Consoles et jeux rétros

[Paulemile]

Je suis retourné vérifier. 1988 c'est la sortie américaine. Le jeu à débarqué en France en 89 et... bizarrement, en 92 au Japon ! J'ai dû y jouer en 1990, quand j'avais 5 ans. Tu vivais au Japon toi, c'est ça ? Étrange qu'un jeu Nintendo soit arrivé si tard dans son pays d'origine. Je crois qu'il n'était pas destiné à être un jeu Mario à la base. Peut-être que ça vient de là.

De rien en tout cas, je prends un énorme plaisir à écrire ces reviews. C'est limite thérapeutique, ça me fait un bien fou de me remémorer tout ça ^^ c'est encore plus plaisant de voir que certains apprécient de les lire, malgré l'aspect intimiste du truc.

Étrange anecdote que tu as vécue, sinon. Tu m'étonnes que le jeu reste très présent dans ton esprit

A+

[Lenidem]

En effet, ce jeu n'était pas un Mario à la base.

Version courte, de mémoire : ce qu'au Japon ils appellent Super Mario Bros. 2 n'est autre qu'une version hardcore de Super Mario Bros. premier du nom. Aux USA, ils se sont dit que ça ne se vendrait jamais, pourtant il fallait un Mario. Quelqu'un a alors eu l'idée de modifier quelque peu le jeu Doki Doki Panic, en remplaçant les personnages et quelques power-up, pour en faire le Super Mario Bros. 2 officiel de l'Occident. Plus tard, les Japonais l'ont appelé Super Mario Bros. USA, pour le distinguer de leur Super Mario Bros. 2, lequel a été baptisé The Lost Levels lorsqu'il est arrivé en Occident dans Super Mario All-Stars.

Tout est expliqué ici.

[Paulemile]

Yes je suis allé lire un autre site qui raconte la même histoire. Merci d'avoir posté un résumé ^^

[Lenidem]

Pas de quoi ! Ce qui est marrant, c'est que ce jeu fait désormais clairement partie de la tradition Mario : les Maskass (Shy Guys en anglais) font partie intégrante des jeux Mario (et Yoshi), Birdo est devenu(e) un personnage récurrent des spin-off, il y a un stage dédié dans Smash Bros., Captain Toad déracine et lance des radis, la maniabilité traditionnelle de Luigi (plus glissant et saute plus haut que Mario) vient de là, tout comme le flottement de Peach dans Smash (et peut-être dans 3D World, je ne sais pas)... Bref, c'est un très un bon jeu qui a introduit beaucoup de chouettes idées et qui a eu un gros impact sur la licence.

[Antarka]

J'ai pas joué au Super Mario Bros 2 sur la NES vraiment. Je me rappelle avoir eu la ROM de Super Mario Aller Stars mais pas d'avoir joué à cet épisode occidental.


Du coup tu m'as donné envie de me replonger dans la NES. Voire avant. En fait je me demandais, quel est le tout premier jeu auquel j'ai joué ? Au moins tenir le truc et faire des trucs potables.

En "jeu video" au sens large c'est à un de ces deux la. Je penche plutôt pour le Double Dragon mais je suis pas sûr.

Mais je vais pas m'étendre la dessus, plutôt sur mon premier jeu console. Sur NES. Le premier feu que j'ai fini tout seul et ou j'ai vraiment senti le truc "y'a un mec dans la télé qui reagit à ce que je fait sur la manette", je me rappelle ce sentiment.



J'avais eu la cartouche Mario/Duck Hunt en même temps mais je l'ai sorti qu'après avoir rincé celui la (quelques jours après donc). J'ai nommé :

------------------

------------------

En cherchant quelques images du jeu sur le net, j'ai découvert que Shigeru Miyamoto avait participé à la conception du jeu, et qu'il était considèré comme le premier Beat Them All de l'histoire (enfin sa version Arcade, dont cette version est une adaptation). La classe.

