêves "narratifs", comprenez bourrés d'action (et aussi d'émotions) ces derniers temps.

D'abord, trois rêves au cours de la même nuit, déclenchés par deux éléments. D'une part, une discussion avec un couple d'amis sur un ancien ami très proche qui a brutalement coupé les ponts avec moi et d'autres amis, sans la moindre explication. Sachant que je connaissais ce gars depuis qu'on avait quatre ans et qu'il a disparu de la circulation plus de vingt ans après, ça me va loin, et je rêve souvent que je sonne chez ce type, qu'il m'accueille étonné, et qu'on se rend compte que tout ça n'était qu'un malentendu. Après trois ou quatre années de silence radio malgré des tentatives régulières de ma part et de celle d'autres amis, il y a peu de chances que ce soit le cas, mais bon, allez dire ça à mon subconscient... Bref, c'était le contenu du premier rêve.

Second élément, une lecture et un visionnage important de comics, tant Marvel que DC.
Le deuxième rêve prenait place dans l'univers Marvel. En pleine seconde guerre mondiale, j'étais Bucky, et je me rends soudain compte que je suis en train de mener la mission où je "mourrai", puis serai récupéré par Hydra pour subir le lavage de cerveau et tout ce qui s'ensuit. Bien sûr, je sais aussi que je finirai par m'en sortir (plus ou moins), mais il n'empêche : je ne veux pas mourir, même si c'est une mort symbolique. Et pourtant, quoi que je fasse, le scénario est déjà écrit. Je dois me résigner, et je poursuis la mission avec des pieds de plomb.

Là dessus, je me réveille, puis me rendors et entre dans le troisième et dernier rêve, orienté DC. Je suis chez mon ancien ami, au rez-de-chaussée de sa maison. Lui n'est pas là, mais il y a deux autres personnes, que je reconnaîtrai plus tard : ses parents. Apparemment, je viens d'entrer, et je me fais bousculer par... le Joker. Hilare, il bondit dans les escaliers qui mène au premier étage. Je suis terrifié. Le poursuivre ? L'idée m'effleure. Mais je connais les lieux : ils sont très exigus. Le Joker pourrait se planquer n'importe où et me tomber dessus avec son couteau sans que je puisse réagir. Batman pourrait le faire : il pourrait prendre ce risque, il serait à la hauteur. Mais je ne suis pas Batman. Je ne suis qu'un type normal. Je prends donc la décision la plus logique : je me tourne vers les parents de mon ami et leur dit d'appeler des secours. En même temps, le Joker est un génie du mal : n'aura-t-il pas anticipé ma réaction, si prévisible ? Mais il faut bien faire quelque chose, et cette décision me semble la moins mauvaise. Les parents de mon ami sont occupés dans la cuisine et dans le salon, mais ils ne semblent pas bouger, et ne réagissent pas à ce que je viens de dire. Stressé, je leur crie qu'il faut appeler la police, l'armée, Batman, n'importe qui, mais on a absolument besoin d'aide : le Joker en personne est dans la maison, merde !! Au début, pas de réaction. Je sens mon corps se couvrir d'une sueur glacée. Puis, doucement, ils commencent à ricaner, ricanement qui se transforme en fou rire... Le gaz hilarant ! Je me réveille terrifié.

