Dernier chapitre : Tout va bien.Videl avant la tête enfoncée dans ses oreillers.
Les gens n’avaient-ils aucune correction ?
Voilà trois jours que Buu avait été officiellement vaincu, et c’était la fête à Satan City sans discontinuer depuis.
C’était insupportable.
Elle regarda l’heure.
Il n’était que huit heures du soir.
Mais les cours reprenaient le lendemain. Elle aurait bien aimé dormir, ce qui avait été très difficile les deux nuits précédentes.
Elle se leva et alla à la fenêtre, ouverte, et respira un grand coup d’air frais, avant de la refermer.
Le brouhaha ne diminua pas.
Plus loin, Buu, que son père appelait mister Buu, rigolait, sans doute en regardant la télé. Elle se méfiait encore de lui, mais tout le monde lui avait certifié qu’il n’y avait plus aucun danger.
Elle entendit sa mère chanter un moment, puis parler avec son père.
Eux non plus n’étaient pas très discrets.
Elle tendit l’oreille et se figea d’horreur.
Ils allaient…
Non non non non non !
Pas question d’entendre ça.
Elle ramassa rapidement quelques affaires, griffonna un mot à la hâte qu’elle posa sur son lit et ouvrit de nouveau la fenêtre.
Elle posa un pied sur le rebord, et sauta.
Elle ferma les yeux, appréciant l’air frais quelques instants.
Quand elle les rouvrit, elle eut un sursaut de vertige qui s’évanouit devant la beauté du spectacle.
La ville, loin sous elle, se teintait d’orange sous le soleil couchant.
Elle resta ainsi à l’admirer quelques minutes, avant que le vent qui commençait à fraichir la rappelle à la réalité.
Elle vola jusqu’à une colline au nord de la ville et se posa pour s’habiller.
Une fois fait, elle se demanda ce qu’elle allait faire.
L’endroit était calme, mais la température allait chuter rapidement à la tombée de la nuit.
Elle pouvait se trouver un gite quelconque, loin du tintamarre, mais elle était sûre que tout le monde la reconnaitrait, et elle n’avait pas envie de ça.
Elle pensa à une autre option.
Elle sortit son brightphone, et lança une application GPS.
— Alors. District 429.
— Direction Est, nord-est. Temps évalué : huit heures trente-sept minutes.
C’était long, mais Videl n’avait pas l’intention de prendre une voiture.
Elle s’envola et fila à toute vitesse dans la direction indiquée.
Elle fonça, dos au soleil, toujours plus vite.
Instinctivement, elle plaça ses bras en avant, poing fermés, et remarqua la légère lueur bleue qui les entourait.
C’était… comme un champ de force qui la protégeait du vent.
— Génial ! Plus vite !
Elle accéléra.
Et ça ne la fatiguait pas du tout.
Son aura s’intensifia, jusqu’au moment où elle sentit un frisson terrible dans tout son corps.
Elle voulu crier, mais aucun son ne sortit de sa bouche.
Elle s’arrêta.
Au sol, des oiseaux s’envolaient, comme effrayés.
— Qu’est-ce que c’était ? Dit-elle à voix haute, pour essayer si elle pouvait encore parler.
Elle regarda son GPS.
Elle avait fait plus de trois-cent kilomètres en un quart d’heure.
Elle avait dépassé la vitesse du son.
Grisée par cette découverte, elle repartit, encore plus vite.
Elle vola encore quelques minutes avant de s’arrêter et sortit son téléphone.
Elle avait dépassé l’endroit d’une cinquantaine de kilomètres.
Elle regarda dans la direction indiquée et poussa un petit cri.
— Non !
Il faisait nuit noire. Elle n’avait pas pensé au décalage horaire entre ici et chez elle, ni aux montagnes qui bouchaient l’horizon. Elle avança, prudemment. Elle voyait quelques lumières au sol, des maisons isolées, sans doute. Elle se demanda si elle devait demander son chemin, mais renonça. Elle ne pourrait pas expliquer sa présence, et elle n’avait aucune certitude qu’ils connaitraient la famille Son.
