Alors justement, j'aime bien me dire que ça va plus loin qu'un égoïste caprice... et qu'en effet, il avait une sorte d'intuition au sujet du prince.
Sentiment partagé par l'intéressé, bien plus tard :

Idem pour Piccolo, dont il a perçu les premiers symptômes de l'adoucissement plus vite que les autres. Qui sait si, au fond, ça n'a pas motivé ce choix de l'épargner (entre autres raisons plus majeures peut-être, parmi lesquelles : sauver Dieu, et se garder un rival excitant pour l'avenir) ?

Freezer, pas sûr qu'il faille le comparer aux deux autres. Certes, Gokû veut l'épargner, mais on sent qu'il méprise cet être irrécupérable ; d'ailleurs, il n'envisage pas de l'affronter à nouveau (Quand il lui dit : <<
Reviens me voir après t'être entraîné ! >>, c'est juste pour l'humilier)
Alors, extra-lucide, le Gokû ? Probablement pas. Mais je crois qu'il a certaines fulgurances. Après tout, on parle d'un homme qui fut brièvement capable de lire dans les pensées, et qui rêva l'exacte - ou presque - réalité au cœur de sa maladie...