Consoles et jeux rétros

[Nightwing26]

Je ne pense pas être de la génération de la majorité des membres les plus actifs ici, donc je ne peux évidemment pas parler de nostalgie (ma première console était la GBAsp, puis gamecube, puis psp, puis Ps2/3/4 et switch). Mais ceci dit je suis des chaines YouTube qui traitent le sujet depuis assez longtemps (JDG le sang depuis les débuts). Et ça m'a rendu très curieux quant à ces jeux dits 'old school'. Je me suis donc procuré une SNES mini (pas taper) et franchement les joueurs de cette époque...bah mazette que vous êtes des Ken le survivant tout autant que vous êtes. Chaque jeu (bon pas les kirby ou Yoshi's island, n'exagérons rien) sont des dark souls en 16-bit. Ghouls 'n ghosts ... je n'arrive même pas au bout du premier niveau. Alors je suis loin d'être un hardcore gamer et ça me lasse assez vite, n'empêche vous avez du mérite. Sinon j'apprécie vraiment de jouer à des titres cultes, tel que les mario world, castlevania, metroid, starfox, donkey kong country etc. Je comprends tout à fait la nostalgie liée

[Davebond 00S]

C'est vrai que la difficulté des jeux de l'époque était sûrement moins bien dosée que celle des jeux qui sortent aujourd'hui.
Nous avons été des cobayes à ce niveau là ah ah !

Et comme un jeu ça coûtait cher et que c'était pas aussi popularisé et accessible qu'aujourd'hui, bah quand on avait un jeu, on le saignait car on n'avait pas non plus 50 jeux avec lesquels on pouvait jongler.

Donc ouais, aujourd'hui quand c'est trop dur, soit tu baisses le niveau dans les options, soit tu passes à un autre jeu...
Mais à l'époque, c'était soit tu insistes jusqu'à apprendre le kung-fu du jeu, soit tu ne joues plus. Tout court.

Il y a quand même des jeux que je n'ai jamais réussi à finir tellement c'était abusé la difficulté. Comme Mr Nutz sur Snes par exemple

[Nightwing26]

C'est vrai que je n'avais pas pensé au fait qu'actuellement nous disposons de beaucoup de jeux assez facilement abordables (perso je dois avoir facile 15-20 jeux jamais ouverts ) . Mais du coup je me demandais, proportionnellement à maintenant, à quel point les jeux étaient-ils chers à l'époque ?

[Lalilalo]

Je saurais pas dire parce que les jeux, c'était mes parents qui me les payaient à l'époque mais c'était en gros deux ou trois jeux par an (pour Noël et mon anniversaire).

Du coup j'ai l'impression que c'était un budget suffisamment notable pour qu'ils réfléchissent un instant avant de dire oui (ou alors c'etaient de gros radins).

Du coup, j'aurais tendance à penser qu'un jeu coûtait environ 2 ou 3 fois plus cher qu'aujourd'hui (proportionnellement au niveau de vie de l'époque).

Je me rappelle avoir eu la super Nintendo avec le jeu street fighter 2 l'année de sa sortie et apparemment, ça avait été un gros budget pour mes parents.

[Davebond 00S]

Eh bien dans mon souvenir (qui est peut-être faussé), un "bon" jeu coûtait environ 400-500 francs. Soit environ 70€ aujourd'hui.
Le smic dans les années 90, c'était environ 6000 francs.
Donc un jeu coûtait 1/13ème de la paie de mes parents. C'était beaucoup.

Aujourd'hui un nouveau jeu coûte 70€ je crois ?
Et le Smic est à 1555€.
Donc un jeu coûte aujourd'hui 1/22ème d'une paye.

En gros, le prix des gros jeux neufs n'a pas changé, mais nos moyens, oui.
Après avec l'inflation du coût de la vie, je ne sais pas où se situe la vérité mais en tout cas, j'ai clairement le souvenir que d'acheter un jeu à l'époque, ça arrachait un bras à mes parents et comme Lalilalo, j'en avais que 2 ou 3 par an (voir un peu plus pour des jeux daubés à bas prix lol)

[Antarka]

Ça dépendait des consoles en fait, l'arrivée du support CD avait un peu fait chuter les prix sur certaines 32 bits.