Elle se calma quand elle regarda son portable.
Il y avait plus simple. Elle regarda ses contacts et…
— Ahh ! C’est pas vrai !
Elle ne connaissait pas le numéro de Goku.
L’air commençait à se rafraîchir, et elle commençait à regretter d’avoir agit sur un coup de tête.
— Videl ?
— HAAAA !
— Désolé, je ne voulais pas te faire peur.
— Goku ! Elle regarda la silhouette dans la pénombre. Je… je me suis perdue. Je cherchais ta maison.
— C’est assez loin, suis-moi.
— Tu… tu vois dans le noir ?
— Non, pas du tout.
— Comment tu fais, alors, pour savoir ou tu vas ?
— Je ressens l’énergie. Je t’apprendrais.
Ils se posèrent dans la maison et Goku déverrouilla la porte, puis invita son amie à entrer, puis à s’asseoir autour de la table du salon.
— Il n’y a personne ?
— Non, nous étions chez papy.
— Chez Baddack ?
— Non, mon grand-père maternel. Je suis rentré quand j’ai sentit ton énergie.
Videl commença à se sentir idiote.
— Désolé de t’avoir obligé à revenir.
— Pas grave. Qu’est-ce que… il hésita un instant. Que me vaut le plaisir de ta visite ?
— Hé bien, j’en pouvais plus, de rester à la maison. La ville est en fête depuis trois jours, et j’avais besoin de calme. j’ai voulu prendre l’air en volant un peu, et finalement, je suis arrivé chez toi. Voilà.
— D’accord. Ça fait quand même loin. Tu veux… que je te ramène ?
— Heu, non, en fait. Est-ce que je pourrais passer la nuit ici ? Ça fait trois jours que j’ai pas dormi correctement.
Goku fut surpris de la demande. Videl remarqua son hésitation.
— Et je suis pas vraiment à l’aise avec Buu à la maison.
— D’accord, je comprends. Ça m’a étonné aussi, quand papa me l’a dit. Je vais t’installer un futon dans la chambre de Natchi.
Elle le suivit jusqu’à la chambre de la petite fille.
— Tu es sûr que ça ira ?
— Tu n’aimes pas les futons ?
— Non, je veux dire… que je dorme dans sa chambre.
— Oh, non, je ne pense pas. Elle t’aime bien, tu sais.
Lorsqu’il eut finit le lit, il passa la porte.
— Je vais aussi aller me coucher. Bonne nuit.
— Goku !
Le jeune homme se retourna, l’air interrogateur.
— Oui ?
— Est-ce… est-ce que ça va ? Tu sais, depuis l’autre jour. On s’est pas vu depuis.
— Ça va. J’ai pas vraiment compris ce que tu as fait.
— J’ai pas compris non plus.
Ils se regardèrent sans broncher de longues secondes.
— Bonne nuit, fit Goku en refermant la porte.
Videl se coucha dans l’obscurité de la chambre d’enfant.
Et elle se mit à réfléchir.
Cette aventure étrange l’avait bien plus marquée qu’elle ne le faisait paraître.
Surtout le plan de Baddack et Kaioshin.
Ils l’avaient fait prendre part au combat, parce que …
— Pourquoi faire venir une mortelle ?
— Parce qu’il l’aime. Il ne lui fera jamais de mal.Cette révélation lui tournait dans la tête en boucle.
— Et moi ? Demanda-t-elle à la pénombre.
Elle se leva d’un coup et fonça frapper à la porte de la chambre du jeune homme.
Elle l’entendit se lever et approcher de la porte.
— Videl ? Il y a un problème ?
— Je viens te donner la réponse.
— La… réponse ?
Elle lévita pour que leurs visages soient à la même hauteur, puis sourit devant sa perplexité, avant de lui voler un baisé.
Elle se reposa alors qu’il devenait rouge comme une pivoine et tourna les talons sans un mot, elle-même la première étonnée de son audace.