Cette nuit, autre rêve très différent (quoique ?), inspiré de Game of Thrones. Ça se passe dans le nord, en hiver (il neige), sur une zone qui ressemble à une map de jeu vidéo (à la Perfect Dark), mélange du Mur et de Winterfell. En fait, ce qui se passe ne me concerne pas vraiment : c'est un jeu vidéo, et je suis le joueur - pas un personnage, la vraie personne qui joue, je suis juste entré "dans" le jeu pour voir les choses de plus près. Personne ne me voit, c'est comme si j'avais le pouvoir de me balader et d'observer le jeu à l'insu de tout le monde, un peu comme Bran dans ses visions. En quelque sorte, j'ai utilisé un cheat code, mais on peut aussi interpréter ça comme un sort : personne ne me perçoit, bien que la plupart du temps, je suis bel et bien là physiquement.
Dans cette "partie", il y a deux groupes : des zombies des glaces, menés par une poignée de Marcheurs Blancs et le Roi de la Nuit en personne ; et des humains, pas plus de trois ou quatre, chaudement habillés, mais épuisés. Parmi eux, une femme de ma connaissance. Clairement, les humains n'ont aucune chance. Ils se dissimulent comme ils peuvent, mais les zombies, en surnombre, savent qu'ils sont là et ne s'en iront pas avant de les avoir eus. Au début, j'observe avec détachement. Mais je rends compte que si, pour moi, tout ça n'est qu'une simple histoire, un simple jeu, pour les humains en question, c'est la réalité : c'est leur vie et leur mort, qui sont en train de se jouer. La nuit est tombée, et le petit groupe s'est abrité comme il peut derrière un mur, mais la neige tombe en tempête, et ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'un petit groupe de zombies approche dangereusement. Dans quelques instants, ils seront surpris, et ce sera fini pour eux. Je sais que je ne devrais pas, mais je décide alors d'intervenir. En tirant parti du pouvoir "personne ne me perçoit", je m'interpose entre la femme que je connais (qui ne vois rien, recroquevillée pour se protéger de la neige) et les zombies, lesquels sont à deux pas d'elle. Mais comme je suis là, ils s'arrêtent brusquement. Ils ne peuvent ni me voir ni me toucher, et ne voient pas non plus ce qu'il y a derrière moi. Perplexes, ils hésitent un peu, puis ils font demi-tour.
Le jour se lève, la neige cesse de tomber. Je me dis que même si j'ai offert un répit aux humains, ça ne suffira jamais. Il faut que je les aide d'une autre façon. Je décide alors de lancer un nouveau sort : désormais, la règle devient "seules les personnes positives (= les gentils) me perçoivent". Une part de moi me crie que c'est une très mauvaise idée, que je suis en train de prendre des risques énormes, tandis que mon cerveau me dit qu'il n'y a vraiment rien à craindre. Désormais, je peux interagir avec le groupe : je pourrai observer les déplacements des zombies et les en informer pour les guider hors de cet enfer en toute sécurité. Je me dévoile alors aux "gentils" et leur explique ce qui se passe. Ravie de me voir, la femme se jette dans mes bras et m'embrasse deux fois sur la bouche, très rapidement. Gêné, je ne sais pas trop comment réagir, surtout qu'il y a des gens autour de nous. Mais il est temps de se mettre en route.
J'utilise mon pouvoir pour dérouter des petits groupes de zombies : comme ils doivent me contourner, je peux les forcer à prendre des détours, ce qui fait gagner du temps à mon groupe. Sur une colline non loin, le Roi de la Nuit, escorté par ses Marcheurs Blancs, observe la scène. Lui non plus ne peut pas me voir, mais il est perspicace. Il constate que ses troupes ne se comportent pas normalement, et soupçonne quelque chose. Son regard me terrifie, mais je continue ce que je fais. D'un côté, je me dis "Rassure-toi, ce n'est qu'un jeu, il ne peut rien contre toi : les règles ne sont pas contournables", mais de l'autre, je pense aussi "Imbécile ! En modifiant les règles, tu t'es rapproché de son niveau, et qui sait ce dont il est vraiment capable ?" Puis je m'aperçois qu'il y a aussi des humains du côté des morts-vivants, et c'est là que tout part en couille. Ils ne sont que cinq ou six. Mais apparemment, l'un d'eux a le cœur pur : en lançant mon sort, j'avais oublié qu'aucun camp n'est vraiment tout noir ou tout blanc. Cet homme a dû se retrouver du côté des morts par la force des choses. Il joue sans doute un rôle : s'il le pouvait, il nous aiderait probablement, moi et les autres. Toujours est-il qu'il me voit. Surpris par mon apparition au milieu des zombies, il pousse un cri et me montre du doigt. Instantanément, le Roi de la Nuit me localise. Son regard me tombe dessus. Sans m'avoir vu, entendu ou senti, il a compris qu'il y avait quelqu'un à cet endroit précis : il m'a donc "perçu". La règle qui me protégeait vole en éclat. Les zombies qui m'entouraient me voient désormais, eux aussi, et se jettent sur moi. Je suis grave dans la merde, et je me réveille.

Pourtant, ma première pensée est "Elle m'a embrassé deux fois". Le reste n'a pas d'importance. "Deux fois" en a, par contre : une seule fois, ça peut être une impulsion subite, le fait du hasard ou des circonstances. Mais deux fois, ça indique un mouvement plus profond, plus voulu, sans doute déjà envisagé par le passé.

