Bien que dans la forme, Papacito est extrêmement violent, alors qu’Usul est plutôt mesuré.
Quand tu vois leurs gabarits...
Tiens,je connais un sosie d'Usul.
Sinon,selon vous,Linda Kebab,de droite ou de gauche?
Bien que dans la forme, Papacito est extrêmement violent, alors qu’Usul est plutôt mesuré.
RMR {l Wrote}:Moi, je peux vous dire qui a raison. C'est Lenidem.


RMR {l Wrote}:Moi, je peux vous dire qui a raison. C'est Lenidem.


niicfromlozane {l Wrote}:Oui je veux bien croire que des imbéciles sur YouTube ou de spoliticiens un peu sots tentent de créer le buzz en soutenant des extrêmistes islamistes
Par contre, comme on le disait avant, la FI ne remplit selon moi pas les critères pour être taxée "d'extrême-gauche", j'ai simplement l'impression un parti de gauche très à gauche, tout simplement, puisqu'ils ne revendiquent pas l'abandon du concept de propriété privée. Qu'est-ce qui, dans leur programme, t'incite à utiliser ce qualificatif ?
Pour moi, on peut taxer Zemmour d'extrême droite puisqu'une partie de son programme se base sur l'abandon de la non-discrimination en fonction de la couleur de peau ou du sexe, notamment, ainsi qu'établir une préférence nationale qui mettrait à mal bon nombre de traités signés par la France, sans respect du principe administratif de la lex melior
Du coup, selon toi, qu'est-ce qui justifie cette appellation dans le cas de la FI ?
Antarka {l Wrote}:Bon.
https://www.google.com/amp/s/www.lesech ... mp/1394466
Macron et l'éducation nationale. Je suis trop énervé pour développer.
Je viens de décider qu'au second tour j'irais voter pour l'adversaire de Macron. Qui qu'il soit. Même si ça devait être Zemmour. En comptant à fond sur les législatives et le bordel d'après élection pour retarder/annuler cette merde, le redepart à 0 quoi.
Parce que je veux voter contre ça. Et que si Macron est re-elu, dans 3 mois ce truc est passé.
Bref, ça va très probablement être le cas.
J'ai une furieuse envie de demissionner.
Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la Nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacés (1) d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des Présidents des Assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.
Il en informe la Nation par un message.
Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d'assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d'accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet.
Le Parlement se réunit de plein droit.
L'Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l'exercice des pouvoirs exceptionnels.
Après trente jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par le Président de l'Assemblée nationale, le Président du Sénat, soixante députés ou soixante sénateurs, aux fins d'examiner si les conditions énoncées au premier alinéa demeurent réunies. Il se prononce dans les délais les plus brefs par un avis public. Il procède de plein droit à cet examen et se prononce dans les mêmes conditions au terme de soixante jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels et à tout moment au-delà de cette durée.
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