Le cœur battant la chamade, elle se recoucha, et finalement, s’endormit assez vite, et eut la meilleure nuit de sommeil depuis trois jours, et depuis bien plus longtemps aussi.
Ce ne fut pas le cas de Goku, qui resta paralysé par la stupeur dans l’embrasure de la porte pendant quatre heures.
— Tu veux que je te raccompagne ?
Les deux pré-adultes s’étaient levés tôt. L’aube pointait à peine, et Videl se trouvait déjà dehors.
— Merci, ça ira, je vais me débrouiller.
— Videl… à propos d’hier soir…
Le silence s’installa alors qu’elle le fixa dans les yeux.
— On se retrouve devant le portail, je … tu comprendras à ce moment-là.
— D…d’accord. Attends !
Videl s’arrêta à deux mètres du sol.
— Quoi ?
— KINTO-UN !
Le nuage apparu quelques secondes après et Videl le regarda, éberluée.
— C’est quoi ça ?
— Kinto-Un, le nuage supersonique.
— Et … ? Ça explique quelque chose, ce que tu viens de dire ?
Elle s’approcha avec précautions et regarda le nuage doré.
Goku hésita.
— Tu peux le toucher ?
Videl posa sa main sur le dessus.
— Hé, c’est solide. Comment c’est possible ?
Le jeune homme soupira, et s’aperçut qu’il avait retenu son souffle.
— C’est un moyen de déplacement, c’est un nuage magique qui peut t’emmener rapidement là ou tu veux. Ce sont surtout Gohan et Natchi qui s’en servent, maintenant, Papa et moi, nous n’en avons plus besoin. Je te le prête.
Elle resta silencieuse un moment.
— Bon, j’image que je devrais m’habituer à être étonnée avec vous. Comment ça marche ?
— Tu montes dessus et tu lui dis ou tu veux aller. Tu peux aussi le diriger par la pensée.
— Il comprend ? Il est intelligent ? Comment est-ce qu’il sait ou ses objectifs se trouvent ?
— Heu… je sais pas, en fait. Il le fait, c’est tout, j’y ai jamais réfléchi plus que ça.
— Bon, on va essayer ». Elle s’assit en tailleur sur le nuage avant de parler. « Bon, ben, à la maison, Kineto-Houne. OUAAAAH !!!
Videl, après quelques minutes, commença à apprécier le vol, et réussit à faire de looping, des tonneaux, et pleins d’autres figures. Elle s’amusa beaucoup avant de regarder son téléphone.
Elle hurla.
— Argh ! C’est déjà si tard ?
Elle fila vers sa maison, sans s’intéresser aux cris de surprise qu’elle entendait venir de la rue.
Elle sauta par la fenêtre de sa chambre, toujours ouverte, et regarda Kinto-Un.
— Tu peux renter. Merci.
Elle retourna et se figea avant de regarder la fenêtre de nouveau. Le nuage était loin.
Elle était sûre d’avoir entendu « Pas de quoi ».
Elle haussa les épaules. Ce genre de chose ne devrait plus la surprendre, pourtant.
La maison était calme, à l’exception de Buu qui rigolait, au loin.
Elle fonça prendre quelques biscuits et des fruits dans la cuisine avant de monter se doucher à la va-vite, de s’habiller, rattraper son sac et de foncer au lycée en grignotant.
Quand elle y arriva, elle vit Son Goku qui attendait, adossé à un poteau de l’entrée.
— Désolé du retard.
Le jeune homme se redressa pour se tenir devant elle.
— Alors, qu’est-ce que tu… ?
— Je pense qu’il est temps que ça devienne officiel.
Avant qu’il ait le temps de répliquer, elle se saisit de sa main et passa le portail, avec lui à sa suite.
Il y eu un silence très net dans la cour avant qu’elle n’entende les commentaires des autres.
Elle ne captait que quelques mots dans le brouhaha, mais ça lui donnait une idée générale.
… avec lui ?