Faut pas s'emballer, c'est très sommaire.


Kung-Fu donc... Un des rares jeux que j'ai eu sur NES auquel j'ai jamais rejoué ces 25 dernières années, faut dire que le genre vieillit pas toujours très bien. Sans aller jusqu'à le comparer avec God of War, disons que des Street of Rage ou Golden Axe lui ont fait très mal. Voire Tortue Ninja 2 sur NES, incroyablement superieur à tout point de vue.

J'ai dit sommaire ? Disons basique.

Le scénario : le méchant chef de la pègre a enlevé ta nana. Tu vas donc au siège péter la gueule à tout le monde en commençant par le rez de chaussée, en montant jusqu'au 4eme (avec un petit boss par étage jusqu'au big boss) .

Une fois le jeu fini, il recommence, en plus dur.



Donc. C'est un beat them All en scrolling horizontal (parfois gauche parfois droite), pas de notion de profondeur comme les autres Beat 8 & 16 bits que j'ai cité plus haut.

Basique, mais quand même efficace.

On a une barre de vie. Les ennemis aussi (la plupart crevée en un coup donc ça sert surtout sur les boss).

Le perso réagit super bien, enfin y'a un petit temps de retard mais j'avais pallier tranquille. Y'a pas mal de mouvements dispos. Un coup de poing, un coup de pied. Le tout de 3 manières différentes (en sautant, en se baissant ou normal).

Les ennemis sont assez variés, ça va des sbires qui se jettent sur toi à 4/5 de tout les côtes, aux ninja qui font des salto ou aux trucs qui volent. Y'a aussi des saloperies de nains/gosses qui t'attaquent sous les genoux et te bloquent les jambes. Me rappelle pu très bien de tout.

Le jeu est pas dur à finir mais quand même faut pas trop se gratter le nez quand on joue. C'est plutôt fun dans mon souvenir, on s'ennuie pas. Faut dire que les 5 niveaux peuvent se torcher en 10 minutes. Mais il avait une certaine rejouabilité. Je suis pas sûr de combien de fois j'avais réussi à le finir consécutivement. Au moins 3.


J'ai envie d'y jouer maintenant

Y'avait pas une balise pour redimensionner un peu les images à une époque ? C'était quoi ?

[Paulemile]

Ah tiens c'est marrant j'ai pensé à la même chose, retrouver mon tout premier jeu vidéo. Et puis ça m'a amené à essayer de me souvenir de tous les jeux auxquels j'avais joué, même si c'était un tout petit peu. Et enfin, j'ai essayé de me rappeler où j'y avais joué, chez quel pote et sur quelle console... C'est comme ça que j'ai dressé ma liste des 50 jeux qui m'ont marqué étant gosse. Il y en a eu plus que ça en vrai, mais ça devenait compliqué d'en parler sans recouper les mêmes anecdotes ou les mêmes situations.

Jamais j'avais entendu parler de ce jeu de kung-fu en tout cas. Mais bon j'ai jamais trop connu la NES, faut dire. Moi aussi je ferai une review de mon tout premier souvenir vidéoludique. Même si dans l'absolu, impossible de savoir si c'était vraiment avec le jeu en question, ou l'un des trois autres que mon père avait avec sa Master System.

Et maintenant que j'y pense, j'ai jamais eu de petits jeux portables à moi, comme ton Double Dragon là. Je jouais avec ceux des potes. C'était marrant ces petits pixels qui bougeaient par à-coups, avec le décor directement imprimé sur l'écran.

[Claude Lindsay]

Heu... paule-émile, non.
je ne vis pas au japon. ma mémoire doit me jouer des tours tout simplement.

ne me confondez pas avec ...

[kyoju kenpu]

"TIGER, la force est dans ta poche"

Pareil, j'avais pas ce genre de jeu éléctronique parce que déjà à l'époque je trouvais pas ça très intéressant. Enfin, ça pouvait divertir un peu. Je me souviens d'un jeu de foot où l'on jouait un gardien de but et il n'y avait que 4 frame lol.

