Oui. Ce n'est que mon opinion. Tout est relatif. Chacun son point de vue.Mao-Dabura a écrit:Lenidem a écrit:Après, ce n'est st pas parce que c'est illogique que ce n'est pas cool et qu'on ne peut pas apprécier l'histoire.
Tu aurais dû dire que tu "penses" que c'est illogique.
Qui éclot comme ça tout à coup par surprise.Mao-Dabura a écrit:Les explications sont là, son potentiel
Qui est exactement le même que celui de son père, Trunks, Végéta et Piccolo.l'environnement dans lequel il s'entraîne
Qui jusque là n'était pas présenté comme "plus génial" que Végéta.et le génie du combat qui lui sert de mentor.
Son changement d'apparence et ses réflexions sur la puissance de son père sont les conséquences de son gain de puissance. Et c'est ce gain de puissance que je critique, pas ce qui en découle.Même physiquement il paraît grandi et est quasi méconnaissable avec sa couleur de super saiyen. Autant d'indices assez criants qui laissent présager de ses progrès.
Je pourrais aussi citer son air totalement dubitatif les deux fois où Goku laisse libérer toute ou partie de sa puissance chez Karin et lors du Cell game. Encore un léger indice de plus qu'il n'est pas du tout impressionné par la force de son père.
Alors rappelle-moi pourquoi Yajirobé n'éclate pas tous les autres terriens réunis ? Ils ont suivi le même entraînement chez Kami, pourtant les écarts entre eux semblent rester grosso modo les mêmes. Presque comme s'il y avait une sorte de logique.Tu pars du principe que tout entraînement se vaut ce qui est faux dans Dragon Ball.
Quand il passe en "majin", Végéta dit qu'il s'est "peut-être" entraîné plus que Gokû. Mais lui, de son côté, s'est entraîné au paradis avec un corps défunt. Ce sont deux atouts, il l'explique en parlant du SSJ3. Leurs conditions d'entraînement n'étaient pas les mêmes, celles de Gokû étaient favorables. En plus, il partait de plus haut.Et à ce jeu là, Vegeta par exemple devrait être le numéro un de tous les univers tellement il s'est sur-entraîné. Il le dit lui même à Goku lors de son passage en "majin". Il s'est bien plus entraîné que lui mais Goku reste constamment en avance sur lui.
Et Piccolo disait plus tôt dans le même arc : "Végéta est un génie du combat". De toute façon, justifier la supériorité d'un personnage par son "génie", c'est de la paresse scénaristique.Il le redit lors du Cell game est ce, explicitement: "Kakarot est un génie du combat".
Des créatures complètement à part.Freezer ou Boo qui ne se sont jamais entraînés pour s'en convaincre et ça ne choque personne.
RMR a écrit:Moi, je peux vous dire qui a raison. C'est Lenidem.
Abysse a écrit:Oui, les failles contribuent à finaliser la vision globale qu'on se fait de l’œuvre.
Personnellement, la nécessité de souvent devoir faire appel à l'imagination pour combler les lacunes scénaristiques d'un monde imaginaire où les gens volent et explosent des planètes avec leurs boules d'énergie fait partie de l'essence même de Dragon ball.
Il y a une sorte d'équilibre inhérent à Dragon Ball, et que je ne retrouve pas ailleurs et qui fait que sans ça, je ne serais pas là non plus.
Il existe de nombreux mangas qui sont bien meilleurs et qui ont bien moins de failles d'écriture et qui emportent largement mon adhésion sur le plan critique et objectif. Ou d'autres mangas, pires, encore moins bien écrits mais non moins prenants.
Mais aucun d'entre eux n'a jamais égalé mon degré d'implication dans l’œuvre comme Dragon ball l'a fait, via le suivi des films et de la série, des échanges avec les communautés, de l'approfondissement du sujet, du décorticage point par point etc.
Je ne suis jamais autant revenu sur une œuvre que sur Dragon ball. Il y a un quelque chose qui n'est pas juste culturel ou générationnel.
Abysse a écrit:Oui, les failles contribuent à finaliser la vision globale qu'on se fait de l’œuvre.
Personnellement, la nécessité de souvent devoir faire appel à l'imagination pour combler les lacunes scénaristiques d'un monde imaginaire où les gens volent et explosent des planètes avec leurs boules d'énergie fait partie de l'essence même de Dragon ball.
Il y a une sorte d'équilibre inhérent à Dragon Ball, et que je ne retrouve pas ailleurs et qui fait que sans ça, je ne serais pas là non plus.
Il existe de nombreux mangas qui sont bien meilleurs et qui ont bien moins de failles d'écriture et qui emportent largement mon adhésion sur le plan critique et objectif. Ou d'autres mangas, pires, encore moins bien écrits mais non moins prenants.
Mais aucun d'entre eux n'a jamais égalé mon degré d'implication dans l’œuvre comme Dragon ball l'a fait, via le suivi des films et de la série, des échanges avec les communautés, de l'approfondissement du sujet, du décorticage point par point etc.
Je ne suis jamais autant revenu sur une œuvre que sur Dragon ball. Il y a un quelque chose qui n'est pas juste culturel ou générationnel.
Abysse a écrit:Oui, les failles contribuent à finaliser la vision globale qu'on se fait de l’œuvre.
Personnellement, la nécessité de souvent devoir faire appel à l'imagination pour combler les lacunes scénaristiques d'un monde imaginaire où les gens volent et explosent des planètes avec leurs boules d'énergie fait partie de l'essence même de Dragon ball.
À partir du moment où l'histoire entière repose sur des méchants à surpasser sinon fin du monde, je ne trouve pas que ce soit du chipot ou des détails. Il n'empêche que ta lecture est intéressante.niicfromlozane a écrit:Bon,
Je vous vois chipoter sur des détails de la course à la puissance lors de l'arc Cell, du coup je vais essayer de proposer une autre lecture
RMR a écrit:Moi, je peux vous dire qui a raison. C'est Lenidem.
Ca aurait quand même un peu mieux marcher si Buu avait été battu par Gotrenks ou Gohan.
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