… et son père…
… il est mignon…
… mérite mieux…
… garce …Qu’ils déversent leur fiel, ils n’avaient aucune idée de ce qui arrivait dans l’univers, et à quel point leurs vies étaient sans intérêt.
Si seulement ils pouvaient cesser de crier, ça réveillait son mal de tête.
Le professeur de physique les accueillit dans l’amphithéâtre en leur montrant un texte marqué au tableau.
— Cher élèves, bonjour. Pour fêter votre retour, interrogation surprise.
Malgré les râles qui fusèrent, tout le monde sortit une feuille.
Videl commença à lire les énoncés, mais les murmures la perturbaient.
… pendule qui oscille …
… Frottement entre la première et…
… coefficient de modélisation dépend de 2π²/g …— Mais qu’ils se taisent ! C’est une interro ! Murmura-t-elle.
Le brouhaha s’amplifia, et elle se prit la tête dans les mains, en serrant les dents, tant le bruit lui était insupportable.
Elle avait l’impression que tout le monde lui criait dans les oreilles.
Elle se leva d’un bon et hurla.
— TAISEZ-VOUS !!!
Tous les étudiants se retournèrent, surpris dans leur concentration silencieuse, et virent Videl tourner de l’œil.
Goku la rattrapa alors qu’elle s’effondrait.
— Qu’est-ce qui lui arrive ?
— Je ne sais pas, monsieur. Je l’emmène à l’infirmerie !
Avant que le professeur ne dise quoi que ce soit, il la prit dans ses bras et sauta vers la porte, à la grande stupeur de l’assemblée.
— bon, ben… continuez, vous autres.
Goku courrait dans les couloirs, mais arrivé devant l’infirmerie, il resta devant la porte et vérifia que personne ne le voyait.
Il disparut.
— Ouh !
— Ça va mieux ?
Videl regarda autour d’elle et vit Piccolo et Dendé.
— On est au palais ?
— Oui, Je t’ai amené pour que Dendé puisse voir ce que tu as.
— J’ai rien, c’est juste qu’il y avait trop de bruit.
— C’était le silence complet, Videl.
— Quoi ?! Mais j’entendais tout le monde !
— Tu les entendais, oui, mais pas par tes oreilles, dit Dendé.
— Ça veut dire quoi ?
— Que tu entendais leurs pensées, dit Piccolo. Maitre Kaioshin t’as vraisemblablement transmis certains de ses pouvoirs.
— Mais… chez Goku, je n’entendais rien.
— Nous contrôlons parfaitement nos pensées. C’est pour ça.
— Je vais contacter Maitre Kaioshin, dit Dendé.
— Et moi, je vais t’apprendre à fermer ton esprit, dit l’autre namek.
— Et moi, euh… qu’est-ce que je fais ? J’ai dit au prof que je t’emmenais à l’infirmerie.
— Tu n’as qu’a dire… que je suis rentré chez moi.
Plus tard, alors que Piccolo commençait la formation de Videl, Dendé marchait sur le bord du palais.
Il avait contacté le seigneur Kaioshin qui viendrait dès que possible. Il avait tant à faire avec la défaite de Buu.
Il regarda le monde, et observa tous ses amis.
Kakarotto travaillait aux champs, avec ses deux plus jeunes enfants. Toujours aussi insouciant, il semblait cependant plus attentif à sa famille. Chichi apporta à boire, et, chose que Dendé ne l’avait jamais vu faire, l’embrassa.
À l’autre bout du monde, Trunks avait réussit à faire porter des oreilles de lapin à Végéta, qui l’avait emmené au parc d’attraction. Bulma éclata de rire et mis des oreilles de chat, avant de se prendre en photo avec son compagnon et leur fils.
Raditz lisait une histoire à Junior, tandis que Ryoko travaillait au lycée. Il avait prévu de sortir au restaurant le soir, en famille.
