Lenidem a écrit:Claude Lindsay a écrit:Antarka, les gens , souvent, qui disent « y a pas de débat » sont rarement en adéquation avec la démocratie.
L'univers n'a pas à être en accord avec la démocratie.
7 milliards d’êtres humains ça fait pas un univers.
Soit tu ne lis pas ce que j’écris , soit tu le déformes sciemment pour apporte un argument qui ne colle avec ce que j’ai vraiment dit. Quel rapport entre la morale et la démocratie ?
J’ai juste dit que , souvent , les gens qui ne veulent pas de débats ne sont pas en accord avec la démocratie . Quand on refuse la discussion avec un contradicteur , on est pas loin de refuser l’existence d’idées opposé aux nôtres. C’est tout ce que j’ai dit. Je n’ai jamais parlé de morale.
Et puis tu verras que si tu jettes une pomme dans l’univers elle tombera pas forcément par terre. Elle sera attirée dans la direction de la planète la plus grosse à proximité. Donc pas forcément vers le bas.
Si tu mets un liquide antioxygène sur tes mains avant de les passer dans le feu , elle brûleront pas. Comment crois tu que font les magiciens ?
lenidem a écrit:Si tu mets du whisky dans le biberon de ton bébé, tu va le bousiller.
Là, je peux rien pour toi. Si tu bousilles ton whisky de la sorte, c’est presque criminel!
Antarka a écrit:Mettons qu'une certaine maladie tue 50000 personnes par an en France, qu'un vaccin sorte, que la mortalité chute à 5000 et qu'en plus (pas de chance pour eux) le vaccin soit directement responsable de la mort de 100 personnes.
Bah on a quand même sauver 44900 personnes au final, qu'on soit en démocratie ou pas.
Si les 100 personnes ont été vaccinées de leur plein gré en toute connaissance de cause et en sachant le risque encouru , ça ne me pose
aucun problème.Pour les 44 900 mon propos sera en demi teinte. Tu les a sauvé de la mort mais
quid du reste ? Sur ces 44 900 combien vont finir avec des séquelles liées soit au virus, soit au vaccin ?
Et par séquelles je ne parle pas de rhumes chroniques mais d’hypertension, tachycardie, arythmie etc… Toutes ces joyeusetés qu’on ne découvrira qu’à long terme.