[Paulemile]

Heu... paule-émile, non.
je ne vis pas au japon. ma mémoire doit me jouer des tours tout simplement.

ne me confondez pas avec ...

Ah ok, j'ai cru, vu que le timing semblait correspondre. Et je ne confonds personne, pas de souci ^^

Kyoju Kenpu oui je me souviens de ce jeu de foot ^^
Y avait une course de voitures aussi, il me semble. Et un mec qui doit se déplacer sur trois lignes différentes pour éviter des obstacles.
Et les pubs Tiger à la télé... C'était aussi mythique que malaisant

[kyoju kenpu]

Kyoju Kenpu oui je me souviens de ce jeu de foot ^^
Y avait une course de voitures aussi, il me semble. Et un mec qui doit se déplacer sur trois lignes différentes pour éviter des obstacles.
Et les pubs Tiger à la télé... C'était aussi mythique que malaisant

De ouf!

https://www.youtube.com/watch?v=tGIGdasG6Ts

Et non, le rap c'était pas comme ça à l'époque, mais c'est comme ça que les médias interprétaient les rimes de rap

[Paulemile]

Duke Nukem 3D (PC, 1996)

Type de jeu

Ode à la beauferie sous toutes ses formes, et à la violence sans retenue. Un condensé de ce qui se faisait de pire dans les années 90.

Premier contact

Un beau jour, au collège, mon meilleur pote s’est mis à parler bizarrement. Il a pris une voix suave et graveleuse pour déblatérer des inepties en anglais, un sourire débile lui barrant le visage. Pourquoi avait-il autant changé, aussi vite ? Il m’a dit que je comprendrais en venant chez lui pour jouer à son nouveau jeu préféré. La semaine suivante, après avoir passé le samedi devant son PC, je me suis mis à faire l’idiot tout comme lui. Car j’avais subi le lavage de cerveau imposé par une partie de Duke Nukem 3D. “Come Get Sooooome !”

Retour sur expérience

Selon moi, Duke Nukem 3D reste le digne successeur de Doom 2. Depuis le point de vue interne de notre personnage (dont on ne voit que les mains, mais dont on sent toute la testostérone), on bute des extraterrestres, et pas des démons. À part ça, le principe reste le même que dans Doom : on dispose d’un arsenal conséquent, de bonus et équipements divers et voilà. On déboite alors tout ce qui bouge dans des niveaux plus ou moins bien foutus. De l’action pure, quasiment permanente, abreuvant le joueur d’explosions, de bouts de chair d’alien et de gros bordel innommable. Si vous avez des enfants turbulents, mettez-les devant ce jeu. Une heure plus tard, ils tomberont de fatigue et vous laisseront tranquilles jusqu’au lendemain. Par contre, ils risquent de se transformer en gros machos ; à vous de voir.

Flashback spécial ambiance

Face au relatif manque d’originalité du gameplay (encore qu’à l’époque, ça nous convenait tout à fait), le réel atout de Duke Nukem se situe au niveau de l’humour. Rien n’est pris au sérieux, tout est sujet à la rigolade. Les punchlines que le personnage balance tout au long du jeu participent grandement à l’immersion. Cela dit, le second degré des nineties a très mal vieilli. Et encore, en grand amoureux de cette décennie, j’émets un jugement beaucoup trop indulgent. Si aujourd’hui, les boutades qui ponctuent l’expérience vous font encore marrer comme un tordu, c’est qu’il faut sans doute vous interner. Oh ! Oh ! Les bonnes blagues sur le cul et sur les putes ! Hé ! Hé ! Le mec voit des chiottes et pisse dedans après avoir flingué une centaine de monstres. PFOUAHAHAH HILARANT ! Mais ouais, ça nous faisait exploser de rire. Y avait-il vraiment mieux, au crépuscule du XXème siècle ? Pas sûr du tout.