[Heika]

Bon, après avoir entraperçu Mirai Trunks qui venait de revenir du futur pour parler à ses parents, (et donc pendant qu'il les cherchait) j'ai été au resto avec mes parents, mon frère, une cliente de mes parents, Bulma, Vegeta et Chibi Trunks (de 10 ans déjà).
Vous savez, quand on est au courant qu'il ne faut pas prendre au premier degré les réactions bourrues du Prince des Saiyens, on passe un bon moment entre amis.
Et c'est lui qui s'est occupé de son fils durant le repas. C'est un bon père. :3

Me suis réveillée avant le dessert, je ne sais donc pas si Mirai a réussi à nous rejoindre ou pas... T__T


(pour celleux qui veulent le plan de table : la cliente de mes parents en bout de table, à sa gauche Chibi Trunks, Vegeta, mon frère, Bulma en autre bout de table, ma mère, mon père et moi sur l'autre côté. J'étais en face de Chibi et Vegeta, d'ailleurs.)

:edit du 23/10:

Après une première partie où je retrouve mon grand amour de jeunesse (fichtre, réécrire ma fic de jeunesse a un 2e effet Kiss-Cool étrange... Faut VRAIMENT que je le revois IRL pour ENFIN faire cesser ces rêves stupides, parce que non, cher subconscient, il est hors de question que j'ai une love-story avec lui, désormais. Donc, subconscient, une fois que tu auras vu qu'il n'a absolument plus rien de plaisant, tu me ficheras la paix, ok ?), et, après avoir appris qu'il était de nouveau en couple avec quelqu'un, je lui ai tout avoué, tout dit sur cet amour passionné que je nourrissais à son égard durant mon adolescence...
Je disais donc qu'après cette première partie très gnangnan, et quelques péripéties stupides dans un supermarché, je me suis précipitée vers un endroit où il y avait du grabuge. Dans un appartement en rez-de-chaussée, deux types s'en prenaient plein les dents face à un ennemi que je n'ai pas su identifier. Tout ce que j'ai pu faire, c'était sortir l'allié le plus amoché des deux, tandis que l'autre fuyait à ma suite.
Osef le second, mais le premier, c'était Cell.
J'ai sauvé Cell.
Cell est mon allié.
Fichu subconscient qui prend de l'avance sur mon scénar de fic.

[Foenidis]

Cette nuit j'ai rêvé à des corrections sur mon roman en cours... sauf qu'évidemment, je ne me souviens pas de quelles corrections, ni du passage en question. -__-

J'ai aussi rêvé de gens qui bouffaient des cassettes de jeux vidéos, en vrai. Ils les avaient découpées en petits morceaux pour les manger... me souviens plus de qui il s'agissait par contre... ni même s'il s'agit de gens que je connais.

J'ai aussi rêvé que je devais faire ma toilette et m'habiller dans un appartement que je ne connais pas... pas moyen d'être tranquille, sans arrêt dérangée alors que je suis à moitié à poil : par la voisine de palier avec ses gosses, quelqu'un qui aurait pu être le propriétaire, un carlin que je décide de récupérer pour le sauver de je ne sais plus quoi (alors que je déteste ce genre de chien)... bref, le genre de rêve où on se retrouve mal à l'aise sans arriver à rétablir la situation.
Ça m'a un peu rappelé quand je rêvais que j'arrivais à l'école en pyjama... ^^°

Ouaip... nuit chelou !

[Lenidem]

Cette nuit j'ai rêvé que j'étais un Power Ranger : j'avais été le ranger vert, j'étais désormais le blanc et je savais que j'allais devenir le rouge à un moment. Je rencontrais l'idole de mon enfance, le Tommy Oliver d'un monde parallèle, et on discutait de nos pouvoirs préférés et des mérites respectifs du Dragonzord et du Tigerzord. On était d'accord sur le fait que la lumière blanche du bien surpassait tout en puissance pure, mais que le Dragonzord déchirait sa race.

Mon subconscient refuse de grandir, je crois.

[Foenidis]

Mon subconscient refuse de grandir, je crois.

Pourquoi devrait-on renoncer aux trucs qu'on a aimé plus jeune ?

C'est un peu comme cantonner chacun aux trucs destinés à tel ou tel sexe.
Est-on moins fille parce qu'on aime les shonens ? Moins garçon parce qu'on se délecte de shojos ? Continuer à rêver avec les personnages qui nous ont aidé à grandir nous empêche-t-il réellement d'être plus mature que l'âge inscrit en bas à droite ?

Pire ! Se laisser absorber par certaines œuvres de fiction suffit-il à faire de nous des êtres immatures ?

Le mythe du "doux rêveur", implicitement désigné comme décalé de la saine réalité, ne date pas d'hier. Il est le fruit de ceux qui sont privés de (ou se refusent) l'accès à ces mondes parallèles qui les aideraient pourtant à devenir, peut-être, plus humains. Et n'est-ce pourtant pas là que se place la véritable maturité ?

Rêveusement,
Foenidis