Je dirais en gros 400 francs à l'époque pour un hit méga drive ou SNES. Environ 350 pour un jeu PlayStation, bien 100 balles de plus pour un jeu Saturn, et jusqu'à +500 francs pour un jeu N64. Les jeux Dreamcast étaient moins chers que ça, genre retour à 350 francs en gros. Me rappelle quand Sony a sorti sa gamme Platinium, avec des jeux même pas si vieux pour 200 francs, ça avait changé le monde lol.



Dave : tu es ou pour avoir un smic à 1555 euros ? Narnia ? 1555 euros c'est pas le smic, c'est même clairement un salaire pas dégueu du tout (c'est assez nettement plus que ma nana et son statut de cadre supp, ses 10 ans d'études et ses 8 ans d'ancienneté). J'ai commencé au smic en 2003 avec en gros 850€ net pour un temps plein, soit environ 5500 francs, donc c'était sûrement pas 6000 francs dans les années 90 non plus.

Ou alors, plus vraisemblablement, tu parles de salaire brut ou net.

Édit après recherche : tu parles bien en Brut, ce qui est pas du tout représentatif. Le smic NET de 1995 c'était en gros 650€, un peu plus de 4000 francs quoi.


Au final un jeu valait en gros le même prix que maintenant quoi, soit 50-60 euros. On peut bien dire que les salaires ont en gros doublé depuis 1995, c'est absolument pas le cas du pouvoir d'achat, donc dur d'établir un rapport comparatif, y'a beaucoup de choses qui aujourd'hui te plombent ton budget, dans les années 90 soit ça valait rien (l'énergie en général, les loyers), soit ça existait carrément pas (Internet, téléphone portable etc).

Je dirais quand même que le marché de l'occasion était génial à l'époque et que c'est plus du tout le cas aujourd'hui. Il était facile de dénicher des pepites à des prix absolument ridicules même dans des magasins "pros" genre easy cash, alors que maintenant l'info sur le prix moyen d'un jeu se trouve en 3 secondes sur le net

Sinon comme Dave et Lalilalo, les jeux c'était 3 (neufs) par an... En magouillant. Un pour Noël en cadeau commun avec mon frère, et un chacun en cadeau d'anniversaire ensuite. Heureusement qu'on était toujours d'accord sur ce qu'on voulait se faire offrir...
Par contre d'occasion on s'en achetait au moins autant.


Concernant la difficulté dans les jeux vidéos de la vieille époque... Alors perso je joue quasi plus à des jeux récents (pour moi la PS2 c'est une console next-gen) , donc je manque d'éléments de comparaison. Mais j'avais été extrêmement surpris par la vidéo du JdG sur les Tortues Ninja sur NES et les réactions à ce sujet, alors que Certes c'était pas un jeu facile, mais clairement pas plus difficile non plus que la moyenne de l'époque, malgré le fait qu'il soit traité comme une difficulté ridiculement insurmontable dans la video. D'ailleurs je l'ai fini à 7-8 ans sans trop de soucis (puis mon frère a fait la meme rapidement) alors qu'il y a des pelletés de jeu sur lesquels je me suis cassé les dents.


Faut dire aussi que niveau rejouabilité, le niveau frolait le 0 pour énormément de jeux de l'époque. Donc si tu le pliais en 3 jours, bah c'etait pas rentable.

À contrario je trouve que le peu de jeu auquel j'ai joué récemment est ridiculement facile. Même quand le fun y est quand même. J'ai ressenti une deception assez intense devant le Mario en 3D sur Switch (même oublié son nom tient) à cause de cette absence totale du moindre petit défi, alors que bon de base c'est déjà une saga avec des jeux pas très difficile en soit.

[Davebond 00S]

Édit après recherche : tu parles bien en Brut, ce qui est pas du tout représentatif. Le smic NET de 1995 c'était en gros 650€, un peu plus de 4000 francs quoi.