Réécoute de la bande-son

La musique ne m’a pas laissé de souvenir impérissable, loin de là. Peut-être étais-je trop occupé à me bidonner, ou à épargner à mes tympans le fracas des missiles détruisant des immeubles entiers. En me replongeant dedans, je pense pouvoir affirmer que les développeurs n’étaient pas mélomanes pour un sou. La poignée de morceaux qui façonnent la B.O. sont courts, lourds, répétitifs et donnent l’air d’avoir été composés entre deux vannes potaches. Pourtant, il y avait moyen de pondre des chansons bien plus imprégnées de beaufitude que ça. Ma nostalgie vous en veut à mort, bande de branques.

Duke Nukem 3D - Grabbag

Moment Nostalgie

Un an avant que mon super pote de vacances rencontré en Dordogne ne mette la main sur Total Annihilation, il s’abrutissait pas mal devant Duke Nukem 3D. Il le connaissait bien mieux que moi, notamment au niveau des petits détails qui faisaient la réputation de ce jeu d’un autre temps. Parmi ces fameux détails, le fait que l’on pouvait donner des billets aux prostituées disséminées à travers la plupart des niveaux… pour qu’elles montrent leurs seins. On parle d’une animation qui durait une seconde, sur des personnages hyper pixellisés. Mais pour des préados biberonnés aux sprites 8-bits comme nous, cela représentait une sorte de panthéon de la luxure difficile à détrôner (même les films M6 du dimanche soir, si si). Comme des abrutis, on tentait de placer notre personnage le plus loin possible de la femme en bikini, tout en restant à distance d’activation, histoire que l’image soit la plus nette possible. Et on pouvait rester cinq, dix, quinze minutes à balancer des billets en répétant “Ouaaaaaaaah !” à chaque apparition des nichons tant désirés. Je ne regrette pas tout des années 90, hein.

[Xehanort]

Essayez de sortir un jeu comme ça maintenant sans avoir toutes les associations au Q.

[Paulemile]

Alors, personne n'a jamais dézingué d'extraterrestres à tête de sanglier dans Duke Nukem 3D ?

Sonic The Hedgehog 2 (Mega Drive, 1992)

Type de jeu

Cours magistral d’écologie ; dommage qu’il soit bien trop rapide pour l’œil humain.

Premier contact

J’ai beaucoup aimé le premier Sonic. Dès que j’ai vu une pub à la télé qui annonçait le second opus, j’ai tout fait pour me le faire offrir. Un jour, je suis entré dans ma chambre et la boîte était posée à côté de la console. Trop cool !! J’ai tout de suite préféré cette suite à l’original. Et si avec les potes ou les camarades de classe, je pouvais encore adopter une position ambigüe vis-à-vis de Nintendo avant, ce jeu m’a fait basculer du côté de la team Sega pour de bon. Dès lors, je pouvais enfin participer aux embrouilles de clans avec un investissement maximal. En France, c’était plus simple de se ranger du côté de la Mega Drive d’ailleurs, je n’avais pas trop de mérite.

Retour sur expérience

Deux personnages au lieu d’un, de nouvelles actions disponibles, encore plus de viteeeeeesse ! Ce second opus fait tout mieux que le premier (en conservant aussi ses inconvénients d'ailleurs). Mais on a tendance à occulter les défauts quand on est gosse, surtout s’il faut vanter les mérites du hérisson bleu face au plombier moustachu. Au-delà de ces futilités, Sonic apparaissait dans ma tête quand je faisais des courses avec les copains à la récré. J’étais certain que le visualiser mentalement me faisait aller plus vite.