Krilin avait pris un jour de congé, et aidait Mary à nettoyer le magasin qu’elle venait de racheter, après que madame Ogg ait décidé de prendre sa retraite. Marron courait partout en cherchant à aider ses parents.
Perdus dans les montages du centre, Ten Shin Han, Chaozu et Lunch discutaient autour d’un feu de camp. L’artiste martial reprochait à la femme d’avoir encore volé de l’argent, ce à quoi elle répondit que c’était de l’argent de la mafia.
Yamcha, sous le regard de Plume, parlait aux disciples de son école d’arts martiaux. Tous des délinquants qu’il voulait remettre dans le droit chemin, et ses résultats semblaient prometteurs.
Nappa, lui, donnait leurs congés définitifs à ses courtisanes. Dendé avait bien ressentit la solitude affective qu’il avait éprouvée, quelques jours avant, en voyant toutes les familles se retrouver après toutes ces épreuves, surtout Bulma, Végéta et Trunks. Le jeune dieu, de par sa race, n’avait pas vraiment tout compris à ces sentiments, mais il lui souhaitait de trouver le bonheur.
Les autres, Tortue Géniale, Baba la voyante, Satan, ainsi que qu’autres, vaquaient à leurs occupations eux aussi, mais avec la sérénité de ceux qui avaient survécu à la fin du monde.
Son regard se reporta enfin sur Baddack, lui aussi à ses occupations, au mont Paozu.
Dendé pensa qu’il n’en avait pas conscience, mais qu’il était le pilier de leur petite communauté. Sans lui, tout aurait été différent.
Le globe lumineux qu’il tenait brilla un court instant.
Kaioshin avait reçu son message.
À une distance incommensurable, les deux dieux suprêmes de l’univers se trouvaient au pied d’un arbre colossal.
Ils regardaient, des kilomètres plus haut, quatre bourgeons dorés qui venait d’apparaître sur quatre branches.
— Et voilà. La mort de Buu a libéré l’âme des derniers Kaioshins. De nouveaux dieux vont pouvoir renaître, dit Rô Kaioshin.
— Oui. Et ils naîtront rapidement. Ça ne prendra pas plus de cent mille ans.
— Personnellement, je ne connaîtrais pas ça, je n’ai pas plus de dix mille ans à vivre.
— Je ne resterais pas seul bien longtemps, comparé au million d’années que j’ai passé à chercher Buu. Je vais aller voir ce que désire Dendé, maintenant.
Baddack avait passé une bonen journée.
Il s’assit devant la maison, alors que le soleil se couchait sur les montagnes.
Il regarda son plan de senzu. Des pois auront bientôt poussé, pour remplacer ceux dont ils avaient fait grande consommation durant le combat.
Il prit une feuille d’aranion, la plante transfuge de sa planète, et commença à la mâcher. Le goût amer lui rappela son enfance, des années et deux vies auparavant.
Il regarda l’autel, et eu une pensée amicale envers Son Gohan.
Alors qu’il écoutait les bruits de la nature sous le ciel qui s’empourprait, il se sentit submerger par une émotion qu’il n’avait jamais véritablement connue.
D’autres combats allaient venir. D’autres victoires, d’autres défaites, d’autres joies, d’autres peines.
Mais pour la première fois de sa vie…
Il était en paix.

Paternité, Baddack et Kakarotto.D’après l’œuvre de Akira Toriyama.
Par Rebel O’Conner
Avec la participation de Vicabouc et de Broly97
un grand merci pour leur aide
Remerciements spéciaux à…
San99
Omurah
Tonay
Pennsyves
Toyble
Et ma maman
et même la Toei, malgré tout le gâchis fait dans les OAV.
Ainsi qu’a tous mes lecteurs, présents et passés,
assidus ou occasionnels
Merci d’avoir lu

— Debout, il est temps de vous lever.
— Ouah ! Encore un peu, je faisais un si beau rêve. Prémonitoire, j’en suis sûr.
— Ah oui ? Vous rêviez de quoi ?— Je rêvais d’un adversaire à ma mesure. On l’appelle le…...