Au final un jeu valait en gros le même prix que maintenant quoi. On peut bien dire que les salaires ont en gros doublé depuis 1995, c'est absolument pas le cas du pouvoir d'achat, donc dur d'établir un rapport comparatif.

Oui je parle en brut et effectivement, c'est compliqué de faire des comparatifs avec notre époque.

C'est marrant car on a toujours tendance à dire (ou à entendre) qu'on vivait mieux avant financièrement parlant, alors que pour ce qui est du jeu vidéo, j'ai vraiment l'impression que c'était plus difficile au début des années 90 de lâcher 400 balles pour une cartouche alors qu'aujourd'hui, 60€ pour un jeu vidéo, c'est un bifton, mais "ca va".

Peut-être qu'avant ça faisait mal, car le jeu vidéo n'était pas du tout démocratisé comme aujourd'hui et qu'on voyait ça d'un sale oeil ?
Je sais pas.

Concernant la difficulté de Tortues ninjas sur NES (je crois qu'on en avait déjà parlé), pour connaître pléthore de gamers et y avoir joué avec une tripoté de cousins, je peux assurer que ce jeu ne vole pas sa réputation de jeu difficile et que ton frère et toi êtes les exceptions qui confirment la règle.
Le finir à 7-8 ans sans trop de soucis, je trouve ça juste incroyable. Dans le premier sens du terme lol

[Antarka]

Alors pour Tortues Ninja, la rien que d'en parler je me suis remis dans le mood de l'époque. Donc mon "sans trop de soucis" je vais le relativiser : en moins de 6 mois en essayant au moins une fois par jour (bon y'a eu pas mal de tentatives avortées par une maman en furie débarquant dans la chambre 1h après l'extinction des feux). Ca nous a pris que quelques semaines pour rallier sans soucis le dernier niveau, et tout le reste du temps pour ce dernier niveau (comme beaucoup je bloquais dans le fameux couloir de la mort plein de cosmonautes, jusqu'à ce que je pige le bug).

C'est ça "sans trop de soucis" pour l'époque.

Et je maintient que j'ai joué à des jeux autrement plus difficiles. Déjà tout les shoot 2D existant à peu près. J'ai métaphoriquement saigné des doigts sur du Radiant Silvergun ou les Thunder Force. Je me rappelle encore mon premier, "the hunt of red October" sur NES, lui je l'ai fini que 15 ans plus tard (sur émulateur avec possibilité de sauvegarde à l'envie) et pourtant je me suis acharné dessus plusieurs années.

Ou même Ghost&Goblins cité plus haut par Lightning, c'était BEAUCOUP plus difficile que ce Tortue Ninja. D'ailleurs j'ai jamais fini le premier.


Pour le prix des jeux, je pense que l'incertitude jouait pas mal aussi. Actuellement tu veux acheter tel jeu, il est extrêmement peu probable que tu sois vraiment surpris (en bien ou en mal) en y jouant vraiment, parce que des tests ou review vidéos existent partout. À l'époque tu avais juste des magazines de jeux vidéos, avec PARFOIS une K7 de trailers de jeu pour te montrer à quoi ça ressemble en mouvement (j'ai du en avoir 3, en achetant Consoles+ et Joypad tout les mois pendant des années). Mais les magazines, non seulement c'etait déjà assez chers, mais en plus pas objectifs pour un sous, notant outrageusement bien des merdes immenses. Facile de se faire avoir, de payer 500 balles pour une merde énorme (coucou, les 90% des jeux Nintendo 64 non développés par Rare ou Nintendo) et de développer ensuite une certaine méfiance à ce sujet.

[Davebond 00S]

Pour le prix des jeux, je pense que l'incertitude jouait pas mal aussi. Actuellement tu veux acheter tel jeu, il est extrêmement peu probable que tu sois vraiment surpris (en bien ou en mal) en y jouant vraiment, parce que des tests ou review vidéos existent partout. À l'époque tu avais juste des magazines de jeux vidéos, non seulement déjà assez chers, mais en plus pas objectifs pour un sous, notant outrageusement bien des merdes immenses. Facile de se faire avoir, de payer 500 balles pour une merde énorme (coucou, les 75% des jeux Nintendo 64) et de développer ensuite une certaine méfiance à ce sujet.