Flashback spécial ambiance

Les différents niveaux sont encore plus travaillés que ceux de son prédécesseur. On alterne entre décor naturel, casino géant multicolore et usine ultra polluée sans grande cohérence mais je ne crois pas que ça ait dérangé qui que ce soit. Mention spéciale à “Oil Ocean”, qui dépeint une zone portuaire et industrielle digne des pires scénarios apocalyptiques jamais écrits. La sensation de vitesse est omniprésente, parfois même trop et on perd de vue notre petit avatar aux baskets rouges avant d’aller vomir un coup. Après certaines parties, on finissait dans un état de fatigue avancé mais en ayant refait le plein d’énergie en même temps. Sur un enfant, ça donnait un cocktail explosif qui a dû emmerder plus d’un parent.

Réécoute de la bande-son

Qu’elles soient porteuses d’une vibe positive ou angoissante, les chansons sont rythmées et accrocheuses, exploitant à merveille les capacités sonores de la console. On pourrait presque deviner quel morceau est lié à quel niveau sans avoir jamais touché au jeu. Sur ce point-là aussi, Sonic 2 surpasse son aïeul. Si après une partie, je me mettais à fredonner l’OST en courant dans tout l’appart, c’était un gage de qualité, non ?

Sonic the Hedgehog 2 - Emerald Hill Zone

Moment Nostalgie

Le cri de joie qu’on a poussé ma sœur et moi, quand on a appris qu’on pouvait jouer à deux en même temps ! Du coup au début, on se battait pour incarner Tails, le petit renard qui fait l’hélicoptère avec ses deux queues (désolé, c’est vraiment comme ça que ça se passe). Le perdant dans l’histoire, souvent moi vu que j’étais plus jeune de trois ans, se coltinait Sonic et se vengeait en faisant sortir l’autre de l’écran en courant le plus vite possible. Le renard échappait ainsi au contrôle du joueur, ce qui était tout de suite moins marrant et aboutissait à des querelles récurrentes. Quelques jours plus tard, on se battait pour jouer Sonic et pas Tails, logique. Ce manque cruel de coopération nous a empêché de terminer le jeu. Je n’ai donc jamais vu la transformation de Sonic en Super Saiyen, mon enfance a été 3% moins heureuse à cause de ça.

[Antarka]

Même anecdote que toi concernant Tails et Sonic quand venait le temps de partager les manettes avec mon frère.


Sonic 2, c'est largement le Sonic sur lequel j'ai passé le plus de temps. J'étais aux anges de le revoir sur la Megadrive--mini. Par contre en jouant seul j'arrive pas à avoir les 7 emeraudes (les premières ouais mais ensuite faut absolument que quelqu'un dirige Tails dans les bonus stage).

Ces bonus stage, quand j'ai eu le jeu (j'dirais 1993), je trouvais ça tellement beau.

Sonic 1 il est cool, vraiment. Mais le 2 est meilleur.

Quand à Sonic 3 (&Knucles), j'sais pas, je les trouvais plus difficile et le level-design me plaisait moins.

Sonic 2 est le plus équilibré je trouve. Mon sonic préféré sur mégadrive (donc mon Sonic préféré tout court). Il a vraiment tout ce qu'il faut. Pour chipoter il est ptetre un peu court et un peu facile (je l'ai fini sans trop forcer y'a un an sur la Mini). Mais c'est souvent le cas des jeux vraiment chouette, c'etait toujours trop court.

Sonic à l'époque, il avait vraiment su trouver sa place face à Mario, des jeux vraiment bons et suffisamment différents pour pas se mettre en concurrence (la vraie réponse à la question "Sonic ou Mario" c'est "Sonic ET Mario").

Cette époque me manque.

[kyoju kenpu]

Je me rappel avoir été surpris de la transformation en SSJ après avoir choppé tous les émeraudes! Je m'y attendais pas vu que dans le premier ça ne changeait que le ending!

Par contre en jouant seul j'arrive pas à avoir les 7 emeraudes (les premières ouais mais ensuite faut absolument que quelqu'un dirige Tails dans les bonus stage).

Surtout le dernier, quand les anneaux sont dispercés partout sur le parcours.

Bref, je me suis bien éclaté moi aussi avec le petit frère sur ce jeu.