C'est un argument qui se tient, mais je pense que le problème était encore ailleurs.

Pour ne prendre que mon exemple, mes parents n'avaient pas cette réflexion là puisqu'ils ne jouaient pas aux jeux qu'il m'achetaient, ni même ne regardaient un peu pour voir s'ils avaient acheté une merde ou pas...
J'ai peut-être une fausse impression, mais j'ai la sensation que c'était comme ça dans beaucoup de foyers en fait. Tout du moins, dans ceux de mes potes et le mien.

Donc les parents (comme les miens) qui achetaient des jeux pour leurs gosses ne pouvaient pas développer de méfiance comme tu le supposes dans ton exemple.

[Antarka]

Mmmmmmmhhhhh j'ignore un peu le rapport qu'avaient mes parents avec nos jeux vidéos. Certes c'etait eux qui payaient, mais ils auraient payé de toute façons pour des cadeaux d'anniversaire/Noël, et pas forcément moins chers d'ailleurs, c'est eux qui nous fixaient un budget (vers 200 francs pour un Noël ou un annif) et nous qui choisissions quoi en faire, donc plutôt qu'un Zelda 64 on aurait bien pu réclamer 5-6 bouquins et un Monopoly pour notre Noël 98, ça aurait pas changé grand chose niveau budget. Par contre c'est vrai qu'en réclamant un jeu, y'avait souvent un regard que j'interprètais comme genre "tu veux mettre tout votre budget dans UN jeu pour votre console de neuneu ? ".

Je dirais que mes parents, en particulier ma mère (mon père aimait bien les jeux multi même si on le ridiculisait) les jeux vidéos les laissait un peu dubitatif, un genre de sous-culture d'art. Ma mère avait plein de préjugés débiles du genre dans pas mal de domaines. "Oh t'es en train de lire une BD ? Faudrait grandir un peu, tient je t'ai acheté un roman", même quand la BD c'est du Valérian et le roman du Club des 5 quoi. Même la dernière fois qu'elle est venue chez moi elle était dubitative devant les FMA dans ma bibliothèque, considérant que ça avait pas sa place à côté de "vrais" bouquins.



La méfiance dont j'ai parlé post précèdent, mes parents l'avaient quand même. Ils voyaient très bien que parfois on passait des mois sur tel jeu alors qu'en plusieurs années tel autre jeu est jamais sorti de sa boîte ou quasi. Autant d'argent gâché pour eux, d'autant que ça se revendait pour deux Carambars sur le marché de l'occasion. Même les bouquins d'occasions ça se vendait mieux.

[Claude Lindsay]

À l’époque les possesseurs de consoles avaient trois ou quatre jeux sous forme de cartouches, rarement plus. Peut-être cinq pour les plus riches.
Le piratage n’était pas aussi répandu qu’aujourd’hui. Et pirater ces précieuses cartouches étaient quasiment impossible. Le matériel nécessaire étant hors de prix.
Je vous parle de ce temps béni de la fin des années 80 , début 90. Il y avait deux écoles, deux clans. Les Pro Nintendo et les Pro Sega. Comme il y avait l’école des Tortues et l’école des Corbeaux. Le jeu sur ordinateur était réservé à une caste. Une élite richissime capable de dépenser une petite fortune dans une carte graphique souvent propriétaire qui ne fonctionnait qu’avec quelques rares jeux et qu’il fallait changer fréquemment.
Les jeux n’avaient rien à voir avec les jeux vidéos d’aujourd’hui.
Pas de 3D. Pas de jeux en lignes. Pas de supports dématérialisés. Pour jouer, il fallait se réunir chez quelqu’un. On ne pouvait pas le faire en déplacement, à de rares exceptions près ( GB ). Les adultes ne jouaient pas. C’etait considéré comme une activité infantile et abrutissante par des adultes qui mettaient tous les jeux dans le même sac. Pour trouver des aides ( tips ), il fallait acheter des revues spécialisées dans des librairies physiques, ou souvent le ou la libraire vous regardait d’un œil qui en disait long au moment de votre achat. Mais ce jugement inquisiteur valait le coup. Car après on se réunissait à plusieurs pour dévorer le magazine de la première à la dernière page. Ou alors on s’échangeait les revues échangées, ce qui était bien aussi. L’état d’esprit d’entraide se développait.

[ChrisToTheCrix]

Tu supposes bien, Lalilalo.

Sinon qu'avez-vous pensez de ses deux premières vidéos sur la chaîne ?

Pour ma part je suis très fan du concept. J'ai regardé la première vidéo (sur Mario etc...) et j'ai trouvé ça vraiment très bon. Il a une excellente diction, donc ça aide à plonger dans la vidéo. C'est bien monté, et encore une fois le concept est vraiment bien foutu. Je vais regarder la vidéo sur Contra dans la journée.
Son idée est vraiment originale, et sans limite, c'est ça qui est fort.

[kyoju kenpu]

Concernant la difficulté de Tortues ninjas sur NES (je crois qu'on en avait déjà parlé)

C'est peut être avec moi que t'en a parlé, parce que je me souviens avoir eu cette conversation sur le forum, et perso je suis comme Antarka concernant Tortue Ninja. Certe il y a du challenge parfois, mais les réactions de JDG sont atrès exagérés concernant la difficulté: le jeu, en plus d'être bon, n'est pas aussi abusé, et j'étais au CP quand je l'ai fini (ou CE1 chais plus).
Je trouve par exemple que Wonder Boy 3 sur Master Systeme n'est pas moins difficile.

En jeu difficile sur lesquels je rejoinss JDG, il y a Fantasia sur Megadrive qui est une véritable purge ainsi que Tintin au tibet, la faute à un gameplay pourri (trop d'animation dans les mouvements qui pète la réactivité). Les jeux infograme en sommes.

Par contre sur la même catouche de Fantasia j'avais trois autres jeu (power rangers, Golden axe 2 et Bomberman). Les trois autres jeux étaient très faciles quand même. Donc je dirais que ça dépend des jeux.

J'ai tendance à penser que la difficulté était souvent dû à une jouabilité moins fluide qu'aujourd'hui. J'ai ressorti Street fighter2 sur super nes, et j'ai eu du mal à faire un Hadoken

Sinon qu'avez-vous pensez de ses deux premières vidéos sur la chaîne ?

C'est pas mal pour une première vidéo. Dés le début c'est constructif et on se prend facilement au jeu.

Après c'est personnel, mais parfois je trouvais que les références de l'époque étaient un peu forcé, notamment quand il parle de Dragon Ball comme un monument au japon. Alors je sais pas du tout comment expliquer cette impression, ni ce qui n'allait pas à ce moment là... c'est peut être le fait d'avoir vécu à une époque pas si lointaine. Je pense que je vais re-regarder la vidéo une deuxième fois, pour essayer de structurer ma pensé.

[ChrisToTheCrix]

Les références à l'époque je pense que c'est son concept qui l'oblige à en "abuser". Afin que les viewers restent dans l'univers et le RP. En tout cas de mon côté, ça fonctionne bien.

Je viens de regarder sa vidéo sur Contra, pareil j'ai vraiment bien aimé. Ce que j'aime dans son idée, c'est que ça va me permettre de vivre par procuration cette époque. Vu que je suis né en 1990, j'ai pas connu la fin des années 80, et jusqu'en 1994-95 je dirai, j'ai pas vraiment de souvenirs de tout ça. Donc c'est cool.

[kyoju kenpu]

Les références à l'époque je pense que c'est son concept qui l'oblige à en "abuser". Afin que les viewers restent dans l'univers et le RP. En tout cas de mon côté, ça fonctionne bien.

Ah non mais c'est sur! C'est peut être moi en fait qui a du mal à rester dedans par moment.
Cet effet s'estompera probablement au fil des épisodes.